Post de PAXTER

L'IGESR vient de sortir un rapport intitulé : L’organisation de la première année des formations supérieures" (https://lnkd.in/eMDZfd2M). Ce rapport, même s'il propose de nombreuses bonnes idées, présente malgré tout quelques défauts majeurs. Déjà, il y a quelques trous dans l'analyse, comme l'absence de la prise en considération de la diversité des profils des étudiants de 1ère année depuis la réforme du bac (même s'il est mentionné à juste titre la sous-utilisation des "oui-si" par les formations). Et puis il y a de belles bêtises aussi, comme la recommandation n°6 : "indiquer dans Parcoursup, à côté du taux de réussite des inscrits administratifs, celui des étudiants assidus (ayant obtenu au moins une note supérieure à zéro dans chacune des UE dans lesquelles ils sont inscrits) par mention et par université". Donc si on vient à tous les examens en se débrouillant pour ne pas avoir 0, on est considéré comme assidu ? Beau message... On a aussi la recommandation n°2 : "demander à toutes les formations, y compris sélectives (notamment BTS, BUT, CPGE) de classer l’ensemble des candidats dans Parcoursup". Du coup, c'est quoi, la différence entre "sélective" et "non sélective" ?

Encore des doutes sur le choix de la filière ❓ 🙆🏾♂️ Success : la solution d'orientation professionnelle, universitaire et de carrière 💨 Les inscriptions et réinscriptions ℐ𝒮𝒯 𝒪𝓊𝒶ℊ𝒶 2000, 𝒾𝒸𝒾 c’est 𝓅𝓁𝓊𝓈 𝓆𝓊'𝓊𝓃ℯ ℯ́𝒸ℴ𝓁ℯ ✨ ℐ𝒮𝒯 𝓅ℴ𝓊𝓇 𝓁’ℯ𝓍𝒸ℯ𝓁𝓁ℯ𝓃𝒸ℯ ✅

L’organisation de la première année des formations supérieures. L’amélioration de la réussite étudiante a fait l’objet de nombreuses réformes depuis 2018. La complexité de l’offre, sa segmentation entre formations sélectives et non sélectives, le débat sur la faible réussite en licence sont des sujets de préoccupation récurrents en même temps que des enjeux de politique publique. Un rapport de l'IGESR, très documenté et appuyé sur un matériau assez conséquent (plus d'une quarantaine d'établissements du supérieur et du second degré visités, plus de 800 personnes rencontrées) centre son analyse sur la première année de licence et cherche à identifier des déterminants de la réussite étudiante. Les points abordés sont l’élaboration de l’offre de formations, l’orientation entre secondaire et supérieur, l’accueil et l’accompagnement des étudiants (et notamment les dispositifs prévus par la loi Orientation et réussite des étudiants), la relation entre vie étudiante et formation, les questions pédagogiques et l’encadrement. Au-delà des scénarios visant à augmenter l’encadrement en licence, le rapport insiste particulièrement sur la "proximité pédagogique" entre enseignants et étudiants, un élément clé pour améliorer les conditions de formation, d’études et de réussite. Le rapport formule 19 recommandations qui visent à rendre plus lisible de l’offre de formation, fluidifier les parcours des étudiants, mieux articuler secondaire et supérieur, à améliorer les conditions d’accueil, d’études et d’encadrement. Françoise Fliche Frédéric Forest Amaury Fléges Pierre-Yves Cachard Aziz Jellab Michel Lugnier

En fait, le baccalauréat a encore une forte valeur en Allemagne 🇩🇪 et en Grande-Bretagne 🇬🇧 et plus du tout en France 🇫🇷: voilà la différence essentielle. Pourquoi ? Tous les élèves ne vont pas au lycée classique en Allemagne 🇩🇪. La sélection a lieu très tôt à la fin de la 4eme classe. L’accès à l’université de votre choix est conditionné par vos notes au baccalauréat en Grande-Bretagne 🇬🇧. Les universités dans les filières prisées sont donc très sélectives : il faut un très bon dossier confirmé par de très bonnes notes dans toutes les matières (pas seulement les A-Level). Les élèves de 12.Grade travaillent donc beaucoup et le niveau en sciences est celui d‘une classe préparatoire. C‘est donc une excellente préparation pour l’université.

⭐ L'organisation de la 1ère année des formations supérieures : un rapport de l'IGÉSR à lire absolument ! Olivier Rey ⭐⭐"Absolument" parce qu'il met en lumière et par écrit des évidence et des réflexions qui perdurent et qui se discutent parfois depuis de nombreuses années : - "La faible reconnaissance de l’investissement pédagogique des enseignants-chercheurs ne facilite pas la réflexion sur la qualité des enseignements. La possibilité de soutenir une « habilitation à diriger des formations » constituerait à cet égard un signal fort adressé à la communauté universitaire" - "L’évaluation des enseignements demeure limitée et présente rarement un caractère systématique bien qu’elle soit inscrite dans les textes depuis de nombreuses années. Elle est souvent remplacée par une évaluation de la formation" - "Il convient de rappeler que l'université accueille une majorité de néo-bacheliers qui découvrent de nouvelles méthodes de travail auxquelles ils ne sont pas toujours préparé" - "La question des espaces (universitaires) ne saurait être séparée de celle du temps étudiant." - La vie étudiante est au cœur des réussites des étudiants. - La questions du sous-encadrement est également évoquée Ces réflexions vont-elles aboutir à des actions concrètes ? Est-ce à chaque établissement d'en prendre la mesure ? #pedagogie #réussite #etudier #apprendre

Inspé : le nombre d'étudiants inscrits en Master MEEF 1er degré est reparti de l'avant (SIES) Paru dans Scolaire, Orientation le mercredi 19 juin 2024. Avec 52 425 étudiants, les effectifs dans les Instituts nationaux supérieurs du professorat et de l’éducation (Inspé) sont de nouveau en baisse en 2023-2024, calcule le SIES dans une note publiée le 18 juin. Cette diminution, explique le service statistique du ministère de l'enseignement supérieur, est de 2,4 % en moyenne sur un an, ce qui représente quelque 1 200 étudiants de moins dans ce parcours menant à une carrière enseignante. Elle est cependant “bien moins marquée“ que l'année précédente (-13,3 %), et essentiellement due à une chute de 4,5 % des effectifs en 2ème année, ceux en 1ère année étant relativement stables. Pourtant en première année d'Inspé en 2023-24, 10 940 étudiants étaient inscrits en Master Meef (Métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation) “1er degré“, c'est à dire pour devenir professeur des écoles, soit 3 % de plus que l'an dernier. Un peu moins se sont dirigés vers un Master Meef du 2nd degré (10 019 étudiants), formation qui https://lnkd.in/eC9pJP5b

Effectivement, la question n'est pas de savoir quel niveau est nécessaire pour aller en prépa mais quelle prépa me permettra de réaliser mon projet selon mon niveau. Pour une même filière, la sélectivité des établissements peut s'étaler de 5 à 90%. Il y a presque toujours une prépa qui peut vous accueillir. La question de la réussite est ensuite en grande partie une question d'attitude face à de nouvelles exigences. https://lnkd.in/dMxB6gfJ

MON MASTER & DROIT A LA POURSUITE D'ETUDES Le droit à la poursuite d'études est devenu bien plus théorique que concret. Il est le symbole de l'incapacité des rectorats à satisfaire un droit des étudiants garantie par la loi, sans que cela n'émeuve le Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche "Le recteur doit lui proposer au minimum trois admissions, dont une dans l’université où il a obtenu sa licence. Elles doivent être le plus cohérentes possibles avec son projet universitaire et professionnel. Mais ça, c’est la théorie. Dans la réalité, c’est plus compliqué : parfois, le rectorat n’ y arrive pas" https://lnkd.in/eu2SvjR4

[🏆 #Classement] La Rochelle Université est fière de se placer 4e du classement général des #licences de l'Etudiant ! Sur 69 universités françaises, et en fonction du taux de #réussite en 3 ans de nos étudiant·es, l'Université se classe également : 🥈 Top 2 des licences Sciences et santé 🥉 Top 3 des licences Lettres art et sciences humaines et sociales 🏅 Top 5 des licences Droit et sciences politiques 🏅 Top 8 des licences Économie et AES

Au dernier jour des choix sur Parcousup il est intéressant de constater l'attractivité de nos formations de Licence auprès des meilleurs bacheliers. Ils ne se trompent pas et leur confiance oblige ceux auxquels ils confient leur avenir ! Les Facultés de Droit offrent, dès la Licence, une formation humaine et intellectuelle inégalée à ceux qui veulent s'en saisir. Parmi elles, l'Ecole de Droit de la Sorbonne, à Paris, au Caire ou à Bucarest, accompagne avec une commune exigence ses étudiants dans la diversité de leurs parcours ! Mais pour remplir pleinement son rôle, auprès des étudiants français comme des étudiants étrangers qui sont nombreux à vouloir la rejoindre, l'Université a besoin de moyens, financiers et humains. Pour accroître son rayonnement et celui du Droit français, donc l'influence de la France, elle doit être soutenue et accompagnée !