À l'approche des élections législatives, le Rassemblement National (RN) n'a toujours pas dévoilé de programme économique détaillé, malgré ses promesses antérieures d'un livret abordant les mesures fiscales, économiques et réglementaires. Jordan Bardella, président du RN, décrit la situation financière de la France comme étant « catastrophique » et évoque une « quasi-faillite ». Malgré ces déclarations, l'État a réussi à lever sans difficulté 60 % des 285 milliards d’euros nécessaires sur les marchés cette année. Jordan Bardella a également émis des suspicions de manipulation dans les comptes publics lors d'une interview sur BFM TV et RMC, en annonçant vouloir confier un audit à la Cour des comptes et à l’Inspection générale des finances. Cependant, il a rapidement changé de position, proposant plutôt de créer une « commission du bilan » avec des membres désignés par le RN. Sur le plan des mesures économiques, le RN prévoit de réduire la TVA sur l'énergie et le carburant de 20 % à 5,5 %, une initiative qui pourrait coûter jusqu'à 16,8 milliards d'euros selon les estimations. Le parti envisage également de maintenir la réduction de la TVA sur les produits de première nécessité, prévue pour l'automne, et estime le coût de cette mesure à 7 milliards d’euros. Cependant, d'autres ajustements, comme les modifications des retraites et les mesures fiscales avantageant les plus aisés, ont été reportés. En termes de recettes et d'économies, le RN reste vague, ne promettant aucune hausse d'impôts tout en abandonnant la perspective de 16 milliards d'euros d'économies annuelles précédemment envisagées grâce à une politique d'immigration restrictive (en oubliant de préciser que les immigrés contribuent davantage aux finances publiques qu'ils ne coûtent, avec une contribution nette positive aux budgets publics dans la plupart des pays développés; en France, leur contribution fiscale et en cotisations sociales est supérieure aux dépenses publiques les concernant). Ils proposent de supprimer l'aide médicale d’État, économisant ainsi 1,2 milliard d’euros, et de cesser la niche fiscale pour les armateurs (cette niche vise à maintenir des armateurs forts et compétitifs en Europe selon la Commission européenne). Le parti suggère également de réduire de 2 milliards d'euros la contribution française au budget européen, une décision qui pourrait mettre la France en infraction avec les règles européennes. Ces diverses propositions pourraient potentiellement pousser la France vers une sortie de l'Union européenne, selon le parti.
JE REVENDIQUE LA MAJORITE ABSOLUE SINON JE JETTE L'EPONGE RETENEZ MOI, SINON JE FAIS UN MALHEUR Misérable personnage, depuis l'âge de 16 ans, à faire du bluff La jeunesse d'avenir prometteur est là, bien présente, porteuse d'espoir Merci la vie
OG INITIATIVES
4 moisIl y a un monde entre vouloir le pouvoir et mettre en place des règles, des lois qui respecteront l’intérêt public. On le constate tous les jours ! Alors quand en plus on a un seulement un objectif de pouvoir … !