Post de Mouhamed Dioum

✨ Rénovation ✨ Vos quais ne sont plus aux normes Carsat ? EIE a été sollicité par @fluidra pour remplacer leurs quais à lèvres basculantes par des quais à lèvres télescopiques avec zone refuge. 🙌 Un grand merci à @fluidra pour leur confiance ! 🔍 Le saviez-vous ?  Conformément aux recommandations de la CARSAT, vos quais doivent avoir une zone refuge et un bloqueur roue pour éviter les risques d’écrasement et de départ intempestif des camions. 🚨 Un projet ? Contactez-nous par e-mail sur info@eiefrance.com Avec EIE, modernisez vos quais en toute sérénité ! ✅   #ProjetEIE #SécuritéIndustrielle #eie #eiefrance #perpignan #perpignannord #pyrennesorientales #quai #quaialevretelescopique #quaialevrebasculante #rénovation #remplacement #equipementindustriel #carsat   

Depuis 9 mois, nous demandons les études d'impact ayant permis à Métropole de #Lyon de prendre sa décision mais aucune nouvelle... Soit les ÉTUDES ne sont : 1. PAS FAITES ❌> le projet avance dans L'ILLÉGALITÉ & LE MENSONGE 2. PAS BONNES ⁉️ >nos craintes sont fondées Nos craintes sont de créer et accentuer des effets néfastes pour la : 🟢 SANTÉ des Lyonnais, la SANTÉ de la Planète, TRANQUILITÉ : ↗️ pollution et nuisances sonores aux abords de la ZTL : Embouteillage, allongement des trajets 🟠 SÉCURITÉ : Garantir les accès rapides des Pompiers, Forces de l'ordre, Ambulances via les Quais du Rhône ou de Saône dont le nombre de voies va être réduit drastiquement et les flux intensifiés via la fermeture de la Rue Grenette et la #ZTL 🔵 LIBERTÉ & ÉGALITÉ entre les Lyonnais: Les lyonnais vivant à proximité de #ZTL ne pourront plus garer leur véhicule dans la rue ou Accueillir des amis venant en voiture. De choisir entre les Taxis ou VTC en bas de chez soi 🟣 L'ÉCONOMIE LOCALE : Fragiliser les commerces indépendants & professions libérales en empêchant de garer & en complexifiant la logistique Ne déplaçez pas les problèmes, traitez-les en écoutant & en proposant des alternatives efficaces & désirables ! Nous demandons à Gregory Doucet & Bruno Bernard : 1-TRANSPARENCE via le partage de ces ETUDES D'IMPACT manquantes annoncées lors de la réunion mi mandat en Nov 2023 qui ont révélées sur le cas parisiens de vrais problèmes 2- Reconcerter et informer davantage 3- EXPÉRIMENTER a minima 3 mois BFM TV Lyon : https://vu.fr/euirV Lyon Capitale : https://vu.fr/lRAoe Retrouvez-nous sur X ! https://lnkd.in/gDKSx3q7

Pourquoi une 3e voie est-elle nécessaire entre Nyon et Genève? 🤔 🛣️ Cette 3e voie fluidifiera le trafic et permettra de diminuer les #bouchons non seulement sur l’#autoroute mais aussi dans les #communes de La Côte et de la région genevoise! 🚙🏍️🚲 De plus en plus souvent, les bouchons sur l’A1 se reportent dans les #villages qui bordent l’autoroute. Les usagers pensent éviter les bouchons en passant par les routes principales des villages lémaniques et la qualité de vie des habitants se dégrade en conséquence. Des colonnes de #voitures se forment devant nos portes, nos écoles et nos commerces, ce qui pose des problèmes en termes de sécurité, de confort et d’environnement. ‼️ Pour la qualité de vie des habitants de la région lémanique, un OUI dans les urnes en fin d’année est plus que nécessaire. 🗳️

Annecy donne plus de place aux piétons et mobilités douces. Pour améliorer le cadre de vie de ses habitants, la Ville d’Annecy poursuit la piétonnisation du centre et déploie un plan de circulation limitant le transit routier. Piétonnisation et plan de circulation. En activant ces deux leviers, Annecy espère désengorger ses rues et réduire les pollutions.... #Annecy #circulation #piétonnisation Lire la suite sur :

Annecy donne plus de place aux piétons et mobilités douces. Pour améliorer le cadre de vie de ses habitants, la Ville d’Annecy poursuit la piétonnisation du centre et déploie un plan de circulation limitant le transit routier. Piétonnisation et plan de circulation. En activant ces deux leviers, Annecy espère désengorger ses rues et réduire les pollutions.... #Annecy #circulation #piétonnisation Lire la suite sur :

Quelles sont nos priorités ? Depuis des années la rénovation des égouts ne fait pas partie de nos priorités. La cartographie de ceux-ci montre qu’en région bruxelloise 225 km d’égouts menacent d’effondrement et on n’en rénove actuellement que 15 km par an. A ce rythme il faudra encore attendre 15 ans pour achever les rénovations urgentes avec pour conséquence que les effondrements dans nos voiries vont continuer à se multiplier ! L’intercommunale Vivaqua en charge de nos égouts et de la production et de la distribution de l’eau est endettée à raison de plus d’un milliard €. Son refinancement par la Région et les communes est une nécessité. Investir dans nos égouts c’est plus prioritaire que construire une piscine publique naturelle extérieure comme le propose le Bourgmestre d’Uccle ! https://lnkd.in/eitkC7Jm

🤝 #Partenaire | Le Logis Corse et Mutuelle de la Corse unissent leurs forces pour le bien-être en Corse ! Lier habitat et santé pour promouvoir une meilleure qualité de vie en Corse, c'est le vœu porté par la Mutuelle de la Corse, engagée dans l'action sociale et la prévention santé, et Le Logis Corse, acteur majeur du logement social et de l'accession à la propriété. Nos nouvelles résidences intègrent le concept du "logement-santé" par la mise en place de mesures concrètes, notamment : 👉 l'amélioration de la qualité de l'air intérieur 👉 l'optimisation de l'exposition des bâtiments 👉 des aménagements extérieurs étudiés Ce partenariat novateur a pour objectifs : 🎯 D'intégrer des services de santé et de bien-être dans l'offre de logement. 🎯 D'améliorer les conditions de vie des Corses, en particulier des personnes en situation de précarité ou isolées. 📍 Le 9 avril dernier, nous étions en Balagne pour participer aux Scontri Mutuali. L'occasion pour Pascal Marietti, notre responsable commercial, d'évoquer notre approche novatrice en matière d'accession à la propriété : offrir un logement économiquement accessible tout en privilégiant le bien-être et la santé. #BienEtre #Santé #Solidarité #Logement #LogisCorse #Scontri

🎉 Alors qu'il y a déjà un an la coalition citoyenne "la Déroute des routes" lançait publiquement une demande pour un moratoire sur les projets routiers, le département du Val d'Oise semble avoir saisi l'ampleur des enjeux de notre temps, et a annoncé hier l'abandon du BIP (Boulevard Intercommunal du Parisis, créant une jonction entre l'A1 et l'A15), un projet routier pensé 15 ans auparavant. De nombreux élus locaux, associations et militants se sont mobilisés pour faire pression sur ce projet d'un autre temps. Et malgré une validation du Conseil d'État de la déclaration "d'utilité publique" du projet en juin dernier, la présidente du Conseil départemental du Val d'Oise, Marie-Christine Cavecchi, a pris la décision de mettre un coup d'arrêt à ce projet. 👏🏽 Preuve que la mobilisation citoyenne paye et qu'elle se révèle être d'utilité publique majeure à l'heure où les politiques traînent à prendre leur responsabilité. ✊🏽💥 Preuve que l'avenir des transports et de notre mobilité repose sur d'autres modèles garants d'un monde vivable.🍃 En espérant que cette victoire puisse inspirer certain.e.s autres décisionnaires sur le non-sens des projets routiers, et donner du courage à ceux qui continuent le combat sur leur territoire 🌟 👉🏽 Pour + d'infos sur la lutte et cette belle victoire du Val d'Oise : https://lnkd.in/eJwhhHhT @CollectifVivresansBIP @Amis de la Terre Val d'Oise @France Nature Environnement Val d'Oise France Nature Environnement Ile-de-France Les Amis de la Terre France #laderoutedesroutes #vivresansleBIP #moratoireprojetsroutiers #A69

C’est un coup de frein inattendu pour les Orléanais : le très attendu projet de réaménagement des boulevards circulaires de la ville, ces artères majeures qui concentrent plus de 18 000 véhicules par jour, vient d’être reporté sine die. Une décision motivée par des contraintes budgétaires, qui risque néanmoins de décevoir les habitants confrontés quotidiennement aux embouteillages et à la pollution. Un Projet Ambitieux Mais Coûteux Annoncé en grande pompe en 2022, ce vaste chantier devait transformer en profondeur la physionomie et la circulation sur ces boulevards qui ceinturent le centre-ville d’Orléans. L’objectif : apaiser le trafic, réduire la place de la voiture et redonner de l’espace aux piétons et aux mobilités douces. Un enjeu de taille pour la qualité de vie des riverains. Mais voilà, avec un coût estimé à 76 millions d’euros, ce projet titanesque s’avère difficile à assumer pour les finances de la métropole, déjà mises à mal par la crise énergétique et l’inflation. Lors du dernier conseil métropolitain, le maire Serge Grouard a donc annoncé un report du démarrage des travaux d’au moins deux ans, le temps de reconstituer les marges de manœuvre budgétaires. Il faut que nous puissions continuer à investir ailleurs, dans nos écoles, nos équipements sportifs, la rénovation de nos bâtiments… Reporter le projet des mails est une décision difficile mais responsable. Serge Grouard, maire d’Orléans Calendrier Bouleversé Concrètement, les 21 millions d’euros prévus pour 2025 et les 23 millions pour 2026 vont être largement réduits, avec respectivement 3 et 11 millions d’euros désormais inscrits au budget. Le chantier pourrait ne pas démarrer avant 2027, au mieux. Dans un premier temps, la trémie Jaurès devait être supprimée pour laisser place à un parking de 300 places. Puis dans un second temps, c’est tout le secteur autour de la Place d’Arc qui devait être repensé : suppression des trémies et passerelles, réorganisation des circulations, déplacement de la ligne de tram… Autant d’aménagements qui devront attendre. Les Habitants Partagés Du côté des Orléanais, ce report suscite des réactions mitigées. Si certains se réjouissent de voir préserver les finances de la ville, d’autres pestent contre ce nouveau retard qui repousse la perspective d’un centre apaisé et respirable. « Cela fait des années qu’on nous promet une vraie révolution des mobilités, et au final rien ne bouge. C’est désespérant », déplore Julien, qui emprunte chaque jour les mails pour se rendre au travail. « Il y a urgence à agir, la pollution et le bruit sont devenus insupportables pour les riverains. » La mairie assure que le projet n’est pas abandonné mais seulement décalé dans le temps. Elle mise sur la responsabilité budgétaire et la priorisation des investissements les plus urgents pour justifier sa décision. Pas sûr néanmoins que cet argument suffise à convaincre des Orléanais excédés par les nuisances des boulevards et qui attendent des solutions...

Une opinion très répandue selon laquelle la gratuité des transports urbains serait d’un coût excessif et d’une relative injustice, risque de perdurer tant qu’une nouvelle approche budgétaire n’aura pas résolu d’intégrer dans le système de prix l’impact des externalités résultant de la pollution atmosphérique. Les adeptes du développement durable préconisant l’intégration des externalités dans le calcul des coûts, périment l’équilibre comptable ancestral et âprement défendu qui place en recette le produit de la billetterie et en dépense la dotation annuelle à l’amortissement des investissements des nouveaux matériels, au prétexte d’une nécessaire contrepartie entre les deux postes. Ainsi, selon la conception économique traditionnelle, il serait impossible de renouveler un parc de bus sans participation des usagers, et à plus forte raison d’investir dans un métro dont la rentabilité s’évalue sur un temps long. Au pays de Fulgence Bienvenue, ingénieur breton, concepteur du métro parisien, on ne doute pourtant plus de l’intérêt d’un tel équipement. Les adeptes d’une égalité de traitement entre contributeurs et utilisateurs se heurtent aussi à une double réalité : les entreprises ne contribuent à la mobilité qu’au-delà d’un seuil d’effectifs et les bénéficiaires potentiels sont d’abord des citadins et des périurbains, non pas des ruraux concernés, eux, par des dessertes spécifiques quand toutefois elles existent. Les mal desservis recourent toujours à leur voiture pour leurs déplacements. La gratuité s’affirme dès qu’il s’agit de considérer les externalités négatives comme concept clé dans l’analyse des atteintes à l’environnement. Les véhicules trop nombreux, en giration permanente sur les rocades et autres périphériques saturés génèrent des pollutions atmosphériques accentuées par des conditions climatiques défavorables. Il en résulte une augmentation des cas de bronchiolite et une surmortalité des personnes aux poumons fragiles. Le coût sanitaire de ces dégâts bien réels ne figure nulle part alors que leur économie constitue bien une ressource à opposer en contrepartie d’investissements conséquents. La gratuité représente la meilleure mesure incitative à l’utilisation des transports urbains quand toutefois ils fonctionnent et répondent aux besoins des populations. L’agglomération de Vitré pratique la gratuité depuis 2021 et y consacre plus d’un million d’euros par an. Les déboires à répétition de la nouvelle ligne de métro de la métropole rennaise illustrent le fragile équilibre entre l’offre et la demande. Ils illustrent aussi les effets pervers des politiques de l’habitat conçues sans tenir compte des mouvements induits de populations de plus en plus éloignées de leur travail ou dispersées sur un trop vaste bassin d’emploi. Le maintien de la qualité de notre air régulièrement vicié par les particules fines l’ozone présente un coût sanitaire qui pose en d’autres termes la soutenabilité de la gratuité des transports urbains pour les finances