Post de Philippe Deliège

Ce que nous déciderons de faire durant les 20 prochains années déterminera la futur de la vie sur terre 🌏 ✅ Est-ce une utopie d’imaginer une société où l’homme vivrait en harmonie avec son environnement, non obsédé par la croissance à tout prix mais attentif à l’équilibre écologique et humain ? Une société consciente et responsable, où la solidarité et la coopération remplaceraient la compétition permanente ? ✅ Est-ce utopique d’envisager une société où les femmes et les hommes écouteraient ce que leur dicte leur coeur pour améliorer le monde et le faire évoluer en s’inspirant du bon sens et de la sagesse ? Où les individus se connecteraient à leur raison d’être et se donneraient les moyens de l’incarner et pas seulement dans les centres de méditation mais également dans la société civile et dans le monde de l’entreprise ? ✅ Est-ce une utopie de croire que la sagesse a sa place dans l’économie ? Si oui, alors c’est une utopie qui nous anime déjà, hommes et femmes, premiers ambassadeurs d'Inspirem pour qui la quête de sens et l’engagement de leur entreprise pour notre société, et notre humanité, résonnent comme un appel impérieux et vivant. Rejoignez un mouvement de décideurs et d'entrepreneurs pionniers animés par l’intelligence du cœur. ❤️ Notez dès maintenant notre premier rdv ensemble : Jeudi 16/5 à 18h30 : "S'aligner à sa raison d'être et changer le monde de l'intérieur" J'ai hâte de vous y retrouver. A très bientôt, Rezlaine ✨ Prenez soin de vous, de la vie et de notre planète 🌏 📽 Merci infiniment cher Antoine Dutauziet de ton témoignage 🙏

🛶 De l’entretien de @Reporterre, le média de l'écologie avec Baptiste Morizot, je retiens 3 éléments à partager pour mieux diriger notre navigation en eaux troubles.   💎 La question du degré d’intelligence et de conscience des autres êtres vivants n’est pas un sujet car il s’agit de faire alliance avec d’autres vivants, de participer ensemble à soutenir les dynamiques qui maintiennent la planète habitable.  💡Décrochons de notre posture d’humains au sommet d’une pyramide correspondant à nos critères et nouons-nous avec ceux qui agissent pour le vivant de manière créative depuis des millions d’années ! 💎L’acrobatie intérieure. Nous sommes à un de ces moments pivots dans notre rapport au monde où les cadres de pensée du passé se sont effrités.  Sans disposer encore de tous les concepts nécessaires, nous initions «de nouveaux rapports avec le monde vivant, une nouvelle compréhension de ce qu’on nomme la nature, une nouvelle pensée de l’action technique permettant de vivre de manière soutenable sur Terre”. Comment tenir ensemble la nécessité d’agir dès maintenant, de transformer nos pratiques, de lutter contre les héritages destructeurs tout en acceptant de ne pas savoir exactement où nous sommes, ni où il faut aller, sans certitude absolue sur le bien et le mal ? 💡 “C’est la grande acrobatie intérieure dont nous avons besoin. Quel degré d’incertitude un esprit peut-il supporter sans renoncer à agir ? C’est peut-être une sagesse du futur”. 💎 Effondrement vs bouleversement Parler de bouleversement plutôt que d’effondrement va mobiliser et focaliser notre énergie sur des actions et comportements très différents !  Quelle marge de manœuvre possédons-nous dans un monde que j’imagine bientôt en ruines ?  Alors que le potentiel d’action dans un monde en délitement offre d’autres perspectives comme se mobiliser pour défendre ce qui est précieux en s'appuyant sur toutes les intelligences déjà à l'œuvre. 💡 Un écosystème ne s’effondre pas comme un immeuble car c'est une réalité autonome, active, qui s’organise et se réorganise. Quand on le bouleverse, on transforme radicalement les relations écologiques qui l’animent et le rendent stables. Il s’agit plutôt d’une réorientation des flux et des énergies. 🎯 Ces 3 idées nous renvoient directement à la fresque des imaginaires, un atelier collectif pour ouvrir d’autres types “de relations avec les différentes formes du vivant et ainsi maintenir les possibilités d’une vie humaine prospère, pas au sens de la croissance, mais au sens d’une vie qui mérite d’être vécue”. 🤩 J’animerai une fresque des imaginaires en ligne ce mardi 30/04 ! L'occasion de gagner en souplesse, individuelle et collective, pour mener à bien ces acrobaties intérieures. Ensemble, débridons nos imaginaires et osons en faire une boussole ! 👉 S'inscrire à cette session découverte proposée par NOUS SOMMES VIVANTS, LE COLLECTIF DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE #NOUSSOMMESVIVANTS : https://lnkd.in/e93tnvDQ www.noussommesvivants.co

COMMENT RÉTABLIR L’ÉQUILIBRE ? A l’instar des écologistes, des utopistes, des rebelles ou de tous les êtres engagés qui ont déjà sillonné l’histoire, c’est très louable de vouloir du changement, surtout en contemplant le triste sort que l’humanité est en train de faire subir, depuis trop longtemps à présent, à notre Terre nourricière. Si les politiques ou les économistes auraient souhaité changer positivement quoi que ce soit dans la société qu’ils dirigent en coulisse, ils l’auraient sans doute fait depuis bien longtemps... Sans doute, lorsqu’ils seront acculés au pied du mur, constatant ce qu’il restera d’un monde qu’ils prévoient certainement d’exploiter jusqu’à sa toute dernière ressource, alors peut-être se rendront-ils compte que l’argent ne se mange pas... Combien de Nicolas Hulot, de Greta Thunberg ou de Cyril Dion faudrait-il pour inciter réellement les hautes sphères dirigeantes à redescendre enfin sur Terre et commencer à respecter tout ce qu’ils contemplent du haut de leur pyramide dorée ? Tout changement extérieur durable et significatif intervient sous l’impulsion du courage et surtout d’une volonté sans faille. C’est assurément les 2 seules denrées qu’ils ne semblent pas posséder ! Car à bien examiner les 20 dernières années, on ne trouve que des bribes de changement mis en place par nos gouvernances, bien trop occupées sans doute à prendre et à amasser pour se rendre compte que c’est leur propre conscience et l’humanité quasi entière qu’elles exterminent à petit feu. Le paquebot de notre société de consommation est plus que jamais lancé à vive allure, sans même se rendre compte qu’il s’apprête à subir le même sort que son prédécesseur, le présumé insubmersible « Titanic ». Qui ou qu’est-ce qui pourrait le faire dévier de sa trajectoire ? À bien y réfléchir, nul le sait vraiment... car même pour Dieu, cette tâche semble insurmontable. A mon propre niveau, la seule chose que je puisse faire est de devenir une âme consciente et respectueuse de tout ce qui m’entoure. Peut-etre qu’en m’observant, mes voisins pourront choisir de devenir à leur tour respectueux d’eux-mêmes, d’autrui, de la nature et des espèces animales que les carnivores continuent à massacrer et exploiter pour leur soi-disante subsistance ou, pire encore, pour simplement satisfaire leurs exigeants palais ou gaver leurs estomacs quasi insatiables. Ce n’est qu’en apprenant à davantage me tourner vers l’intérieur, en développant par exemple ma spiritualité, quelle qu’elle soit, que l’humanité et la nature parviendront un jour à se réconcilier. « Il y a assez de tout dans le monde pour satisfaire aux besoins de l'homme, mais pas assez pour assouvir son avidité. » (Mahatma Gandhi) « Si je change, le monde change ». C’est avant tout à moi et à moi seul de décider...

Construire sa vision pour l’avenir   « Je préfère l'avenir au passé, car c'est là que j'ai décidé de vivre le restant de mes jours. » -Victor Hugo-   Sans revenir sur les complexités de la situation agricole et autres actuelles ou le monde est incertain, il est néanmoins utile de pouvoir se projeter pour créer ce que nous voudrions être demain. Car même si tout ne se déroulera pas comme prévu, ne rien prévoir c’est subir davantage ! Afin d’élargir au plus votre regard, j’utilise la pyramide de Dilts, du nom de son créateur Robert Dilts.     Vous voulez en savoir plus, cliquer sur ce lien : https://lnkd.in/eAxy4jHN   Et vous qu'en pensez-vous? Laissez-moi un commentaire Si vous trouvez ce post utile n’hésitez pas à le partager, ou mettre un👍

Pour ne pas céder au pessimisme de l’époque, minée par le réchauffement climatique et la multiplication des conflits ! Dans cet article approfondi, Nicolas Truong nous invite à accompagner les réflexions et actions qui résistent à la résignation, face à un présent souvent terrible, et, ce faisant, ouvrent de nouveaux espaces. Il témoigne ainsi de la force de certaines pensées, qui reliées à des utopies concrètes, permettent de reconsidérer l’avenir . Ces pistes pour rester psychiquement vivant dans le chaos du monde, nous engagent à trouver, au fond de soi, ce qui fait socle pour l’humanité .

Bon, si je comprends bien, la vie évolue sur terre depuis 3,8 milliards d'années, jusqu'en 2024, où nous sommes l'aboutissement ultime de ce grand cheminement. Et bien mes amis… ça pose question, quand même, non ? Bon, la providence, le sage gouvernement de Dieu, on oublie, on est tous d'accord ? Il reste quoi ? Le hasard ? Au final, c’est Rudolf Clausius qui avait peut-être raison avec son entropie. Regardons autour de nous : réchauffement climatique, extinction de masse, dégradation environnementale... Tout cela n'est-il pas la preuve que l'entropie, cette force de dispersion et de désordre, règne suprême, transformant notre monde en un chaos de plus en plus irréversible ? Notre progression, nos technologies, nos industries ont accéléré ce processus, poussant le système Terre vers un état de déséquilibre croissant. Si l'entropie prédit une augmentation du désordre, alors, mes amis, nous en sommes les agents actifs, les catalyseurs de notre propre déclin. Cette vision, sombre, n'est pas une fatalité, mais un appel. L'entropie nous montre que nos actions ont des conséquences, que chaque quantité d'énergie que nous dépensons s'ajoute à la grande balance du désordre universel. Mais elle nous montre aussi que l'ordre, l'organisation, et même la beauté émergent souvent du chaos. Peut-être est-il temps de réfléchir à comment nous pouvons, à notre échelle, inverser une partie de ce processus, comment nous pouvons apporter un peu d'ordre dans le chaos que nous avons aidé à créer. Est-ce un défi insurmontable ? Probablement. Mais c'est un défi qui mérite d'être relevé.

Il est ardu de se demander qu’est-ce qu’il restera de nous après notre mort. Il est également ardu d’y répondre. Qu’est-ce que j’entreprends chaque jour qui figurera dans les chapitres de mon mémorial ? Ou encore : « qu’est-ce que mes proches diront de moi à mon enterrement ? » Sans délire d’égo-trip, sincèrement : « Quelle empreinte laisserai-je sur le monde ? » L’unicité, c’est ce que nous sommes, notre identité, mais également ce que nous faisons de ce que nous sommes. Ce fameux « être au monde ». Qui je suis ? Comment je veux le faire savoir ? Et pour aller où ? Je m’appelle Guillaume Duval, je suis le fruit d’un métissage familial et j’ai 31 ans en 2024. A l’heure où notre planète arrête de nous « avertir », je n’ai pas d’enfant et je ne sais pas si j’en aurais un jour. La peur de l’humanité demain sans doute… Mais la peur est une passion triste que je n’invite pas toujours à la table des négociations pour discuter d’être le changement que je veux voir apparaître dans le monde ! Car selon moi, c’est bien l’action qui annule le doute. Choisir de célébrer le mouvement, et non créditer une fuite en avant. Choisir que l’humanité répondra à l’humanité. Se dire alors que nous sommes aussi capables du meilleur. Une somme d’individualités distinctes qui peut se rassembler pour faire groupe et résonner de 1000 pas. Etre seul·e au monde oui, mais à plusieurs ! Car j’aspire avec vous, à bâtir un monde à partir d’un cercle, où tout le monde sera en mesure et en joie de se regarder, de communiquer, et de s’entraider. Car j’aspire avec vous, à bâtir un monde où l’unicité de chacun·e est considérée comme un trésor de découvertes sans cesse renouvelable. Car j’aspire avec vous, à bâtir un monde où on ne vivra peut être pas plus longtemps, mais où l’on vivra très certainement mieux ! Et ma détermination grandit de jour en jour. Je veux m’engager à vos côtés pour mener des actions qui résonneront encore demain de leur originalité. Je veux m’engager à vos côtés pour bâtir de nouvelles structures, architecturales comme neuronales, visant à faire évoluer les paradigmes de nos sociétés. Ce n’est pas une empreinte que je veux laisser, C’est avec vous un véritable sillon, un chemin constitué de toutes nos signatures, Et que de nos témoignages se transcrivent le plus beau des livres d’Or. L’Humanité n’attend qu’une chose, c’est de retrouver sa juste place. Alors qu’attendons-nous ? Epitaphe ou et pis paf ? Intéressé·e ! Alors Go en MP

Magnifique texte d’Olivier de Kersauson La nature est une invention de l’univers. Une « invention intelligente » où l’homme, depuis qu’il marche à la verticale, a oublié les fondements importants pour notre croissance et notre évolution. Rien n’est nuisible, il faut composer avec elle mais l’être humain a pensé que la nature lui appartenait . Les amérindiens étaient les seuls à comprendre le fonctionnement de l’intelligence de la nature. Les européens se sont différenciés de la nature à cause d’une histoire déiste qui a totalement banni la terre et ses bienfaits. Aujourd’hui, c’est le totalitarisme de l’économie, où la terre suffoque, tout simplement pour des sociétés qui dirigent le monde. L’économie mondiale est un réel danger pour notre planète, et sommes devenus des plaies pour la terre. Vivre en tant que robot ne m’enchante guère, quelle évolution ! Magnifique texte d’Olivier de Kersauson « Le jour où je vais disparaître, j’aurai été poli avec la vie car je l’aurai bien aimée et beaucoup respectée. Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés. Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité! Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir vivre. » Olivier de Kersauson Olivier de Kersauson: « Si en vieillissant on ne devient pas un peu moins con, c’est pas la peine… » On peut imaginer autre chose et surtout arrêter de croire tout et n’importe quoi. Chaque société de tout temps il y a eu des gens qui n’étaient pas pour le système en place , maintenant celui-ci est la preuve que l’homme n’ira pas loin avec sa façon de fonctionner. La mondialisation est un leurre. L’éducation etc, tout est à revoir. Le respect de l’autre n’existe presque plus et quand je parle d’évolution, je parle de la vraie évolution de l’homme. Il risque de finir seul et abandonné de toute vie.

DIEU / IMAGE / HOMME / PLANETE Il semble couramment admis par nombre de croyants que : « Dieu à créer l’Homme à son image. » Lorsque je prend du recul et que j’observe l’Image que donne l’Homme par ses comportements, je me pose forcément des questions sur Dieu. C’est encore plus flagrant lorsque j’ai la chance de passer dans les endroits magnifiques qu’à engendrer la Planète. Et il y en a partout, dans tous les pays. J‘en viens donc à me poser la question : Doit-on suivre les enseignements livresques qu’ils soient religieux ou philosophiques ? Ou suivre ceux que donne la Planète, qui ré-enchante en quelques années les espaces détruits puis abandonnés par l'Homme ? Dans ses échanges faune / flore / climat la Nature a un système « économique et social » qui parvient toujours à un équilibre lorsqu’il n’est pas perturbé par l’Homme. La grande différence entre ce système et celui institué par l’Homme est le fait que celui de l’Homme a pour seul objectif de créer une richesse monétaire virtuelle aux dépends de toutes les vies, alors que celui de la nature offre une richesse de vie à toutes les espèces. Est-ce qu’il n’y aurait pas là un exemple de modèle « économique et social » dont l’Homme pourrait s’inspirer ? Les capitaux Terre / Air / Eau offre de sacrés dividendes à la flore et à la faune. Tous les capitaux des différentes monnaies virtuelles sont la plupart du temps contre productifs, essentiellement parce que les objectifs de leurs utilisations sont mal pensés. Il manque un groupe de femmes et d’hommes pour travailler sur une nouvelle organisation de l’Humanité. Mais qui va oser le tenter et affronter les moqueries des « réalistes » qui ne jurent que par le système actuel ?  

"𝗡𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗺𝗮𝗶𝘀𝗼𝗻 𝗯𝗿𝘂̂𝗹𝗲 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗿𝗲𝗴𝗮𝗿𝗱𝗼𝗻𝘀 𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀"🔥 Cette phrase du Président Chirac résume tout. Publiée en 1972, le rapport Meadows ou Club de Rome a remis en question la croyance longtemps admise en une expansion économique infinie, soulignant les conséquences potentielles d'une croissance démographique, industrialisation, et dégradation environnementale non régulées. Ce rapport, mené par le MIT, aborde de manière scientifique le risque d'atteindre les limites des ressources terrestres et pointe du doigt les conséquences humaines d'une croissance économique sans fin. Oui oui depuis 1972... Vous avez bien lu. Depuis, pas grand chose pour éviter le pire On peut même dire que face au pire, 4 grandes attitudes se détachent : 1. La fuite en avant : Jeff Bezos et Elon Musk, pour les plus connus d'entre eux, préconisent une approche de 'bond en avant'. Selon eux, la Solution se trouve dans les percées technologiques et l'exploration extraterrestre, croyant en la capacité d'ingéniosité humaine à transcender les limitations terrestres.🛸 En résumé, La Terre a tout donné, attaquons nous à Mars... Et surtout, ne changeons rien. 2. Une autre voie existe Cette perspective, quant à elle, appelle à un changement fondamental de notre modèle économique, privilégiant le développement durable, l'équité et l'équilibre entre croissance et préservation des ressources. Elle s'aligne sur la recommandation du rapport Meadows pour une économie en état stationnaire, plaidant pour des mesures limitant la croissance industrielle, améliorant l'efficacité agricole, combattant la pollution et assurant une distribution équitable des ressources.🌳 En résumé : La voie qui semble la plus pérenne mais la plus complexe car elle s'attaque aux habitudes. Pas gagné 3. Fake News Malgré des preuves irréfutables, une portion significative de la société et des décideurs reste sceptique. Cette position est très souvent renforcée par la désinformation, minimisant l'urgence d'adopter des pratiques durables.❌ En résumé : tout est "bulshit". Cette vision est symbolisée par les diatribes de Trump. 4. A quoi bon ! Malheureusement, un manque de conscience généralisé sapant les efforts collectifs pour adresser ces questions critiques. C'est la majorité silencieuse qui aborde la question par un sentiment de "à quoi bon". Pour cette population,.il est déjà trop tard et ne elle ne voit pas comment changer les choses.🙈🙉🙊 Si plus grand monde met en doute les analyses du rapport Meadow qui ont été réconfortées par d'autres rapports depuis, peu d'entreprises envisagent un avenir sans croissance ce qui semble paradoxal au vu des enjeux et des risques encourus.💥💣 Et vous, dans quelle catégorie êtes-vous ? Je vous laisse avec cette préface du livre de Jean-Marc Jancovici #environnement #giec #croissance