📌 Dans le cadre du programme « Marchés de Capitaux pour une finance Durable et Inclusive IFC - International Finance Corporation - Paris Europlace - Université Paris Dauphine- PSL, soutenu par la Direction générale du Trésor (French Treasury), les 18 participants de la 4e promotion, représentants d’une dizaine de pays émergents, ont été reçus à Bercy par William Roos, chef du service des Affaires multilatérales et du développement (SAMD) et Jean BENSAID, directeur de Fin Infra pour échanger sur les grands sujets de développement, les principaux axes abordés ont été : 1️⃣ Les enjeux du financement du développement, dans ses différentes composantes, notamment les relations avec les multilatéraux. 2️⃣ La soutenabilité de la dette externe des pays émergents, sa gestion et le rôle du Club de Paris avec Philippe Guyonnet Dupérat. 3️⃣ Le financement des infrastructures, l’un des principaux défis des pays émergents, et les solutions déployées par les pouvoirs publics pour mobiliser le financement privé. ⏩ Ce rendez-vous d’échanges a également permis d’envisager de nouvelles pistes de partenariats Afrique-France. Ce programme de haut niveau, unique dans sa conception, rencontre un vif succès international, grâce, notamment à une mobilisation des acteurs publics et privés de la Place financière de Paris. Clarisse SENAYA | Marie Ross | Caroline Raiffaud | Olivier GINEPRO | Karim ZINE-EDDINE | Nadine Huynh | Tom Ceusters | Frederic Wandey | Valentine Robert Cohorte 2024-2025: Aïssa BOUGMA | Jacqueline Sonia SADI | Catherine NDIAYE | ANDRY LALAINA REGIS RAKOTOBE | Mohamed vall Abderahmane | Landry N'djomon | Freddy Kalubanga | Mahenina Vatsiniaina RABENASOLO | Gildas GASORE | Marc Samuel JOASSAINT | Mamadou Doudou SY | Francise Dominique Mbang Mviang | Georgette Oko | Esperanciana D.Obono Mico Bilogo | Darich EYENI KAKINDE | Fabrice Yoboue | Ange-Felix Zossou | Hamado Seogo
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Des échanges autour du financement du développement entre la DG Trésor et les participants du programme IFC-World Bank Dans le cadre du programme « Marchés de capitaux pour une finance durable et inclusive » porté par IFC-World Bank, Paris Europlace et l’Université Paris Dauphine- PSLé Paris Dauphine, avec le soutien de la DG Trésor, William Roos, chef du service des Affaires multilatérales et du développement (SAMD), et Jean BENSAID, directeur de Fin Infra, ont accueilli 18 participants au Ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie. Ces participants, issus des ministères des finances, banques centrales et autorités de marché d’une dizaine de pays d’Afrique francophone et d’Haïti, ont échangé sur les grands défis du financement du développement. Les discussions ont porté sur : 💠 Les enjeux du financement du développement, en lien avec les institutions multilatérales. 💠 La soutenabilité de la dette externe des pays émergents, sa gestion, et le rôle clé du Club de Paris, dont la DG Trésor assure la présidence et le secrétariat. 💠 Le financement des infrastructures, un défi majeur pour les pays émergents, et les solutions publiques pour mobiliser des financements privés. Ce moment d’échanges a également permis d’envisager de nouvelles pistes de partenariats entre l’Afrique et la France. Ce programme de haut niveau, grâce à l’implication des acteurs publics et privés de la Place financière de Paris, se distingue par son approche unique et suscite un fort intérêt international. IFC - International Finance Corporation Shanti Bobin, Clarisse SENAYA, Marie Ross, Alain BERDER, Antoine Bergerot, Maja D., Philippe Guyonnet Dupérat, Caroline Raiffaud, Paris Club Secretariat
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Oui,comme le précise justement l'honorable #Junior #MBUYI la situation actuelle, où 60% des fonds d'investissement dédiés à l'Afrique sont domiciliés hors du continent, soulève des préoccupations majeures pour le développement économique et social de la région. - Cette fuite des capitaux vers des juridictions comme le Luxembourg, le Delaware ou Dublin, est plus qu'un simple chiffre ; elle représente une perte de ressources financières vitales qui pourraient autrement être utilisées pour catalyser la croissance des PME africaines et améliorer les infrastructures locales. - L'Afrique est riche en potentiel économique, et pourtant, ce potentiel reste largement inexploité en raison du manque de confiance des investisseurs. - Il est crucial de comprendre que pour inverser cette tendance, l'Afrique doit offrir un environnement où les capitaux peuvent non seulement être investis en toute sécurité mais aussi croître de manière stable et transparente. - Cela signifie qu'il est impératif de renforcer la stabilité juridique, d'améliorer la transparence fiscale et d'assurer une régulation financière efficace sur tout le continent. - Le Kigali International Financial Centre (KIFC) au Rwanda et l'essor de l'île Maurice en tant que hub financier montrent que des initiatives bien conçues peuvent effectivement attirer et retenir les capitaux. - Ces exemples doivent servir de modèles pour d'autres pays africains qui cherchent à renforcer leur position sur la scène financière internationale. Il est temps pour les gouvernements africains de prendre des mesures concrètes pour stopper cette hémorragie financière. - Cela commence par l'amélioration des institutions financières locales, qui doivent être dotées des ressources nécessaires pour jouer un rôle actif dans le financement des entreprises locales. - La gouvernance doit également être améliorée, avec une lutte sans relâche contre la corruption et une gestion transparente des fonds publics et privés. -:Le développement des marchés financiers locaux, y compris les bourses de valeurs, est une autre étape cruciale. - Ces marchés offrent aux entreprises africaines des alternatives de financement qui ne sont pas dépendantes des capitaux étrangers. - En outre, les partenariats public-privé peuvent jouer un rôle clé dans le financement de projets d'infrastructure, mobilisant ainsi les ressources financières nécessaires pour des projets de grande envergure. Stopper l'hémorragie des fonds d'investissement africains nécessite une approche holistique et proactive. - En créant un environnement financier stable, transparent et attractif, l'Afrique pourra canaliser les investissements vers ses économies locales, soutenant ainsi une croissance durable et inclusive. - Les initiatives existantes montrent la voie à suivre, et il est temps de multiplier ces efforts pour réaliser pleinement le potentiel économique du continent.
Group Chief Executive Officer Quantitative Financial Risk Management & Modeling | FRM|Banking | Compliance & Regulatory President ThinkTank AfricaRisk |President JMB Foundation MBA FINANCE ESG Paris
‼️ Il est impératif de stopper l'hémorragie des fonds d'investissement africains 🌐 Une étude commandée par la Fondation MasterCard, en partenariat avec Mennonite Economic Development Associates (MEDA), et réalisée par une équipe d'experts internationaux, incluant Momentus Global (anciennement International Financial Consulting), Samawati Capital Partners et Stafford Law : 60% des fonds d’investissement dédiés à l’Afrique sont domiciliés hors du continent, principalement dans des juridictions comme le Luxembourg, le Delaware ou Dublin. 💹Cette situation prive l'Afrique de ressources financières cruciales pour le développement de ses PME et de ses infrastructures. ❇️Pour inverser cette tendance, il est impératif de renforcer la confiance des investisseurs en améliorant la stabilité juridique, la transparence fiscale et l'efficacité des régulations financières sur le continent. ❇️Des initiatives comme le Kigali International Financial Centre (KIFC) au Rwanda ou l'essor de l'île Maurice en tant que hub financier démontrent qu'une stratégie proactive peut attirer et retenir les capitaux. ❇️Continuons à œuvrer pour créer un environnement financier africain robuste, capable de canaliser les investissements vers nos économies locales et de soutenir une croissance durable. Bloomfield Investment Corporation STAN ZEZE-BAYARD George Arthur Forrest Habib BLEDOU Robert F. Jessica Bentayeb plus d’info : https://lnkd.in/eFjBYnFp #Investissement #Afrique #Développement #Finance #CroissanceDurable
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‼️ Il est impératif de stopper l'hémorragie des fonds d'investissement africains 🌐 Une étude commandée par la Fondation MasterCard, en partenariat avec Mennonite Economic Development Associates (MEDA), et réalisée par une équipe d'experts internationaux, incluant Momentus Global (anciennement International Financial Consulting), Samawati Capital Partners et Stafford Law : 60% des fonds d’investissement dédiés à l’Afrique sont domiciliés hors du continent, principalement dans des juridictions comme le Luxembourg, le Delaware ou Dublin. 💹Cette situation prive l'Afrique de ressources financières cruciales pour le développement de ses PME et de ses infrastructures. ❇️Pour inverser cette tendance, il est impératif de renforcer la confiance des investisseurs en améliorant la stabilité juridique, la transparence fiscale et l'efficacité des régulations financières sur le continent. ❇️Des initiatives comme le Kigali International Financial Centre (KIFC) au Rwanda ou l'essor de l'île Maurice en tant que hub financier démontrent qu'une stratégie proactive peut attirer et retenir les capitaux. ❇️Continuons à œuvrer pour créer un environnement financier africain robuste, capable de canaliser les investissements vers nos économies locales et de soutenir une croissance durable. Bloomfield Investment Corporation STAN ZEZE-BAYARD George Arthur Forrest Habib BLEDOU Robert F. Jessica Bentayeb plus d’info : https://lnkd.in/eFjBYnFp #Investissement #Afrique #Développement #Finance #CroissanceDurable
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La 3e session ordinaire des gouverneurs du Fonds de solidarité africaine (FSA) s'est tenue ce vendredi 21 juin, sous la présidence de Mme Nialé Kaba, ministre ivoirienne de l’Économie et présidente du FSA. Cette réunion a permis de faire le bilan des travaux du Fonds et de conclure deux accords importants avec des institutions financières internationales. Au cours de cette session, le conseil d'administration a mis en lumière les avancées notables du FSA. Deux accords majeurs ont été signés : une lettre d’intervention avec la Banque Africaine de Développement (BAD) et un accord de financement avec la Banque Arabe pour le Développement Économique de l’Afrique (BADEA). Selon Kobenan Tano, président du conseil d'administration du FSA, l'institution a réalisé des progrès significatifs ces dernières années. Ces efforts ont été reconnus par l'obtention de la notation Baa1 avec une perspective stable de Moody's. Cette reconnaissance internationale a été complétée par des notations "AA+" (perspective stable) et "A" attribuées respectivement par GC Ratings et l'Association des institutions africaines de financement du développement. Cependant, l'accès au financement en Afrique reste un défi majeur, en particulier pour les petites et moyennes entreprises (PME). Selon les données de Making Finance Work for Africa, environ 82,6 % des micro, petites et moyennes entreprises formelles en Afrique ont des besoins de financement non satisfaits. Mme Nialé Kaba a souligné l'importance de « redynamiser les actions du FSA, dont l'une des missions est de faciliter l'accès au financement des projets de développement tout en minimisant les risques ». Elle a ajouté : « Je suis convaincue que notre engagement commun en faveur du développement de l’Afrique nous permettra de délibérer avec sérénité et responsabilité pour porter toujours plus haut le flambeau de notre institution. » Le FSA joue un rôle crucial en garantissant les prêts bancaires et les emprunts obligataires pour le financement de projets industriels, agricoles, commerciaux, d'infrastructures et de services. Ces projets doivent être financièrement et économiquement viables et réalisés dans les États membres du FSA. La mission du Fonds est de contribuer au développement économique et au progrès social des États membres africains, en facilitant l'accès aux ressources financières nécessaires pour la réalisation de projets d'investissement et d'autres activités génératrices de revenus.
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Quand autant d'institutions financières publiques nationales comme le Groupe Caisse des Dépôts des Dépôts ou @Bpifrance se mobilisent, au service de leur économie nationale, sur un objectif de politique publique européenne, il y a de quoi s'attendre à un impact puissant, un effet réseau que favorise l'association européenne des investisseurs de long terme, European Association of Long-Term Investors (ELTI)!
Dans une tribune, les banques et institutions financières publiques des Etats membres de l’UE interpellent la Commission européenne et font des propositions pour stimuler la croissance durable et renforcer la compétitivité. Leur ambition 👉 maximiser l’impact des finances publiques. Groupe Caisse des Dépôts European Association of Long-Term Investors (ELTI) Bpifrance Eric Lombard European Commission European Investment Bank (EIB) #caissedesdépots #commissioneuropéenne #croissance #économie #france
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Le Programme Spécial de Désenclavement (« PSD ») a remporté aux African Banker Awards durant les Assemblées Générales de la Banque Africaine de Développement (« BAD ») au Kenya, en Mai 2024, la distinction “𝗗𝗲𝗮𝗹 𝗼𝗳 𝘁𝗵𝗲 𝘆𝗲𝗮𝗿 - 𝗗𝗲𝗯𝘁 (𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗻𝗻é𝗲)”. Cette distinction vise à récompenser la structuration unique en son genre du dit Programme. Regroupant plus de 70 projets de construction de routes au Sénégal en un programme et un seul financement, cette structuration aussi complexe à la particularité d’être une première dans son genre dans le financement des infrastructures en Afrique, et particulièrement en financement crédit export. Le Programme Spécial de Désenclavement (« PSD ») – Sénégal d'un montant total de EUR 774 Millions rentre dans cette dynamique. Le PSD est le fruit d’un partenariat solide entre SF Capital LTD, ASGC UK, UK Export Finance (l’Agence de Crédit Export Britannique) et la banque Japonaise MUFG, au bénéfice du Fonds D'Entretien Routier Autonome FERA-SN (« FERA ») du Sénégal. Ce programme à forte retombée économique et sociale représente plus de 2.700 km de routes à construire sur l’étendue du territoire et notamment dans les zones à fort potentiel économique ; a mobilisé 67 entreprises sénégalaises et 300 sous-traitants locaux et ; créera à terme plus de 50 000 emplois, impactant deux sénégalais sur trois (2/3) soit 11 Millions de personnes. L’Afrique requiert plus de $150 milliards par année pour combler son besoin en financement d’infrastructures ; dont seulement $50 milliards disponibles chaque année. Les financements EXIM représentent 1/3 de ce montant et sont souvent réalisés sans une implication conséquente des entreprises Africaines, qui ont certes la capacité, mais dont l’accès aux financement adéquats leur fait défaut. Cette structuration vient corriger cette anomalie d’où cette reconnaissance. La particularité de cette structuration repose sur l’implication des entreprises locales sénégalaises qui ont la capacité sans exception de bénéficier de ce programme. Fort de son succès, ce programme d'envergure ambitieuse a été dupliqué dans d'autres pays tels que la Guinée et le Gabon. #SFCapital #AfricanBankersAwards #Infrastructure #Development #Innovation #EconomicGrowth #SustainableDevelopment Moustapha SOW Lamine Mohamed SECK
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AFD - Agence Française de Développement | QUELLES NOUVELLES DISPOSITIONS POUR LES MARCHÉS FINANCÉS PAR L'AFD ? | Vendredi 21 juin 2024 ℹ️ Le Groupe AFD est aujourd’hui présent dans 115 pays et intervient sous la forme de prêts (en majorité), subventions, garanties, prises de participation, expertise ou assistance technique accordés à des États, collectivités locales, entreprises, fondations ou ONG. En 2023, l'AFD - Agence Française de Développement a engagé 13,5 Mds EUR. MEDEF International, en partenariat avec le Cian - Conseil français des investisseurs en Afrique, organise une réunion d’information autour de plusieurs représentants de l'AFD : - M. Papa Amadou SARR, directeur exécutif Mobilisation, Partenariats et Communication ; - M. Emmanuel BAUDRAN, directeur exécutif adjoint Solutions de développement durable ; - Mme Emeline OUDIN, responsable de la division Appui à la passation de marchés à l'AFD ; - Mme Julie Gonnet, responsable de la division Territoires et Entreprises ; - Le département Conformité de l'AFD. Objectifs de cette réunion : 🔹 Mieux appréhender les outils du Groupe AFD, notamment en ce qui concerne le financement d'infrastructures durables ; 🔹 Rappeler le cadre général de la passation des marchés et les aspects liés à la conformité ; 🔹 Appréhender les nouvelles directives de l’AFD en matière de durabilité et de prise en compte des critères RSE dans le cadre des appels d’offres. 👉 Inscription : https://lnkd.in/ecYqDdyP Stephanie LANFRANCHI, Julie Gonnet, Constance Bréhaut, Maya Manesse, Philippe Gautier, Sandrine Sorieul, Étienne GIROS, Virgil Ivanes, Alice Féray, Paul Vianey, Rayan ZABOUBI
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Une rencontre sur les nouveaux mécanismes de financement pour stimuler l’investissement à Tanger
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🚀 IFC lance une nouvelle plateforme mondiale de financement qui aidera les institutions financières à mieux servir les MPME Les MPME sont un moteur de croissance dans les marchés émergents et les économies en développement. Elles représentent plus de 90 % des entreprises dans le monde et contribuent à ~60-70 % des emplois à l’échelle mondiale. Elles souffrent cependant d’un déficit de financement d’environ 5 700 milliards de dollars, un obstacle majeur qui entrave leur développement. Pour combler ce déficit, IFC - Société financière internationale - a lancé une plateforme de financement innovante de 4 milliards de dollars qui aidera les prestataires de services financiers à fournir des prêts aux petites entreprises des marchés émergents, en particulier celles détenues par des femmes et axées sur l’agriculture et le climat. En savoir plus ➡ http://wrld.bg/F8gH50SbjYt IFC Financial Institutions IFC Africa Mohamed Gouled Tomasz Telma Adel Meer Galina Klimenko Yaa Boakye Matthew Brown Ernestine Emefa Nyavor-Foli Foreign, Commonwealth and Development Office Goldman Sachs
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Le 15 janvier 2025, une réunion cruciale sur le capital-investissement a eu lieu sous la présidence de Monsieur Laaziz Faid, Ministre des Finances. Cet événement a rassemblé les Directeurs Généraux des Sociétés de Capital-Investissement (SCI), des banques publiques et d'autres acteurs clés du secteur financier. L'objectif principal était d'évaluer l'état actuel du capital-investissement en Algérie et de définir des stratégies pour le renforcer, un enjeu vital pour le financement de notre économie nationale. Dans un contexte où l'Algérie cherche à diversifier ses sources de financement, le capital-investissement apparaît comme un levier stratégique. Les discussions ont mis en lumière la nécessité d'adapter notre cadre réglementaire et fiscal pour attirer davantage d'investisseurs. En effet, la loi de finances 2025 propose plusieurs réformes destinées à stimuler l'investissement, notamment des exonérations fiscales et des mesures incitatives pour les projets innovants. Parallèlement à cette dynamique, l'introduction en bourse de la Banque de Développement Local (BDL) prévue demain représente une étape significative dans la modernisation de notre secteur financier. Avec la vente de 44,2 millions d'actions représentant 30 % de son capital, cette opération vise non seulement à renforcer le capital de la BDL mais aussi à encourager la participation du secteur privé dans le financement des projets d'infrastructure. Ces deux initiatives – le renforcement du capital-investissement et l'introduction en bourse de la BDL – illustrent une volonté claire des autorités algériennes d'ouvrir davantage l'économie et d'attirer des capitaux privés. Cela pourrait transformer le paysage économique du pays, en offrant aux investisseurs des opportunités intéressantes tout en soutenant le développement durable et l'innovation. En tant que professionnels du secteur financier, il est essentiel que nous suivions ces évolutions de près et que nous participions activement aux discussions sur l'avenir du capital-investissement en Algérie. Ensemble, nous pouvons contribuer à bâtir un environnement propice à la croissance économique et à l'épanouissement de nos entreprises.
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