Post de Météo-France

Menace très sérieuse sur #LaRéunion avec l’arrivée du #cyclone tropical #BELAL ! Windy.com Weather Solutions NL B.V. Belal est désormais un cyclone de catégorie 1 sur 5, sur l'échelle de Saffi-Simpson, pour l’instant relativement classiques avec des vents de 120 à 150 km/h en son sein, au fur et à mesure qu’il se décale vers le sud. Il se situe actuellement environ 300 km au nord de La Réunion, qui a été placée hier après-midi en vigilance cyclonique orange, laquelle perdure ce dimanche matin. Malheureusement, la plupart des modèles météorologiques concordent à présent sur la trajectoire attendue, avec un déplacement assez lent vers le sud-est, pour un impact très proche ou même directement sur l’île intense demain lundi en mi-journée, heure française, soit dans l’après-midi, heure locale. Si l’on s’en tient au scénario médian, le temps devrait commencer à se dégrader sensiblement dès ce dimanche soir, avec des pluies de plus en plus soutenues, de la #houle, et des #rafales de #vent déjà voisines de 80-90 km/h. C’est surtout demain que l’on redoutera des intempéries potentiellement exceptionnelles, avec des rafales de vent comprises de 120 à 150 km/h de façon généralisée, et probablement jusqu’à 200 km/h voire plus sur le relief. Quant aux cumuls de #pluie, ils atteindront souvent 200 à 400 mm, potentiellement plus de 1000 mm en montagne, le tout avec une houle de 6 à 8 m et d’importantes surcotes. Notons que dans le scénario du pire toujours possible d’un impact direct en catégorie 4, ce sont cette fois des vents généralisés à plus de 180 km/h qu’il faut craindre, jusqu’à 250 km/h sur les hauteurs, des cumuls de pluie de plus de 500 mm partout et de plus de 1500 mm en montagne, ainsi qu’une houle de 8 à 10 mètres et des surcotes exceptionnelles. L’œil de Belal devrait être au plus près de la Réunion lundi midi heure française, soit en milieu d’après-midi, heure locale. 

🌀 Elle s'appelle Hélène, et a été sans pitié pour les habitants de l’est et du sud-est des Etats-Unis. 📈 Le bilan de l’ouragan Hélène continue de s'alourdir, et s'élève désormais à au moins 93 morts pour pas moins de 2,7 millions de foyers privés d’électricité. L'estimation des dégâts oscille entre 15 milliards et plus de 100 milliards de dollars selon différents assureurs et prévisionnistes. 🌧️ Hélène avait touché terre dans le nord-ouest de la Floride jeudi soir en tant qu’ouragan de catégorie 4 sur une échelle de 5, soufflant des vents mesurés à 225 km/h. Ces vents d'une rare violence, associés à des pluies diluviennes, ont ont provoqué des crues soudaines, des chutes d’arbres et ont soufflé des habitations : c’est la Caroline du Nord qui a payé le plus lourd tribut humain avec une trentaine de décès recensés. 🌊 En Floride, région moins densément peuplée que les autres et où Hélène a frappé en tant qu’ouragan de catégorie 4, il ne reste pas grand-chose dans le chapelet d’îles de Cedar Key. Sur les côtes de l'État, la submersion marine a causé d’importantes inondations, avec une élévation du niveau de la mer atteignant par endroits six mètres (voir vidéo ci-dessous). 📊 La particularité de l’ouragan Hélène est d’être particulièrement étendu. Sa taille en fait « l’un des plus grands ouragans au-dessus du golfe du Mexique durant ce siècle ». Si plusieurs ouragans ont déjà frappé les Etats-Unis cette année, dont Béryl et Debby, ceux-ci étaient moins puissants qu’Hélène au moment de toucher terre. Désormais rétrogradé en « cyclone post-tropical », Hélène devrait continuer à faire des dégâts, notamment dans la vallée de l’Ohio et le centre des Appalaches. 📝 Rappelons pour finir que la NOAA: National Oceanic & Atmospheric Administration avait bien prévenu que la saison des ouragans cette année – qui s’étend de début juin à fin novembre – s’annonçait particulièrement agitée notamment en raison de la chaleur record des océans, qui alimente ces tempêtes... une autre conséquence de la hausse des températures mondiales. La vidéo ci-dessous montre un avant / après de Gulfview Road en Floride. Des images impressionnantes qui montrent combien la montée des eaux a rasé des maisons. 

La tempête Hélène a eu des conséquences vraiment dévastatrices dans le sud-est des États-Unis, avec plus de 40morts et des dégâts matériels importants. Il est capital d'avoir des solutions d'adaptation et d'atténuation pour réduire l'impact de ce type d'événements. Adaptation : . Renforcement des infrastructures : Les bâtiments et les infrastructures doivent être conçus pour résister aux vents violents et aux inondations. . Systèmes d'alerte précoce : Les systèmes d'alerte doivent être améliorés pour avertir les populations des risques d'inondations et de vents violents. . Évacuation planifiée : Les plans d'évacuation doivent être mis en place pour évacuer les zones à risque avant l'arrivée de la tempête. . Protection des côtes : Les côtes doivent être protégées avec des digues et des systèmes de défense contre les inondations. Atténuation : . Réduction des émissions de gaz à effet de serre : La réduction des émissions de gaz à effet de serre peut aider à réduire l'intensité des tempêtes. . Reboisement( choses faciles pour chaque être humain) et conservation des forêts : car Les forêts peuvent aider à réduire les vents violents et les inondations en absorbant l'eau et en réduisant l'érosion. . Approfondir les Recherches sur la stabilité atmosphérique, les aérosols... Les aérosols atmosphériques peuvent jouer un rôle important dans l'atténuation des tempêtes en réduisant l'intensité des vents et des pluies. Et la stabilité statique atmosphérique peut jouer un rôle important dans la prévision des tempêtes. Les modèles météorologiques doivent prendre en compte la stabilité statique atmosphérique pour améliorer les prévisions.

⛈️⚠️ SUIVI MÉTÉO - Mercredi 17 Juillet 2024 🇸🇳 Bulletin de suivi numéro 1 du jour, publié tôt le matin. #NOTER : Bien lire pour comprendre. Les activités peuvent se dérouler normalement sur Dakar… 👉 Les multiples reprises d’orages de la nuit dernière se sont effectuées de manière isolée, avec tantôt des vents forts, tantôt des pluies fortes par endroits, entre les Régions de #Matam, Est de #Saint_Louis, #Kaffrine, Ouest de #Tambacounda, Est de #Louga, Nord-Est de #Fatick … 👉 Une mise en garde avait été donnée au milieu de la nuit, redoutant la possibilité que ces orages puissent se jeter sur la moitié Ouest. Depuis plusieurs années, en début de saison, des anomalies se présentent, détruisant ou affaiblissant les orages à partir du centre, allant vers le littoral. Les orages de la nuit dernière ont fini par s’affaiblir tôt se matin… ✅ Comment se tenir ce Mercredi matin et jusqu’à nouvel ordre : 👉 CÔTÉ LITTORAL ET DAKAR : À part des pluies encore possibles sur la Région de #Ziguinchor en matinée, le temps va être calme et assez nuageux sur les Régions de #Dakar, #Thiès, #Diourbel, #Fatick, #Kaolack, et l’Ouest des Régions de #Saint_Louis et #Louga. LES ACTIVITÉS D’EXTÉRIEUR PEUVENT S’Y DÉROULER NORMALEMENT. 👉 CÔTÉ CENTRE ET L’EST DU SENEGAL : 🌧️⛈️ Averses et orages autour de #Matam, par moments, et plutôt calme en matinée au centre, avec quelques averses isolées au Sud, par un temps assez nuageux. ✅ PROJECTION VERS L’APRES-MIDI / SOIRÉE et NUIT PROCHAINE : ⚠️🚨 ATTENTION : l’atmosphère va rester très propice entre l’Est, le centre, et le Sud en cours d’après-midi / soirée, avec des cellules orageuses attendues de se réveiller à nouveau. 👉👉👉👉👉 Rester connectés aux évolutions, vu l’atmosphère propice, mais qui perd ses lois actuellement. En météorologie, on appelle ce contexte « LE CHAOS MÉTÉOROLOGIQUE ». Et cela s’accentue avec le changement climatique. 🌊 L’océan est praticable en journée. À plus tard 🙂 Image satellite : Effondrement orageux au centre, et tentative de reprise de nouveaux orages à l’Est. Imposant un suivi …

En ce début de semaine, les vacanciers de Gironde sont appelés à redoubler de vigilance sur les plages. La préfecture a émis une alerte rouge aux baïnes, ces dangereux courants marins qui représentent un risque majeur de noyade, en particulier lundi 15 et mardi 16 juillet. Des conseils de sécurité essentiels sont à suivre pour profiter de la baignade en toute tranquillité. Qu’est-ce qu’une baïne et pourquoi est-elle si dangereuse ? Une baïne est un courant marin puissant et étroit qui se forme près du rivage et s’éloigne vers le large, parfois sur plusieurs centaines de mètres. Quasi-imperceptible depuis la plage, elle peut rapidement emporter un baigneur qui ne s’y attend pas, même à faible profondeur. Le danger est d’autant plus grand pendant les grandes marées comme c’est le cas actuellement. Chaque année, les baïnes sont responsables de nombreuses noyades sur la côte Atlantique. En lutte contre les vagues pour regagner la plage, même les bons nageurs s’épuisent rapidement, risquant l’hydrocution et la noyade. Les bons réflexes à adopter pour éviter le pire Face à ce phénomène, il est capital de suivre les conseils de sécurité martelés par les autorités et les sauveteurs en mer : Baignez-vous exclusivement dans les zones surveillées, là où des secours peuvent intervenir rapidement Renseignez-vous sur les conditions météo et les éventuelles interdictions de baignade Entrez dans l’eau progressivement pour éviter un choc thermique Si vous êtes pris dans une baïne, ne luttez pas frontalement. Laissez-vous porter puis nagez parallèlement au rivage pour en sortir Appelez à l’aide et faites des signes avec les bras Surveillez constamment vos enfants, même s’ils ont pied. Ne les laissez pas entrer seuls dans l’eau Chaque année, des nageurs sont emportés par des courants marins et se noient. Étienne Guyot, préfet de Nouvelle-Aquitaine Une vigilance de chaque instant, la clé d’une baignade réussie En ces après-midis d’été prometteurs, la tentation est grande de piquer une tête dès que l’occasion se présente. Néanmoins, prudence et vigilance sont de mise. Avant de vous jeter à l’eau, prenez quelques minutes pour repérer les lieux, identifier les zones sûres et celles à risque. Si l’envie de vous baigner hors des espaces surveillés est trop forte, n’hésitez pas à solliciter les conseils des sauveteurs ou des locaux. Eux seuls connaissent les pièges à éviter. De même, si la mer est formellement déconseillée, mieux vaut renoncer, même pour une courte baignade. Votre sécurité primera toujours sur le plaisir de la baignade. Les vagues et les courants marins ne font pas de distinction entre bons et mauvais nageurs ! En conclusion : baignade plaisir rime avec baignade sûre ! Alors en cette période estivale, profitez des joies du bord de mer en toute tranquillité. Soyez attentifs aux alertes, respectez les consignes, surveillez vos proches. En adoptant les bons réflexes, vous garderez de votre séjour en Gironde de précieux souvenir...

🎥 Aude, l'eau dans tous ses états Le dernier épisode de Sale temps pour la Planète à ne pas manquer, diffusé lundi 3 juin à 21h sur France 5 ! Quand on évoque l’Aude, on ne parle quasiment jamais du département. Les guides touristiques n’ont pas assez de superlatifs pour raconter les châteaux Cathares, la cité de Carcassonne ou son joyau, le fameux Canal du Midi. Voilà pour la carte postale mais l’envers du décor est moins reluisant : l’Aude manque d’eau. L’eau est à la fois le moteur de l’économie régionale mais aussi son talon d’Achille. Aujourd’hui, ici, on dit qu’il pleut mal ! Sur le pourtour méditerranéen, c’est à peine 150 millimètres d’eau qui tombent chaque année. C’est autant qu’au Sahara ! Un drame quand on sait qu’il faut le double de pluviométrie pour irriguer les parcelles de vignes qui jalonnent la région. La navigation sur le Canal du Midi, elle aussi, nécessite un volume d’eau important… Paradoxe de ce pays de Cocagne, il peut ne pas pleuvoir pendant des mois et soudain, il peut tomber des trombes d’eau. L’Aude a la particularité d’être située dans une zone propice aux épisodes cévenoles ou méditerranéens, connus pour leur potentiel dévastateur et meurtrier. Élu en 2020, Eric Menassi, le maire de Trèbes en sait quelque chose. Quatorze victimes des crues rien que dans sa commune. Aujourd’hui, comme son homologue de Villegailhenc, il fait tout pour rendre plus résilient sa ville en privilégiant la sécurité de ses populations au détriment du développement démographique et économique de sa commune.

« On n’a pas de loi internationale qui protège les nuages »… ☁ 🌦 🌧 C’est sur cette phrase choc que j’ai cherché le sommeil lundi soir… Dans l’excellente émission « Sur le Front » (France 5), Hugo CLEMENT nous sensibilise sur la fragilité de nos écosystèmes en amenant un mélange minutieusement pesé d’optimisme et d’incrédulité. Pas de moralité, des faits 🔎 – simples -  entre enquêtes, données scientifiques, images satellites et témoignages d’Hommes qui cherchent à défendre « notre » monde. Lundi 22 le thème était « quand le désert approche » (des pluies de sable en France aux villages engloutis d’Afrique). La cause de mon insomnie  aurait pu prendre sa source (quand on parle de désert 😊)  dans 2 séquences « fortes » 😪 : ➡ la première lorsque l’on voit un villageois en Afrique combattre les dunes qui  avancent et ensevelissent progressivement les maisons, armé uniquement d’une pelle et de sacs qu’il remplit de sable et déplace… ➡ la seconde lorsque l’on voit les effets de la guerre de l’eau entre les Hommes et la faune sauvage : où des lionnes décharnées s’approchent des villages pour boire dans les retenues d’eau fabriquées par les hommes… pour survivre… Et dans ce melting pot d’émotions amères 😱, une séquence sur une « chasse aux nuages » (l'ensemencement) - autrement dit l’injection (via des fusées transportées en avion) de cristaux de sel dans les nuages pour augmenter leur condensation et favoriser la pluie (oui c’est un bref résumé). Bien sûr j’avais entendu parlé de ce sujet… mais dans la chronologie du reportage, cette séquence révèle une autre prise de conscience… « visuelle ». Si je n’ai pas les compétences pour juger la technique (et ses conséquences), la question de fond… le « pourquoi » et surtout le « comment nous en arrivons à ça » m’interroge… Je persiste 😣… et à l’écoute du commentaire du journaliste… « Il n’existe pas encore de loi internationale pour protéger les nuages »…spontanément je pense aux mots de F. CABREL "est ce que ce monde est sérieux ?"... et comprends que la question animera mes prochaines nuits 😉 L’émission est disponible jusqu’au 30/05… à bon entendeur ! https://lnkd.in/eSDfuufJ #RSE #ETHIQUE

En Grèce, face à la sécheresse et aux records de températures, la crainte de revivre un été critique. Selon le service national météorologique grec, l’hiver 2023-2024 est le plus chaud connu par le pays depuis la création du centre de prévisions météorologiques, dans les années 1960. La sécheresse est particulièrement inquiétante dans les îles des Cyclades et en Crète. https://lnkd.in/eUuyx7A4

La première tempête tropicale de la saison a été baptisée dans la nuit de mardi à mercredi. La tempête Ancha (nom proposé par les Comores) devrait toutefois s’affaiblir à mesure qu’elle s'approche des Mascareignes. Elle ne devrait donc pas avoir d’influence majeure sur les terres habitées, selon le site cycloneoi. La saison cyclonique 2024-2025 dans le bassin sud-ouest de l'Océan indien débute officiellement avec ce système. Se distinguant par un début précoce, qui ne représente toutefois pas d'événement exceptionnel, cette saison devrait au moins être dans la norme voire plus en termes d’activité, indique-t-on. Pour cette saison, les prévisions tablent sur une activité renforcée sur la partie Ouest du bassin ainsi que dans le canal du Mozambique. Le risque pourrait être renforcé pour les côtes Est et Ouest de Madagascar. 🚀 Rejoignez notre chaîne WhatsApp : https://bit.ly/3Ua8fMQ Toute l'actualité de Madagascar sur https://lnkd.in/dGEe7cAn

Culture et patrimoine épisode 35 | Les passes du Bassin d’Arcachon 🌅 C’est entre 200 et 400 millions de m3 d’eau qui entrent et sortent du bassin d’Arcachon, sous l’action des marées quatre fois par jour. Le courant engendré par ce phénomène et la houle venant du large recomposent en permanence le tracé de côte à l’embouchure du bassin et de tous les bancs de sable qui s’y trouvent. Encombrée par des bancs de sable de tailles complètement différentes qui émergent en fonction des marées, l’entrée du bassin d’Arcachon peut devenir un véritable calvaire pour ceux qui souhaitent entrer ou en sortir. Les deux “passes” sont donc les seules voies navigables. Elles sont relativement étroites et surtout très mouvantes. Historiquement les deux passes s’ouvrent alternativement selon un cycle qui dure entre 70 et 80 ans. Actuellement fermée depuis les années 2000, La passe sud longe la côte et la Dune du Pilat. La passe privilégiée est actuellement, la passe nord qui est, comme son nom l’indique, au nord du Banc d’arguin, côté Cap Ferret. Connues pour être des zones de navigation particulièrement dangereuses, elles font régulièrement des victimes parmi les plaisanciers mais aussi les professionnels de la pêche. Quatre grands éléments sont à prendre en compte pour naviguer dans les passes : - Le coefficient de marée : Plus celui-ci est élevé, plus le risque de formation de déferlantes sera grand. - La houle : Lorsqu’elle rentre en contact avec les hauts fonds sableux, la houle forme une barrière d’eau. - Le vent : Il prend le rôle d’un accélérateur du phénomène de la houle quand il est orienté Ouest ou de ralentisseur quand il vient de l’Est. - La pression atmosphérique : La hauteur d’eau varie en fonction de la pression de l’air, plus la pression est basse, plus la houle déferle et ferme l'accès au Bassin d’Arcachon. Ces passes sont susceptibles de se refermer dans l’avenir, du fait d’un ensablement grandissant dans cette zone. Le Bassin d’Arcachon deviendrait alors un grand lac. Cela a déjà été le cas avec ceux proches du Bassin : Hourtin, Lacanau et Cazaux, par exemple, sont des anciens bassins similaires à celui d’Arcachon, et qui se sont renfermés. #arcachon #Bassindarcachon #capferret #Beautifulplaces #tourismefrance