Post de Nicolas V.

#exposition métropoles en miroir 18 juin - 19 juillet ; Grande galerie Vernissage mardi 25 juin à 17h30 Les cartes présentées dans cette exposition sont le résultat de recherches menées par les étudiants dans le cadre de leurs mémoires de master. Elles explorent des villes parfois proches et familières, et d’autres fois éloignées et inconnues. Au cours de presque 15 ans, près de 300 villes dans plus de 90 pays ont été méticuleusement étudiées, contribuant à un « Atlas des villes » en ligne. Tel un miroir unique, chaque ville reflète à sa manière les complexités et les points communs de la vie urbaine, tissant ensemble un tissu urbain irisé et interconnecté qui s’étend à travers le monde. À travers ce réseau dynamique, divers flux d’énergie circulent, faisant vibrer les villes de vie ou les consumant progressivement. Les cartes sont des outils essentiels pour comprendre nos environnements habités. Elles encodent et déchiffrent les relations complexes que les sociétés humaines établissent avec la terre qu’elles occupent. Ces cartes décrivent les paysages urbains et ruraux à diverses échelles, en utilisant une multitude de récits qui façonnent une idéographie générale de l’espace. Les caractéristiques distinctives des territoires ne peuvent pas être capturées uniformément ou selon les normes cartographiques conventionnelles. Aujourd’hui, les cartes nous défient d’utiliser notre imagination et notre créativité pour enrichir leur objectif et prévenir leur appauvrissement. Leurs lignes et couleurs révèlent ici des couches disposées dans une profondeur intangible : celles des mots écrits et des dessins divers recueillis dans les vignettes de l’exposition et dans l’espace connecté du Web. N’oubliez pas de scanner les QR codes ! Ces cartes capturent des densités et des intensités variées, reflétant la tension constante entre la surface de la Terre et ses modes d’occupation. Elles illustrent également les figures tracées dans l’espace et les défis planétaires qui les menacent. Commissaires : Mete Kutlu, Jean Attali et Cristiana Mazzoni

LES RÉTROSPECTIVES SLAU ARKHE [2020] 👋 Faire signe avec un système low-tech ARKHE est une recherche artistique née de la collaboration entre SLAU et l’architecte Olivier Jacques des Ateliers Suspendus. L’arche est explorée à travers des géométries élémentaires et matérialisée grâce à des procédés de fabrication low-tech, donnant vie à des installations-signal in situ. Ces créations, situées à la croisée de l’art et de l’architecture, se connectent au flux du vent et mettent en lumière le patrimoine de l’eau dans des territoires comme la métropole marseillaise. Chaque projet est pensé en fonction de son contexte : l’histoire, la topographie et l’identité du site deviennent la matière première des installations, enrichie par l’utilisation d’éléments naturels et de principes physiques simples. La méthodologie unique suivie repose sur : - La sélection d’un matériau ordinaire. - La création d’un outil sur mesure pour le façonner. - Une progression en étapes créatives : 1. Exploration paramétrique des formes. 2. Conception de mobiles intermédiaires. 3. Installation à échelle 1 dans des parcours thématiques. 🎨 ARKHE, présenté dans des expositions et destiné à l’espace public, propose une réflexion poétique et fonctionnelle sur le lien entre l’homme, l’environnement et les infrastructures invisibles qui structurent nos territoires. 🌬️ Comment voyez-vous l’art et l’architecture contribuer à réenchanter notre perception des éléments naturels et du patrimoine ? #SlauStudio #ArtEtArchitecture #ExplorationParamétrique #DesignLowTech #PatrimoineNaturel #InstallationsInSitu #ArtsPublics #InnovationCréative #TransitionÉcologique

[Succès] Egis remporte la rénovation du Muséum d’histoire naturelle de Nantes. Le muséum, bâtiment caractéristique de l’architecture du XIXe siècle, va fermer ses portes pour entamer une mutation d'envergure, opérée par l'agence d'architecture Moatti-Rivière. 👉 L'objectif ? - Accroitre le nombre de visiteurs, passant de 190 500 visiteurs à 300.000 par an, et permettre l'accessibilité des personnes en situation de handicap. Mais aussi accroitre l'accueil des familles et des groupes scolaires, visant 70.000 élèves contre 20.000 actuellement - Doubler le nombre d'éléments exposés, objets et spécimens de la collection du Muséum - Accueillir une pièce maîtresse sur 2 000 m² et en début du parcours de visite : avec le sujet « Habiter la Terre ». Le programme muséographique sera très orienté sur la transition écologique, le réchauffement climatique et la vérité scientifique. 🏫 Côté architectural, l'intérieur bénéficiera d'un lifting plus conséquent que l'extérieur, qui gardera un aspect très proche de l’actuel, bien que la rue Voltaire deviendra un accès au public à part entière beaucoup plus ouvert, sans grilles. Une verrière, un dôme majestueux datant de l'ancien Hôtel de Monnaie, et des panneaux solaires seront posés sur le toit, pour apporter de la lumière et respecter la démarche environnementale. L'intérieur du Muséum sera pratiquement méconnaissable, puisqu'un escalier en bois monumental, en forme de colimaçon, permettra d’atteindre les étages supérieurs, dans une immense pièce faite majoritairement de bois. Différents espaces et de nouvelles collections ponctueront la visite. La scénographie s’inscrira dans la continuité du travail de l’architecture, tout en proposant diverses interactions au cours de la visite. Une agora des sciences servira à la fois de médiathèque et lieu de rencontres, permettant de véhiculer des messages scientifiques au grand public et de manière ludique. 🦺Les travaux débuteront début 2026 et devraient se terminer fin 2028, mais le Muséum ne cessera pas totalement ses activités. Il proposera un programme d’animations, d’expositions temporaires et de spectacles est prévu dans les 24 communes de la métropole. Photos ©agence Moatti-Rivière

Le 105, reflet d’avenir Un ciel chargé, une flaque qui devient miroir, et au loin, le 105, tout juste inauguré, qui incarne le visage moderne de Rouen. Ce bâtiment n’est pas seulement une œuvre d’architecture contemporaine, il est un signal, une affirmation : la ville avance, se réinvente, mais n’oublie jamais de se réfléchir. Au premier plan, une silhouette traverse la scène. Ou est-ce la Seine ? Ce jeu d’illusions brouille les frontières, entre ce qui est et ce qui semble être. Le passant devient acteur, presque invisible dans l’immensité d’un cadre où ciel, béton et eau dialoguent. L’image raconte quelque chose de plus grand : nos villes sont vivantes, animées par ceux qui y évoluent, et leurs reflets prolongent cette vie au-delà du visible. Dans cette composition, tout est équilibre : une géométrie subtile, des tons dramatiques, et une tension entre mouvement et immobilité. Une photographie qui, je l’espère, vous invite à voir Rouen autrement, dans ses lignes, ses reflets et son avenir. Et vous, comment voyez-vous l’architecture et ses dialogues avec la ville ? #RefletsDeRouen #Le105 #Rouen #PhotographieUrbain #Inspiration Groupe CITIZEN Institut de la Photographie Rouen Tourisme

🖼️ Une artothèque pour Namur en 2025 ? On dit oui…Et avec BSolutions 😊 !   L’art et la culture vivent, s’exposent et comptent de nombreux vecteurs à Namur. Le juste complément de ce patrimoine magnifique – une artothèque – manquait encore à la Ville, ce ne sera plus longtemps le cas 🙌 .   L’équipe que nous formons avec les bureaux VIA architecture, étude & patrimoine et Artbee Conservation sprl s’est en effet vu désigner pour accompagner et suivre l’exécution d’un projet qui livrera à Namur son artothèque.   🤔 Précisément, c’est… ? Un lieu de stockage, de restauration, de préparation aux expositions hors site, mais aussi une vitrine et un espace de formation.   🎯 Où se situera ce nouveau QG artistique ? Dans le bâtiment précédemment occupé par l’imprimerie provinciale, rue Eugène Thibaut à Salzinnes.   💡La fonction du bâtiment impliquera des points d’attention tout particuliers. C’est le cas notamment de la gestion du risque incendie, de la sécurisation stricte des accès, ainsi que du recours à des équipements techniques permettant une gestion minutieuse et « à la carte » de la température, de la lumière, de la ventilation et de l’hygrométrie, dans le respect des normes spécifiques ICOM (International Council of Museums).   💗 Un projet stimulant et la perspective d’une collaboration enthousiasmante avec VIA et ArtBee. #artwork #Villedenamur #engineering #firesafety #patrimoine #icom

🚨 𝐕𝐞𝐫𝐬𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞𝐬 : 𝐕𝐨𝐮𝐬 𝐍𝐞 𝐂𝐫𝐨𝐢𝐫𝐞𝐳 𝐏𝐚𝐬 𝐂𝐞 𝐐𝐮𝐞 𝐂𝐞 𝐂𝐡𝐚̂𝐭𝐞𝐚𝐮 𝐚 𝐅𝐚𝐢𝐭 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐕𝐢𝐥𝐥𝐞 ! 🚨 𝟖𝐡 𝐝𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐠𝐞. 𝐃𝐞𝐬 𝐜𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐧𝐬. Un seul objectif : vous révéler l'impact caché du Château de Versailles sur l’architecture de la ville. 🏰➡️🏙️ Avec mes amies et camarades Emmy Damoiselet et Iness Ben Haj Kassem, nous avons créé notre premier documentaire urbain dans le cadre de la semaine Learning XP à l'EFREI - Grande école du numérique. Le projet a démarré avec 𝐥𝐞 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐱 𝐝𝐮 𝐬𝐮𝐣𝐞𝐭 : explorer comment ce château emblématique a façonné l’urbanisme de la ville. Ensuite, 𝐥𝐚 𝐥𝐨𝐠𝐢𝐬𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 a été une vraie mission : repérages, autorisations, horaires serrés, caméras, micros, stabilisateur... tout devait être parfaitement orchestré. Nous avons ensuite plongé dans 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐮𝐫𝐜𝐞𝐬 𝐟𝐢𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬 en consultant des experts directement sur place et des archives pour garantir la véracité du contenu. 𝐋𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐚𝐧𝐬 ont été méticuleusement organisés pour capturer l’âme de Versailles à travers ses rues, et chaque mot 𝐝𝐮 𝐬𝐜𝐫𝐢𝐩𝐭 a été pensé pour porter un message fort. 𝐋𝐞 𝐦𝐨𝐧𝐭𝐚𝐠𝐞 a demandé des heures de travail pour assembler les images et créer un rythme fluide. Enfin, 𝐥𝐚 𝐦𝐮𝐬𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐬𝐨𝐧 ont été choisis pour renforcer l’immersion et l’émotion. ⚠️ Bien sûr, ce n’est pas parfait, mais nous restons ouverts à vos suggestions pour améliorer ce projet ! Dites-nous ce que vous en pensez en commentaires ! #DocumentaireUrbain #Versailles #LearningXP #RaconterLaRue #Architecture #Innovation #Histoire

Voici une démonstration concrète du rôle de l'architecture en tant que spectacle dans la ville. Au-delà de la fonction et de l'esthétique, des architectes audacieux repoussent les limites du réel pour proposer des formes nouvelles, impressionnantes sous tous les angles. Ces bâtiments uniques jouent avec nos sens, troublent l'œil et deviennent de merveilleux sujets pour les photographes.

📷[#Patrimoine]📷 L’année dernière, dans le cadre de la conservation régionale des monuments historiques, la #DRAC #Occitanie nous a mandaté pour réaliser les relevés de l’existant de la Cathédrale Saint Etienne de Toulouse⛪ 👷Notre pôle #Acquisitions3D a effectué la numérisation complète de l'édifice à l’aide de scanners laser 3D, complétée par une photogrammétrie de la toiture et des façades réalisée par drone. Le tout a permis de créer un nuage de points et des orthophotos précis et géoréférencés. 🧑💻Notre #Bureau d'Études a ensuite pris le relais pour réaliser les coupes et plans 2D depuis le nuage de points pour guider les architectes et les conservateurs dans leur travail de préservation de ce monument historique. Et vous, comment voyez vous l’avenir de la conservation de notre patrimoine grâce à ces nouvelles technologies ? 🤔👇 😊Fiers de participer aux projets de protection et de gestion de notre patrimoine bâti ! Une expertise 100% française au service d'un trésor architectural de la ville rose ! 🇫🇷 🟦⬜🟥 #monumenthistorique #Plan2D #topographie #nuagedepoints #numérisation3D

Grâce à l'intelligence frugale de la scénographie d'Artbuild et la générosité de nvbcom, l'exposition de la Galerie de l'architecture bois et biosourcée organisée avec FiBois Ile-de-France est sur la voie du succès. 42 espaces sur 60 en commande à l'échéance du 15 novembre, des commandes en attente pour lundi, perspective d'augmenter la place octroyée à l'exposition et de relancer les candidatures en décembre. De fait, complètement accaparés par le contenant et le contenu du Forum, nous n'avons contacté qu'une fraction des agences qui font ce marché et pourtant, la moindre des choses est d'expliquer ce nouveau média de vive voix. L'itinérance de cette exposition est possible et n'attend que des propositions. Les 'quarante agences' seront les immortels de l'architecture bois biosourcée géosourcée réemploi du 21e siècle. FiBois IDF, nvbcom et Artbuild ont bien fait de passer de longs mois à peaufiner le concept avec désormais l'appui de Procédés Chénel, de l'ESB décidément à fond derrière la prochaine édition du Forum. On avance en marchant, il faudrait un autre titre pour ne pas confondre avec la prestigieuse Galerie de l'architecture de la rue des Blancs-manteaux à Paris, il faut imaginer un catalogue, prévoir des guides, bref, il reste encore à inventer même si l'essentiel a été bien pensé. Parallèlement, le programme de conférence a été arrêté pour l'essentiel avec une cinquantaine de projets architecturaux réalisés et hyper-actuels, complétés par cette Galerie qui nous propulse vers le demain et les conférences des prochaines années.

Le paysage se construit du regard, mais aussi de l'oreille, en l'arpentant. Entre esthétique, musiques des lieux, écologie/écosophie, et sociabilité auriculaire, l'approche d'un paysage sonore, d'après les travaux de Raymond Murray Schaffer, révèle des écosystèmes aussi fascinants que fragiles, souvent éphémères et mouvants. Les champs de l'audionaturalisme, de la bioacoustique et de l'écoacoustique, des nouvelles recherches actions, réunissant chercheurs et artistes, des gestes de field recording et des parcours sonores, ouvrent des perspectives de lectures et d'écritures paysagères sensibles, souvent inouïes, au sens premier du terme. Des workshops, expérimentations in situ, en marche, des conférences avec des étudiants et chercheurs en architecture, urbanisme, design, géographie, beaux-arts, des habitants... permettent d'intégrer la dimension sonore des paysages dans des approches transdisciplinaires, si ce n'est indisciplinées. Bref, un grand chantier d'"auricularisation" des espaces, urbains ou non, se dessine, avec des gestes et postures d'écoute comme des outils perceptifs, finalement assez peu convoqués dans les recherches esthétiques et dans l'aménagement des territoires.