Nos clients artisans #boulangers font le choix de #farines produites localement avec FARINES DE NOS RÉGIONS ! 💪💪💪 Un engagement fort rendu possible grâce à une production réalisée à partir de blés régionaux. Ainsi, 80% des #blés utilisés pour la fabrication des FARINES DE NOS RÉGIONS proviennent de moins de 85 km des moulins français. 🌾 ✅ Des produits de qualité ✅ Une production française ✅ Des farines qui répondent aux attentes des consommateurs d'aujourd'hui Des enjeux au cœur des développements de Moulins Soufflet. #MoulinsSoufflet #FarinesDeNosRégions #madeinfrance #agriculturefrancaise
Post de Moulins Soufflet
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Record battu ! 𝟏𝟎𝟎 𝐭𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 de graines de moutarde blanche ont été récoltées en Alsace cette année. Bravo à nos agriculteurs alsaciens pour cette production locale qui alimente le seul fabricant de moutardes en Alsace. 𝐔𝐧𝐞 𝐫𝐞𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐢𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐚𝐥𝐬𝐚𝐜𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐮𝐭𝐚𝐫𝐝𝐞 Alélor est la dernière moutarderie d'Alsace. Une culture de moutarde subsistait aux alentours de Strasbourg jusqu'à la Seconde Guerre mondiale puis s'est délocalisée, notamment au Canada. En 2008, Alélor met en place une 𝐟𝐢𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐠𝐫𝐚𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐦𝐨𝐮𝐭𝐚𝐫𝐝𝐞 𝐛𝐥𝐚𝐧𝐜𝐡𝐞 𝐞𝐧 𝐀𝐥𝐬𝐚𝐜𝐞 à l'image de sa 𝐟𝐢𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐫𝐚𝐜𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐚𝐢𝐟𝐨𝐫𝐭exclusivement alsacienne. En collaboration avec la Chambre d’Agriculture d’Alsace et le Comptoir Agricole, qui assure la collecte et le séchage des graines, Alélor instaure un partenariat avec 30 agriculteurs cultivateurs de moutarde en Alsace. 3 agriculteurs sont par ailleurs installés en agriculture biologique. L’Alsace cultive traditionnellement des graines de moutarde blanche, utilisées pour fabriquer la moutarde douce d’Alsace. Ces graines sont plus sensibles au froid et ont un cycle de culture plus court. Elles apportent naturellement douceur et onctuosité à la moutarde, sans nécessiter un ajout de sucre ou d'huile pour abaisser le piquant. Depuis 2021, Alélor met en place une filière française pour cultiver également des graines de moutarde brunes. Cette diversification des cultures permet de fabriquer de moutardes fortes, comme la 𝐦𝐨𝐮𝐭𝐚𝐫𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐃𝐢𝐣𝐨𝐧 (fabriquée à Mietesheim puisqu'il ne s'agit pas d'une indication d'origine protégée), la 𝐦𝐨𝐮𝐭𝐚𝐫𝐝𝐞 𝐚̀ 𝐥’𝐀𝐧𝐜𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞, avec des graines légèrement concassées, ou plus récemment la 𝐦𝐨𝐮𝐭𝐚𝐫𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐫𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐒𝐭𝐫𝐚𝐬𝐛𝐨𝐮𝐫𝐠, qui se distingue par son goût puissant et ses notes aromatiques. Alélor propose ses moutardes en grande distribution et à la restauration et s’adresse également aux industriels pour la fabrication de moutardes et sauces en gros volumes selon des cahiers des charges personnalisés. #moutarde #alsace #récolte #agriculture #mangerfrançais
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💡besoin d'une présentation de l'organisation de la filière d’abattages porcins en Bretagne ? L'article ci-dessous vous donne les chiffres clefs et présente les différentes stratégies des opérateurs correspondant à deux modèles différents d’organisation. 🐷D’un côté, le groupe coopératif Cooperl qui a opté pour une stratégie d’intégration de l’ensemble des maillons de la filière. 🐽 Et les autres groupes qui ont opté pour rester des spécialistes de l’aval et travaillent avec des groupements de producteurs indépendants.
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Je souhaite partager quelques faits sur les prix du miel et leur impact sur notre filière apicole. Récemment, l'importation massive de miels étrangers a eu une influence notable sur notre secteur. La France importe actuellement plus de la moitié de sa consommation de miel, principalement d'Asie. Cette tendance exerce une pression directe sur les apiculteurs locaux, confrontés à des prix concurrentiels et des normes de qualité étrangères. Outre cette réalité, les importations présentent des défis concrets : 1️⃣ Concurrence Déloyale : Les miels étrangers, souvent moins chers, rendent difficile la valorisation du travail des apiculteurs locaux. 2️⃣ Contrôles Moins Stricts : Les contrôles moins rigoureux imposés aux miels étrangers peuvent compromettre les normes de qualité maintenues localement. Face à cela, les coûts pour les apiculteurs augmentent continuellement : ⛽ Énergie : La transhumance, déplacer le cheptel d'un endroit à l'autre, devient nécessaire pour produire une gamme variée de miel. 🍯 Consommables : Les pots ont subi près de 50% d'augmentation en moins d'un an. 📣 Soutenir les miels locaux, malgré des coûts potentiels plus élevés, contribue à préserver notre industrie apicole, notre environnement et à maintenir des standards de qualité. 🌍🐝 #MielLocal #Apiculture #MarchéApicole Louis Xavier Nicolas Ogier BOVERO
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Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Ancien élève de l'ena (Romain Gary 2005).DN mouvement des jeunes Unir
#Togo Un projet avicole ambitieux pour contribuer à renforcer la souveraineté alimentaire ✅️ Le 28 mars 2024, Son Excellence M Faure Essozimna GNASSINGBE , Président de la République Togolaise, a procédé au lancement d’un ambitieux projet intégré de développement de la filière avicole. 📗 Pour mémoire, en 2022, la production avicole nationale était estimée à 34 592 242 têtes, répartis entre 1 465 671 têtes de poules de race exotique et 33 126 571 têtes de volailles locales (selon les données de la Direction de l'Elevage). Malgré cet effort quant à la production locale, les importations de viandes de volaille se sont élevées à 22 060 tonnes, équivalentes à 16 721 675 têtes de volaille la même année. ➡️ Le projet d’Avétonou vise donc avant tout à répondre à l’ambition de la souveraineté alimentaire qui est déterminante dans le développement de notre pays. En effet, en plein régime, ce projet comportera une unité infrastructures d’accouvage d’une capacité de 1 200 000 poussins par semaine. L’intérêt particulier du complexe dont les travaux ont été lancé est la volonté des promoteurs et des autorités à intégrer sur un même site l’ensemble de la chaîne de valeur en prenant en compte la production d’aliments pour les volailles (maïs et soja sur une superficie de 100.00 hectares) ; l’abattage et la transformation (capacité de 50 000 000 de poulets par an en phase 1), permettant ainsi de booster considérablement une filière avicole au potentiel économique reconnu de tous. ➡️ Cet investissement de 30 milliards de FCFA réalisé avec l’appui du groupe PORTEO-GRAINE est un outil pour transformer durablement le secteur et permettant aux producteurs locaux de bénéficier d’une expertise locale et ainsi de pouvoir eux même accélérer le développement et la professionnalisation de leurs exploitations d’élevage de volailles. 🚨 La nature holistique de ce projet est à l’image de la vision de transformation de tout le secteur agricole avec les actions menées à travers l’agence de transformation agricole avec les zones d’aménagement agricole planifiées d’excellence mais aussi avec les zones d’aménagement dédiées à la production bovine. A terme, l’ambition annoncée et réaffirmée dans le cadre des échanges entre le PR et le monde agricole lors des forums des producteurs agricoles du Togo, est d’une part d’assurer la souveraineté alimentaire de notre pays et d’autre part d’augmenter les revenus des producteurs agricoles. Par ailleurs, ces actions permettront de rééquilibrer la balance commerciale de notre pays en réduisant à terme les importations de produits alimentaires. Ce qui dans un contexte post covid est un enjeu de souveraineté majeur. Vive la révolution verte togolaise !
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Chez 𝐌𝐚𝐫𝐢𝐞 𝐇𝐨𝐭 𝐕𝐨𝐥𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞𝐬, nous avons construit notre offre pour les Artisans Bouchers autour de nos 3 grands engagements, nos "𝟑𝐋". 🌳 𝐋𝐚𝐧𝐝𝐞𝐬 🐔 𝐋𝐢𝐛𝐞𝐫𝐭𝐞́ 🏅𝐋𝐚𝐛𝐞𝐥 𝐑𝐨𝐮𝐠𝐞 Le Label Rouge est le fruit d’un engagement de nos producteurs et d’un savoir-faire en faveur de produits de qualité supérieure. En effet, le produit Label Rouge doit être supérieur « gustativement » au produit standard. Cette différence est vérifiée régulièrement grâce à des tests effectués auprès des consommateurs. Le cahier des charges des volailles Label Rouge repose sur 5 principes : → Des races rustiques → Un élevage en plein air ou liberté → Un régime alimentaire uniquement composé à 100% de végétaux dont 80% de céréales minimum → Une période d’élevage plus longue (81 jours minimum) → Des normes sanitaires rigoureuses SYNALAF - Syndicat National des Labels Avicoles
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Pour la 3ème année consécutive, une nouvelle campagne de réception de graines de colza livrées par train, a débuté le 2 avril dernier. À raison de deux trains par semaine, BrestPort réceptionne 13 000 tonnes de graines de colza destinées à l’usine de trituration de l’entreprise Bunge, leader mondial de la transformation des oléagineux. Les manœuvres de ces trains sont encadrées par le personnel de BrestPort dès leur arrivée sur le port. Après une dizaine d’années d’interruption, les travaux de remise en état des voies portuaires et des installations portuaires menés par BrestPort ont permis la relance du fret ferroviaire notamment à destination de l’usine Bunge qui n’était plus approvisionnée que par voies maritime et routière. A PROPOS DE BUNGE Bunge est le leader mondial de la transformation des oléagineux et le premier producteur et fournisseur d'huiles végétales et de tourteaux. En France, Bunge est un acteur majeur de la fabrication et distribution de tourteaux destinés à l'alimentation animale et de l’exportation de blé, orge et maïs produit en France. #decarbonationdestransports #decarbonation #agro
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🔍 Vous vous demandez ce qu'est une #AOP (Appellation d'Origine Protégée) ? Voici trois points clés pour la comprendre : 1️⃣ #Origine garantie : Les produits AOP proviennent d'une zone géographique précise, assurant leur authenticité. 2️⃣ #Qualité assurée : Des critères stricts de production garantissent une qualité exceptionnelle. 3️⃣ #Tradition préservée : Les savoir-faire locaux sont valorisés et protégés. 💡 Le saviez-vous ? Les premières viandes AOP de France, le Taureau de Camargue & la Volaille de Bresse, ont été mises en place en 1996. Avant ça, la volaille de Bresse avait déjà une AOC depuis 1956 ! AOP/AOC ? On vous explique la différence très vite ! #viandeAOP #gastronomiefrançaise #élevageresponsable #patrimoineculinaire #madeinFrance #terroirfrançais #agriculturedurable #savoirfairefrançais
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À moins d’un mois des élections européennes et au moment où l’Assemblée nationale vient de débuter l’examen du Projet de loi d’orientation pour la souveraineté en matière agricole et le renouvellement des générations en agriculture, la filière des Volailles Françaises lance un cri d’alarme. Deux groupes industriels ukrainiens, MHP et PCC, dirigés par des oligarques, projettent d’installer deux gigapoulaillers-usines en Croatie. Un véritable pied de nez aux professionnels français et européens des 27 États membres qui, malgré la récente mise en place de la mesure de sauvegarde sur les importations de poulet depuis l’Ukraine (limitation des importations européennes à 137 000 tonnes pour 2024), dénoncent depuis des années l’exonération des droits de douane sur les volailles ukrainiennes. La filière française rappelle en effet qu’elle peine à lutter contre les importations : 1 poulet sur 2 consommés en France est aujourd’hui importé. Elle demande ainsi aux candidats au Parlement européen de se prononcer clairement contre le soutien financier de l’UE à ce type de projets (BERD, BEI, etc.). La filière souligne en outre que le Groupe agro-industriel intégré MHP a déjà reçu près de 400 millions d’euros de la BERD - Banque européenne pour la reconstruction et le développement - depuis 2008. L’installation de giga-fermes en Croatie ferait passer la production de ce pays de 45 millions de poulets par an (la Croatie est autosuffisante à 95 %) à 235 millions. Cette augmentation correspond à la production de poulets de la région des Pays-de-la-Loire ! Ce serait sans nul doute un nouveau déferlement de volailles élevées à l’encontre des attentes des citoyens (élevages de taille familiale, réduction de l’utilisation d’antibiotiques, décarbonation, etc.) et de tous les principes prônés par l’Union européenne, notamment dans le « Green Deal » et la stratégie « Farm to Fork ». Ces volailles, issues de poulaillers d’un genre inédit en Europe, constituent une menace pour la production française et le modèle agricole familial de l’Union européenne : une concurrence à bas coût sur le marché national constituant un frein à la souveraineté alimentaire du pays. Ces giga-fermes représentent ainsi un grave danger pour les éleveurs français, quant à eux confrontés à d’importantes résistances pour répondre à la demande des consommateurs français avec des Volailles Françaises. En effet, dès qu’ils veulent moderniser, agrandir ou installer des élevages sur le territoire, ils font face à des difficultés administratives et des levées de boucliers de la part d’associations militantes.
Le cri d'alarme de la filière des volailles françaises contre l'installation de giga-fermes-usines de poulets ukrainiens dans l'Union Européenne
interpro-anvol.fr
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Dans une démarche résolue vers l'#autosuffisance_alimentaire et le développement #économique, le président togolais Faure Essozimna GNASSINGBE a lancé officiellement, ce jeudi à #Avétonou (préfecture d’Agou), un ambitieux projet de développement de la filière #avicole intégrée. Ce programme ambitionne de métamorphoser de manière significative l'industrie avicole du Togo en garantissant la sécurité alimentaire, en modernisant le secteur et en améliorant les conditions de vie ainsi que les revenus des producteurs. Au cœur de cette initiative réside l'objectif majeur d'assurer la #sécurité_alimentaire au Togo. En mettant l'accent sur la production locale, le programme vise à rendre les volailles de qualité plus accessibles à la population togolaise à des tarifs abordables. Cette démarche répond à un besoin crucial de réduire la dépendance aux importations tout en favorisant la consommation des produits locaux. Le projet prévoit l'aménagement et l'exploitation de 100 000 hectares dédiés à l'aviculture, ce qui entraînerait une augmentation significative de la capacité de production nationale. En outre, avec la mise en place d'une unité de fabrication de volaille pouvant produire 450 tonnes par jour, d'une unité d'accouvage dotée d'une capacité de 1 200 000 poussins et d'un abattoir capable de traiter 10 000 poulets par heure, le Togo se positionne comme un futur leader dans le secteur avicole régional. Ces infrastructures modernes non seulement accroîtront la production de volaille, mais garantiront également le respect des normes de qualité et de sécurité alimentaire, ce qui contribuera à la santé publique. L'un des piliers fondamentaux de ce programme est son engagement envers les producteurs locaux. En les intégrant dans une filière avicole modernisée et en renforçant les organisations de producteurs, le programme vise à améliorer considérablement leurs revenus et leurs conditions de vie. Cette approche collaborative garantit que les avantages de la modernisation et de l'expansion de la filière avicole profitent à l'ensemble de la chaîne de valeur, des agriculteurs aux consommateurs. Le lancement de ce projet par le chef de l'État constitue une étape cruciale vers la réalisation de l'objectif d'autosuffisance alimentaire. En investissant dans la filière avicole, le Togo renforce non seulement sa sécurité alimentaire, mais pose également les bases d'un secteur avicole moderne et compétitif. Cette initiative ambitieuse témoigne de la détermination du Togo à exploiter pleinement son potentiel agricole, à améliorer la vie de ses citoyens et à jouer un rôle de premier plan dans l'économie agricole de la région. Avec la mise en œuvre réussie de ce projet, l'avenir de l'industrie avicole togolaise s'annonce prometteur, offrant prospérité et bien-être aux producteurs et consommateurs togolais.
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La revue de presse du retail : Engagée à utiliser du blé français, Panzani sera mécène des Journées Nationales de l’Agriculture, du 7 au 9 juin 2024: Sous la supervision du Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, les Journées Nationales de l’Agriculture se dérouleront du 7 au 9 juin 2024 dans toute la France. Panzani […] L’article Engagée à utiliser du blé français, Panzani sera mécène des Journées Nationales de l’Agriculture, du 7 au 9 juin 2024 est apparu en premier sur Faire Savoir Faire. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #consommation #grandeconso
Engagée à utiliser du blé français, Panzani sera mécène des Journées Nationales de l’Agriculture, du 7 au 9 juin 2024
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