❓ Le saviez-vous ? Des études montrent que les adolescents exposés à des scènes cinématographiques où l'on fume, ont deux fois plus de risques de commencer à fumer eux-mêmes. 👉 Pour en savoir plus sur les addictions découvrez l'interview du Dr Jean-Victor Blanc, psychiatre et grand témoin de l'édition Atout Soleil 2024 : 📅 N'oubliez notre rendez-vous du 25 septembre avec le Dr Jean-Victor Blanc qui nous partagera son expertise sur le rôle de l'entourage dans la lutte contre les addictions. Inscription au webinaire : https://lnkd.in/exWSHB-f Laurence Delacourt, Laura Laughlin, Monique ROLLAND, Diane Hassan, Karine Gangneux, Véronique Destruel, Jean-Marc Darras, Thierry Lescure, Thierry GAUDEAUX, Hervé Sauzay, Eric LEMERCIER, Manon CHAMPLIAUD, Callie BOURHIS Claire Beaufils, Generali France, La Médicale #prixatoutsoleil #addictions #associations #social #mécénat #generali #fragilitésociale #santé #solidarité #GPMA #Lamédicale #nosepaulesetvosailes #webinaire #interview
Post de Nos Epaules et Vos Ailes
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Le travail du Dr Michael Sikorav, MD en psychoéducation et vulgarisation est précieux, je vous recommande sa chaîne Youtube++, ainsi que sa newsletter 👉 https://lnkd.in/e42hvwF5 🖖 Il dénonce frontalement le manque de mise à jour de certains médecins, et psychiatres ici en l'occurrence, la politisation sur fond de lobbies des recommandations officielles de prise en charge et des autorisations de mises sur le marché (AMM pour les intimes), le manque de considération choquant des papiers de recherche pour actualiser sa pratique : bref, si vous n'avez pas connaissance du milieu depuis l'intérieur, c'est très très éclairant 🕯 (enfin éclairant à la bougie tellement les coulisses sont obscures et crasses 💩 ) Il est aussi l'un des rares à critiquer et prendre en charge un sujet trop banalisé, qui me fend le cœur autant qu'il me tient à corps (hélas) : la banalisation de la prise de poids quand on prend des traitements pour les maladies mentales, dépression notamment, ou en ce qui nous concerne tous les deux : bipolarité 🧠 (dans mon cas on parle de 28 kilos tout de même 🐘 ) Le Dr Sikorav a notamment testé, avec des résultats positifs, l'ajout de Metformine (médicament classique de prise en charge du diabète) pour limiter et même diminuer les kilos "bonus" de notre traitements, comme il l'explique dans ce post 👉 https://lnkd.in/e6t9NUQk 💡 Je l'ai gardé précieusement de côté, mais j'avoue ramer joyeusement : mon cardiologue (que j'ai du aller voir du fait du trop de poids pris trop rapidement) valide les médicaments contre le diabète (ou l'obésité, mais ça semble moins à propos) pour tenter de perdre le poids des médocs, mais laisse mon psychiatre les prescrire... psychiatre qui ne veut pas se mouiller sur ce genre de combinaison hors AMM, et me renvoie vers... ma généraliste 😐 (RDV est pris, je n'ai pas encore sa réponse) Et ne parlons pas (ou si parlons-en !) des pharmacien.ne.s qui ne veulent pas non plus délivrer de Metformine hors AMM (hors du cadre prévu initialement par le labo, on aime bien penser en "cases" chez nous 🤖 ) Aussi je pose une question aux médecins, micronutritionnistes, phytothérapeutes et naturos qui me lisent (coucou Pileje & l'Institut Européen de Diététique et Micronutrition) : est-ce qu'il y aurait une alternative à la metformine non allopathique, de type micronutrition et/ou phytothérapie 🌱 ? Je pense notamment au Fenugrec, qui montre des propriétés sur la glycémie notamment, et que j'ai commandé hier pour tester, faute d'ordonnance pour de la Metformine 🍀 Quelqu'un a déjà testé ? Ou aurait d'autres pistes ? #traitement #psychiatrie #bipolarité #surpoids #obésité #metformine
🩺 Psychiatre, bipolaire et TDAH en rémission 🎃 Exemple de discrimination ordinaire 💡 Auteur d'un podcast et blog de psychiatrie
Je n'ai pas le temps de répondre à tous les messages de patients ou de famille qui me demandent une évaluation psychiatrique, souvent dans un contexte de prise de poids foudroyante. Ils sont prêts à faire des centaines de kilomètres pour venir. Je donne donc ma réponse ici: Je ne peux plus recevoir aucun patient, je n'ai plus de créneaux pour ça. Je pense que c'est le cas de beaucoup de psychiatres qui sont présents sur les réseaux. Ce n'est pas aux patients ou à leur famille de se déplacer jusqu'aux soins. Nous devrions tous avoir accès à des soins actualisés avec les données mises à jour de la science. Les médecins devraient pouvoir avoir accès à ces données et les intégrer dans leur pratique; sans avoir peur de représailles. La science ne peut pas être que Française. Elle ne peut pas s'arrêter aux frontières. En psychiatrie, c'est le cas pour le moment. J'espère que la situation évoluera. D'ici là, je suis désolé de ne pas pouvoir faire plus. #psychiatrie #psychologie #santémentale #santé #médecine
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Jouez jusqu'à lundi 16 septembre sur le compte Instagram du Congrès Français de Psychiatrie ! Merci Editions du Rocher, Hugo Bottemanne et Lucie Joly Les deux psychiatres auteurs de ce livre partent d'un constat : les femmes sont davantage frappées par la dépression que les hommes. Pourquoi ? La souffrance mentale n'est pas une réalité abstraite, elle est ancrée dans nos corps, dans la biologie de notre cerveau et de notre système hormonal. Cette enquête nous dévoile les mécanismes spécifiques de la dépression dans le corps des femmes, notamment en lien avec les cycles, les étapes de la grossesse et du post-partum, de la ménopause et des maladies "féminines" (notamment celles de la thyroïde). Elle se penche, preuve scientifique à l'appui, sur la question épineuse de la contraception et de son impact sur la santé psychique des femmes. Mais la nature explique-t-elle tout ? Non, nous disent les deux chercheurs, qui examinent alors l'impact des violences, physiques ou symboliques, subies par les femmes, la question de l'inégalité au travail, celle de la charge mentale ou encore d'un rapport à l'apparence encore trop soumis à de nombreux diktats et autres impératifs contradictoires Bref, une enquête exhaustive sur la santé mentale des femmes, qui s'appuie sur les études les plus récentes et ouvre des pistes thérapeutiques nombreuses et riches. #partagerlesavoir #psylibrairie #concours #cfp2024 #depressionaufeminin
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Comment gérer les personnes qui prennent contact avec vous alors que vous n'avez plus de créneaux disponibles ? C'est très simple avec la liste d'attente intégrée à Sigmund. Plutôt que de chercher dans vos emails, dans vos notes ou sur des post-it les personnes à recontacter, toutes ces informations se trouvent correctement classées dans Sigmund avec les dates de contact et les réponses. Et quand une personne souhaite toujours prendre rendez-vous, d'un simple clic vous pouvez la convertir en patient ! Retrouvez tout ce que Sigmund peut faire pour les psychologues et psychothérapeutes sur www.sigmund.lu.
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Polymorphic Sr. Software Engineer (IC/M): Tech Lead, Team Lead, Engineering Manager | Coach, mentor, writer, and hobbyist cooker
Organiser sa patientèle commence en amont, lors de la première prise de contact. Sigmund permet de gérer une liste d'attente pour renseigner quelles personnes manifestent leur souhait de devenir vos patients. Lorsque votre agenda le permet, Sigmund convertit votre contact en patient, sans que vous ayez à re-saisir les informations et coordonnées.
Comment gérer les personnes qui prennent contact avec vous alors que vous n'avez plus de créneaux disponibles ? C'est très simple avec la liste d'attente intégrée à Sigmund. Plutôt que de chercher dans vos emails, dans vos notes ou sur des post-it les personnes à recontacter, toutes ces informations se trouvent correctement classées dans Sigmund avec les dates de contact et les réponses. Et quand une personne souhaite toujours prendre rendez-vous, d'un simple clic vous pouvez la convertir en patient ! Retrouvez tout ce que Sigmund peut faire pour les psychologues et psychothérapeutes sur www.sigmund.lu.
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Psychologue clinicienne -Sexologue -Thérapeute familial et de couple/Infirmière DE et formatrice/conférencière
Cette année, j'ai eu l'honneur de présenter mes travaux au congrès de l’EFTA (Association européenne de thérapie familiale) 28- 30 Octobre 2024 , dans le cadre d'un atelier que j'ai animé sur le thème : "La prévention du passage à l'acte chez un sujet hébéphilique en addictologie ". Mon intervention visait à explorer des approches novatrices pour prévenir le passage à l'acte, en analysant les mécanismes sous-jacents et en proposant des stratégies adaptées pour l'accompagnement des personnes présentant des comportements à risque. Passionnée par la recherche et les interventions thérapeutiques, je m'engage à faire avancer le dialogue et les pratiques en matière de prévention des comportements problématiques en santé mentale. N'hésitez pas à me contacter pour échanger sur mes travaux ou envisager des collaborations ! TITRE La prévention du passage à l'acte chez un sujet hébéphilique en addictologie THEME Violences sexuelles et addictions AUTEURS / AUTHORS Florentiny Nicole Affiliation Psychologue/psychothérapeute Infirmière DE et sexologue Membre de L'EFTA-CIM TEXTE Introduction et objet de l’étude: Il est courant de confondre à tort les troubles pédophiles avec toutes les agressions sexuelles sur mineurs. En réalité, la majorité des agresseurs ne sont pas pédophiles, mais hébéphiles. Il est donc plus approprié de parler de troubles paraphiliques. La majorité des pédophiles n'ont jamais commis de délits, tandis qu'une minorité des agresseurs sexuels sont pédophiles. Méthode: Mon étude se base sur des entretiens psychologiques et des psychothérapies menées en cabinet libéral et en institution. 50% des personnes cherchant de l'aide pour une addiction sexuelle craignent en réalité un passage à l'acte. Pour aider efficacement les personnes souffrant de paraphilies, il est crucial de distinguer entre pédophilie, hébéphilie, pédocriminalité et addiction sexuelle. Conclusion: Les troubles paraphiliques, définis par le DSM-5, nécessitent des soins psychologiques et psychiatriques, mais également une intervention sexologique spécifique. Une évaluation précise de la sexualité du patient est indispensable pour permettre au psychothérapeute de poser un diagnostic correct et d'offrir le traitement approprié.
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Comment la #presse parle-t-elle de la #schizophrénie ? par mylene costes et Sylvie Laval · Publié 01/02/2021 · Mis à jour 01/04/2021 En définitive, notre recherche rend compte du maintien d’un usage encore trop métaphorique des mots liés à la schizophrénie dans la presse écrite nationale – notamment pour commenter tout ce qui relève du fait d’actualité. Elle rend aussi compte d’une évolution des thématiques que les #journalistes lui associent, délaissant progressivement le fait divers. Sans doute les différentes démarches associatives évoquées et le développement d’un questionnement éthique chez les professionnels n’y sont pas pour rien. Dès lors, les professionnels de l’information sont invités à traiter les questions de #santémentale comme des sujets de « fonds », notamment pour répondre à leur devoir d’information au public. Le champ d’améliorations possible reste important : le traitement de la pathologie, les relations des malades avec leur famille sont encore trop partiellement abordées ; la place laissée à la parole des aidants est encore trop lacunaire tout comme celle laissée aux témoignages des malades qui est quasi absente dans notre étude. Les difficultés sociales des malades nécessitent par ailleurs d’être développées. Sur ce dernier point, la question de la #stigmatisation sociale n’est encore que trop rarement abordée par les journalistes. Ces derniers doivent se saisir de ces questions pour que leur discours puisse opérer comme élément de #démystification de la schizophrénie et de ses malades. Cela va de pair avec l’utilisation d’un langage médiatique plus respectueux des malades et moins axé sur des hyperboles destinées à capter toujours plus de lecteurs et d’internautes. La prise en compte de ces paramètres permettrait la construction d’un miroir social plus positif pour la santé mentale. Illustration d’Adèle Huguet pour Mondes Sociaux : tous droits réservés Adèle Huguet. Pour découvrir ses dessins, https://lnkd.in/ekKPziNm Crédits images en CC : Flaticon Freepik, Icongeek26 https://lnkd.in/es4BVGv5
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Pour faire suite à mon précédent post sur le "désamour" entre jeunes psychologues et psychiatrie publique, et à certains commentaires, je voudrais préciser une certaine réalité (d'aucuns dirons que j'enfonce des portes ouvertes, mais c'est parfois une nécessité). Voici les populations quasi-exclusivement prises en charge par la psychiatrie publique hospitalière/ambulatoire: 1-obligations de soin, voire injonction de soin (en augmentation exponentielle, une clinique complexe, où de solides connaissances en criminologie sont requises); 2-migrant.es (notamment femmes victimes de sévices sexuelles au pays et gravement traumatisées); 3-la plupart des trouble de la personnalité du cluster B: borderline, dyssociaux. Bref, la clinique de l'agir et des troubles dits narcissiques-identitaires; 4-la plupart des troubles psychotiques; 5-les états de crises suicidaires, avec passage aux urgences générales et hospitalisations de courte-durée (parfois, mais pas souvent!) 6-les marginaux, SDF, pauvres, toxicos, désinsérés, que souvent seules les équipes mobiles arrivent à atteindre; 7-les détenus, d'ailleurs seule catégorie uniquement pris en charge par la psychiatrie publique; 8-les personnes souffrant de psychotrauma dit complexe (ou développemental), dont la prise en charge doit être multidisciplinaire. Des soins longs, difficiles, mettant le soignant à rude épreuve, au taux d'échec important avec abandon massif. En augmentation majeure depuis me too. et j'en oublie. Voilà; on pourra faire le total et s'apercevoir que cela représente l'essentiel des soins en santé mentale, soit plusieurs centaines de milliers de personnes. Est-il encore utile de préciser que les population susmentionnées ne cesseront d'augmenter? (cf. littérature scientifique). Bien-sûr, il n'en va pas toujours ainsi; je grossis le trait. Beaucoup de collègues non hospitaliers acceptent ces prises en charges complexes. Mais force est de constater que, même dans ce cas de figure, ils nous les ré-adressent souvent dans un soucis de trans-disciplinarité.
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Retour sur le #débat à l'Assemblée Nationale sur « l'état de la #psychiatrie en France », qui s'est tenu le 17 janvier 2024. ❗Attention, certains propos peuvent choquer ; ce sont justement ceux qu'il faut crier pour dénoncer, partager pour y réfléchir collectivement, signaler pour prévenir les faits gravissimes dont il est question. Au-delà du fait divers, du fait cruel, du fait pénalement répréhensible, il s'agit ici de comprendre comment il peut seulement exister ; enraciné dans une ambiance de #perversion #institutionnelle. Puis, un jeu proposé par le psychiatre-blogueur : en 10 règles et 4 chapitres, dépecer la langue de bois ministérielle qui vient apporter réponse à chaque interpellation des députés en ce 17 janvier 2024. Analyser chaque argument pour rendre visible ce qui est camouflé avec grands efforts, distorsions et discours paralogiques : les mécanismes qui ont mené et mènent encore à la grande catastrophe psychiatrique. (...et de la santé plus globalement et des services publics plus généralement et... de la société plus fondamentalement) #violencespsychiatriques #violencessexuelles #contention #abolirlacontention #psychiatriesecuritaire #cerebrologie #cglpl #printempsdelapsychiatrie #ethiquemedicale
Perversion institutionnelle : vers une grande (psy)cause nationale ?
blogs.mediapart.fr
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Les médias numériques sont omniprésents dans la vie quotidienne des adolescent·es. Très souvent médiatisé de façon sensationnaliste, la figure de l’adolescent·e « addict·e » aux écrans est devenue un sujet de préoccupation dans l’opinion publique. Dans cet article co-écrit avec mes collègues Yara Barrense-Dias (Unisanté), Benoit Bediou et Daphné Bavelier (Université de Genève) paru dans le dernier numéro de la Revue Médicale Suisse, nous présentons une vision nuancée de l'usage des écrans basée sur la littérature scientifique. Très souvent incriminé, le temps d'écran ⏰ n'est probablement pas, le plus souvent, la variable déterminante pour la santé des adolescent·es, et diaboliser les écrans, culpabiliser les jeunes ou les parents n’est certainement pas une approche constructive. 📌 Pour lire cet article 📰 , c'est ici: https://lnkd.in/ePH6knGZ #Adolescence #Youth #ScreenTime #Science #Psychology #Unil #Jeunesse #écran #Psychologie #Parenting #Unige #Unil #Fadounil
📣 Notre numéro "Pédiatrie" est en ligne. Au sommaire : ▪️ Enfance, adolescence et risque d’addiction : une perspective développementale Anne-Emmanuelle Ambresin, Russia Ha-Vinh Leuchter ▪️ Troubles du comportement alimentaire à l’aune de l’addiction Hélène Tzieropoulos Osterlof, Guillaume Wegmüller, Sophie Vust, Françoise Lier, Marco Savoia, Cindy Soroken ▪️ Alerte aux puffs : addiction aux produits nicotiniques chez les jeunes Salim Ramadan, Isabelle Ruchonnet-Métrailler, Sophie Guerin ▪️ Écrans et adolescence : quels enjeux pour la Génération Z ? Yara Barrense-Dias, Benoit Bediou, Daphné Bavelier, Grégoire Zimmermann ▪️ Accès à la pornographie numérique par les enfants et adolescent-es : quand s’alerter ? Marjory Winkler, Lavinia Calore, Ludovic BORNAND, Julia Fol, Mélanie Staehlin, Caroline Jacot-Descombes, Anne Edan ▪️ Enfant de parents avec une addiction : quelles conséquences et quel accompagnement ? Vania Sandoz, Judith Muhlstein-Barasche, Markus Meury, Francesca Hoegger ▪️ Thérapies sous mandat pénal en Suisse. Population clinique, durées de séjour et destinations de sortie Kerstin Weber, Francois R Herrmann, Christophe Menu, Panteleimon Giannakopoulos ... et de nombreux autres articles à retrouver ici : https://lnkd.in/eUb4k-ii
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Directrice de l'Observatoire latin de l'enfance et de la jeunesse et Députée au Grand Conseil fribourgeois
☝️Un éclairage pertinent et nuancé basé sur l’état actuel du savoir scientifique!
📣 Notre numéro "Pédiatrie" est en ligne. Au sommaire : ▪️ Enfance, adolescence et risque d’addiction : une perspective développementale Anne-Emmanuelle Ambresin, Russia Ha-Vinh Leuchter ▪️ Troubles du comportement alimentaire à l’aune de l’addiction Hélène Tzieropoulos Osterlof, Guillaume Wegmüller, Sophie Vust, Françoise Lier, Marco Savoia, Cindy Soroken ▪️ Alerte aux puffs : addiction aux produits nicotiniques chez les jeunes Salim Ramadan, Isabelle Ruchonnet-Métrailler, Sophie Guerin ▪️ Écrans et adolescence : quels enjeux pour la Génération Z ? Yara Barrense-Dias, Benoit Bediou, Daphné Bavelier, Grégoire Zimmermann ▪️ Accès à la pornographie numérique par les enfants et adolescent-es : quand s’alerter ? Marjory Winkler, Lavinia Calore, Ludovic BORNAND, Julia Fol, Mélanie Staehlin, Caroline Jacot-Descombes, Anne Edan ▪️ Enfant de parents avec une addiction : quelles conséquences et quel accompagnement ? Vania Sandoz, Judith Muhlstein-Barasche, Markus Meury, Francesca Hoegger ▪️ Thérapies sous mandat pénal en Suisse. Population clinique, durées de séjour et destinations de sortie Kerstin Weber, Francois R Herrmann, Christophe Menu, Panteleimon Giannakopoulos ... et de nombreux autres articles à retrouver ici : https://lnkd.in/eUb4k-ii
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