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🌟🔍 Nouveau et Perspicace : "Dentisterie et Politique : Un Virage Nécessaire" 🔍🌟 🚨 Le monde de la dentisterie fait face à un dilemme majeur : la balance penche dangereusement vers la politique, éclipsant la raison d'être de notre métier - les soins aux patients. 🦷⚖️ Dans notre dernier éditorial, nous plongeons au cœur de cette problématique urgente. Voici ce que vous découvrirez : 🔄 Redistribution des Ressources : Une analyse détaillée de comment l'innovation et le développement en soins dentaires perdent du terrain face aux stratégies politiques. Est-ce le bon choix pour notre avenir ? 🎓 Formation et Pratique Dentaires : Comment cette tendance influence-t-elle la formation des dentistes et, par extension, la qualité des soins que vous recevez ? 📉 Un Avenir en Péril : Un regard critique sur les risques d'une crise de confiance et de qualité dans notre profession. Que signifie cela pour votre santé bucco-dentaire ? 🆕 Nouveaux Visages de la Dentisterie : L'espoir se profile avec l'arrivée de Professionnels innovants, plus centrés sur le patient que sur la politique. Quel impact cela aura-t-il sur les soins que vous recevez ? 📢 Nous sommes à un tournant. La santé dentaire de demain dépend des choix faits aujourd'hui. Engagez-vous dans cette conversation vitale. 🗣️💡 🔗 Lisez tout ici : https://lnkd.in/eH8yZ_62 #Dentaire🦷 #SoinsDeQualité👌 #Patient💓 #Denturiste🔬 #DébatSanté💭 #DentisterieFuture🚀 #PolitiqueSanté🏛️

Le mec est neurologue à la base. Le mec est ministre de la santé pendant plusieurs années. Le mec ne fait absolument rien pour améliorer l’état des hôpitaux pendant qu’il est ministre. Les déserts médicaux augmentent, la qualité de prise en charge des patients diminue, les urgences ferment, les maternités aussi. Et quand monsieur n’est plus au gouvernement, qu’est ce qu’il fait ? Il reprend son métier de neurologue, puisqu’il en manque beaucoup en France ? Ba non bien sûr ! Monsieur redevient député ET se tourne vers la chirurgie esthétique, pan le plus lucratif de la médecine. Et ce dans la clinique française la plus prestigieuse ! Ameliorer la santé en France ? Ba non, on va plutôt gagner un max d’argent hein. Quand est ce qu’on va comprendre que ces gens n’agissent que pour leurs intérêts personnels ? Quand est-ce qu’on va comprendre que ces personnes ne nous représentent absolument pas ?

8️⃣ propositions de loi kiné Par Stéphane Viry : député des Vosges 1. Rendez-vous de prévention Reconnaissance officielle des kinés pour ces rendez-vous. Les modalités financières seront définies lors des négociations conventionnelles. 2. Prescription d’Activité Physique Adaptée (APA) Permettre aux kinésithérapeutes de prescrire de l’APA, essentielle pour lutter contre la sédentarité, prévenir les chutes et gérer les maladies chroniques. Cette prescription pourra compléter les rendez-vous de prévention ou être proposée en fin de rééducation. 3. Accès direct aux kinésithérapeutes Généraliser l’accès direct aux kinés, actuellement disponible dans seulement 13 départements. 4. Kiné coordonnateur Créer le rôle de kiné coordonnateur pour améliorer la coordination dans les établissements de santé, notamment dans les EHPAD. 5. Spécialités d’exercice Offrir aux kinés la possibilité de se spécialiser via la formation continue, avec une possible valorisation financière. 6. Redéfinition des compétences Redéfinir l’exercice de la kinésithérapie en se basant sur les compétences globales des kinés, plutôt que sur une liste d’actes restreinte. 7. Changement de dénomination Supprimer le terme “masseur” pour officialiser le titre de “kinésithérapeute”, reflétant mieux la pratique actuelle et valorisant la profession. 8. Prescriptions médicales Autoriser les kinés à prescrire certains médicaments, des imageries médicales et des arrêts maladie de moins de 7 jours. > Quels médicaments sont concernés ? > Quel financement est proposé ? La suite sur ici 👇 https://lnkd.in/due94ZvU

💣 💣 Expertise en Plaie : Quel Avenir pour la France ? 💣💣 En France, malgré l'émergence de centres spécialisés et de formations en plaies et cicatrisation, le domaine ne progresse pas comme espéré. Les infirmiers, bénéficiant d'une extension de leurs compétences, affrontent encore des limites, notamment dans l'établissement de collaborations médicales. Or du côté médical, l'intérêt pour cette spécialisation est rare, en partie à cause d'une tarification inadaptée. Les médecins sont confrontés à des défis significatifs, entre le temps investi, les coûts matériels, et le besoin de personnel supplémentaire, sans une rémunération qui reflète ces contraintes. Les tarifs actuels (NGAP), dépassés, ne reconnaissent pas l'ampleur du travail dans la cicatrisation alors qu'en Suisse la mise en place du TARMED a permis dès 2004 une tarification au temps passé avec le malade. La CCAM ne propose pas non plus de codes spécifiques pour les soins des plaies chroniques, compliquant davantage la situation. Les centres de soins de plaies peinent à trouver des modèles économiques viables, dépendant souvent de financements incertains. Face à un contexte économique difficile, leur avenir reste précaire. Il suffit de suivre l'actualité sur le dispositif ASALEE. La prise en charge des plaies ne s'améliorera que lorsque les tarifs seront réévalués pour motiver davantage les médecins. Néanmoins, il est possible de réaliser des collaborations fructueuses dans ce domaine, malgré les défis actuels. Ces dynamiques de coopération réussies seront l'objet d'une analyse plus approfondie dans un futur post, soulignant comment un projet bien structuré peut surmonter les obstacles financiers et institutionnels. Qu'en pensez-vous ? Partagez vos expériences et idées pour enrichir cette discussion.

Je suis tout à fait d'accord avec vous David Valancogne , c'est un domaine qui intéresse peu de médecins en général et encore moins de médecins infectiologues alors que la prescription des antibiotiques devant des plaies chroniques, après ecouvillonages à droite et à gauche, pose en vrai problème de santé publique et de résistances bactériennes futures. Les différentes alternatives aux antibiotiques pour lutter contre le biofilm bactérien, ne sont pas remboursés, considérés comme trop chères, nottament le #MedCu et #Debrichem. Alors que l'économie doit être réfléchie à moyen et long terme. Je soutiens cette discipline et j'encourage les professionnels à se former.

La cicatrisation, mal aimée et mal comprise des pouvoirs publics, peine à faire reconnaître sa technicité et sa pluridisciplinarité alors que : les DU sont de plus en plus sollicités, les infirmiers de plus en plus impliqués (pouvoir de prescription et de diagnostic) et des centres de plaies et cicatrisation ouvrent ! On parle souvent de cicatrisation simple et le patient en retard de cicatrisation est le grand oublié des recommandations…. Alors qu’il pourrait bénéficier de nouvelles techniques et thérapeutiques arrivées ces dernières années si ce domaine était reconnu à sa juste valeur !

🔄 Évolution de la profession de Masseur-Kinésithérapeute : Un Nouveau Nom à l’Horizon ? 🏥 Le 19 mars dernier, l’Ordre des masseurs-kinésithérapeutes a organisé un séminaire réunissant les représentants de notre profession. L’objectif de cette rencontre était de réfléchir aux mesures à inclure dans une future proposition de loi relative à la kinésithérapie. 📌 Changement de Nom de la Profession L’un des sujets principaux abordés lors de ce séminaire a été le potentiel changement de nom de notre profession. Les participants ont discuté de la possibilité de remplacer le terme “masseur-kinésithérapeute” par “kinésithérapeute”. Cette modification vise à refléter l’évolution et la diversification de notre profession, soulignant notre rôle essentiel dans la prise en charge globale des patients et l’importance de notre expertise. Ce changement symbolique pourrait renforcer notre identité professionnelle et mieux représenter les compétences élargies et spécialisées que nous apportons au système de santé. Votre avis compte ! Que pensez-vous de ce possible changement de nom ? 🌟 #Kinésithérapie #Santé #ÉvolutionProfessionnelle #PropositionDeLoi #SantéPublique

🏥 La maison médicale de Plaisir verra le jour d’ici 2026 ! Avec une baisse de 20% du nombre de médecins en dix ans, les Yvelines sont classées "désert médical" par l'Agence Régionale de Santé d'Île-de-France. Pour y remédier, le département prévoit la création de 22 maisons médicales d'ici 2025, dont celle de Plaisir, actuellement en construction. 🔹 D’une envergure de 900m2, la nouvelle maison médicale comprendra : - Pôle Médecine Générale : 7 cabinets (dont un interne et une infirmière) - Pôle Médecine spécialisée : 5 cabinets (dont un interne) - Pôle Paramédical : 5 cabinets - Pôle Kinésithérapie : 4 cabinets et une salle de rééducation collective 🏷️ Coût total de l’opération à Plaisir : 4,5 millions d’euros, financé à hauteur de 1,5 million d’euros par le Département des Yvelines. #Santé #Yvelines #MaisonMédicale #Plaisir #SantéPourTous #DésertMédical

J'ai pris connaissance il y a quelques heures des annonces du Premier Ministre Gabriel Attal pour fluidifier l'accès aux soins. Parmi ces annonces figure l'extension de l'expérimentation d'accès direct aux kinésithérapeutes de 6 à 13 départements. Voici 5 raisons pour lesquelles c'est une très bonne nouvelle : 1️⃣ Une expérimentation plus large, déployée dans chaque région, sera bien plus pertinente pour évaluer l'impact de l'accès direct aux kinés 2️⃣ Il s'agit d'une marque de confiance pour notre profession, qui sent régulièrement oubliée des politiques publiques 3️⃣ Elle affirme le rôle du kiné dans les soins primaires 4️⃣ Elle transforme le paradigme selon lequel l'entrée dans le système de santé doit obligatoirement passer par le médecin 5️⃣ La littérature internationale est formelle : cette expérimentation améliorera l'accès aux soins, diminuera le recours à l'imagerie, diminuera les délais de rééducation et améliorera la satisfaction des patients Cette mesure ne résout pas de nombreux problèmes rencontrés par les kinés au quotidien comme un pouvoir d'achat menacé et des formalités administratives grandissantes, à l'inverse de ce que le gouvernement préconise. Mais nous devons nous appuyer sur cette nouvelle pour continuer à porter un message indispensable : faites confiance aux 100 000 kinésithérapeutes pour améliorer l'accès aux soins, diminuer les dépenses de santé et décarboner notre système de santé. #teamkine #accesdirect #santé #sante #kine #kiné Catherine Vautrin - Yann Bubien - Frédéric Valletoux - Cédric ARCOS - Romain Bégué - Stephanie RIST - Annie Vidal - Jérôme GUEDJ - XAVIER IACOVELLI - Jean-François Rousset - Cécile Lambert https://lnkd.in/eRs3zkPG

L'actualité tout comme l'arrêté du 18 juin 2024 portant sur les Centres Pluridisciplinaires de Dépistage Prénatal nous prouvent que l'Histoire se répète encore et encore. Ainsi, l'ONSSF a été étonnée de découvrir le nouvel arrêté concernant le fonctionnement des CPDPN, dont on ignore à qui la rédaction a été confiée, qui n'a manifestement pas trouvé judicieux d'intégrer les représentants des sages-femmes, et qui comme pour l'IVG instrumentale, présente un certain nombre de lacunes regrettables. Les sages-femmes sont notablement invisibilisées de cette nouvelle mouture, tant dans le suivi de grossesse, que dans leur possibilité de saisir le CPDPN puisque seuls les médecins sont cités comme pouvant effectuer cette saisine, là où en 2015, les sages-femmes pouvaient également le faire. C'est donc un retour en arrière injustifiable, tant du point de vue du parcours patient que d'un point de vue économique. L'arrêté entérine complètement l'impossibilité pour les sages-femmes de faire partie des professionnels du premier cercle nécessaires à la tenue des réunions de CPDPN. Nous rappelons à ceux qui l'auraient oublié ou que ça dérangerait que la profession de sage-femme est une profession médicale, dont les diplômes en échographie gynécologique et obstétricale et les masters de médecine foetale sont partagés avec les médecins. Le terme “praticien” est remplacé par le mot “médecins” ce qui condamne la place actuelle des sages-femmes dans les CPDPN et les cantonne à un rôle administratif et logistique sans aucune considération de leurs compétences médicales. L’arrêté le stipule d’ailleurs clairement : « Le temps dédié de secrétaire et de sage-femme doit permettre d’assurer le bon fonctionnement du centre. En cas de secrétaire ou de sage-femme unique, il est recommandé de prévoir leur remplacement durant les périodes où elles sont absentes par une ou plusieurs secrétaires ou sage-femmes formées aux spécificités de la fonction en CPDPN ». Nous dénonçons cet arrêté excluant totalement les sages-femmes des CPDPN et demandons sa réécriture de manière à inclure pleinement les sages-femmes, conformément à la place qu’elles occupent dans les CPDPN et, de façon plus globale, dans le parcours des suivis de grossesses. Nous invitons les sages-femmes à relayer largement ce post, et à nous unir face à cette injustice. Nous avons obtenu la réécriture du décret concernant l'IVG instrumentale, nous obtiendrons la réécriture de celui-ci. Isabelle Derrendinger CNSF - Collège National des Sages-Femmes de France Profession Sage-Femme nour richard-guerroudj Anne-Cécile Mailfert CNEMa - Conférence Nationale des Enseignants en Maïeutique Sage Femme Pratique Cécile Lambert Guitton Sébastien Sophia PALFRAY Lauren Daccord Laura Tenoudji Dhollande Victor Nourhene Agrebi Anthony Bouvier Willy B. Cédric ARCOS Romain Bégué Eléonore Bleuzen-Her christine Talot Victor Castanet Albane Gaillot Anna Roy Marion Joseph Nathalie Ratel Wassinia Zirar Omar YAHIA