Post de Ministère des Relations internationales et de la Francophonie du Québec (MRIF)

03 décembre 1963. Institution républicaine née au cœur du XXème siècle, l’ordre national du Mérite est le second ordre national après la Légion d’honneur. Il a pour vocation de récompenser les « mérites distingués » et d’encourager les forces vives du pays. La création de l’ordre national du Mérite, le 3 décembre 1963, résulte d’une large réforme du système des décorations engagée en 1958 par le grand chancelier de l’époque, le général Catroux, avec l’appui du général de Gaulle, dans une France en pleine modernisation. Déjà fondateur de l’ordre de la Libération pendant la seconde guerre mondiale, le général de Gaulle s’est impliqué tout particulièrement dans la création de ce nouvel ordre et lui assigne quatre objectifs : Consolider l’unité nationale, cinq ans après la fondation de la Vème République. Revaloriser la Légion d’honneur qui souffrait d’une inflation du nombre des décorés à la suite des grands conflits du XXème siècle. Harmoniser et simplifier les distinctions honorifiques. Il était urgent de stopper la multiplication de décorations diverses et variées, lancées par les ministères et qui atteignaient le chiffre record de 70 décorations et 20 ordres. Hiérarchiser l’échelle des mérites avec une nouvelle distinction, complémentaire, réservée aux mérites réels reconnus plus tôt. Dès les premières promotions, des mérites très éclectiques et des carrières précoces ont été salués, illustrant une philosophie d’attribution jamais démentie à ce jour. https://lnkd.in/eUHw4mPE

Le directeur général de la Ville de Montréal et lauréat de notre prix Hommage 2021 a pris sa retraite au terme d’une longue carrière dans le domaine public. Pour en savoir plus sur son parcours, lisez l'article qui lui est consacré dans La Presse : Un « Montréalais pur et dur » quitte la Ville!

Merci Mali RH Consulting Sarl

En cette période critique des relations canado-américaines, McMillan LLP, cabinet de droit des affaires canadien de premier plan en Amérique, en collaboration avec McMillan Vantage, l’un des principaux cabinets nationaux d’affaires publiques au Canada, offre les services d’un groupe consultatif transfrontalier.   Forts d’une expertise historique pour les questions transfrontalières, nos deux cabinets ont fait leurs preuves en guidant les organisations dans le cadre d’importants mandats relatifs au commerce, aux tarifs et à la défense, promouvant des politiques qui protègent les entreprises, leurs employés et leurs occasions de croissance. Notre groupe consultatif transfrontalier peut aider les organisations des deux côtés de la frontière. Que vous ayez besoin d’influencer les décideurs, d’assurer votre chaîne d’approvisionnement, de défendre les intérêts de vos employés ou de créer des occasions sur le marché nord-américain, nous sommes particulièrement bien positionné.e.s pour produire les résultats souhaités.   Communiquez avec un.e membre de notre équipe dès aujourd’hui : Jonathan OHara, William Pellerin, Brett Stewart, Suzana A. Lobo, Mark Resnick, Richard Mahoney et Stevie O'Brien. https://bit.ly/3EeEGUh #RelationsCanadaÉtatsUnis #RelationsGouvernementales #McMillan #ÉquipeVantage

40 ans de présidence du Synadec

Le 11 janvier marque un moment clé de l’Histoire du Maroc : l'anniversaire du Manifeste de l’Indépendance. Ce jour illustre la détermination d’un peuple à prendre en main son destin et à bâtir un avenir souverain. Aujourd’hui, cet esprit de résilience et d’ambition continue d’inspirer. Le Maroc s’impose comme un acteur stratégique, forgeant des partenariats gagnant-gagnant et s’appuyant sur une unité solide, construite à travers les défis et les succès. Dans le monde de l’entreprise, cette leçon est précieuse : savoir s’adapter, innover, et collaborer pour créer de la valeur durable. Célébrons ensemble cet héritage qui nous rappelle que, lorsque la vision et l’unité sont au rendez-vous, tout devient possible. #ManifesteDeLIndépendance #Maroc #Leadership #Unité #Collaboration

19 décembre 1965. Le général de Gaulle est réélu Président de la République française, au suffrage universel direct, sa première élection en 1958 ayant eu lieu au suffrage universel indirect. Le premier tour de l'élection s'est déroulé le 5 décembre et le second tour le 19 décembre 1965. Le général de Gaulle, président sortant, se retrouve au second tour face au candidat de gauche, François Mitterrand, et l'emporte avec 55,2% des suffrages exprimés. Entretien avec Michel Droit, le 13 décembre 1965, première Partie. Premier entretien télévisé entre le général de Gaulle, candidat à la présidence de la République, et Michel Droit, rédacteur en chef du Figaro littéraire, entre les deux tours de l'élection présidentielle. Par le dipositif adopté et l'attitude du Général, cette série d'entretiens cherche à faire oublier l'image d'un personnage lointain, voire hautain, et d'un homme vieilli. Ce premier entretien traite de la politique intérieure de la France. Le Général y défend l'action de son gouvernement, chiffres à l'appui. Après avoir évoqué l'idée qu'il se fait de la France et des Français, de Gaulle aborde ainsi successivement les thèmes de la prospérité, du Plan de stabilisation, de l'agriculture, de l'enseignement, des communications, du logement et de la recherche scientifique. Petite(s) phrase(s) : L'idée que je me fais de la France, ce n'est pas un sujet nouveau, il est tout à fait vrai - je dirais que c'est ma raison d'être. Je n'ai jamais dit, et à plus forte raison pensé "l'intendance suit". https://lnkd.in/epQeYnMC

LA FONDATION CHARLES DE GAULLE Au service de la mémoire du général de Gaulle Un livre pour comprendre les enjeux de l’évolution de la France CES MOTS QUI FONT LA FRANCE Tandis que notre Pays, confronté à un déficit record de ses finances publiques et dépourvu de majorité à l’Assemblée nationale, s’efforce de faire face à une crise politique et morale qui suscite inquiétude et divisions, comment affronter les défis actuels et préparer pour les Françaises et les Français un avenir moins périlleux ?Le livre « Ces mots qui font la France » (1) qui vient de paraître nous propose un éclairage solidement documenté des mots sur lesquels s’est construite la France et qui constituent le socle de son destin : République, Démocratie, Nation, Souveraineté, Indépendance, Attractivité, Solidarité, et quelques autres. Ancien professeur d’université et actuellement vice-président de la Fondation Charles de Gaulle, l’auteur s’est attaché à expliquer le sens, l’histoire, les enjeux et les valeurs dont chaque mot est porteur afin d’aider les lecteurs à envisager l’avenir en disposant de repères solides et objectifs face aux affirmations infondées, aux propos biaisés et à la désinformation qui menacent le débat public. Avec un utile éclairage sur les paradoxes et les contradictions de notre époque, l’ensemble des mots évoqués dans ce livre peut aider nos compatriotes à appréhender les défis actuels et les jeunes générations à se préparer à construire la France de demain en disposant de repères solides et objectifs face aux défis qu’à leur tour il leur appartiendra de relever. 

🟥 AU-DELÀ DES POLÉMIQUES, LA NOBLESSE DE LA POLITIQUE 🔴 Alors que les polémiques s’accumulent comme les gros nuages d’un cyclone au-dessus du nouveau Premier ministre, il est bon d’écouter ce dernier qui s’exprimait il y a quelques années sur l’histoire, la culture et la politique. On dit aujourd’hui que l’on assiste au retour des hommes politiques d’autrefois après l’intermède M. Barnier. Mais ce n’est pas exact, malgré les apparences qu’offre l’âge proche des deux derniers chefs de gouvernement. Avec F. Bayrou, ici sophistiqué dans ses analyses et s’exprimant avec une grande justesse de termes, l’on sort du style technocratique pour le cœur de la politique. La politique est noble: c’est une pensée et surtout une direction servie par une volonté. Telles sont les conditions nécessaires pour les plus hautes fonctions. Il est vrai que l’arrivée tonitruante du nouveau Premier ministre aura bouleversé ce qui restait encore de la Ve République. Pour la première fois dans l’histoire de cette dernière, le Premier ministre s’est imposé au forceps; imagine-t-on que G. Pompidou ou M. Couve de Murville aient pu agir de même avec le général de Gaulle ? Pour la première fois, le Premier ministre - qui n’a pas laissé choisir pour lui son directeur de Cabinet - semble en mesure de composer de manière assez autonome sa propre équipe gouvernementale. Pour la première fois enfin, le chef du gouvernement pourrait prendre l’ascendant sur le chef de l’État dans une cohabitation d’un nouveau type; la condition sera néanmoins d’éviter toute nouvelle polémique que ne comprendrait pas l’opinion. Le schéma idéal que brossait, il y a quelques années, le nouveau Premier ministre était assez éloigné du fait majoritaire qui constitue l’essence de la Ve République dont ne semblent plus vouloir désormais les Français. La définition du « centre » politique est celle d’être une sorte de réceptacle du pluralisme. Celui-ci paraît aussi plus lié au parlementarisme qu’à un système semi-présidentiel qui d’ailleurs ne fonctionne plus. La référence à W. Churchill est d’ailleurs un hommage au parlementarisme britannique mais l’on pourrait évoquer aussi les institutions et la vie politique allemandes qui permettent la formation de coalitions. Si F. Bayrou est féru d’histoire et peut en parler savamment, ses propos d’il y a quelques années - qui traduisent un certain idéalisme - paraissent d’une grande actualité et correspondent aussi à une nécessité.

Cet article que j'ai publié dans le magazine #Diplomatie fait le tour des références historiques faites par Donald #Trump lors de son discours d'inauguration, particulièrement sa mention du président William #McKinley et du Canal de #Panama.