Post de Ordre professionnel des criminologues du Québec

DÉTRESSE CHEZ LES EMPLOYÉS DE L’IVAC Dans un article publié par Le Devoir du 26-04-2024 et rédigé par Isabelle Ducas, la détresse des employés de indemnisation des victimes d’actes criminels (IVAC) face à la politique québécoise est mise en lumière. L'IVAC, un organisme gouvernemental, est confronté à des difficultés financières et de gestion qui ont un impact direct sur son personnel. Les employés de l'IVAC font face à une charge de travail excessive, des délais de traitement des dossiers rallongés et des ressources limitées, ce qui engendre un niveau de stress élevé et des problèmes de santé mentale parmi les travailleurs. Certains employés ont été contraints de s'absenter en raison de problèmes de santé, exacerbant ainsi la situation déjà précaire. Le manque de soutien de la part de la direction et du gouvernement québécois est également souligné, laissant les employés seuls face à leurs difficultés et sans perspective d'amélioration à court terme. Cette situation met en évidence les conséquences humaines des décisions politiques et de gestion sur les employés d'un organisme public, soulevant des questions sur la responsabilité de l'État envers ses travailleurs et la nécessité de trouver des solutions viables pour améliorer leurs conditions de travail et leur bien-être. En résumé, cet article met en avant les défis auxquels sont confrontés les employés de l'IVAC en raison de la politique québécoise, mettant en évidence l'importance de prendre des mesures concrètes pour soutenir et protéger le personnel de cet organisme gouvernemental. #IVAC #EmployésPublics #SantéMentale #GestionGouvernementale #Québec

Détresse chez les employés de l’IVAC

Détresse chez les employés de l’IVAC

ledevoir.com

Daniel Combet

Compositeur de musiques actuelles - Artiste Auteur

5 mois

Bonjour. Je pense que déjà il faut que vous sachiez que le fait d'être là, c'est déjà beaucoup. Ensuite, personne n'est magicien je pense. Je n'ai pas envie de profiter de votre post pour pleurer sur mon cas, mais simplement pour faire part que, de mon côté, je suis en France, j'ai eu de gros gros soucis, et il me parait évident que si je suis encore vivant, c'est un grâce à tous ces anges gardiens, dont vous. Dans mon cas, j'ai du changer de cadre, de lieu, d'entourage, de secteurs d'activités, de type d'activité ... ce qui m'a permis d'apprendre beaucoup mais aussi de transmettre et d 'aider en retour, dans la mesure du possible. On arrive à se reconstruire, avec le temps et ça fonctionne, différemment, mais ça repart. Par contre, je ne sais pas si c'est pour tout le monde pareil, mais pour moi, l'histoire se répète régulièrement, ce qui conduit à refaire saigner les blessures et à empirer mon état, parce qu'on me recasse à nouveau, ce qui fait que je ne peux rien faire, toujours faire attention à ce que je dis ... Je pense que lorsqu'une personne casse quelqu'un, ça peut arriver, disons, il faudrait arrêter de s'acharner à vie.

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