Fondatrice de l’agence Zébra Communication | Conception et rédaction de supports de communication print et web pour les entreprises privées et publiques.
Louvre: chef(s)-d'oeuvre(s) en péril!
(à tel point que l'Italie en viendrait à vouloir récupérer La Joconde)
Je ne suis pas une spécialiste des musées et j'ai conscience de l'état déplorable de nos finances publiques, toutefois les 1ères pistes envisagées, notamment une seconde ouverture ou une hausse disparate du prix des billets, me paraissent assez peu convaincants.
J'ai eu une idée de simple amatrice des musées en visitant une excellente exposition temporaire au Louvre (voir article joint). A travers un parcours historique, artistique, technique, on arrivait finalement éblouis (et moins bêtes) devant ce tableau de taille relativement modeste. Pourquoi ne pas imaginer un dispositif permanent avec une scénographie (il paraît qu'on ne dit pas muséographie) autour de La Joconde, dans le même esprit que REvoir Van Eyck. Ce pourrait être un "petit" musée dédié sous l'égide du Louvre (avec billets groupés par exemple). Certes, ce serait un gros investissement mais vu le coût des travaux envisagés et la tendance des Présidents français à laisser leur trace sur un ou plusieurs grand(s) projet(s), ce ne serait peut-être pas une idée idiote.
D'autant plus que la scénographie actuelle (cette immense salle bondée avec cette petite toile sur un mur), sans contexte, sans explications, laisse souvent le visiteur un peu perplexe voire déçu.
#louvre#joconde#museesnationauxhttps://lnkd.in/eD4c4yX3
"Archipel, titre de ce parcours artistique visuel et sonore, nous transporte d’emblée dans un imaginaire géographique. Thouars archipel, tel est le point de départ du projet orchestré par Martial Deflacieux, directeur du centre d’art la Chapelle Jeanne d’Arc de Thouars : « Ce parcours est né de la nécessité de déployer l’activité du centre d’art hors-les-murs. Depuis des années, le centre d’art et le château d’Oiron tissent des liens, ces relations s’affinent et font naître un projet de coopération. Avec ce parcours, un réseau de nouveaux centres invite à stationner, à s’arrêter, à ralentir. » Archipel résulte d’une approche de terrain, d’une connaissance des usages, d’un tissu d’acteurs, d’un patrimoine à faire redécouvrir, de partenariats privé et public, allant du musée à des habitants. Ces rencontres et l’énergie des personnes contactées ont engendré un maillage fertile. En somme, les œuvres de 13 artistes sont à découvrir sur 22 sites. Comment arpenter un territoire ? telle est la problématique qui émane de cette première édition d’Archipel."
@u.f.o_tograf -
L'EXPOSITION
Mon projet photographique s'articule autour de la représentation du quotidien urbain, vu à travers mon
rescin darchiteanget des homore nes humains
dans l'espace urbain et par la manière dont la ville et la nature interagissent.
https://urlr.me/SXxV6J
Ces œuvres d'art volées qui n'ont jamais été retrouvées. Par Marine Cestes / Ça M'intéresse le 14/09/2024. https://lnkd.in/ehXBh8-Q
L'histoire de l'art est aussi une histoire de pertes et de mystères ! En effet, parmi les nombreuses œuvres d'art créées au fil des siècles, certaines ont été volées et n'ont jamais été retrouvées…
La France abrite une multitude de musées, grands et petits, qui conservent un patrimoine artistique inestimable. Des institutions emblématiques comme le Louvre, le musée d'Orsay ou le Centre Pompidou (liste non exhaustive !) attirent des millions de visiteurs chaque année. Mais ces musées doivent faire face à de nombreuses problématiques, notamment en matière de sécurité. Malgré les avancées technologiques et les mesures de protection appliquées, les musées ne sont pas à l'abri des vols. Le manque de fonds et de personnel dans certains établissements rend la tâche encore plus difficile. Par ailleurs, les collections privées, souvent moins protégées, sont des cibles privilégiées pour les voleurs d'art…
#volsdebiensculturels#traficdebiensculturels#StopTrafficking
Professeur de philosophie, Doctorant en philosophie et chargé de cours (Université de Strasbourg/Université Paris-Nanterre), Directeur de publication de la revue unphilosophe.com
Nouvelle publication sur Un Philosophe, excellent texte de Guillaume Lurson !
« En 1796, Hubert Robert peint un tableau particulièrement fascinant intitulé « Vue de la grande galerie du Louvre en Ruines ». Celui qu’on a surnommé « Robert des ruines » a débuté sa carrière par une formation à Rome, ce qui lui a permis de se confronter à l’enchevêtrement monumental du passé et du présent. Il sera reçu comme « peintre d’architecture » à l’Académie en 1766, bénéficiera de protections avantageuses et de commandes royales. La transformation de la grande galerie du Louvre en musée l’occupera de 1778 à 1802, avec une interruption entre 1792 et 1795, dont un séjour en prison de quelques mois entre 1793 et 1794. Ces éléments biographiques[2] permettent d’avoir quelques clés pour comprendre l’évolution de Robert quant au contenu de ses toiles. Mais on peut aussi, plus avant, s’interroger sur l’énigme que ce tableau recèle, une énigme qui tient à l’impossibilité de situer chronologiquement ce qui nous est donné à voir. La scène est en effet composée d’un entremêlement de temporalités qui défait la possibilité de toute situation précise. À quelle époque sommes-nous, et quel est le mode du temps signifié par les ruines du Louvre ? Est-ce le passé, le présent, le futur ? Ou ne serait-ce pas, au contraire, l’essence même du temps qui nous est donnée à penser au travers de cette représentation ? »
Jonathan Daudey et la revue Un Philosophe me font le plaisir de publier un petit article que j'ai écrit sur la peinture d'Hubert Robert, et plus particulièrement sur le lien entre le temps et les ruines. En vous en souhaitant une bonne lecture!
Professeur de philosophie, Doctorant en philosophie et chargé de cours (Université de Strasbourg/Université Paris-Nanterre), Directeur de publication de la revue unphilosophe.com
Nouvelle publication sur Un Philosophe, excellent texte de Guillaume Lurson !
« En 1796, Hubert Robert peint un tableau particulièrement fascinant intitulé « Vue de la grande galerie du Louvre en Ruines ». Celui qu’on a surnommé « Robert des ruines » a débuté sa carrière par une formation à Rome, ce qui lui a permis de se confronter à l’enchevêtrement monumental du passé et du présent. Il sera reçu comme « peintre d’architecture » à l’Académie en 1766, bénéficiera de protections avantageuses et de commandes royales. La transformation de la grande galerie du Louvre en musée l’occupera de 1778 à 1802, avec une interruption entre 1792 et 1795, dont un séjour en prison de quelques mois entre 1793 et 1794. Ces éléments biographiques[2] permettent d’avoir quelques clés pour comprendre l’évolution de Robert quant au contenu de ses toiles. Mais on peut aussi, plus avant, s’interroger sur l’énigme que ce tableau recèle, une énigme qui tient à l’impossibilité de situer chronologiquement ce qui nous est donné à voir. La scène est en effet composée d’un entremêlement de temporalités qui défait la possibilité de toute situation précise. À quelle époque sommes-nous, et quel est le mode du temps signifié par les ruines du Louvre ? Est-ce le passé, le présent, le futur ? Ou ne serait-ce pas, au contraire, l’essence même du temps qui nous est donnée à penser au travers de cette représentation ? »
Aperçu du Vernissage // Inauguration de l’exposition au musée Dan Gerbo.
L’exposition est visible jusqu’au 30 octobre aux horaires d’ouverture du Musée
Vous trouverez une partie de mes tableaux à la peinture à l’huile.
Voici une présentation de ma démarche picturale:
« Je suis un amoureux de la nature et des couleurs. Mon principal axe pictural est l’utilisation des bleus profonds à la place du noir car ces propriétés scindent les couleurs entre elles . Mon travail est donc une recherche permanente de l’harmonie colorimétrique. La superposition des couches me permet de révéler la vibration de la couleur. Elle provoque un relief qui attrape la lumière et invite le spectateur à percevoir le tableau sous d’autres perceptives. C’est à travers des paysages allant jusqu’à l’abstraction que le monde imaginaire et mon travail à la peinture à l’huile prennent toute son ampleur. Mes réalisations sont une ode à la vie et au respect du vivant qui nous entoure. Je vous invite à observer le monde et la beauté de la nature dans ces infimes détails pour une re connexion à soi »
| FOCUS - Nos réalisations | Catalogue d’une collection consacrée aux arts décoratifs français du 18e siècle
📕 Catalogue d’une collection consacrée aux arts décoratifs français du 18e siècle. Après une préface et une introduction générale mettant en valeur la démarche du collectionneur, le catalogue est organisé en quatre chapitres : mobilier, objets d’art, porcelaine, peintures et gravures. Une notice descriptive et explicative accompagne chaque objet photographié par un professionnel spécialisé dans la reproduction d’œuvres d’art pour les musées. Le catalogue est destiné aux amis et à la famille du client.
⏳ Durée de réalisation : Projet en cours…
Chargé d'opérations immobilières chez Oppic
2 moisUne opération fascinante et passionnante.