"Regarder le glacier s’en aller", vaste exposition d’art ouverte à tous les publics, se déploie en plein air et en intérieur dans toutes les régions de Suisse, de Lausanne aux Grisons et du Valais à Zurich. Elle convoque des artistes du passé et du présent de toutes disciplines. Elle met en réseau et fédère de très nombreuses institutions partenaires réunies autour d’un thème fortement actuel, celui de la fonte des glaciers. ℹ️ Adolphe Braun (1812-1877) est l’un des premiers à comprendre le potentiel commercial de la photographie. Son entreprise Braun et Cie est pionnière dans la reproduction technique de l’image et est réputée pour la qualité des tirages au charbon qu’elle produit de la fin des années 1860 jusqu’à la première guerre mondiale. La société alsacienne est notamment renommée pour ses reproductions à grande échelle des chefs d’œuvres des sites patrimoniaux et pour ses paysages de montagnes. Les choix photographiques de Braun sont en lien avec son époque. En effet, alors que le tourisme de montagne est en plein essor, Braun organise de véritables expéditions pour hisser la lourde chambre photographique en bois au sommet des massifs alpins. Cette photographie monochrome au format panoramique du Glacier d’Aletsch (canton du Valais), réalisée entre 1870 et 1877, en est un exemple. Cette prise de vue participe d’une représentation de la montagne standardisée. Le glacier est à l’échelle du regard et devient un lieu de liberté, d’émerveillement et de vitesse. Ce cliché persiste dans l’imaginaire collectif, alors même que le glacier le plus important de Suisse tend à disparaitre. 📣 Cette photographie est à voir jusqu'au 29 septembre à Lausanne. En savoir plus : https://lnkd.in/eEetusrN [Image : Adolphe Braun, Le glacier d’Aletsch, 1870 (env.), Photo Elysée, Lausanne, Collection iconographique vaudoise] #photoelysee #regarderleglaciersenaller #glacier #fonte #vaud #aletsch PLATEFORME 10 Ruth Gilgen Hamisultane Léa Hunziker
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Envie d’embellir votre intérieur ? Envie de paillettes et de couleurs 🎉 ? Je suis là pour vous ! Artiste peintre 🤩 et créatrice de mobilier à base de mosaïque upcyclée.
Passionnant de découvrir l’histoire derrière le tableau.
Le secret derrière le tableau La montagne Sainte-Victoire au grand pin de Paul Cézanne La montagne Sainte-Victoire, située à l'est d'Aix-en-Provence, a inspiré 87 toiles à Cézanne, 44 huiles et 43 aquarelles. Au fur et à mesure des tableaux, la composition évolue, la technique aussi. D'abord simple décor en arrière-plan, la montagne devient centrale. Les éléments peints perdent peu à peu de leur réalisme, se dissolvent dans des formes géométriques qui confinent au cubisme et préfigurent même l'abstraction. C'est au pied de cette montagne que grandit le petit Paul. Enfant déjà, il escalade ses 1011 mètres de calcaire en compagnie de son ami, un certain Émile...Zola. Si l'amitié entre le peintre et l'écrivain perdure à l'âge adulte, elle sera entachée par un roman de Zola, " L'oeuvre". Le héros Claude Lantier est un peintre, inspiré de Cézanne. Il échoue à imposer une nouvelle forme de peinture, s'acharne à peindre une oeuvre qu'il ne parviendra jamais à terminer...et se suicide ! Cézanne prendra assez mal le destin tragique que lui prédit Zola.... Dans cette version de 1887 de la montagne Sainte-Victoire , conservée au Courtaud Institute de Londres, un grand pin dessine comme un cadre autour du paysage. Son ombre baigne le premier plan d'une agréable fraîcheur tandis qu'en arrière-plan l'aride montagne Sainte-Victoire semble écrasée par le soleil de la Provence. Le mistral agite les branches du pin qui suivent les courbes de la montagne comme une caresse. Dans un jeu d'ombre et de lumière, des maisons aux arêtes saillantes ponctuent le paysage. A droite, le viaduc du chemin de fer Aix-Marseille prolonge le paysage. Obsédé par sa montagne, Cézanne mourra pour elle. Le 15 octobre 1906, il est surpris par l'orage alors qu'il est en train de la peindre. Il reste plusieurs heures sous la pluie, fait un malaise et c'est dans une charrette de blanchisseur qu'il est ramené chez lui. Il meurt une semaine plus tard d'une pneumonie. Vous voulez d'autres secrets ? Rendez-vous sur le site "Le secret derrière le tableau" : https://lnkd.in/eEeEzzFa
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Le secret derrière le tableau Ancrages d'Olivier MARTEL Alors que les peintres romantiques qui l'inspirent, tels Caspar David Friedrich, représentent la nature puissante, gigantesque, effrayante, mers déchaînées et montagnes imposantes, presque écrasantes, Olivier Martel choisit ici pour sujet la quiétude d'un étang, celui de Thau, situé entre Sète et Agde, dans la région Occitanie. L'étang de Thau est à un pas de la mer Méditerranée mais ce n'est pas la mer. Etendue d'eau stagnante généralement peu profonde, 30 mètres tout de même à certains endroits pour celui-ci, l'étang est exploité par l'homme, il est la nature domestiquée. Ainsi, dans l'étang de Thau, on pratique la pêche, on produit des moules et des huîtres.... Pourtant Olivier Martel le donne à voir à la manière d'une marine de Turner, sous le rougeoiment du ciel. Cette image qui ressemble tellement à un tableau est bien...une photographie. Comme souvent chez Olivier Martel, le paysage est nimbé d'une brume qui lui confère un caractère mystérieux. C'est ainsi que dans la solitude d'un petit matin, la nature reprend ses droits et échappe encore un temps à l'homme. Dans l'eau, on croit voir le reflet de pontons comme des fantômes. Et si le photographe avait saisi ici des ombres d'un autre temps ? La légende raconte en effet que l'étang de Thau abrite les vestiges d'une cité engloutie par un cataclysme, Poligium, l'Atlantide occitane. Par temps clair, il serait même possible d'apercevoir le clocher d'une église. Et l'on entendrait les cloches quand les vents balaient l'étang. Cette légende, les pêcheurs n'ont pas manqué de l'entretenir, accrochant des clochettes à leurs filets... En 1976, l'archéologue Denis Fonquerle découvre dans les profondeurs de l'étang quelques maisons de roseaux sur des pilotis de chêne vert... La "cité" est modeste mais l'étang de Thau est bel et bien peuplé des fantômes du passé. Loin d'un froid réalisme photographique, l'artiste fixe les impressions que le paysage produit sur lui, il révèle le monde et lui donne ce supplément d'âme qui nous bouleverse. Retrouvez d'autres photographies d'Olivier Martel sur son site internet : https://lnkd.in/ePfEDnJm Et pour d'autres secrets, rendez-vous sur le site "Le secret derrière le tableau" : https://lnkd.in/eEeEzzFa
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Le secret derrière la photographie Jardin d'hiver de - JONK - Cette fois-ci, je ne pourrai vous révéler tous les secrets de cette photographie. Et je perçois déjà la déception, peut-être même le sentiment de trahison qui vous envahit ! Pourtant, c'est le principe même de l'urbex, dont relève cette oeuvre. Urbex, c'est l'abréviation d'urban exploration, exploration urbaine, une activité qui consiste à visiter des lieux construits par l'homme et abandonnés. Peu à peu, la nature reprend ses droits et se mêle aux ruines d'une certaine civilisation. Afin que ces lieux ne se dégradent pas et parfois aussi parce qu'il est interdit d'y pénétrer, ceux qui pratiquent l'urbex ne donnent pas d'indications précises sur leur localisation. Aussi, même sous la torture, l'artiste Jonk ne me confiera pas le lieu précis où il a pris cette photographie. De toute façon, je n'aime pas beaucoup torturer les gens.... Bon, quand même, Jonk avoue qu'il s'agit d'un manoir perdu dans la campagne française... Oui, je sais, c'est vague, mais c'est déjà ça parce que l'artiste prend des clichés dans le monde entier. Depuis 2013, il a photographié plus de 2000 lieux dans plus de 50 pays. Sur cette oeuvre, dans le manoir abandonné, le jardin d'hiver aux vitraux d'inspiration art nouveau se confond désormais avec le jardin. La verrière est éventrée et le lierre de l'extérieur s'insinue partout, prenant possession des lieux au détriment des plantes cultivées sagement en pot par les anciens propriétaires. La chaise rappelle la présence humaine mais elle est vide à jamais. Ce qui fascine Jonk, c'est la rapidité avec laquelle la nature reprend ses droits. Ayant pris conscience dès l'enfance des agressions que l'homme fait subir à la nature, Jonk nous invite à faire preuve d'humilité en photographiant les vestiges d'une civilisation qui ne fait que passer, ce qu'il appelle lui-même "le monde perdu". Ses œuvres dénoncent également les dérives d'une société de consommation qui abandonne certains lieux peu de temps après leur construction pour en bâtir d'autres ailleurs. Mais la nature est la plus forte et survivra à l'homme. Je demande quand même à - JONK - de me confier un dernier secret, il me répond qu'en 2025 sortira son 11e livre, toujours sur des lieux abandonnés bien sûr mais avec un angle jamais vu jusqu'à présent ! Vous voulez d'autres secrets ? Rendez-vous sur le site "Le secret derrière le tableau" : https://lnkd.in/eEeEzzFa
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Voici Gabriel de l'annonciation, grand portail de Notre-Dame de REIMS. 6000/5000 pixels en 18 poses. Le cousin de l'ange au sourire, lui c'est l'ange au rire coquin. Notez les belles traces de polychromie sur son aile, les colonnes, les frises... Il souffre, son bras gauche se fissure, un bout de chevelure est parti, les dépôts de pollution... À ce sujet, j'ai le regret d'annoncer à nos futur touristes que le portail central de la cathédrale des sacres est de nouveau caché derrière une splendide palissade. La perception de la façade de Notre-Dame sera donc toujours incomplète pour encore... un certain temps. Les pièces maitresses de la sculpture rémoise, inapprochables... J'ai profité du petit mois, quand la dépose de la statue du roi David, a impliqué le démontage de l'ancienne palissade, présente depuis 2018, pour réaliser un maximum de clichés des statues du portail central. « Le tourisme ne crée pas de valeur : c’est une rente assise sur un legs de l’histoire que les siècles ont tamisée » J'ai pu lire dans un journal... Pas de valeur ? Même dans le pays étant la 1ère destination touristique mondiale !? Le patrimoine coute presque aussi cher que ce qu'il rapporte... Création de valeur, passe par mise en valeur... Toute mise en valeur commence par une photo bien faîte, sans quoi il n'est même pas possible d'écrire un article, de faire une publication... © vincentzenon.com #reimstourisme #heritageculture #heavenonearth #gothicarchitecture #medievalhistory #frenchcathedral
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https://lnkd.in/eGaw8exY L'œuvre "Un Voyage vers le Futur", créée en 2020, est une représentation saisissante d'un paysage baigné de lumière. Au cœur de cette composition, un vaste plan d'eau captivant attire immédiatement le regard. Alimenté par les eaux cristallines de la montagne voisine, ce plan d'eau semble être le point de départ d'une exploration captivante. Le ciel qui surplombe ce paysage est d'un bleu azur éclatant, semblant s'étendre à l'infini et invitant à la contemplation. Les nuances de bleu se fondent harmonieusement avec les reflets chatoyants de l'eau, créant une atmosphère empreinte de sérénité et de promesses. Sur les berges du plan d'eau, des arbres majestueux se dressent, offrant leur ombre bienveillante aux voyageurs en quête d'aventure. Leurs feuilles verdoyantes dansent au gré du vent, accompagnant le mouvement fluide de l'eau qui paraissait emporter avec elle les rêvent et les espoirs vers un avenir prometteur. Ensemble, ces éléments composent une scène d'une beauté intemporelle, évoquant à la fois la tranquillité de la nature et les possibilités infinies offertes par le voyage vers l'avenir. "Un Voyage vers le Futur" incarne ainsi l'aspiration humaine à explorer l'inconnu, à embrasser le changement et à se laisser guider par la lumière de l'espoir vers de nouveaux horizons passionnants.
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Jacques Yvergniaux - L'EXPOSITION Estran : Ce que la mer nous renvoie. Mon œil est toujours attiré par les objets qui ne sont pas à leur place. En déambulant dans la nature il est presque impossible de ne pas voir un détritus qui traîne. Cette série porte une attention particulière sur les estrans, où la mer dépose tous les jours sa laisse de mer. La bande de littoral qui se découvre à marée basse et se recouvre lorsque la mer monte, recueille chaque jour du goémon, des coquillages, des débris de toutes sortes et aussi des tas d’objets issus de l’activité humaine. Ce sont eux qui m’intéressent. Ils sont les témoins de la désinvolture de certaines personnes qui jettent leurs détritus, leurs objets usagés ou cassés, n’importe où. Une partie se retrouve dans la mer, puis rapportée sur la côte avec la marée. En marchant sur l’estran, j’essaie de repérer ces objets qui ne sont pas à leur place. Ils ont été abandonnés quelque part au lieu de terminer leur vie dans une poubelle de tri sélectif. Lorsque j’en repère un, avant de le toucher, je prends une photo de l’objet tel qu’il est à son emplacement, là où la mer l’a déposé. Si l’objet présente un intérêt particulier, je le ramasse, direction le studio. Je le photographie à nouveau sorti de son environnement. Après l’avoir grossièrement nettoyé, je l’installe sous les éclairages pour en faire une nature morte. Cette collection de photographies s’agrandit au fur et à mesure de mes sorties sur les estrans. Je peux maintenant les regrouper et composer des fresques de grandes dimensions. Ce travail photographique devrait pouvoir sensibiliser les citoyens à ne plus jeter, mais à réparer et recycler. https://lnkd.in/dPf8Ns9A
JACQUES YVERGNIAUX
corridorelephant.com
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Une nouvelle exposition tous les trois mois au Centre d'Art et de Photographie Lumière d'Encre (CAPLE), une résidence annuelle et plusieurs residences mensuelles, mediations vers tous les publics, conferences....
La photographie de paysage aborde les choix, les priorités et les valeurs d'une société, reflétant ainsi son identité et son orientation politique. Ces décisions ont un impact significatif sur les paysages, et influencent ainsi divers aspects tels que l'environnement, l'économie, la culture et la qualité de vie de tous. Comment l'art et la photographie contemporaine contribuent à saisir la politisation des paysages, les réflexions sur notre époque et les défis environnementaux, offre de nouvelles perspectives sur le rôle des paysages dans notre société ? Venez élaborer VOTRE réponse, en visitant nos expositions au CAPLE.
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Jean GAUMY « D’après Nature » Du 2 février au 13 avril 2024 La Tentation du Paysage Cette série photographique est le fruit de plusieurs séjours dans les montagnes et vallées “occitanes“ du Piémont. J’y’ai fait des rencontres marquantes et noué quelques amitiés. Je n’ai pas voulu faire de ces rencontres la priorité de mon approche photographique comme je l’avais envisagé. Insensiblement le projet initial se transformait. Je prenais le parti d’être pleinement contemplatif. Pour seuls outils : le cadre du viseur, l’écoute, l’observation, quelques notes dans un carnet. Souvent la solitude devant le vide. Le silence. Le temps m’a permis de faire le point sur les limites de la photographie, les miennes propres. Il a fallu me défaire de quelques acquis. Je me heurtais aux difficultés du genre. Lors de cette période, l’actualité mondiale aidant, je sentais bien, comme tant d’autres, l’irrésistible accélération de la rupture qui s’opérait entre l’espèce humaine et son environnement originel ; entre civilisation et nature. D’instinct j’ai voulu voir, comme je l’avais déjà fait en mer, ce qui pourrait bien me faire signe dans ces montagnes ; voir quelle représentation culturelle m’irriguait depuis l’enfance dès lors qu’il s’agit de nature, d’origines. Qu’est-ce que j’en ramènerai aussi qui ne soit pas convenu, qui ne soit pas des “clichés“. J’ai cerné un peu mieux ma part de fantasme, ma part de lucidité. Imaginaire et réalité. Ces photographies ont depuis donné naissance au livre “D’après Nature“. Elles sont le début du long essai que je poursuis : “Nature sous influence“. Avec cette série, il s’agit ici, à contrepied, de la représentation très subjective d’une “Nature sans influence“. Jean Gaumy 📸 Vers le col de l'Esischie, via Val Marmora Piemont 2008 © Jean Gaumy / Magnum Photos courtesy galerie Sit Down
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HIPA Hamdan International Photography Award est un prix international de photographie, fondé en 2011 sous le patronage du prince héritier de Dubaï, Cheikh Hamdan bin Mohammed bin Rashid al Maktoum. Un concours sur la thématique nature et environnement. Pour ce concours, présentation d'une sélection de photographies de ma série animalière "Endangered Species" Un portfolio comme un coup de projecteur, exclusivement consacré à des animaux sauvages en voie d'extinction, tous originaires du continent africain et recueillit par l'association Tonga Terre d'Accueil, refuge pour animaux sauvages victimes de trafics et de mauvais traitements. Actuellement, 26 pays d'Afrique déplorent la disparition totale du lion sur leur territoire. Diminution de 43% de la population en 20 ans. Les gorilles des plaines de l'ouest sont à un pas de l'extinction avec une diminution de 70 % de la population ces 20 dernières années. Le chimpanzé, qui singnifie en langue congolaise signifie "faux-homme" est classée sur la liste des espèces en danger. Ses effectifs s'élevaient à près de 2 millions au début du XXème siècle, aujourd'hui, ils ne dépassent pas les 500 000 individus. Déforestation, braconnage, chasse et trafics, en sont les principales causes. L'occasion de mettre en avant également dans ma présentation au concours, le magnifique projet ROAR porté par Tonga Terre d'Accueil, qui oeuvre à la création d'une réserve naturelle protégée en Afrique du Sud. Série disponible en tirages papier Hahenmülhe Fine Art 290g finition lustré réalisés par l'atelier OOblik, artisans d'art à Sully, Bourgogne. 60 x 80/90 cm. Tirages numérotés et limités. Une série travaillée en clair-obscur, une sensibilité inspirée de l'école caravagesque, pour une mise en valeur de l'anima(l) 10% de commission sur les ventes de tirages sont reversés à Tonga Terre d'Accueil. #concours #challenge #engagement #artiste #photographe #decorationinterieur
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HIPA Hamdan International Photography Award est un prix international de photographie, fondé en 2011 sous le patronage du prince héritier de Dubaï, Cheikh Hamdan bin Mohammed bin Rashid al Maktoum. Un concours sur la thématique nature et environnement. Pour ce concours, présentation d'une sélection de photographies de ma série animalière "Endangered Species" Un portfolio comme un coup de projecteur, exclusivement consacré à des animaux sauvages en voie d'extinction, tous originaires du continent africain et recueillit par l'association Tonga Terre d'Accueil, refuge pour animaux sauvages victimes de trafics et de mauvais traitements. Actuellement, 26 pays d'Afrique déplorent la disparition totale du lion sur leur territoire. Diminution de 43% de la population en 20 ans. Les gorilles des plaines de l'ouest sont à un pas de l'extinction avec une diminution de 70 % de la population ces 20 dernières années. Le chimpanzé, qui singnifie en langue congolaise signifie "faux-homme" est classée sur la liste des espèces en danger. Ses effectifs s'élevaient à près de 2 millions au début du XXème siècle, aujourd'hui, ils ne dépassent pas les 500 000 individus. Déforestation, braconnage, chasse et trafics, en sont les principales causes. L'occasion de mettre en avant également dans ma présentation au concours, le magnifique projet ROAR porté par Tonga Terre d'Accueil, qui oeuvre à la création d'une réserve naturelle protégée en Afrique du Sud. Série disponible en tirages papier Hahenmülhe Fine Art 290g finition lustré réalisés par l'atelier OOblik, artisans d'art à Sully, Bourgogne. 60 x 80/90 cm. Tirages numérotés et limités. Une série travaillée en clair-obscur, une sensibilité inspirée de l'école caravagesque, pour une mise en valeur de l'anima(l) 10% de commission sur les ventes de tirages sont reversés à Tonga Terre d'Accueil. #concours #challenge #engagement #artiste #photographe #decorationinterieur
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