Post de Philippe Asensio

Sur le fil ! On a eu de la "chance" !! 😅 🚨 La dernière journée de championnat de la ASS PAZENAISE TENNIS DE TABLE était à hauts risques. 3 équipes avaient besoin de gagner pour se maintenir = 🔴 pression négative 4 équipes avaient besoin de gagner pour monter = ✅ pression positive Dans le sport ⚽ 🎽 🏸 et dans beaucoup de situations professionnelles, le succès ou l'échec se jouent souvent sur des détails, la bonne forme le bon jour, le surplus d'énergie au bon moment. Ces détails se construisent toute l'année par l'entraînement, par la répétition, la stratégie ou la réflexion. Lors du "closing", on félicite 👏 toujours celui qui a transformé le succès, on cherche à analyser et comprendre ce qui a fait la réussite le jour "J". Son mérite est réel. Il a su faire la bonne action avec la pression du résultat immédiat. Mais surtout ! 👁 - N'oublions pas le travail de l'ombre sans lequel rien ne serait possible. - N'oublions pas les femmes et les hommes qui ont apporté leur pierre à l'édifice à toutes les étapes : ❎ le remplaçant lors de la 3ème journée il y a 7 mois qui a fait basculé un match crucial. ❎ le consultant avant-vente qui a rédigé un chapitre complet dans l'urgence la veille de la remise. ❎ la commerciale qui a obtenu la première prospection sur cette affaire il y a 2 ans. Tous ont eu leur mérite ! 💪 Tous ont su obtenir leur résultat intermédiaire sous la pression du moment. Cette pression n'était pas forcément moins importante. Cette année, à La Pazenaise, avant cette dernière journée, la confiance globale était considérable. Toutes les équipes étaient convaincues de leur victoire. 🏆 On a fait 7 / 7 ! 🙌 Toutes ont atteint leur objectif sous la pression. La Nationale se maintient (!!!), l'équipe régionale va rejoindre la R2 pour la première fois de son histoire !! Notre équipe numéro 6 (sur 9) jouera désormais en Départementale 2 ... Elle était en D4 en 2019. Le club n'a subi aucune relégation depuis 3 ans. Toutes équipes confondues. 🤩 Je ne sais pas si beaucoup de clubs peuvent s'enorgueillir d'une telle statistique. Alors, je ne crois pas que nous ayons eu particulièrement de la "chance", l'état d'esprit positif du club a amené le surplus de confiance qui a permis ces exploits. 🎖 Il n'est pas neuf. Il a traversé les années et les générations de joueurs. C'est un marqueur de notre club. Entretenons-le. Bravo 👏 ASS PAZENAISE TENNIS DE TABLE, Vincent GIRAUDEAU, Antonin Longépé, Lucas Guilbaud, Denis ROY, Valentin HACHET, Allan Brault, Sonia Prodhomme

En dépit de performances sportives plutôt convaincantes, avec deux victoires en autant de rencontres, le XV de France traverse une période des plus délicates lors de sa tournée en Argentine. Les affaires extra-sportives ont pris le pas sur les résultats, plombant l’ambiance au sein du groupe. À la veille d’affronter les Pumas pour un troisième et dernier test, les Bleus paraissent comme assommés par le poids des événements. Un bilan sportif en demi-teinte éclipsé par les scandales Sur le papier, le bilan sportif de ce déplacement en Argentine est plutôt flatteur. Une victoire nette 13-28 lors de la première confrontation, suivie d’une prestation aboutie des jeunes pousses du XV de France “développement” face à l’Uruguay (28-43). Mais ces bons résultats ont été relégués au second plan par un contexte extra-sportif nauséabond. Les propos à caractère raciste tenus par l’arrière Melvyn Jaminet ont d’abord jeté un froid. Dans la foulée, la mise en examen des deux jeunes joueurs Hugo Auradou et Oscar Jégou pour viol aggravé et agression sexuelle a fait l’effet d’un séisme. Deux affaires qui entachent sérieusement l’image des Bleus et plombent forcément le moral des troupes. Le défi de la remobilisation pour le staff Dès lundi, l’encadrement du XV de France a dû se plonger dans un travail de remobilisation des joueurs sur le plan psychologique. Un véritable défi vu le contexte. Fabien Galthié a convenu que l’aspect mental avait pris une place prépondérante dans la préparation de ce dernier match : On a vraiment fait un travail collectif. On a aussi des préparateurs mentaux qui nous accompagnent. C’est un domaine dans lequel on a beaucoup investi cette semaine. Fabien Galthié, sélectionneur du XV de France Malgré ce travail, difficile d’imaginer les joueurs aborder ce dernier test dans les meilleures dispositions mentales. Le demi de mêlée Baptiste Couilloud le concède, tout en mettant en avant le professionnalisme du groupe : Évidemment que ça nous a affectés mais c’était aussi notre devoir de réagir sur le terrain. Baptiste Couilloud, demi de mêlée du XV de France Un match de trop face à l’Argentine ? Au vu du contexte pesant, on peut légitimement se demander si disputer cette ultime rencontre en Argentine a vraiment du sens. Au-delà du résultat, ce qui restera dans les mémoires de cette tournée, ce sont bien les affaires sordides. Comme l’a rappelé le président de la Fédération française de rugby (FFR) Florian Grill, « le rugby est anecdotique, tout le reste est accessoire ». Des mots forts qui résument bien ce voyage viré au cauchemar pour le XV de France. L’essentiel est désormais de tirer les leçons de ces tristes événements et d’œuvrer pour qu’ils ne se reproduisent plus. The post XV de France : Le Lourd Fardeau d’une Tournée Entachée par le Scandale first appeared on ViralMag.fr.

⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ 《 ❝ Il ne suffit pas d’enfiler le maillot du Stade Toulousain pour devenir invincible! ❞ 》 👉 Ugo MOLA, manager du ST ➤ [Rugbyrama], 13 décembre 2024 [À deux jours du déplacement des Rouge et Noir sur la pelouse d’Exeter, Ugo Mola fait le tour de l’actualité de son équipe] [...] ❝Ça travaille suffisamment, à l’heure actuelle, bien pour qu’on ait un effectif qui s’étoffe, de par la présence de nos joueurs qui ont percé depuis deux, trois ans, de par les nouveaux qui émergent, de par la concurrence et l’émulation qui existent entre tous. Il faut qu’on conserve ça le plus longtemps possible. J’ai terriblement confiance en mon club, en mon groupe et je sais qu’on peut compter sur un nombre élargi de gars parce que, l’envie aidant, le niveau d’entraînement aussi, beaucoup d’entre eux existent et rentrent dans la discussion. Cette gestion, c’est peut-être la partie du job du coach qui est la plus délicate puisqu’on aligne quinze joueurs plus huit remplaçants alors qu’on s’entraîne à 40, 45, 50. Ce qui me plaît, en tout cas, au-delà de tout, c’est que le niveau d’exigence ne baisse pas, que l’envie de jouer au rugby ne baisse pas. Il faut que les gars soient passionnés par le rugby. Quand on a ça, après…❞ [La domination toulousaine] ❝J’ai vu que ça a fait un peu les choux gras : les victoires françaises, notamment celle du Stade toulousain… On parle d’hégémonie, on parle de championnat parfois même un peu tronqué. […] On est un peu dans l’œil du cyclone médiatique, de certains présidents. Il y a un ton qui est particulier sur nous en ce moment. On essaie d’être un peu hermétique à tout ça. […] Nous, on travaille pour être le moins imparfait possible, pour être au “max” en termes de performance, pour exploiter les qualités de notre formation, les qualités de nos joueurs internationaux… Et il y a des moments où tu sens que l’amalgame prend peut-être un peu plus que d’autres. Il y a un niveau de confiance mais toutes les périodes sont faites pour être remises en question. On a d’ailleurs connu notre lot de défaillances : ça a été un temps sur la mêlée, un temps sur le jeu au pied, un temps sur notre capacité à marquer sur contre-attaque ou autre. Notre job, avec le staff et l’ensemble du groupe, c’est de rester à un niveau de vigilance élevé. Il faut faire attention à ne pas trop nous taper sur le ventre ou nous frotter le dos pour ne pas perdre l’éveil qui est le nôtre. Chaque fois qu’on a été éveillé, on a été performant. Alors, l’autosatisfaction, si ça ne vous embête pas, je le ferai quand j’arrêterai, si encore j’ai la chance de continuer à avoir des résultats. […] On sait que c’est fragile, on sait qu’une blessure d’un joueur majeur peut remettre pas mal de choses en question. Le premier à savoir que tout est fragile, il est face à vous. Je suis convaincu que tout ça est d’une fragilité rare... [La suite et la fin de cette interview en 1er commentaire]

L’Euro de football ? Alors que certains voyaient la victoire de la France à cette compétition footballistique, nous devons nous résigner à reconnaître que nous avons eu quand même de la chance pour arriver à la demi-finale. La préoccupation de certains joueurs était-elle réellement à la compétition ? Nous pouvons en douter. Certaines déclarations n’avaient rien de sportives. Où était le patron ? Dans ces compétitions, comme dans toutes les compétitions, être à cent pour cent ne suffit pas pour l’emporter. Nous sommes probablement à notre juste place. Cette équipe de France est à l’image du pays et n’a pas l’appétit nécessaire pour aller sur la première marche. L’intention, qu’elle soit sportive, professionnelle et même quotidienne n’est pas suffisante dans la vie. Il faut de la motivation, de la persévérance et du travail pour obtenir parfois peu. Mais, le résultat est à ce prix. Il y a ceux qui ont de l’ambition et ceux qui ont de la prétention. Ce n’est pas tout à fait la même chose. Dans le sport, nous avons autant d’entraîneurs ou de sélectionneurs que d’individus mais est-ce que cela fait une équipe ? Dans quelques semaines ou quelques mois, nous aurons sans doute des révélations ou des règlements de comptes qui expliqueront pourquoi cette équipe de France n’avait que d’équipe que le nom ! Si dysfonctionnement il y a eu, pourquoi ne pas mettre sur la table ce qui ne va pas et dialoguer entre adultes ? Est-ce un crime que de ne pas être en pleine possession de ses moyens et de le dire franchement plutôt que de le cacher ? La fatigue, qu’elle soit physique ou morale, est humaine et peut toucher tout le monde alors pourquoi le nier ?

• IMPACT CONSEIL : management global, développement commercial mais aussi des activités dans le milieu du #sport. • Alors parlons justement un peu de sport et plus particulièrement de #boxe anglaise, une des #disciplines que j’affectionne, plus encore que le #football, d’où je viens pourtant. • Fury vs Usyk, #championnat du monde tant attendu pour l’unification des 4 ceintures des poids lourds (WBA, WBC, WBO, IBF) samedi dernier à Ryad (Arabie saoudite). Au 9è round, bien que Fury soit à la dérive, l’arbitre s’interpose un peu vite à mon sens en le comptant debout. Ou alors, il aurait dû le déclarer KO technique. Car s’il laisse encore quelques secondes de #combat dans cette 9ème reprise, Fury va au sol. • Après est-ce qu’il se serait relevé avant le compte de 10 ?🤔 Nul ne le saura jamais donc je me garderai bien de faire des supputations inutiles de toutes façons. • Cela étant, je suis content pour Usyk (victoire finalement aux points : 2 juges à 1) car j’aime son humilité, son espèce de détermination sereine ainsi que la #force tranquille qu’il dégage, en plus d’être un boxeur complet ayant une grande #science du ring, et qui a été champion du monde dans 2 catégories différentes, dont celle des lourds (en ayant unifié le titre désormais), ce qui n’est pas donné à tout le monde. • Qu’en pensez-vous ? 😎Sur ce, bon lundi à tous. Christophe Tiozzo Maxime Beaussire Arnaud ROMERA Emmanuel Ambrosetti AMOS - Sport Business School PPA Business School Frédéric Barbin - Dirigeant • Manager • Formateur IMPACT CONSEIL 📥f.barbin@impactconseil.com

Avec l’Euro qui se termine à peine et les JO de Paris dans quelques semaines, le sport est omniprésent cet été. J’aime bien faire des analogies entre le milieu professionnel et le sport et en ce moment, je suis fascinée par le football américain. 🏈 Pour moi un chef de projet se situe entre le Quaterback qui est souvent considéré comme le poste le plus crucial sur le terrain et le receveur pour sa vitesse et sa precision. Responsable de lancer le ballon aux receveurs, le Quaterback est la pièce maîtresse qui coordonne les jeux offensifs et parfois modifie les stratégies. Il est considéré comme un véritablement chef d’orchestre sur le terrain. Sa capacité à prendre des décisions rapidement et à analyser la situation sont essentielles pour conduire son équipe à la victoire. Mais s’il y a un poste qui attire beaucoup mon attention, c’est celui de receveur. Il est rapide, agile pour capturer le ballon envoyé par le quarterback afin de le déposer en end zone. C’est ce travail de finition, le touch down, qui caractérise notre métier de chef de projet. Sans une bonne passe, sans une bonne stratégie, sans une bonne défense, nous ne sommes rien. Un projet c’est pareil. Peu importe le nombre de yard, qu’un projet dure quelques semaines ou quelques années c’est la finition qui compte et le chemin est long et tortueux pour se faufiler jusqu’à la ligne d’arrivée. La performance de toute l’équipe est déterminante dans le rôle de pilote de projet. Avec un bon receveur ce n’est pas la victoire assurée. Il lui faut un ensemble de conditions pour exceller mais quand elles sont réunies c’est imparable ! Et vous quel sport se rapproche le plus de votre métier ? 🤸🏼♂️🤾🏼♀️🏌🏻♂️🏇🏻🤺⛷️🪂🏂🏊🏻♂️🚴🏼♂️ Adrien Bousson Benjamin Le Panse Céline Dufour Houplain Lombardelli Luisa Alexandre PHAN

On m’a souvent demandé comment j’étais arrivé au rugby 🏉 J’ai toujours répondu “parce qu’on ne voulait pas de moi au foot”. Eh oui, nous avons tous tapé dans un ballon entre copains, à la récré, sur un terrain vague, parfois même sur un stade. Moi comme tous les autres, avec le même enthousiasme, le même appétit, les mêmes espoirs un peu fous sauf que… Vers 12 ans, avant d’être boosté par la puberté, je passais pour être ce que l’on appelait alors “un petit gros”. Et forcément, devant supporter quelques kilos de trop : ▪️ Je courais moins vite. ▪️Je changeais d’appui moins rapidement. ▪️Je m’essoufflais aussi (bien avant la mi-temps). Mes amis m’ont fait comprendre que je serais peut-être plus efficace comme gardien. Mais après avoir laissé passé trop de tirs, tout le monde m’a fait comprendre qu’il était temps de sortir. Vous imaginez mon désarroi ? 😔 Privé de foot, de copains, de prestige, de rêves aussi. Et puis j’ai rencontré Eric (bien plus enveloppé que moi). Je lui ai fait part de mon désarroi sur le thème “nous les gros…” Il a éclaté de rire. “Tu as déjà essayé le rugby ?”, m’a-t-il demandé. “Oh que non ! Un sport de brutes où il n’y a que des coups à prendre, tu penses.” Eric a ri encore et m’a donné rendez-vous au stade le samedi suivant. Tout a commencé là. Il ne m’a pas fallu très longtemps pour comprendre qu’au rugby, il y a de la place pour tout le monde. Parce qu’une bonne équipe, c’est une addition de compétences et de potentiels assez spécifiques. Et en même temps, on doit aussi pouvoir prendre le poste du copain blessé, ce qui suppose d’avoir de la polyvalence aussi — et une grande souplesse mentale. C’est vrai, il faut un minimum d’entraînement, de connaissances techniques et tactiques. Il faut également apprendre à gérer son énergie, tantôt en la canalisant, tantôt en la débridant. Il faut surtout avoir au moins deux paires d’yeux. Une pour repérer les copains, l’autre pour radariser les adversaires. Il faut enfin respecter les règles et accepter les placages, mêmes ceux qui font mal. C’est comme ça, le rugby : un sport hyper complet qui apprend à avoir confiance en soi autant qu’à compter sur les autres. Un sport de valeurs vraies, mises en application pendant 80 minutes, et bien au-delà. Ce que vous apprenez au rugby à 12 ans vous accompagnera, vous aidera, vous soutiendra tout au long de votre existence. Avec le temps et les matches qui se succédaient, j’ai à peu près joué tous les postes pendant près de quatre ans. Et puis est venu le temps des études supérieures… J’avais un peu moins de temps pour l’ovalie et surtout, j’avais grandi. On m’appelait “la tige” dorénavant. Un jour que je m’étais fait mal à l’épaule sur un placage un peu optimiste, j’ai un copain ailier qui m’a dit, avec son magnifique accent d’Agen : “Oh, la Tige ! Tu devrais pas essayer d’arrêter les camions, tu n’as pas assez de viande… Pour te dire la vérité, je crois que tu ferais mieux de jouer au foot”. La boucle était bouclée.

Imaginez un instant Kylian Mbappé ou Antoine Dupont troquer leur maillot habituel contre une tunique noire et un sifflet autour du cou. C’est le défi un peu fou relevé par plusieurs sportifs français de premier plan dans le cadre des “Journées de l’Arbitrage” organisées par La Poste. L’objectif ? Sensibiliser les jeunes à ce rôle essentiel mais parfois mal-aimé. Quand les stars enfilent le sifflet Cette initiative originale s’est déroulée mercredi dernier sur la pelouse du FC Issy dans les Hauts-de-Seine. Au programme, des matchs de jeunes ponctuée par les coups de sifflet de guest stars inattendues : Christian Karembeu, champion du monde 98 et parrain de l’opération Gaël Fickou, international de rugby à XV Franck Seguela, vice-champion olympique de basket 3×3 Sous l’œil bienveillant de trois arbitres internationales, Alexandra Collin, Audrey Gerbel et Victoria Beyer, les sportifs se sont prêtés au jeu avec plaisir et sérieux. L’objectif étant de vivre de l’intérieur cette expérience unique et de transmettre leur passion. Le défi de l’arbitrage au quotidien Au-delà de cette opération coup de projecteur, il s’agit surtout de mettre en lumière les enjeux cruciaux autour de l’arbitrage amateur. Un rôle ingrat et exigeant, souvent cible de critiques et même parfois de violences. Pourtant, sans arbitres, pas de compétitions possibles. Être arbitre, c’est d’abord une passion. Mais cela demande aussi beaucoup d’investissement, de la rigueur et une sacrée dose de mental. Il faut du courage pour enfiler ce maillot chaque week-end. confie Alexandra Collin, arbitre internationale. Exercer cette fonction est pourtant essentiel pour assurer le bon déroulement des matchs, faire respecter les règles et incarner les valeurs du sport. Un engagement de tous les instants qui mérite d’être valorisé auprès des jeunes licenciés. Donner envie aux jeunes de s’engager L’opération “Arbitre d’un jour, arbitre toujours” a ainsi pour ambition de susciter des vocations chez les jeunes footballeurs présents. Le message est clair : l’arbitrage est une école de la vie qui permet de se dépasser et de vivre le sport autrement. Cette journée aura aussi permis de casser certains préjugés sur le rôle de l’homme en noir. Concentration, dialogue, gestion des émotions… Les qualités requises sont nombreuses. Un défi stimulant pour la jeune génération en quête de valeurs et d’engagement. On espère que cette journée aura donné envie à certains de franchir le pas. L’arbitrage a besoin de sang neuf et de passionnés pour assurer la relève. Positive Christian Karembeu Une initiative originale à saluer et qui devrait essaimer dans d’autres disciplines. De quoi rappeler que derrière chaque coup de sifflet se cache un sport plus responsable et passionnant que jamais. Alors, prêt à relever le défi ? The post Quand les stars du sport s’improvisent arbitres d’un jour ! first appeared on ViralMag.fr.

Championnat de France ❌😪 Bilan mitigé avec un finish amère. C’était clairement pas le retour que j’avais prévu. - Sélectif : grimper sous pression avec la peur ca ne mène à rien. - Dockmaster (open international) : Une victoire savoureuse après ces deux années compliquées. La motivation et le niveau sont présents. - Contest de réglage : Les feus sont au vert mais il reste encore quelques réglages avant de pouvoir sortir ma meilleur grimpe. - Grippe à j-10 : « petite » perturbation, mais on fait avec. - Championnat de France : 💔 Début de compétition prometteur. Mais une demi final avec beaucoup trop d’erreurs qui ne pardonnent pas à ce niveau, fin de compétition prématurée ❌ Dur à encaisser. L’année dernière à l’hôpital en sortant de l’opération de mon poignet j’étais à deux doigts de baisser les bras, de me dire que c’était fini et de passer à autre chose. J’ai pris le temps de réfléchir (6 mois) pour finalement décider de repartir, et de ne pas faire les choses à moitié. Je suis reparti déterminé, j’ai changé beaucoup de chose dans ma préparation et je suis arrivé en forme sur les échéances. Malheureusement le résultat sur le papier est très loin de mes objectifs et de ce je suis capable de faire. Mais les résultats ne mentent pas, et il reste du travail pour atteindre mes objectifs. Même si cette saison est tres loin d’être satisfaisante il y a du positif : ➕: Le niveau physique était bon, j’ai amélioré tous mes test physiques. De gros progrès dans mes points faibles. Le mental a réussi à suivre et je penses avoir débloqué des choses. J’ai cru en moi pour la première fois depuis très longtemps. Et le meilleur : aucunes douleurs, pas de blessure. Avec du recule c’est déjà une belle victoire personnel ! ➖: Il va falloir travailler sur la concrétisation. Réussir à aller chercher ce que je viens chercher sur une competition. Un gros travail sur le style actuel qui est de plus en plus aléatoire pour combler les points faibles. Et maintenant la suite ? 🤷♂️ 📸 Arthur Delicque #escalade #competition

🤔👉Les joueurs d’aujourd’hui n’ont pas énormément de différences avec ceux que j’ai entraînés. L’espèce bouge, mais bouge peu, même si le jeu de rugby a subi quelques percussions qui l’ont un tantinet transformé. De fait, il en a subi une grosse. Et c’est le champ moral qui a été touché. À partir de l’an 2000, il y a eu un changement de loi: on sera rugbyman pour réussir sa vie. Le statut professionnel, qui a mûri lentement mais sûrement depuis les années 1960, touche un peu l’âme. Les rugbymen sont toujours aussi sociables. Mais ils sont pros. Ils sont mercenaires au sens propre du terme, car ils vont jouer pour ceux qui les payent. Le rugby, lui, souffre, mais reste un jeu sublime. 🤔Interrogé sur les affaires qui ont éclaté en Argentine et qui ont sali l’image du rugby Français, Daniel Herrero réagit à sa manière. Extrait: Je vois avec une forme d’inquiétude les choses d’aujourd’hui. La jeunesse est turbulente, et c’est l’une de ses richesses. Mais, entre la turbulence et l’espièglerie, il y a des proximités. Et entre l’espièglerie et la bêtise, ça s’approche encore. De fait, le jeune, quand il rencontre la force du groupe, est potentiellement à l’orée d’une aventure sublime pour l’homme et, en même temps, d’un certain nombre de risques qu’il n’évacuera jamais: la violence potentielle, l’irrespect des autres… ❤️👍Car, à chaque carrefour, il y a risque. […] Le jeu de rugby, lui, n’est pas coupable. Au contraire. Le jeu de rugby est encore une espérance. D’aucuns le penseraient même à l’échelle sociétale, comme moi. Mais il n’est pas pompier de la société. Il ne va pas éteindre tous les feux. Le monde ovale n’a jamais estimé que notre jeu était un remède. 👉Il est une expérience de vie. Daniel Herrero #rugby #valeurs #equipe #effort #ensemble #victoires #jeux #strategie