Post de Mfadel Group

Droit du sol...

Il faut "bien" (re)lire Machiavel. Sous couvert de leçons aux princes, il a donné des leçons aux peuples. D'abord, nous ne parlons pas ici de #morale, mais de #politique, donc d'efficacité et de pragmatisme. Machiavel nous enseigne que lorsque les princes se trouvent confrontés aux tumultes et aux contestations qui secouent le royaume, il est impératif qu'ils sachent user de tous les moyens pour maintenir leur pouvoir et, par conséquent, assurer l'intégrité de l'État. "Il est plus sûr d'être craint que d'être aimé, mais il ne faut pas devenir haï," écrivait Machiavel dans "Le Prince". Le prince doit comprendre que la stabilité de son règne dépend de sa capacité à imposer son autorité. Les mouvements sociaux et les manifestations ne sont que des épreuves de sa détermination. La #force est la clé pour dissiper le chaos. Gouverner est l'art de la doser. "Un prince doit savoir user de la bête et de l'homme." Il doit maîtriser l'art de la ruse autant que celui de la force. Lorsqu'il fait face à des manifestations, il ne doit pas se contenter de réprimer par la force brute. Il doit aussi diviser ses adversaires, semer la discorde parmi eux et utiliser des concessions temporaires pour affaiblir leur résolution. La ruse, combinée à une démonstration de force calculée, peut désamorcer les crises les plus virulentes. Ruser n'est pas mentir, car "celui qui trompe trouvera toujours des gens qui se laissent tromper, tant que les trompés ne se rendront pas compte qu'ils ont été trompés." La crise la plus grave n'est pas politique, elle est économique. "Les hommes oublient plus vite la mort de leur père que la perte de leur patrimoine." Cette vérité de Machiavel souligne que le prince doit être conscient de l'impact des difficultés économiques sur sa légitimité et son autorité. La perception de sa force et de sa #justice devient alors primordiale. Ce n'est pas seulement une question de #communication, mais de créer une réalité perçue où le dirigeant apparaît toujours capable et en contrôle, même en temps de crise. A défaut, "un prince doit avoir deux peurs : l'une venant de ses sujets, l'autre venant des puissances étrangères." La gestion de cette peur repose donc sur un équilibre subtil entre fermeté et clémence, entre justice et répression. Le prince doit être attentif aux besoins de ses sujets, réagir rapidement aux troubles internes et éviter de susciter des griefs qui pourraient devenir des foyers de rébellion. Tout le monde y a intérêt : "Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant, et dont les princes mangent dès le matin !" (Ecc. 10:16) est une mise en garde sévère contre l'immaturité et la négligence lorsqu'elles sont au pouvoir. Elle résonne avec les enseignements de Machiavel sur la nécessité d'un prince fort, sage et "vertueux" pour maintenir l'ordre et la prospérité de l'État. En négligeant ces principes, un pays s'expose à l'instabilité, à la corruption et à la ruine. Machiavel reste plus que jamais d'actualité.

Dans l'entreprenariat il 3 sources de motivations et d'objetifs : 1) entreprendre pour défendre l'intérêt de sa communauté et créer de l'emploi pour elle. 2) entreprendre pour assurer son survie et ceux de ses descendants. 3) entreprendre pour être riche toute suite. Selon vous entre les 3 types d'entrepreneurs qui est capable d'accepter d'être pendu parce qu'il refuse de renoncer à ses objectifs.

La #gouvernance du #Roi #MohammedVI est un éclat de sagesse et de #modernité, fusionnant #tradition et #innovation. Sous sa houlette, la #monarchie marocaine a su évoluer, répondant aux #défis contemporains tout en préservant les #valeurs qui font l’essence du pays. Son #leadership et son #génie à impulser des #réformes significatives, à moderniser les #infrastructures et à promouvoir les #droits_de_lHomme illustrent le rôle central de la monarchie dans la transformation du #Maroc. Ce #règne assure une #continuité rassurante et une #vision à long terme, se révélant être un garant de la #paix sociale et un moteur de #progrès économique. La monarchie marocaine, telle que façonnée par S.M. Mohammed VI, est le pilier de la #prospérité et de l’avenir du #Royaume.

Dans l'ombre des vainqueurs et des exploits accomplis dans le massif himalayen, l'aventure dissimule un business colossale au point parfois de laisser agoniser et mourir sherpas, alpinistes professionnels ou non. L'indifférence fasse à cela jette l'opprobre sur ces montagnards : l'égoïsme et l'individualisme dans ses formes les plus abjectes. Comment ce vanter d'avoir fait le K2 ou un autre sommet mythe après avoir enjamber un agonisant? Ces touristes du "sommet à tout prix" sont pathétiques, des personnes insignifiantes qui ne prêtent aucun importance à la vie humaine. Et qu'on ne me parle pas d'hypoxie et d'instinct de survie.... Quand un de nos semblable est en danger de mort, plus rien ne compte à part sauver cette vie. En droit pénal je crois que cela se nomme :  non-assistance à personne en danger ?  Certains vont me retorquer que le sauveteur improvisé ne doit pas se mettre en danger. Donc aucune loi ne pourrait donc lui venir en aide ? Avoir des règles de conduite, une morale, une éthique, voila ce que l'on nomme : "avoir des principes" qui devraient rester de rigueur dans toute situation . Peut-on monter vers un sommet quand un autre grimpeur attend de l’aide et que sa vie est en péril ? "Le but n’est pas le but, c’est la voie." Lao Tseu. Publicité

Bien sûr je comprends les commentaires qui dénoncent de telles attitudes et les drames humains qui se cachent derrière cette pratique de l’alpinisme. Je vous propose de porter la réflexion sur ce que cela dit de notre société en reprenant les mots du journaliste -     Focalisé -     Ivresse du sommet -     Très très cher -     Records à faire -     Sponsors -     Médias -     Petit milieu -     Beaucoup d’argent -     Beaucoup d’égo -     Absence d’organisation humaine et solidaire… Combien de nos comportements quotidiens sont pilotés par les mêmes injonctions que l’on retrouve dans nos organisations sous forme de : -     Performance individuelle -     Objectifs -     Projets -     Coûts -     Délais -     Etc… Quelles en sont les conséquences à moyen terme pour les personnes, qui comme ce jeune homme, ont été téméraires, imprudentes, on fait des choix discutables ? A quel moment nous arrêtons-nous dans notre progression pour porter assistance ? Bonne réflexion

Ça...Ça là.... N'est ce pas cette Afrique non libre mais libérée? N'est ce pas un.xn--plbiscite-c4a populaire et naturel, sans aucune manipulation financière, comme on n'en voit dans certains autres pays. Il n'y a qu'#OusmaneSonko du Sénégal qui bénéficie d'un niveau de plébiscite similaire, dans ce monde. La démocratie serait-elle somme toute de l'émotion? Amour, solidarité, fraternité, partage, paix? La raison, n'est ce pas elle qui par ses calculs, justifie des génocides, des soulèvements populaires, des assassinats en contrepartie d'électricité de carburant et de nourriture bio pour l' Occident? Si vrai, alors nous concédons que la.democratie est négre et l'anarchie, hellène. Toute organisation, pays, ou personne qui n'admet pas que c'est positif, est sur une logique fumiste et mafieuse. Oui, ils ont l'habitude de nous montrer désespérés, les yeux hagards à la quête de nourriture, d'eau ou de médicaments pour initier ensuite devant leurs opinions nationales et internationales de fausses missions d'aides et de secours abritant, dans leurs réalités, de grandes opérations de renseignements et de conquête de sols ou de sols pour leurs propres multinationales. Vive le #CapitaineIbrahimaTraore Vive le Burkina Faso. Vive l'Afrique libérée. La patrie ou la mort, l'Afrique vaincra.

Mémoire républicaine. Ajoutons pour le rappel que la Déclaration est le premier texte juridique, qui ne fasse pas référence à un être divin imaginaire, mais à la communauté des citoyens comme seule source de la Nation, de la Souveraineté, et par là de la Démocratie. C'est une des sources d'une laïcité juridique, condition nécessaire pour la liberté de pensée, la science, la justice, et la Démocratie. Dont les exercices sont bien évidemment perfectibles.

🇩🇿🎂I En ce jour de la Fête de la Victoire, nous célébrons le triomphe du peuple algérien après 132 années de lutte acharnée pour son indépendance. Nos pensées se tournent vers les millions de martyrs qui ont sacrifié leur vie pour que les générations futures puissent vivre libres et souveraines. Le saviez-vous ? Notre victoire n'est pas le fruit d'une simple guerre, mais l'aboutissement d'un long processus inscrit dans notre ADN et notre histoire millénaire. C'est une intelligence traditionnelle transmise par nos ancêtres au prix de millions de morts au combat. « Commémorer la victoire pour la paix » Célébrer cette victoire ne signifie pas glorifier la guerre, mais plutôt honorer un héritage de résistance et de persévérance. Notre devoir est de transmettre cette intelligence traditionnelle aux générations futures en promouvant : ✔️ La mémoire de notre passé ✔️ Notre africanité ✔️ Notre algérianité, l’État-Nation (amazighité-arabo-musulmane) ✔️ La paix et le vivre ensemble ✔️ L'unicité de la Nation algérienne (Algérie, une et indivisible) ✔️ Le respect du vivant ✔️ Le respect du droit international ✔️ Le droit des peuples à l'autodétermination 🗣 L'Algérie : une nation de paix et d'ouverture L'Algérie est une nation de paix et d'ouverture sur le monde. Notre combat pour l'indépendance a toujours été guidé par les principes du droit international et du respect des droits humains. En cette journée symbolique, réaffirmons notre engagement à construire un avenir meilleur pour l'Algérie et pour l'humanité entière. #FêtedelaVictoire #Algérie #Paix #Indépendance #Mémoire #Avenir

Le Prophète Muhammad (SAW) avait une vision équilibrée de l’argent. Il enseignait que l’argent et les biens matériels sont des bénédictions d’Allah, mais qu’ils doivent être utilisés de manière responsable et éthique. Voici quelques points clés de sa position : Responsabilité et gestion : L’argent est considéré comme une confiance d’Allah, et les musulmans sont responsables de sa gestion. Ils doivent l’utiliser pour des causes justes et éviter le gaspillage. Charité et partage : Le Prophète encourageait fortement la charité (Zakât) et le partage des richesses avec les plus démunis. Il a dit : « La richesse ne consiste pas dans l’abondance des biens, mais la vraie richesse c’est celle de l’âme ». Condamnation de l’avarice et de la thésaurisation : L’Islam critique sévèrement l’avarice et la thésaurisation excessive. Le Prophète a maudit ceux qui deviennent esclaves de l’argent, soulignant que l’accumulation de richesses sans but noble est condamnable. Équilibre et modération : Il prônait un équilibre entre l’épargne et la dépense, en évitant à la fois l’avarice et le gaspillage. Le Coran dit : « Ne porte pas ta main enchaînée à ton cou [par avarice], et ne l’étend pas non plus trop largement, sinon tu te trouveras blâmé et chagriné » (Coran 17:29). En somme, l’argent en Islam doit être utilisé pour le bien commun, en respectant les principes de justice sociale et de responsabilité éthique. 🎵👑❤💋💎👌🤞🤳£$