Post de Mickael Gastaud

Le soins des plus petits ne doit pas être une option. La santé mentale des enfants et des adolescents doit être une priorité...avec l'accompagnement parental psycho éducatif adapté.

Congrès à venir organisé à Paris par l'association Parole d'Enfants : L'après-l'espoir à l'épreuve de la réalité. 7 & 8 octobre 2024 ! "Comment accompagner un peu plus loin et un peu mieux ceux qui ont connu l’indicible, l’impensable ? Sur quel(s) temps une intervention peut-elle se déployer pour respecter les besoins de ceux et celles que nous accompagnons ? Comment penser les étapes d’une prise en charge pour éviter d’abandonner les personnes au milieu du gué sans pour autant les considérer comme incapables de faire sans nous ?Au cours de ces deux journées, nous souhaitons aborder de manière professionnelle et sensible différentes situations dans lesquelles des êtres humains se sont retrouvés dans des situations qui les ont déshumanisés : chemin de l’exil, violences physiques, psychologiques et sexuelles, prison, guerre, sans oublier l’expérience concentrationnaire. Nous aborderons aussi l’épreuve de la maladie, physique ou psychique, et la difficulté de réintégrer le monde de ceux et celles qui vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir. Enfin, nous nous intéresserons au devenir des jeunes pris en charge dans la protection de l’enfance." Plus d'infos et inscriptions : https://lnkd.in/e6vhk4hQ

Les questions à se poser sont pourquoi autant d’enfants placés ayant de plus en plus de diagnostics de troubles mentaux et de multiples traumatismes? La violence institutionnelle que subissent les enfants en Centre de réadaptation (CR), dont des agressions sexuelles et physiques ainsi que des multiples contentions contribuent à détériorer la santé mentale des enfants. Les enfants placés en CR ne sont pas tous des enfants à être protégés de leurs parents abuseurs sous la Loi d’exception, la Loi de la Protection de la Jeunesse. Ce sont des enfants qui ont besoin de soins et de services qui se transmutent en un besoin de protection de l’enfant contre ses parents sous la loi de la Protection de la Jeunesse, qui sont évalués dans une heuristique de jugement par des intervenants de la DPJ avec leur grand pouvoir supra-Étatique. Plutôt que de donner des soins et services, ces enfants sont placés en CR. La santé mentale de ces enfants se détériorent de façon exponentielle en CR ce qui justifie et devient le motif de compromission « trouble du comportement » sous la LPJ pour les garder en CR, avec l’approbation de notre système de justice qui entérine les décisions de la DPJ.

La file active des enfants et des adolescents pris en charge au CH Charles Perrens a augmenté de + 44 % entre 2020 et 2023. 6 000 mineurs par an sont désormais pris en charge par nos équipes médicales et soignantes. Cela dit quelque chose de notre société et de notre monde : angoisses climatiques, guerres, isolement social, impacts du numérique et des réseaux sociaux, violences intra familiales, harcèlements, troubles croissants du neuro-développement. Au lieu d’exploiter à outrance certains faits divers, il est impératif de répondre aux souffrances de ces jeunes et de donner davantage de moyens aux acteurs sociaux, éducatifs, médico-sociaux et sanitaires qui doivent faire face sur le terrain à ce tsunami. Le CH Charles Perrens se propose aujourd’hui de réouvrir des lits de pédopsychiatrie.

Suite d’une santé périnatale en péril !!! Cf nos indicateurs en périnatalité

🗓️ 𝟭𝟱 𝗷𝘂𝗶𝗻 - 𝗝𝗼𝘂𝗿𝗻é𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗶𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝘂𝘁𝘁𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗮 𝗺𝗮𝗹𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁𝗮𝗻𝘁𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲𝘀 â𝗴é𝗲𝘀 A la Fondation la Résidence, nous nous engageons à bien traiter nos aînés car la bientraitance c’est : 1️⃣ Respecter la personne : ➡️ Respecter son intimité, sa dignité et sa singularité. ➡️ Maintenir sa qualité de vie sociale. 2️⃣ Proposer au résident une prise en charge individualisée : ➡️ Garantir la continuité des soins. ➡️ Tenir compte de ses attentes et de ses demandes. 3️⃣ Respecter les droits de la personne soignée : ➡️ Informer et recueillir son consentement aux soins. ➡️Lui garantir la confidentialité des informations données. 4️⃣ Garantir la qualité des pratiques professionnelles : ➡️ Favoriser la formation continue. ➡️ Évaluer régulièrement les compétences professionnelles. 🤝Ensemble, faisons la différence ❤️. La sécurité et le bien-être de nos résidents, notre priorité 🌟. #StopMaltraitance #PersonnesAgées #Respect #Dignité #15Juin

🚨 10% des jeunes de l'ASE auraient un suivi médical effectif Lors du passage à l’âge adulte, la santé n’est pas toujours la première préoccupation des jeunes.  Déjà considérée comme une population vulnérable, cette fragilité est accentuée chez ceux confiés à l'Aide sociale à l'enfance (ASE), dont les parcours de vie sont souvent marqués par la précarité, la maltraitance, ou les ruptures familiales. Cependant, les données nationales sur leur état de santé se font rares. Mais en février 2024, Elodie Guéguen, membre de la cellule d'investigation de Radio France a menée une enquête portant sur la santé fragile des enfants de l’Aide sociale à l’enfance. On apprend que : ⏳ Les adultes ayant subi des traumatismes majeurs ou des violences n’ont pas la même espérance de vie que les autres. ❤️🩹 Les maltraitances laissent des séquelle aux jeunes : problèmes de santé, développement de maladies chroniques, perturbation du développement cérébral 📆 Les rendez-vous de santé essentiels ne sont pas systématiquement assurés. Certains assistants familiaux se retrouvent à jouer le rôle de médecin, tandis que d'autres assument personnellement les frais médicaux pour garantir le bien-être des enfants. 🏥 Des bébés et enfants sont retenus à l'hôpital par manque de place dans les structures censées les accueillir Pour en savoir plus sur l’enquête d’Elodie Guéguen, nous vous conseillons ce podcast qui a inspiré la rédaction de ce post : https://swll.to/Rr8y91

Pour #UneFêteDesMèresUtile, parce que « devenir mère en France en 2024, c’est avoir des risques accrus de s’appauvrir, de voir sa santé diminuer, de subir des violences au sein de son couple, face au corps médical ou de mourir. Faire l’expérience de cette nouvelle condition sociale renforce les freins, les inégalités et les discriminations… » « Une famille sur quatre est monoparentale. Dans 80% des cas, ce sont des mères isolées. Les familles monoparentales sont surreprésentées dans les hébergements d’urgence… ». Or « la chasse aux parents des quartiers populaires dits “démissionnaires” entraine un délogement de logements sociaux, abat des prestations familiales. La stigmatisation et la criminalisation de leurs enfants amènent de nombreuses mères à vivre dans la peur pour la survie des leurs, à devoir s’organiser et se défendre. » À cause de « la détresse en post-partum, l’inaccès à des soins psys adaptés et l’isolement, le suicide est devenu la première cause de mortalité chez les jeunes mères (17 %) » « Le taux de césarienne des mères catégorisées comme “africaines” est de 31,3 % alors que pour les autres femmes, (toutes origines) il n’est que de 20,2 % » Aller sur ce lien pour La Tribune complète https://lnkd.in/gUEAsyEV #JournéeDeLuttePourLesDroitsDesMères

🔍 𝐖𝐞𝐛𝐢𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞 : 𝐄𝐧𝐣𝐞𝐮𝐱 𝐝𝐮 𝐒𝐞𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐏𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥 𝐚̀ 𝐃𝐨𝐦𝐢𝐜𝐢𝐥𝐞 – 𝐅𝐨𝐜𝐮𝐬 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐀𝐮𝐱𝐢𝐥𝐢𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐕𝐢𝐞 Je suis ravie de co-animer prochainement un 𝐰𝐞𝐛𝐢𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐢𝐧𝐞́𝐝𝐢𝐭 𝐝𝐞𝐬𝐭𝐢𝐧𝐞́ 𝐚𝐮𝐱 𝐚𝐮𝐱𝐢𝐥𝐢𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐞 sur un sujet crucial : 𝐥𝐞 𝐬𝐞𝐜𝐫𝐞𝐭 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥 𝐚̀ 𝐝𝐨𝐦𝐢𝐜𝐢𝐥𝐞, avec Charlotte WERLER de Vocation Auxiliaire 👩⚕️ Dans ce cadre, nous nous pencherons plus particulièrement sur la place et les responsabilités des 𝐚𝐮𝐱𝐢𝐥𝐢𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐞 dans le respect de la confidentialité des informations personnelles des bénéficiaires. 🔑 𝐀𝐮 𝐩𝐫𝐨𝐠𝐫𝐚𝐦𝐦𝐞 : ➡️ Les obligations légales et éthiques ➡️ Les situations du quotidien et les dilemmes rencontrés ➡️ Les bonnes pratiques pour protéger les droits des bénéficiaires 📅 La date de l’événement sera bientôt annoncée. 👉 𝐂𝐞 𝐬𝐮𝐣𝐞𝐭 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐢𝐧𝐭𝐞́𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞-𝐭-𝐢𝐥 ? N'hésitez pas à laisser un commentaire ou à me contacter en message privé pour en discuter davantage ! #secret #discretion #domicile #auxiliairedevie

Je vais bientôt m’exprimer à ce sujet. En attendant, je partage la publication du collectif Les Dévalideuses pour lequel je suis membre active. ------ Avant de pouvoir “mourir dignement” nous réclamons de vivre dignement Le 10 mars un projet de loi sur le suicide assisté et l’euthanasie a été dévoilé, sous certaines conditions :  Personnes majeures ayant un discernement plein et entier, Maladies incurables, pronostic vital engagé à court ou moyen terme,  Souffrances physiques ou psychiques qui ne peuvent être soulagées Le projet de loi ‘aide à mourir’ constitue une avancée pour l’autodétermination et les choix autonomes des handiEs. Mais nous rappelons qu’avant de choisir de mourir dignement nous réclamons une vie digne, des soins de qualité, la fin des discriminations systémiques et la mise en accessibilité de toute la société.  Vivre dignement nécessite La réévaluation à la hausse de l’Allocation Adulte Handicapé (à ce jour, sous le seuil de pauvreté) L’accès universel à des soins de qualité, la réhabilitation et ouverture de centre de soins palliatifs,  Une vie autonome et libre hors des institutions. Hors, l’État réduit de 230 millions d’euros le budget pour le handicap et les solidarités.  Nous nous inquiétons des dérives potentielles d’une telle loi, où des personnes handiEs laissées pour compte par l’État choisiraient le suicide assisté pour échapper à la misère et aux discriminations validistes systémiques.  Ressources :  1/ Fin de vie : Emmanuel Macron se prononce en faveur d’une aide à mourir - Libération https://lnkd.in/epFr6tq2 2/ L’euthanasie n’est pas de gauche - Alexia Soyeux dans Présages https://lnkd.in/eGWCKVze 3/ Les coupes dans le budget du handicap et de la solidarité ne passent pas auprès des sénateurs - Public Sénat https://lnkd.in/eAiMzDNC