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𝐁𝐨𝐧𝐣𝐨𝐮𝐫 𝐚̀ 𝐭𝐨𝐮𝐬 ! 🎤 Dans l'optique de mon intégration au sein de IESA arts&culture en management de l'industrie de la musique📚💼, je lance une série de publications sur LinkedIn axées sur l'industrie du rap français et ses multiples défis. 𝐂𝐞𝐬 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐯𝐢𝐬𝐞𝐧𝐭 𝐚̀ 𝐞𝐧𝐫𝐢𝐜𝐡𝐢𝐫 𝐧𝐨𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐧𝐚𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐬𝐮𝐫 𝐥'𝐢𝐧𝐝𝐮𝐬𝐭𝐫𝐢𝐞 𝐦𝐮𝐬𝐢𝐜𝐚𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐚̀ 𝐞𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐚𝐠𝐞𝐫 𝐥𝐚 𝐝𝐢𝐬𝐜𝐮𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧. 𝐕𝐨𝐬 𝐚𝐯𝐢𝐬 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐫𝐞́𝐜𝐢𝐞𝐮𝐱, 𝐪𝐮𝐞 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐬𝐨𝐲𝐞𝐳 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞́ 𝐝𝐞 𝐦𝐮𝐬𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐨𝐮 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐥'𝐢𝐧𝐝𝐮𝐬𝐭𝐫𝐢𝐞. 🌟 La première publication porte sur : 𝐋𝐚 𝐑𝐞́𝐦𝐮𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐀𝐫𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥'𝐄̀𝐫𝐞 du 𝐍𝐮𝐦𝐞́𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 🎵En cette ère de consommation musicale dominée par le streaming, la question de la rémunération des artistes n'a jamais été aussi cruciale.🤑💬 Comment les créateurs de musique, spécialement dans le rap français, naviguent-ils dans les méandres des modèles économiques numériques ? Avec le streaming représentant une part considérable des revenus de l'industrie musicale, les artistes et producteurs s'interrogent : 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐨𝐲𝐚𝐥𝐭𝐢𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐬𝐭𝐫𝐞𝐚𝐦𝐢𝐧𝐠 𝐩𝐚𝐫𝐯𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞𝐧𝐭-𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐚̀ 𝐨𝐟𝐟𝐫𝐢𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐞𝐝𝐢𝐬𝐭𝐫𝐢𝐛𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐭𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐫𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐝𝐞́𝐬𝐚𝐯𝐚𝐧𝐭𝐚𝐠𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐫𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐞́𝐦𝐞𝐫𝐠𝐞𝐧𝐭𝐬 ? 📈 À savoir : - 𝐋𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐚𝐭𝐞𝐟𝐨𝐫𝐦𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐭𝐫𝐞𝐚𝐦𝐢𝐧𝐠 𝐫𝐞𝐝𝐢𝐬𝐭𝐫𝐢𝐛𝐮𝐞𝐧𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐫𝐞𝐯𝐞𝐧𝐮𝐬, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐥𝐚 𝐫𝐞́𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞 𝐮𝐧 𝐬𝐮𝐣𝐞𝐭 𝐜𝐡𝐚𝐮𝐝 𝐝𝐞 𝐝𝐞́𝐛𝐚𝐭. - 𝐋𝐞𝐬 𝐚𝐫𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐝𝐨𝐢𝐯𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐭𝐭𝐞𝐢𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐮𝐧 𝐧𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐞́𝐥𝐞𝐯𝐞́ 𝐝'𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐩𝐞𝐫𝐜𝐞𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐯𝐞𝐧𝐮𝐬 𝐬𝐢𝐠𝐧𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐟𝐬, 𝐮𝐧 𝐝𝐞́𝐟𝐢 𝐝𝐞 𝐭𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞, 𝐬𝐮𝐫𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐯𝐞𝐧𝐮𝐬. - 𝐋𝐞𝐬 𝐚𝐥𝐠𝐨𝐫𝐢𝐭𝐡𝐦𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐝𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐥𝐚𝐭𝐞𝐟𝐨𝐫𝐦𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐭𝐫𝐞𝐚𝐦𝐢𝐧𝐠 𝐨𝐧𝐭 𝐭𝐞𝐧𝐝𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐚̀ 𝐩𝐫𝐢𝐯𝐢𝐥𝐞́𝐠𝐢𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐫𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐝𝐞́𝐣𝐚̀ 𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐞́𝐭𝐚𝐛𝐥𝐢𝐬, 𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐫𝐞𝐧𝐝 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐝𝐢𝐟𝐟𝐢𝐜𝐢𝐥𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐚𝐫𝐫𝐢𝐯𝐚𝐧𝐭𝐬 𝐝'𝐨𝐛𝐭𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐯𝐞𝐧𝐮𝐬 𝐠𝐞́𝐧𝐞́𝐫𝐞́𝐬. 💬 Dans un monde idéal, chaque stream devrait valoriser justement le travail de l'artiste. Mais quelle est la réalité ? Et plus important, quelles innovations pourraient garantir une rémunération plus équitable à l'avenir ? Partagez vos réponses et points de vue dans les commentaires ci-dessous ! :) #MusiqueNumérique #RapFrançais #RétributionDesArtistes #Streaming #AvenirDeLaMusique

Un début intéressant, mais au delà de cette initiative du Parlement Européen, il y a une sérieuse remise en question sur l'approche numérique entre le marché local et son public face à une industrie qui veut globaliser l'accessibilité des contenus pour faire profiter les stars internationales vis à vis des artistes locaux. Il existait un proverbe ancien, "diviser pour mieux regner", il va falloir en créer un nouveau dans le numérique, "globaliser pour mieux appauvrir les locaux" Dans cette résolution, il y a beaucoup de travail, travail qui risque d'etre long et une fois accompli sera déjà dépassé par la nouveauté du moment en terme technologie. Peut etre que l'approche doit etre différente, et si les marchés locaux changent le tir, sortir en force et en nombre des plateformes internationales pour créer une nouvelle forme d'internationalisation qu'avec seulement des acteurs locaux de chaque pays et de les internationaliser, faire différent. Attention je ne parle pas d'un Bandcamp mais autre chose. Faire un genre de Netflix musical dans l'approche des marchés locaux. C'est simpliste comme idée présentement, mais ça ne peut pas etre pire que présentement , et de la façon dont les revenus sont calculés pour nos artistes et quand on voit des Taylor Swift et autres de ce genre composés avec des milliards d'écoutes et prendre une part si importante du marché de ces "écoutes", on doit peut etre sortir du cadre existant quand on est un marché local. Le marché local ne peut etre dans un même marché avec celui de l'international. Présentement il y a un grand vide d'idée et pire une soumission volontaire face aux plateformes internationales. l'accessibilité est présente pour tous, mais cette accessibilité efface l'artiste local, car il est surmultiplié avec ses pairs, donc etre une aiguille dans une botte de foin. Et quand nos diffuseurs locaux abandonnent nos artistes locaux, le vide d'écoute s'amplifie exponentiellement. Faut arrêter de faire comme les autres, faut trouver sa méthode, c'est pas simple, c'est long et c'est beaucoup de boulot avec un effort constant et continu. https://lnkd.in/eX-xUK2g

En 2023, nous avons capitalisé sur notre expertise en matière de droits d’auteur pour informer, conseiller et accompagner nos clients qui, tout au long de l’année, diffusent de la musique à travers tous les territoires et font vivre la création. 📈 Résultat ? La Sacem enregistre un niveau de collecte de droits d'auteur inédit (+18,5% de droits généraux par rapport à 2022) grâce à la qualité des accords passés avec ses clients, la puissance de ses outils de traitement des données et l’expertise de toutes les équipes de de son réseau régional ! 🎶 Le dynamisme du secteur du live, la densité de la vie culturelle et la vigueur du lien social dans les territoires, la poursuite du développement du numérique et l’affirmation de nouveaux usages (bars à ambiance musicale, salles de sport, fast channels…) ont également ouvert de nouvelles opportunités de diffusion de la musique, contribuant pleinement à la croissance des revenus en 2023. Cependant, nous sommes bien conscients que de nombreuses difficultés continuent de peser sur le secteur des industries culturelles et créatives. Soucieuse d’aider le retour du public dans les salles, la Sacem a accompagné de nombreux organisateurs de manifestations publiques, du café aux plus grands festivals, grâce à des dispositifs dédiés, tels que #TousEnLive, qui revient pour une 4e saison en 2024. Bravo à toutes les équipes présentes sur tout le territoire pour leur engagement quotidien auprès de nos clients au service de nos membres, les créatrices et créateurs qui nous font rêver ! 👏 Découvrez nos chiffres-clés 👉 https://bit.ly/4c4cE9G #Résultats2023 #Droitdauteur #Sacem

Comment est-il possible que même ta mère n'écoute pas ta musique ? J'ai fait ce tableau pour épingler quelques chiffres-clés de 2023. Et je ne parviens toujours pas à croire à quel point la découvrabilité est devenue l'enjeu majeur de notre industrie. Il est en effet vertigineux de constater que sur 180 millions de titres sur les plateformes, seuls 15 % ont été écoutés plus de 1 000 fois (et 1 000 fois, c'est peu). Mais ce qui est encore plus impressionnant, ce sont les 45 millions de titres qui n'ont jamais été écoutés l'an passé. Pas même par l'artiste lui-même ou sa famille. Il est illusoire de croire que publier sa musique sur les plateformes est une finalité en soi. Car l’écho reçu sur les plateformes de streaming sera forcément inexistant s’il n’y a pas en parallèle des relais dans l’écosystème musical, que ce soient des médias, des playlists ou des œuvres audiovisuelles qui exposent les titres. Il faut en effet une ou plusieurs impulsions pour qu’un début de traction se fasse ressentir sur un titre sur les plateformes et pour que les algorithmes de ces solutions commencent à prendre le relais. Des initiatives voient le jour du côté de la découvrabilité avec des modèles comme ceux de SubmitHub et Groover, qui permettent aux ayants droit de se faire connaître des professionnels (labels, playlisters, médias) en payant un fee par pro contacté. Ces plateformes connaissent un fort succès, démontrant que la solution est plutôt à trouver du côté des professionnels et non des plateformes grand public. Chez Bridge.audio, nous abordons le sujet de manière complémentaire en proposant non pas de contacter en "one to one" mais en "one to many". Avec la mise en place depuis janvier du sync hub, nous permettons aux ayants droit (labels, éditeurs, artistes...) de rendre leur catalogue accessible à un vaste réseau d'acheteurs. Et ce n'est qu'un début dans notre quête de faciliter toujours davantage les échanges (3 milliards de fichiers échangés par an!) et la découverte dans notre industrie, car nous allons ensuite déployer d'autres hubs: A&R, Promo, Score, Library. Un pont entre tous les maillons de l'écosystème vous dis-je 🙂 N'hésitez pas à rejoindre nos 30 000 utilisateurs.

🎶 Un rapport très intéressant vient de paraître sur l'impact de l'IA dans le secteur de la musique en Australie et Nouvelle Zélande, rapport mené à bien par APRA AMCOS. Des constats mitigés qui oscillent entre apports créatifs reconnus des artistes eux-mêmes, et dénonciation générale de la dépossession de leurs droits d'auteurs, les privant de la faculté de vivre de leur création. Quelques chiffres et faits marquants : ➡️ Croissance du marché : En 2023, le marché global de l'IA générative dans la musique était estimé à environ AU$430 millions, représentant 8% du marché total, avec une multiplication par 10 des à l'horizon 2028. ➡️ Adoption par le secteur : 68% des entreprises en Australie et 50% en Nouvelle-Zélande ont intégré des technologies d'IA, avec des investissements atteignant environ AU$7.0 milliards pour les deux pays. ➡️ Évaluation de l'IA par les créateurs de musique : - 38% des membres d'APRA AMCOS utilisent régulièrement l'IA dans leur création musicale (à noter âge des interviewés de 45 à 54 ans). - 69% pensent que l'IA sera principalement adoptée pour la création de contenu promotionnel et les processus créatifs. - 54% des créateurs de musique estiment que l'IA peut soutenir le processus créatif humain, - 49% pensent qu'elle peut ouvrir de nouvelles formes de créativité. Implications Économiques et Légales ⚠️ Mais le gros hic : - Les revenus des créateurs de musique risquent d'être affectés avec une perte potentielle estimée à AU$227 millions en 2028. 💶 Comme partout dans le monde, et plus particulièrement en Europe, les artistes exigent une transparence des modèles d'entrainement, leur consentement pour usage et à minima un crédit bien que 93% appellent naturellement à une rémunération des détenteurs des droits d'auteur. À noter dans cette étude, un focus sur les musiques aborigènes et maori, dont les créateurs craignent un accroissement de l'appropriation de leurs cultures, ainsi que des usages inappropriés. Un sujet auquel les institutions culturelles sont déjà très sensibles. ➡️ Le rapport se termine par quelques recommandations stratégiques: - Un appel à plus de créativité de la part des acteurs de l'industries de la musique, afin d'éviter la concurrence des IA - Un renforcement de la littératie médiatique autour de l'IA pour aider le public à comprendre et évaluer le contenu généré par IA. - Un cadre légal clair pour l'utilisation de l'IA dans la création de contenu culturel, assurant une rémunération équitable et le respect des droits d'auteur. À noter que la démarche de Ircam amplify est citée en exemple dans le rapport version longue, comme une attitude positive et éthique envers l'IA, à prendre en modèle. #Australia #APRAAMCOS #Musique #Music #AI #GenAI #Museovation Pour information : Benoit Carré, Sellah Devin-Alidor, Anne Le Gall

Diktat de la stat. Cher.e.s collègue.s,  Même si je suis hors-jeu période des voeux, je voudrais quand même en formuler un pieux pour cette année 2024.  Professionnels du booking, producteurs, labels, managers, éditeurs et autres pro-actifs pro-passionnés de la pro-profession, pourrait-on, pour mon plus grand bonheur, littéraire, sensible et artistique, ne pas uniquement parler des artistes, musiciens, auteurs compositeurs et/ou interprètes, par le prisme du nombre de likes, de cumuls de streams, d’auditeurs abonnés engagés et autres joyeuseries numériques?  Je pense que nous savons tous TRESSSS bien aller chercher ce genre d’infos quand nous diggons. Je ne suis aucunement dupe de la nécessité pour cette industrie (dont je fais partie même si ce terme me pose question car je ne suis pas certaine qu’il soit le reflet d’un paquet d’artisans qu'à mon sens il invisibilise) d’aller aussi vers des valeurs « sûres », d’investir des artistes déjà portés par un entourage et des fanbases rassurantes…  Néanmoins, nous raconter l’histoire des projets que vous soutenez, nous expliquer les influences et les références, nous raconter comment est né le disque et comment le Live est pensé; situer ce que, selon vous, le son apporte au flow continue de musique qui nous submerge quotidiennement… tout ça ne devient il pas un peu rare? Le paradoxe ne réside t’il pas ici justement: comment faire des artistes émergents et encore peu dans les radars des musiciens que l’on va soutenir? Comment continuer à parler d’art, de création et d’innovation au coeur du « marché »? Comment soulever cette paupière qui tombe déjà devant le flux continue de mails et de propositions musicales que nous recevons tous? Comment ne pas laisser l’algorithme comme seul guide quand nous savons déjà toutes et tous qu’il oriente notre entre-soit musical? Autant de réflexions que je laisse à vos appréciations. (La plateforme d’inscription pour proposer vos artistes au MaMa ouvrira d’ici deux semaines mais vous pouvez dores et déjà me contacter sur mon mail pro et/ou me le demander en MP ici)

💡 Le choix entre être artiste indépendant ou signer avec un label est complexe et multidimensionnel. 🤝 Chacune de ces parties explore différentes facettes de cette décision cruciale, mettant en lumière les défis, les opportunités et les tendances émergentes. 🔎 En fin de compte, l’industrie musicale continue d’évoluer, offrant donc aux artistes un paysage diversifié où la créativité, l’adaptabilité et la connaissance approfondie de soi et de l’industrie demeurent des atouts essentiels pour réussir. 🚀 L'article est disponible ! https://lnkd.in/dG99csF4

🎶 L'avenir de la musique est là, et elles s'appellent SOR4 ! 🎶 Lorsqu'une étoile montante brille de mille feux sur les plateformes numériques, elle éclaire le chemin pour toute une nouvelle génération d'artistes en quête de leur voix unique. Première découverte de SOR4 lors d'un TikTok Live. C'était un moment captivant. voix, présence ... Tout laissait présager qu'elles allaient transformer le paysage musical. Mais ce qui m'a vraiment interpellé, c'est que Sor4 ne s'arrête pas à la musique ; ce groupe de filles crée une communauté, une expérience. Et c'est là que réside la magie du digital : l'interaction en temps réel, l'engagement sincère avec ses fans, et l'opportunité d'élargir ses horizons bien au-delà des frontières classiques. Je pense que chaque artiste peut tirer une leçon de l'ascension de SOR4. Dans un monde où l'attention est précieuse, il ne suffit pas seulement d'être talentueux, il faut aussi être stratégique. Exploiter les plateformes comme TikTok n'est plus une option, c'est une nécessité pour émerger et prospérer dans l'industrie musicale actuelle. Alors, qui sera le prochain à se révéler ? 🤔 #MusiqueDigitale #InnovationArtistique #SOR4 #TikTokMusic Vincyld

Redécouvrez le projet "Réinventer la nuit" au travers de cette interview réalisée lors de la release party du manifeste par ENTR 📹 👉 Le projet consiste à proposer des outils concrets et des espaces d’échange pour répondre aux problématiques et rendre la profession de DJs plus safe. Nous organisons des cercles d’échanges en mixité choisie (à destination des femmes et minorités de genre professionnel·les de la musique). Des outils sont aussi mis à disposition via des documents téléchargeables pour tout·e professionnel·le : charte de bienveillance à destination du public, protocole de sûreté sur l’accueil des artistes, protocole de sûreté pour les lieux (avec un brief par corps de métier), template pour la feuille de route des artistes, template de rider pour les artistes; ressources sur la santé mentale pour les artistes : https://urlr.me/wZH1m Anaïs Condado Domitille Raveau

Le streaming : évolution ultime ou quête d'exclusivité ? Passionné par l'industrie musicale et ses constantes mutations, j'ai rédigé un mémoire au CELSA intitulé : "Le streaming : ultime évolution ou étape logique ? Rétrospective sur l’évolution perpétuelle de l'industrie musicale". 📚 Dans ce travail, j'explore une thèse centrale : à l'ère du streaming, où la musique est accessible à tous pour un coût dérisoire, le public recherche avant tout l'exclusivité. 🌐 Le streaming a indéniablement transformé notre accès à la musique, mais il a aussi contribué à sa banalisation. Face à cette abondance, les fans cherchent des expériences uniques et exclusives qui les démarquent du grand public. 🎤 La musique live, par exemple, est devenue un vecteur privilégié d'exclusivité. Assister à un concert permet de vivre des moments uniques et partagés, de découvrir des artistes en avant-première, ou de profiter de moments exceptionnels. L'industrie musicale s'adapte à cette nouvelle réalité en proposant des expériences live de plus en plus immersives et innovantes : concerts dans des lieux insolites, rencontres privilégiées avec les artistes, contenus exclusifs... 📈 Mon mémoire s'inscrit dans une réflexion plus large sur l'avenir de l'industrie musicale. Face aux bouleversements technologiques et aux changements de consommation, comment les acteurs du secteur peuvent-ils se réinventer pour continuer à séduire un public en quête d'exclusivité ? 📵 Un exemple frappant est la réaction négative d'une partie du public face à l'interdiction des téléphones lors de concerts par certains artistes, comme Dinos. Cette initiative controversée met en lumière l'importance de la capture et du partage de moments musicaux, désormais perçus par certains comme des éléments indissociables de l'expérience live. 🔍 Cette quête d'exclusivité soulève des questions importantes sur notre rapport à la musique à l'ère des réseaux sociaux : comment concilier le besoin de partager ses expériences avec l'envie de vivre des moments uniques et authentiques ? Je suis ravi de partager avec vous les insights et réflexions issus de mon mémoire. J'aimerais beaucoup échanger avec ceux qui sont intéressés : n'hésitez pas à partager vos pensées en commentaires ou à me contacter directement pour en discuter ! De plus, je suis en train de travailler à le rendre disponible en ligne pour que chacun puisse en bénéficier. #Musique #Streaming #IndustrieMusicale #Exclusivité #Innovation #CELSA #Mémoire