Post de Pierre Chapon

On peut faire confiance à Pascal pour son expertise et sa réactivité

Décryptage de l’Immo : Caisse de garantie 🏠🔍📚 Chaque vendredi, plongeons dans le lexique propre à l’immobilier pour éclaircir un terme technique. Aujourd'hui, penchons-nous sur la caisse de garantie. Une caisse de garantie est une structure financière mise en place pour garantir notamment des obligations financières. Son objectif principal est de fournir une assurance ou une sécurité financière en cas de défaut ou de non-respect des engagements par l'une des parties impliquées dans une activité ici immobilière. Pour un administrateur de biens, la caisse de garantie remplit plusieurs fonctions importantes : - Assurer la sécurité financière des clients mandants. La caisse de garantie offre en effet une garantie de remboursement des fonds dus aux clients. - Garantir le respect des obligations légales - Fournir une protection en cas de défaillance de l'administrateur - Renforcer la confiance et la réputation de l'entreprise. Chez LOCKimmo, nous avons établi des liens privilégiés avec la SOCAF. Forte de plus de 50 ans de savoir-faire en matière de garantie financière, la SOCAF est un interlocuteur privilégié si en tant que cabinet de gérance ou syndic de copropriété vous recherchez une caisse de garantie. #Immobilier #LexiqueImmobilier #CaisseDeGarantie #DécryptagedelImmo 

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Tiens, mais que vois-je ? C'est le démarrage du concours #ESCDA2025 🚀🤗 Mais à quoi ça sert concrètement ? 🧐 Pour vous entreprises, c'est le meilleur moyen de : - Tester la qualité de votre #serviceclient et avoir une photographie 📸 de tous vos canaux de contacts (appels, emails, chat, réseaux sociaux, site internet) - Comparer votre service client à vos concurrents et vous gratifier du prix Elu Service Client de l'Année, reconnu par les consommateurs 🏆🥇 - Démontrer à vos clients et vos prospects que la #RelationClient est bien au coeur de vos préoccupations 🎯 - Valoriser vos équipes services clients et vous inscrire dans une démarche d'amélioration continue 📈 Alors je souhaite à tous mes partenaires et amis qui concourent, bonne chance et que les meilleurs gagnent ! 😉

"Professionnel" vs "Vendeur professionnel": une nuance capitale pour les vices cachés La récente décision de la Cour de cassation met en lumière une distinction fondamentale en droit : celle entre "professionnel" et "vendeur professionnel". Cette précision juridique est essentielle pour comprendre les obligations et les présomptions qui pèsent sur les parties dans les transactions commerciales. 🔍 L'affaire en question a vu une société spécialisée dans les travaux forestiers être initialement tenue pour responsable des dommages découlant d'un vice caché sur un engin agricole, en sa qualité de "vendeur professionnel". Toutefois, cette qualification a été contestée, arguant que la société n'exerçait pas habituellement l'activité de vente d'engins agricoles et qu'elle ne connaissait pas le vice en question. 🚜 La Cour de cassation a cassé l'arrêt d'appel, rappelant que la présomption irréfragable de connaissance du vice par le vendeur professionnel ne peut s'appliquer que si celui-ci exerce de façon habituelle la vente du type de bien concerné. Cette décision souligne l'importance de ne pas qualifier hâtivement une partie de "vendeur professionnel", impactant directement l'étendue de ses obligations. Source : Cass. com., 17 janv. 2024, n° 21-23.909, B

"Professionnel" vs "Vendeur professionnel": une nuance capitale pour les vices cachés La récente décision de la Cour de cassation met en lumière une distinction fondamentale en droit : celle entre "professionnel" et "vendeur professionnel". Cette précision juridique est essentielle pour comprendre les obligations et les présomptions qui pèsent sur les parties dans les transactions commerciales. 🔍 L'affaire en question a vu une société spécialisée dans les travaux forestiers être initialement tenue pour responsable des dommages découlant d'un vice caché sur un engin agricole, en sa qualité de "vendeur professionnel". Toutefois, cette qualification a été contestée, arguant que la société n'exerçait pas habituellement l'activité de vente d'engins agricoles et qu'elle ne connaissait pas le vice en question. 🚜 La Cour de cassation a cassé l'arrêt d'appel, rappelant que la présomption irréfragable de connaissance du vice par le vendeur professionnel ne peut s'appliquer que si celui-ci exerce de façon habituelle la vente du type de bien concerné. Cette décision souligne l'importance de ne pas qualifier hâtivement une partie de "vendeur professionnel", impactant directement l'étendue de ses obligations. Source : Cass. com., 17 janv. 2024, n° 21-23.909, B

"Professionnel" vs "Vendeur professionnel": une nuance capitale pour les vices cachés La récente décision de la Cour de cassation met en lumière une distinction fondamentale en droit : celle entre "professionnel" et "vendeur professionnel". Cette précision juridique est essentielle pour comprendre les obligations et les présomptions qui pèsent sur les parties dans les transactions commerciales. 🔍 L'affaire en question a vu une société spécialisée dans les travaux forestiers être initialement tenue pour responsable des dommages découlant d'un vice caché sur un engin agricole, en sa qualité de "vendeur professionnel". Toutefois, cette qualification a été contestée, arguant que la société n'exerçait pas habituellement l'activité de vente d'engins agricoles et qu'elle ne connaissait pas le vice en question. 🚜 La Cour de cassation a cassé l'arrêt d'appel, rappelant que la présomption irréfragable de connaissance du vice par le vendeur professionnel ne peut s'appliquer que si celui-ci exerce de façon habituelle la vente du type de bien concerné. Cette décision souligne l'importance de ne pas qualifier hâtivement une partie de "vendeur professionnel", impactant directement l'étendue de ses obligations. Source : Cass. com., 17 janv. 2024, n° 21-23.909, B

"Professionnel" vs "Vendeur professionnel": une nuance capitale pour les vices cachés La récente décision de la Cour de cassation met en lumière une distinction fondamentale en droit : celle entre "professionnel" et "vendeur professionnel". Cette précision juridique est essentielle pour comprendre les obligations et les présomptions qui pèsent sur les parties dans les transactions commerciales. 🔍 L'affaire en question a vu une société spécialisée dans les travaux forestiers être initialement tenue pour responsable des dommages découlant d'un vice caché sur un engin agricole, en sa qualité de "vendeur professionnel". Toutefois, cette qualification a été contestée, arguant que la société n'exerçait pas habituellement l'activité de vente d'engins agricoles et qu'elle ne connaissait pas le vice en question. 🚜 La Cour de cassation a cassé l'arrêt d'appel, rappelant que la présomption irréfragable de connaissance du vice par le vendeur professionnel ne peut s'appliquer que si celui-ci exerce de façon habituelle la vente du type de bien concerné. Cette décision souligne l'importance de ne pas qualifier hâtivement une partie de "vendeur professionnel", impactant directement l'étendue de ses obligations. Source : Cass. com., 17 janv. 2024, n° 21-23.909, B

"Professionnel" vs "Vendeur professionnel": une nuance capitale pour les vices cachés La récente décision de la Cour de cassation met en lumière une distinction fondamentale en droit : celle entre "professionnel" et "vendeur professionnel". Cette précision juridique est essentielle pour comprendre les obligations et les présomptions qui pèsent sur les parties dans les transactions commerciales. 🔍 L'affaire en question a vu une société spécialisée dans les travaux forestiers être initialement tenue pour responsable des dommages découlant d'un vice caché sur un engin agricole, en sa qualité de "vendeur professionnel". Toutefois, cette qualification a été contestée, arguant que la société n'exerçait pas habituellement l'activité de vente d'engins agricoles et qu'elle ne connaissait pas le vice en question. 🚜 La Cour de cassation a cassé l'arrêt d'appel, rappelant que la présomption irréfragable de connaissance du vice par le vendeur professionnel ne peut s'appliquer que si celui-ci exerce de façon habituelle la vente du type de bien concerné. Cette décision souligne l'importance de ne pas qualifier hâtivement une partie de "vendeur professionnel", impactant directement l'étendue de ses obligations. Source : Cass. com., 17 janv. 2024, n° 21-23.909, B