Post de Priméale France

CHEVAL - HERBE DE PRINTEMPS C’est le printemps avec ses grands écarts de températures qui stressent l’herbe montante. Les chevaux sortent au parc et ingèrent lors des gelées, surtout le matin, de l’herbe TROP RICHE EN SUCRE. Chez beaucoup de chevaux, la digestion de cette herbe sucrée va libérer des toxines qui vont atteindre les pieds via la circulation sanguine et provoquer une inflammation pouvant aller jusqu’à la FOURBURE. Pour limiter ce risque: donner du foin le matin et mettre un saut d’ARGILE VERTE imbibée d’eau en libre accès dans le parc. L’argile doit être recouverte d’une couche de 2-3 cm d’eau en permanence. La structure cristalline et les ions de l’argile ont la propriété de capter les toxines. (Source Ranatura, via A-L. Zufferey)

Hier soir la pluie a pointé son nez à 18h30 , Clap de fin pour les semis d’été avec le semis de chanvre ( 25ha ) ( en fait il reste un semis de 2 ha de sorgho grain pour essai farine cet hiver ) Debout pour les premiers à 2 h du matin , c’est une plus belle satisfaction d’avoir terminé à temps avec les applis météo en main pour regarder la direction de la dépression qui s’approchait . A la dose de 40 kg/ha ce chanvre va débuter son cycle pour être récolté fin septembre début octobre 2 récoltes pour une seule culture La première est la récolte des graines qui seront séchées dans les 6 premières heures et triées ensuite pour en faire un chanvre alimentaire Bio ( huiles , graines décortiquées , ingrédients ) La deuxième sera la paille qui dans notre cas est engagée en semi rouie ( du fait de notre secteur plus tardif , il reste impossible de la valoriser en rouie totale qui est réservé pour d’autres secteurs plus précoces et moins haut en altitude ) La paille sera donc pressée environ 1 mois après sa fauche à la récolte des graines . Et sera stockée à l’abri pour être transformée tout au long de l’année suivante . Cultures sans intrants de synthèse elle constitue une vraie alternative technologique dans les assolements tout en permettant de produire une denrée alimentaire et des biomatériaux sans compter le rôle fixateur de carbone ( racines et feuilles ) dans les sols Ensuite s’en suivra un blé toujours sans intrants de synthèse dans notre cas qui rejoindra la meunerie en 2025 -2026 Aujourd’hui dernier jour des dépôts dossiers PaC qui vient d’être repoussé au 24/05 ….ce qui nous laisse le temps d’envoyer toutes les étiquettes des sacs de chanvre ( séance découpage ce matin 😅) avec son bordereau au service économie agricole de notre DDT …..difficile la dématérialisation 🤷 La Chanvrière de l'Aube Pôle européen du chanvre Estelle DELANGLE

Chez NUVIE nous prenons aussi soin de vous! Quatrième jour de notre concours du printemps: Saurez-vous nous dire de quelle couleur avons-nous peint notre ruche ? Toujours 2 lots sont à gagner (1 sur facebook et 1 sur Linkedin). La règle est simple: suivez notre page ou partagez la publication puis indiquez votre réponse en commentaire. Le gagnant sera tiré au sort parmi les bonnes réponses sous cette publication! La réponse à la question de samedi est: NUVIE va accueillir environ 10 000 abeilles buckfast ! Pour tous vos besoins en Dératisation, Désinsectisation ou Désinfection, faites appel à NUVIE 06.45.20.64.53 ou contact.nuvie@gmail.com https://www.nuvie.fr/  #NUVIE #PestControl #Désinsectisation #Dératisation #Conseil #Diagnostic #Clients #Nuisibles #Qualité #Satisfaction #Concours #Abeilles #Printemps

Les conditions idéales pour vos lâchers de #syrphes sont maintenant ! N’hésitez pas à rajouter une solution #naturelle à votre stratégie ! Contactez nous pour plus d’informations

[suite] Je m’extasie devant la simplicité de ma vie. Lorsque j’éprouve la sensation de faim, je suis servi dans la demi-heure. J’allume un petit feu de bois, enfile un masque et saisis un fusil harpon. Je parcours les 40 m qui me séparent du lagon et palme la même distance pour choisir mon plat. Les braises grillent le poisson pendant que, saisi par le vent incessant, je me réchauffe (nu) au-dessus des flammes. Lorsque le poisson et moi sommes cuits à point, c’est l’heure de passer à table. Circuit-court, produits de saison, pas de conservateur : cette diète mérite une bonne note sur Yuka ! Je repense alors aux caddies à Nouméa en juillet que les clients remplissaient jusqu’à déborder. On se serait cru la veille de Noël. La peur de manquer. La consommation à outrance. Cela m’avait donné envie de replonger dans mon projet, à contre-courant de cette société de consommation et du matériel. Il faut reconnaître qu’au supermarché on n’a pas besoin de se battre avec un fusil ou une dague pour de la nourriture (sauf pénurie). Ici, il faut parfois défendre son bout de gras. En début d’expédition, j’ai été échaudé par mes compagnons « requins-taquins » toujours pressants et immédiatement impatients de se jeter sur le poisson fléché. Pour éviter ces âpres négociations, j’ai compris qu’il faut la jouer fine et dans l’instant. Première solution : avant même qu’ils rappliquent, je suis déjà revenu sur la plage. Je réduis au maximum la distance de la proie au rivage (je la conduis vers la plage avant de la flécher) et chasse en fonction de l’heure de la marée (à marée basse, un banc de sable entrave l’arrivée des requins). L’autre stratégie consiste à affirmer ma présence : lorsque je tombe sur un requin, je ne laisse plus marauder. Je déboule droit sur lui ! Surpris, estomaqué même, le requin pointe noire repart la queue entre les jambes, me laissant quelques minutes de répit pour choisir un poisson. En attendant de trouver d’autres arrangements, l’attaque est la meilleure des défenses ! La chasse au crabe de cocotier est sans risque, sinon celui d’y laisser une phalange. Je les appâte selon la méthode océanienne à l’aide d’un demi-coco sec. Celui-ci est fixé à un bois pour éviter que le crabe l’emporte dans son terrier. Le parfum du coco attire irrésistiblement les crabes. Hier, j’en ai vu neuf et j’en ai pris un. Avec une croissance lente, une reproduction tardive, une chasse facile et une chair appréciée, ce bernard-l’hermite de plusieurs kilogrammes réunit toutes les qualités pour signer sa disparition. Partout où l’homme en fait un commerce, il s’efface de la carte. Je ménage la collecte, ne capture que les mâles, les plus gros et souhaite longue vie aux crabes. [Suite dans le prochain post]

Pourquoi intégrer du saule pourpre dans ses haies vives ? 🐝 intérêt pour les butineurs très tôt dans la saison comme la plupart des saules. 🌱 contrairement à de nombreux saules, il supporte les sols séchants, tout comme les sols humides. C'est une essence très plastique qui conviendra à de nombreux endroits à peu de risque de reprise. 🌿 Ultra pratique: l essence est bouturable. Pour regarnir la haie durant les premières années de sa vie, il suffit de couper des boutures de 40 cm de saule pourpre et les mettre en terre en hiver. Easy & gratuit. 🌳 Le saule pourpre à un port très droit et ne dépasse pas quelques mètres à maturité. Ce qui rend sa taille inutile.

🌿 Se préparer pour l’hiver 🌿 A la droguerie Roggen, nous croyons en la puissance de la nature pour soutenir votre bien-être. Aujourd'hui, je suis ravie de vous présenter les coulisses de la fabrication de notre sirop Immunoflore, qui fait partie de nos spécialités maisons phares. Première étape: la cueillette L’aventure a pour cadre les haies de la région: nous sommes allés cueillir les prunelles sauvages dans les environs de Domdidier. Ces fruits, connus pour leurs propriétés bénéfiques, sont la base de notre sirop qui soutient les défenses immunitaires. Petit secret de fabrication: aussitôt cueillies, les prunelles sont mises au congélateur. On prend ainsi une longueur d’avance sur les oiseaux, qui raffolent de ces baies. Le passage au congélateur remplace l’effet du gel, qui est nécessaire pour transformer l’amidon en sucre. Prochaine étape: l’élaboration du sirop dans notre laboratoire.

LE TEMPS DU GENEPI ! ☘️☘️ Autour de la mi-juillet, c'est le temps de la floraison du génépi. Célèbre pour son arôme qui fait le délice des amateurs de liqueurs, digestifs et autres infusions, le génépi pousse dans les Alpes majoritairement entre 2500 et 3000 m d'altitude. Le récolter est un véritable sport, qui peut s'avérer aussi coûteux que dangereux ! En effet, le génépi est une plante menacée de disparition, bien qu'elle s'épanouisse souvent dans des terrains sur lesquelles la chute est interdite, et dès lors, a priori peu fréquentés... Nombreux sont les montagnards qui connaissent au moins un autre montagnard "mort en allant au génépi". La plante aime les faces rocheuses vertigineuses, prenant racine dans des systèmes de fissures au sein desquels le ruissellement de l'eau permet au substrat de demeurer humide. Dès lors, s'aventurer dans ces terrains requiert condition physique et pied sûr, au risque de chuter fatalement... Malgré l'isolement de ceux-ci, la plante et ses différentes déclinaisons connaît un succès toujours plus croissant dans les Alpes, de sorte qu'une pression certaine s'exerce sur ses capacités de régénération. C'est la raison pour laquelle de nombreux pays ou départements des Alpes ont pris en sa faveur des arrêtés encadrant strictement sa cueillette. Ainsi, en Savoie par exemple, les prélèvements sont limités à 120 brins pas jour et par personne. Même si c'est déjà bien assez pour produire soi-même 3 litres de liqueur quotidiennement (!), le cueilleur abusif qui se ferait prendre risque pas moins de 750 € d'amende : de quoi acheter près d'une quinzaine de litres de "génépi des Alpes" prêt à consommer au supermarché ! #genepi #montagne #alpes #plantes #fleurs

🚨 FORTE POPULATION DE MOUCHE DE L’OLIVE SUR TOUTES LES ZONES Dans la grande majorité des secteurs oléicoles, les olives sont attractives à la ponte (supérieures à 8 mm de longueur); les calibres des olives sont assez gros pour un début de saison. ATTENTION, les mouches sont très actives, les populations sont importantes et ont fortement augmenté en quelques jours, notamment dans les secteurs les plus précoces. Les conditions climatiques sont favorables à l’activité de ponte de la mouche de l’olive. Cela peut évoluer très rapidement. Des oléiculteurs ont signalé de fortes augmentations d’activité depuis 2 jours, notamment avec des dégâts déjà observés. Si vous n’avez pas encore installé et/ou protégé vos parcelles d’oliviers, il est très urgent de mettre en place le #VIOTRAP Soyez très vigilants !!! Pour plus d’informations sur la protection VIOTRAP, vous pouvez envoyer un mail à viotrap.geniter@gmail.com

🍀Le bonheur est dans le pré 🐂 Mon bonheur absolu est carrément dans ce pré ! Si pour beaucoup, la moisson est l’apogée d’une campagne agricole, les foins sont ma saison préférée. Depuis ce week end, la saison est lancée ! Action ! L’herbe est la base de notre système d‘élevage. André Pochon disait que la vache était le meilleur outil agricole équipé d’une barre de coupe devant et d’un épandeur à fumier derrière ! Si nous tenons nos bêtes au maximum à la pâture, il y a bien des réserves à faire pour l’hiver donnant lieu à une véritable gestion de la pousse de l’herbe. Et ceci est passionnant. Arriver à anticiper la pousse Faucher certaines parties pour faire des décalages de pousse Faucher les refus Faire du pâturage tournant. La tentation serait de faire pousser l’herbe à son maximum et de faire de gros rendements Pourtant … Tout l’art réside à alterner entre fauche de petite quantité d’herbe et pâture. La qualité à chaque coupe est meilleure La quantité finale est supérieure La prairie s’épuise moins Et la limousine est ravie L’autre facteur de réussite est la météo. Que de chemin parcouru. Avant 1998, la décision pour faire une fauche était un savant mix entre les prévisions d’Évelyne Dhéliat, la hauteur du vol des hirondelles et un « rouge couchant demain beau temps » du grand père. Les plus aguerris prenaient en compte la direction du vent … Bref, c’était pas simple et le foin se mouillait une fois sur 2 😬 En 1998, Alain Vidal, professeur émérite au lycée agricole de Toulouse Auzeville me dit : « tu devrais te regarder un truc sur internet qui s’appelle météociel » Et là ! La révolution ! Tel un Serge Zaka de l’époque, j’étais un devenu un demi dieu qui savait le temps à 10 jours 😇 Je ne cache pas qu’il me fallut un petit moment d’apprentissage et de calibrage des prévisions que le site proposait mais une fois les bons correctifs faits pour correspondre à la zone, le système devint redoutable. Ce mélange de trèfle blanc, trèfle incarnat et de ray grass sera ramassé cet après midi. Une bombe protéique pour l’hiver Un association gagnante dans le champ car pas besoin d’ engrais. Je vous souhaite un bon dimanche ☀️ Le mien sera dans le pré Sous l’œil des limousines et près de la source captée. Sébastien Neveux Philippe Collin Clémence Ader Coline Ader Bleu-Blanc-Coeur pierre weill Jean Baptiste MOREAU CNIEL Conseil National pour la Résilience Alimentaire (CNRA) Carole Delga Sébastien Albouy