Post de Parcours & Par Thèmes

𝙌𝙪𝙖𝙣𝙙 𝙞𝙡 𝙨'𝙖𝙜𝙞𝙩 𝙙𝙚 𝙙𝙞𝙖𝙢𝙖𝙣𝙩𝙨, 𝙡𝙚𝙨 𝙥𝙡𝙪𝙨 𝙜𝙧𝙤𝙨 𝙣𝙚 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙥𝙖𝙨 𝙩𝙤𝙪𝙟𝙤𝙪𝙧𝙨 𝙡𝙚𝙨 𝙢𝙚𝙞𝙡𝙡𝙚𝙪𝙧𝙨. 𝙄𝙡 𝙮'𝙖 𝙡𝙖 𝙘𝙤𝙪𝙥𝙚, 𝙞𝙡 𝙮'𝙖 𝙡𝙖 𝙘𝙤𝙪𝙡𝙚𝙪𝙧, 𝙞𝙡 𝙮'𝙖 𝙡𝙖 𝙘𝙡𝙖𝙧𝙩é 𝙚𝙩 𝙘𝙝𝙖𝙘𝙪𝙣 𝙫𝙞𝙚𝙣𝙩 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙨𝙤𝙣 𝙥𝙤𝙪𝙧𝙘𝙚𝙣𝙩𝙖𝙜𝙚 𝙙𝙖𝙣𝙨 𝙡'𝙖𝙘𝙘𝙤𝙧𝙙... Dans l'univers des diamants, la grandeur ne réside pas uniquement dans la taille, mais dans un équilibre subtil entre la coupe, la couleur et la clarté. Chacun de ces aspects contribue à la valeur globale de la pierre précieuse, apportant sa propre essence et brillance à l'accord final. De même, dans le monde du marketing de réseau exercé au sein d'une communauté engagée telle SYSTEM 3D, la réussite repose sur une combinaison harmonieuse de différents éléments. ✅Chaque individu apporte sa propre coupe unique, représentant ses compétences, son savoir-faire et sa façon de briller dans ce domaine. ✅La couleur symbolise la personnalité, la créativité et l'énergie que chacun insuffle au réseau, ajoutant une touche distinctive et attractive à l'ensemble. ✅Enfin, la clarté représente la transparence, l'honnêteté et la communication ouverte qui sont essentielles pour construire des relations solides et durables au sein de la communauté. Lorsqu'il s'agit de conclure des accords au sein du marketing de réseau, il est crucial de comprendre le poids de chaque composante, de déterminer quel pourcentage elle détient dans l'accord global. Savoir évaluer et apprécier les contributions de chacun permet de reconnaître la valeur de chaque membre de la communauté et de favoriser une atmosphère de collaboration et d'entraide mutuelle. Et si une prime vient récompenser les efforts déployés, il devient essentiel de savoir à quel pourcentage elle est attribuée et à qui des trois éléments (coupe, couleur, clarté) elle correspond le mieux. Reconnaître et récompenser les qualités uniques de chaque individu, en fonction de leur contribution spécifique et de leur engagement, renforce la dynamique de la communauté et incite à persévérer vers des objectifs communs. En fin de compte, trouver l'équilibre des pourcentages dans le marketing de réseau revient à reconnaître et célébrer la diversité des talents, des personnalités et des compétences qui enrichissent la communauté. En valorisant la coupe, la couleur et la clarté de chacun, en comprenant le poids de chaque aspect dans la quête de réussite collective, on crée un environnement propice à l'épanouissement personnel et professionnel, où chacun peut briller de sa propre lumière et contribuer à l'éclat global de la communauté. Osons donc explorer nos facettes uniques, apporter notre touche de couleur et de clarté, et sculpter notre chemin vers le succès dans le marketing de réseau, en nous inspirant de la beauté et de l'harmonie des diamants les plus raffinés. Nous sommes actuellement au Business SPARK Tchad 🇷🇴 Karl SA'AH #system3d #veddal Alone Fast, Together Far

#SONDAGE Chers clients, chers professionnels, vos savoir-faire transcendent les sphères, illuminant les voies de demain. Vos visions éclairent nos horizons, tel un astre céleste. Ainsi, nous sollicitons vos précieux conseils sur notre collection #STAR-TR. En ce temps présent, la teinte BLANCHE ◻ règne en maître, offrant son éclat immédiat, alors que les teintes NOIRE ◼et BLANC/NOIRE 🔲 demeurent des étoiles filantes, à commander sur demande. Cependant, les éloges affluent pour l'élégance du modèle BLANC/NOIR. Si nous devions honorer une version en stock en permanence, laquelle préféreriez vous ? - BLANC, cliquez J'AIME - NOIR, cliquez BRAVO - BLANC/NOIR, cliquez SOUTIEN Vos réponses guideront nos pas, car de votre sagesse naît l'union solide. À bientôt, sous les auspices des étoiles.

L’œil du vendredi : A chaque image son langage  ! Cette scène pourrait paraître anodine si elle n'était pas, déjà, en train de disparaître 👇. L'ouvrier - appelons-le ainsi faute de connaître son nom - a fait du banc public son fauteuil de lecture. Sa casquette, légèrement de guingois, raconte à elle seule une vie de labeur, tandis que son journal déployé parle d'une curiosité pour le monde qui dépasse les frontières de sa condition. On lisait encore, et beaucoup. Derrière lui, un homme immobile en costume - nommons-le le bourgeois, puisque c'est ainsi qu'on catégorise alors – semble attendre un rendez-vous. Ces deux solitudes parisiennes se côtoient sans se voir, unies pourtant par le même bitume, le même arbre qui dispense son ombre démocratique, la même horloge qui rythme leurs heures de répit. A droite de l’image, un autre homme sur le banc. Un pied ne touche pas terre, il est en mouvement. Le regard vers le ciel, on l’imagine jeter des miettes aux pigeons en les interpellant, ce qui amuse le passant, le clope au bec. A cette époque Paris sait encore être cette ville palimpseste, où les classes sociales se superposent sans s'effacer mutuellement. L'enseigne Jussieu, les automobiles rutilantes, les devantures des commerces composent un décor où chacun trouve une place. Nous avons là, sans le savoir, le dernier acte d'une pièce parisienne bientôt révolue. Une ville qui n'a pas encore appris à séparer ses habitants par le prix du mètre carré, où le partage de l'espace public n'est pas encore une question de pouvoir d'achat ni le lieu du dernier objet de luxe, la sécurité personnelle. J’ai masqué dans cette analyse d’image un dernier élément sociologiquement important ; saurez-vous le trouver ? #Communication #Sémantique #Sémiologie

UN PEU DE RECUL NE NUIT PAS À l'époque victorienne (1837-1901), on le sait, le culte de la décence -et de l'hypocrisie- atteignit un tel sommet que la vision d'une cheville de femme, dévoilée, pouvait entraîner des effets qui nous feraient pouffer de rire aujourd'hui, voire nous plongeraient dans l'incompréhension, l'ahurissement. Le cas extrême que l'on cite souvent, ce sont les pieds ouvragés des pianos - meuble meublant, central dans l'intérieur bourgeois et aristocratique-, pieds que l'on couvrait par pudeur, de broderies. Le piano, autour duquel s'organisaient les salons, permettait à une société distinguée - adjectif répété à l'envi - par son goût de l'art, de la musique, de la peinture, des belles lettres ... et de la politique de faire de l'Europe un vrai phare pour le monde, envieux et admiratif. On l'oublie toujours, parce que la comparaison déplaît et blesse nos yeux - qui ne veulent pas voir -, qu'en suite de cette époque victorienne, un président du Conseil pourtant bien peu soigné de sa personne, grand fumeur dispersant ses mégots, pouvait en 1931 faire la couverture de Time comme "l'homme de l'année". Nos braves yankees, à commencer par les WASP de la côte Est, louaient le chic français. Son nom résume les avatars de notre Histoire : Pierre Laval (1883-1945). Il existe encore, Dieu merci, de remarquables, voire exceptionnels pianistes, mais le piano a quitté bien des intérieurs bourgeois, et les enfilades de salons elles-mêmes ne peuvent se concevoir sans un large, très large écran plat. En politique, nous voici loin de Salisbury (1830-1903) ou du Français Waddington (1826-94) et bien plus proche de Loft Story (2001). Relevons le paradoxe de notre nouvelle époque : Avec une brutalité et un vocabulaire contemporains, ce à quoi nous assistons depuis dimanche soir, les déclarations en tous sens des uns des autres, prétendument modernes, ne peuvent se départir d'un vocabulaire bien ancien : jamais le mot "trahison" n'a été autant employé - par Valérie Pécresse et Eric Zemmour, d'autres encore -, en une journée, celle d'hier, 12 juin 2024, vraie journée des dupes. Loft story (2001), maquette du nouveau monde, irruption de la Bêtise, illustration du vide des intérieurs actuels, et du vide tout court, nous renvoie à une ou deux idées simples, mais nécessaires. 1. Dans l'Histoire, les dissensions n'ont jamais manqué. C'est un épisode aujourd'hui complètement oublié, mais la lutte entre les généraux Giraud (1879-1949) et Charles de Gaulle s'est terminée par l'éviction, puis la mise hors d'état du premier - une balle rasant le crâne, à Oran (28 août 1944). 2. Le temps, comme l'eau, effacera les traces de la commedia dell'arte à laquelle nous assistons. Les broderies victoriennes sont bien loin. Et les mœurs contemporaines, le rejet de l'hypocrisie menant à une brutalité sans la moindre retenue, nous permettent du moins une réaction : Celle de ne plus en sourire. ___ Photographie de Savy Svay. Normandie, 12 juin 2024.

LA FABRIQUE DES MÉDIOCRES DÉPRESSIFS Chaque siècle a porté une foison d’apostats sectaires, de médiocres et d’idiots d’astreinte. Chaque territoire portait ses iconoclastes, et pourtant personne ne les a jamais loués. Par contre, on glorifiait les peintres des beaux-arts, les architectes, les hommes de biens ou encore les grands mécènes. Mais, en 2001, avec « Loft Story », intervient une rupture qui engendre la machine à nigauds, sans culture ni savoir. C’est ce jour-là précisément le démarrage de ces influenceurs débiles, nous imposant avec méthode la vision de nos propres enfants. Les brèves de comptoir sortaient des cafés pour se propager sur la toile. À l’époque, les producteurs élèvent le quotidien des niais au rang de trame historique. S’embrasser dans une piscine vaut une médaille, médire et insulter son voisin soulève l’audience de débiles qui regardent, fascinés, comme le « Truman Show », sauf que là, il n’est pas possible d’y échapper. Et puis, voilà la deuxième couche avec les media sociaux qui donnent des paillettes au banal, sorte de graffitis des latrines que l’on trouvait autrefois sur les murs de nos écoles. Ainsi, mettre sa vie en vidéo, c’est devenir une star. Les hommes et femmes, vlogs (contraction de blog et vidéo), font de leur vie des clichés, avec des personnes au dénominateur commun ; pauvres d’esprit microscopiques. L’argent facile devient le Graal, et Dubaï, l’horizon de réussites imaginaires des démocraties du futur. Enfin, cette médiocrité se forge une statue de marbre par l’intermédiaire de son chantre de la culture, le Sieur Hanouna. La bêtise avait besoin d’un empereur et de sa cour de bouffons, elle l’a trouvé sur TPMP. Chaque soir, l’opinion des uns et des autres se forge, pour des émotions plutôt que par esprit critique. Fini le goût de l’effort, et de l’exemplarité, ce qui prime, c’est de parler plus fort que l’autre pour ne rien dire, mais, surtout, avoir un avis sur tout et surtout un avis. De mon temps, se battre avec persuasion, embrasser la vie à pleine brassée, vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant étaient nos valeurs. Ainsi, les Cyrano de Bergerac, les d’Artagnan et les Jean Moulin ont disparu au profit de médiocres numériques. Quelle tristesse ! FM https://lnkd.in/euKuW2PM

📢🎥Témoignage client « La mode est un éternel recommencement qui traverse les époques. Elle s’inspire du passé, appréhende le futur, et se développe au sein de notre environnement lui empruntant une idée, une émotion, un sentiment... La mode change au cours du temps qui s’écoule et au travers des personnes qui font la mode. C’est de cette manière la que « Line Théodore » a vu le jour. « Line Théodore » c’est une histoire de famille, de partage et de transmission. Un mélange entre passé, présent et futur. C’est la renaissance d’un patrimoine s’inspirant de l’héritage de nos ancêtres. C’est en se plongeant dans le passé de chacun d’entre eux, traversant les époques, retraçant leur parcours, leur vie, que nous avons découvert la richesse des différents savoir faire. On pourrait parler des vintages de maroquinerie trouvé dans l’atelier familial ou de veilles photos de famille, des archives de tissage du 20 ième siècle ou bien encore d’impression textile de 1880… On dit que l’union fait la force, chez « Line Théodore » c’est l’union des générations qui nous inspire. Notre devise transmettre une histoire, un savoir faire, une intention, un souvenir,… d’une émotion vécu, d’un moment partagé, une façon de rendre hommage à ceux qui ont précédé. » #linetheodore #mode #video #history #paris Client : @line_theodore_paris 🎥 OhitchPROD

«Pour offrir une oeuvre d’art à choisir...». Un engagement personnel, amical ou professionnel ? « Chères et chers amis, collaboratrices et amis d’amis, Joie de faire une sélection d’oeuvres à choisir. J’espère que ce choix sera le votre également. Je me suis amusée. J’ai mis en vis à vis, deux à deux, des oeuvres qui ensemble forment une troisième: la page pair répond à la page impair. Pour votre cadeau groupé, je tiens à encourager ce geste initié par ... Et pour te remercier, chère ..., je t’invite à choisir à ton tour une oeuvre pour toi. Ce sera mon cadeau. Offrir est si doux. Lors de ma prochaine exposition à la galerie ... «à prévoir» dans un an et demi, je serai heureuse de vous y convier. En attendant, soyez les bien venus à mon atelier de la ville d’Ivry-sur-Seine situé au pieds de la mairie. Ce sont ce que j’appelle des moments de rencontre et d’échange. Chacun invite à son tour quelques proches, amis ou connaissances. Et je vous raconte ou vous me racontez ce qui vient, les impressions, les interrogations... On appelait cela un cabinet de curiosités... Et l’on si retrouvait. Je vous salue chaleureusement et me réjouis de nous croiser un jour ici ou là. » Oui, il s’agit d’un engagement de part et d’autre pour redonner à nos vies un peu de convivialité? Pour mettre sur pause. Une pause amicale ou professionnelle ou les deux ? Je vous serais profondément reconnaissante que vous m'accordiez un instant et que votre réflexion m'aide à impacter concrètement des amateurs d'arts comme des collectionneurs. Et je vous inviterais pourquoi pas à diffuser votre envie d'expérimenter cette proposition très généreuses et engagée de votre part comme de la mienne. Cela vient d'avoir lieu pour la seconde fois avec deux de mes collaboratrices, avec qui nous avons initié ce doux échange de bons procédés. Image : Traits d'Unions vœux 2024

C’est le début d’une nouvelle ère dans la mode féminine : bienvenue dans l’univers de Ya’ïr. ✨ Ya’ïr, plus qu’une marque, incarne une vision avant-gardiste. Une mode où l’élégance intemporelle se mêle à l’audace créative destinée aux femmes. Les couleurs primaires sont au cœur de l’ADN de Ya’ïr, elles symbolisent une simplicité sophistiquée et une force vibrante. Chaque teinte fait appel à l’intuition du créateur et artiste peintre... 👨🏼🎨 L’intemporalité des créations conçues pour traverser les saisons sans jamais se démoder. Des pièces pensées pour sublimer la femme d’aujourd’hui, tout en capturant la lumière du futur. L’élégance audacieuse est un style qui célèbre la fluidité et la structure, le raffinement et la singularité. Ya’ïr, c’est la promesse d’un équilibre parfait entre modernité et héritage. Nous sommes impatients de vous en dévoiler davantage. Dans les prochains jours, nous dévoilerons l’histoire de Ya’ïr, ses inspirations et les valeurs qui nous animent. Restez connectées pour découvrir cette lumière qui révolutionnera votre garde-robe. 💫

Tout a été dit sur l’imagerie politique qu’évoque la dernière campagne de Louis Vuitton. Pour citer un ami : « une imagerie dont on ne sait pas trop si elle s'inspire d'un socialisme historique (douce ironie ?) ou mussolinienne (triste air du temps ?) ». Moi ce qui me frappe le plus c’est son côté "fake" tellement poussé qu’on a l’impression que c’est un parti pris créatif. Cette campagne s’inscrit dans une longue lignée d’images incroyables de scènes idéalisées (de Gorbatchev dans sa voiture longeant le mur de Berlin, à Ronaldo et Messi jouant aux échecs, Keith Richard dans sa chambre de palace ou André Agassi et Steffi Graf tendrement enlacés en mode repos des guerriers…). À chaque fois la scène parait improbable mais on a envie d’y croire, c’est une sorte de condensé grandiose d’un moment d’Histoire et de pop culture. Un voyage onirique dans le temps qui illustre à merveille l’art du voyage dans l’espace de LV. Mais là ? Pourquoi les coller en haut d’une montagne en tenue de ville, comme s’ils aillaient faire du bloc chez Arkose dans le Xème arrondissement ? Si c’est pour évoquer les sommets auxquels ils se sont hissés dans leur carrière exceptionnelle c’est lourdingue. Et sinon pourquoi ? Le fake de la situation est renforcé par le fake de la montagne représentée. On a l’impression que l’image est prise devant un fond vert tellement elle est travaillée. C’est sûrement mon amour personnel des Alpes qui me fait penser ça, mais cette campagne me donne l’impression que la montagne est devenue pour beaucoup de marques un vieux décors un peu désuet dont on ne sait plus quoi faire, à l’heure où l’enneigement baisse et le ski de piste se transforme progressivement en vague souvenir. Ce qui me fait d’ailleurs penser à la dernière campagne evian qui elle aussi représente une montagne en carton pâte, en mode « on s’en fout, l’été on va à la mer ». Au passage, on peut aussi souligner qu’il serait temps pour Louis Vuitton de penser à mettre un peu plus de femmes iconiques dans cette formidable saga (à ma connaissance seule Steffi Graf y est passée depuis 2007)…