🛒 Relations commerciales Egalim : Marche en avant, sanctuarisation la matière première agricole... nous souhaitons rester fermes sur nos principes mais également pragmatiques dans la pratique pour ne pas complexifier une loi qui l'est déjà. Le but étant une juste répartition de la valeur pour les entreprises de l'alimentation et des produits bons, sains et accessibles pour les consommateurs. Jérôme Foucault Karima Kaci
Post de Pact'Alim
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🤝Des labels? Oui mais des labels qui tiennent compte de la réalité du terrain ! Dans cet article, Ludovic BRINDEJONC souligne avec justesse l'illusion entretenue autour du pouvoir du consommateur dans la crise agricole. Si l'action du consommateur est nécessaire pour faire évoluer les modes de consommation, il est de notre responsabilité de lui fournir un étiquetage clair et fiable sur sa façon de consommer. C'est notre choix chez J'achète Fermier : le label Agri-Éthique qui garantit une rémunération équitable de nos fermiers partenaires ! --> Une rémunération qui prend en compte les coûts réels de production et qui ne se compare pas au cours du marché. --> Une rémunération qui se co-construit avec nos fermiers partenaires sur le terrain. #Agriculture #ConsommationResponsable #CriseAgricole #ChangementDeParadigme #SoutienAuxProducteurs https://lnkd.in/ei_z5q2u
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Ce graphique date de 2018 mais la situation n'a que peu évolué depuis. Quand en 2017, nous avons élaboré, avec mon mari, notre projet de magasin de produits avec le moins d'intermédiaires possibles (produits agricoles en grande partie) c'était exactement pour sensibiliser sur ce sujet. La répartition de la valeur ajoutée sur le chemin des intermédiaires entre agriculteurs et consommateurs finaux est affligeante. D'autant qu'un certain nombre de ces intermédiaires ne permettent pas une retombée immédiate dans l'économie locale. C'est cher de manger local mais c'est pourtant une nécessité de survie pour le plus beau des modèles agricoles qui existe. Le consommateur doit utiliser son portefeuille comme il se sert de son bulletin de vote. Les gouvernements et le législateur ont le devoir de protéger l'intérêt que peut procurer une autosuffisance alimentaire dans les frontières françaises, au mieux européennes, mais avec les mêmes normes partout. Nous sommes toutes et tous enfants ou petits-enfants d'agriculteurs. Ne sacrifions pas nos racines. Soutenons le monde agricole !
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#CommuniqueDePresse | 𝗡𝗼𝘂𝘀 𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹𝗼𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂 𝗣𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿 𝗠𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗰𝗼-𝗰𝗼𝗻𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗲́𝗴𝗶𝗲 𝗮𝗹𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗾𝘂𝗲́𝗿𝗮𝗻𝘁𝗲 👉 https://lnkd.in/ddjKkxDJ Après plus de 50 jours de vacance gouvernementale, nous saluons l’arrivée de Michel Barnier au poste de Premier Ministre. Nous espérons qu’il parviendra à créer les conditions du consensus pour faire avancer notre pays, et mettre son #agriculture et l’#alimentation des Français sur de bons rails. En cette rentrée particulièrement tendue, seule la responsabilité collective des acteurs politiques et économiques permettra de répondre rapidement aux urgences que traverse le secteur. Lors de sa conférence de presse de rentrée, notre président Dominique Charge a souligné l'urgence d'adopter une stratégie alimentaire conquérante. Face à une réglementation inadaptée, à la tendance croissante des nouveaux modes de consommations basées sur le "moins cher" sur lesquels les produits français sont dé-positionnés et la part de plus en plus prépondérante des produits importés dans l’ensemble des circuits de distribution, la bataille de la compétitivité en termes de coûts et de prix doit être une priorité. Nous proposons de réunir les acteurs des filières et de coconstruire rapidement une stratégie conquérante de la France alimentaire autour de trois piliers majeurs : ➡ Renforcer la compétitivité : faire de la compétitivité-coûts une priorité tout au long de la chaîne alimentaire et sur tous les marchés, ➡ Mener les transitions : fournir aux agriculteurs et à leurs coopératives les moyens nécessaires pour mener les transitions essentielles à l'avenir du secteur et de notre planète, ➡ Adapter la production : et réorganiser l’économie des filières pour produire ce que les Français consomment ; à savoir des productions d’entrée et de cœur de gamme, sans renoncer à la qualité. Nous comptons sur les capacités de dialogue et de négociation de #MichelBarnier pour relancer les travaux législatifs et réinscrire la Loi Agricole à l’agenda. L’affaiblissement des #coopératives agricoles, véritables piliers de l’emploi et moteurs des investissements dans nos villages et nos campagnes, compromettrait non seulement le développement des #territoires mais aussi notre #SouverainetéAlimentaire.
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[Communiqué de Presse] 🚜 L'heure est à la mobilisation des agriculteurs. Si les revendications sont multiples et les solutions proposées divergent, le constat est unanime : les agriculteurs ne vivent pas de leur métier. 🥕 Depuis maintenant 10 ans, Le Court Circuit se bat aux côtés de 100 producteurs de la région Hauts-de-France pour montrer que manger local, en rémunérant équitablement les producteurs, c'est possible ! 🥕 Chez nous, 87% du prix payé par les consommateurs, reste dans les mains des agriculteurs. C'est une solution juste, où les producteurs fixent eux-mêmes leurs prix pour une rémunération à la hauteur du travail fourni. Et c'est à la portée de tout le monde : nos dernières études sur les prix pratiqués sur LeCourtCircuit.fr démontrent qu'ils ne sont pas plus élevés qu'en grande distribution. 📣 Il est temps de mettre la lumière sur toutes les solutions qui existent déjà et préparent le futur de notre alimentation ! Il est temps de redonner la main à celles et ceux qui nous nourrissent.
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🌿 Première rencontre avec Laurence Garnier, Secrétaire d’État chargée de la Consommation auprès du Ministre de l'Industrie Daniel Sauvaitre (président d'Interfel), Jeff Mahintach (secrétaire général) et Christophe ROUSSE (trésorier) ont rencontré aujourd'hui Laurence Garnier, Secrétaire d’Etat chargée de la Consommation auprès du Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Cette rencontre a permis d'échanger autour des enjeux cruciaux de la filière des #fruits et #légumes frais. ✅ À l'ordre du jour : ➡ Tendances de consommation : comment répondre aux attentes des consommateurs tout en préservant la souveraineté alimentaire ? ➡Spécificités de la filière dans le cadre des discussions EGALIM, ➡Suite de la loi AGEC et ses impacts sur la gestion des emballages et la lutte contre le gaspillage alimentaire... Ces échanges riches confirment notre engagement à accompagner l’ensemble des acteurs de la filière face à ces défis, et à assurer la promotion d’une alimentation saine et responsable pour tous. #FilièreFruitsEtLégumes #Interfel #ConsommationResponsable #EGALIM #AGEC #AlimentationDurable
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Performance improvement - Talent development - Board member - CEO coaching - Governance & audit - Purchasing - Oil & Gas - Upstream - Communication - Stakeholders relationship management - Lecturing
Crise Française Agricole Combien de normes françaises plus dures que les normes européennes? Applicabilité des normes européennes? Promesses d'aides faites par le gouvernement il y a plusieurs mois et toujours pas honorées ? Analyse du business model des agriculteurs français versus leurs prix de vente de leurs produits ? Et enfin quelle politique ou vision pour permettre aux Français d'acheter des produits aux saveurs et aux consistances naturelles Versus les objectifs de l'industrie agroalimentaires de nous faire manger des produits transformés trop sucrés, trop salés aux saveurs atténuées et à la consistance molle ? Enfin rappel que si les vaches avaient une alimentation plus équilibrée, elles dégageraient moins de gaz. Alors ce gouvernement (ou les précédents), auriez-vous une réelle vision à partager ?
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#Media | Dominique Charge sur Public Sénat 💬 "𝐿𝑎 "𝑉𝑢𝑖𝑡𝑡𝑜𝑛𝑖𝑠𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛" 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑙𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑒́𝑒 𝑒𝑛 𝑔𝑎𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡𝑠, 𝑠𝑒 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑡𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑢 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑'𝑎𝑐ℎ𝑎𝑡. 𝐽'𝑒𝑛 𝑎𝑝𝑝𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑎̀ 𝑀𝑎𝑑𝑎𝑚𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑖𝑛𝑖𝑠𝑡𝑟𝑒 𝐴𝑛𝑛𝑖𝑒 𝐺𝑒𝑛𝑒𝑣𝑎𝑟𝑑 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢'𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑓𝑖𝑥𝑒 𝑢𝑛 𝑐𝑎𝑝 𝑐𝑙𝑎𝑖𝑟". Aujourd'hui, les #consommateurs se tournent de plus en plus vers des produits importés, moins chers, accentuant la dépendance #alimentaire de notre pays. Il est urgent d'apporter à nos filières les moyens nécessaires pour reconquérir les produits cœur de gamme vers lesquels les consommateurs se tournent et enrayer le décrochage de l'#agroalimentaire français. Dans l'émission #SensPublic présentée par Thomas HUGUES, notre président a demandé la nouvelle ministre, #AnnieGenevard, un cap clair pour l’agriculture et l’agroalimentaire français. Il a mis en lumière une double menace qui pèse sur notre souveraineté alimentaire : ➡️ Des produits importés moins chers, plus compétitifs, ➡️ Une production française à la peine sur les marchés et fragilisée par des crises climatiques, sanitaires, et économiques. Notre président a aussi alerté sur le décrochage des filières, particulièrement dans les secteurs, céréaliers, vitivinicoles, des fruits et légumes, de la volaille et des ovins alertant sur le risque d’une balance commerciale agricole française déficitaire, ce qui n’était pas arrivé depuis 1976, année de la grande sécheresse. Il a également rappelé que la France est en déficit agroalimentaire vis-à-vis de l’Europe depuis 2015. Il a affirmé que nous sommes prêts à travailler avec l’ensemble des acteurs sur la question de la #compétitivité et présenté les propositions des "2100 𝒄𝒐𝒐𝒑𝒆́𝒓𝒂𝒕𝒊𝒗𝒆𝒔 𝒂𝒈𝒓𝒊𝒄𝒐𝒍𝒆𝒔 𝒇𝒓𝒂𝒏𝒄̧𝒂𝒊𝒔𝒆𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒖𝒏𝒆 𝒔𝒕𝒓𝒂𝒕𝒆́𝒈𝒊𝒆 𝒂𝒈𝒓𝒐𝒂𝒍𝒊𝒎𝒆𝒏𝒕𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒒𝒖𝒆́𝒓𝒂𝒏𝒕𝒆", qui seront dévoilées le 1er octobre sur notre site internet à l'occasion du discours de politique générale de Michel Barnier. Florence PRADIER Matthieu PASQUIO Antoine Armand Sophie Primas Marie-Agnès POUSSIER- WINSBACK Agnès Pannier-Runacher Marc Ferracci Michel Stoumboff Virginie His Thibault Bussonnière Eugénie Debavelaere Sabri Derradji Benjamin Perdreau Magali Bocquet Pascale HEBELSébastien ABIS Matthieu Croissandeau Joël Boueilh Groupe de la Coopération au CESE Grison Christophe Ministère de l'Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt
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Les prix des produits alimentaires ont augmenté de 24% en 2 ans selon "Que Choisir", mais les revenus des agriculteurs et agricultrices n'ont pas augmenté d'autant, loin de là. Le grand impensé des débats, c'est le rôle des intermédiaires entre le consommateur et le producteur. Ces entreprises agro-industrielles et les groupes de la grandes distribution ont quant à eux réalisé des marges records. Ces marges doivent être encadrées, pour permettre aux agricultrices et agriculteurs de vivre dignement, et aux ménages d'avoir une alimentation choisie, convenable et saine. De même, les accords de libre-échange, qui permettent d'importer des aliments issus d'une agriculture dont certaines pratiques sont interdites en France, doivent être remis en question. #agriculteursencolère #alimentation #agriculture
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Des choses simples et claires. Le problème n’est certainement pas le « Green deal » qui n’est pas encore en fonctionnement. Ce sont les prix à la production avec plusieurs bases : les rapports de force dans la filière (agro fourniture et centrale d’achats) et l’importation de produits produits dans des conditions non comparables.
Les prix des produits alimentaires ont augmenté de 24% en 2 ans selon "Que Choisir", mais les revenus des agriculteurs et agricultrices n'ont pas augmenté d'autant, loin de là. Le grand impensé des débats, c'est le rôle des intermédiaires entre le consommateur et le producteur. Ces entreprises agro-industrielles et les groupes de la grandes distribution ont quant à eux réalisé des marges records. Ces marges doivent être encadrées, pour permettre aux agricultrices et agriculteurs de vivre dignement, et aux ménages d'avoir une alimentation choisie, convenable et saine. De même, les accords de libre-échange, qui permettent d'importer des aliments issus d'une agriculture dont certaines pratiques sont interdites en France, doivent être remis en question. #agriculteursencolère #alimentation #agriculture
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Co-fondateur & CEO @Hectarea | Investir dans la terre - Une épargne durable au service de l’agriculture de demain
Le mirage de l’offre et de la demande En matière d'agriculture en France.. J’ai passé l’année sur le terrain avec Hectarea.io, J'ai rencontré plus de 150 agriculteurs de toutes filières Pour les accompagner dans leur financement Le problème sur le terrain n’est pas l’envie de bien produire, Les agriculteurs aiment leur terre, leur production, leurs animaux. Nous avons ces dernières années amorcé une transition nécessaire et Le problème est toujours “ qui paie ” dans une transition. Actuellement; notre approche est à l'inverse de ce qu'il faudrait faire Nous essayons de créer une offre d’aliments bien produits en France Alors que nous ne créons pas les conditions pour une demande soutenue Pour ces mêmes produits en termes de consommation... Concrètement, on demande aux producteurs de faire des efforts Qui à court terme engendre souvent un surcoût pour produire Et, la vente à un juste prix de ces productions est trop aléatoire. Les produits alimentaires bien produits sont en concurrence directe Avec des produits d’importation qui souvent sont moins “ propres ”. Cette pression des prix ne permet pas d'absorber les surcoûts En voulant bien faire on augmente le risque de faillite de nos exploitations... Quelques pistes pour créer une demande pérenne pour nos produits français : - Faire respecter la loi Egalim comme proposer au moins 50 % de produits durables dont 20 % de produits bio dans les restaurants d'entreprise - Mieux protéger notre marché intérieur européen (difficile à court terme) - Mise en place de taxes sur des produits transformés et mauvais pour la santé - Aide à l’achat des produits sains via la taxe précédente - Mise en place d’un quota de produits français en grande distribution - Arrêt des usurpations des labels français comme c'est le cas sur le miel avec des jeux autour de issu de / transformé / mis en pot pour mettre France dessus PS : La première réaction est souvent de souhaiter du protectionnisme national Mais je pense qu’il y a trop d’implications pour nos filières exportatrices Et donc à court terme, on doit se concentrer sur des mesures concrètes, Faciles à mettre en place sans accords internationaux longs à négocier
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