Post de Projet CARAVANE Besançon

📚 Nouvelle parution ! 🌟 Situé au coeur de mes préoccupations d'apprenti chercheur, je vous encourage à vous procurer cet ouvrage qui s'intéresse tout particulièrement à une certaine vision de la recherche : la recherche « Avec » et aux nouveaux savoirs qu'elle investigue. #Éducation #Recherche #SociétéInclusive

Joignez-vous à nous et à l'AQOCI - Association québécoise des organismes de coopération internationale les 15, 17, 22 et 24 octobre pour une formation sur comment rendre la collecte de données plus significative à travers le cycle d'un projet. 📆 S'inscrire avant le 7 octobre : https://bit.ly/3XcfYK9 Dans cette formation, animée par Natalie Zend (http://www.zendialogue.ca/), vous apprendrez à :  ✅ Considérer les options pour adapter la collecte de données face aux perturbations telles les conflits, les pandémies ou les désastres ; ✅ Concevoir une stratégie de collecte de données, y compris savoir quand commencer le processus de conception et les types de sources de données et de méthodes à considérer ; ✅ Appliquer des perspectives sensibles au genre, féministes, et participatives à la collecte de données et à l’implication des parties prenantes ; ✅ Examiner des options de collecte de données menées par la communauté, décider quand les choisir et en évaluer les implications pour le projet ; ✅ Considérer les options en matière d’outils technologiques et d’applications pour la collecte de données, sur la base d’une compréhension des pièges, des possibilités et des meilleures pratiques. Nous espérons vous y voir !

N'oubliez pas de vous inscrire ! Même pour le distanciel. Au programme : découverte de l'offre de Bemymedia. Je suis donc curieux de découvrir La fresque de l’information de Bemymedia. Cela fait un moment qu'on me parle de cette "entreprise à mission" et de cette fresque ! ↪ J'ai beaucoup de questions sur ces entreprises qui se lancent dans l'EMI et globalement dans la EdTech. Cela me rappelle le Groupe SOS avec "Respect EMI". Les points communs : ➡ prendre un thème social porteur ➡ créer des formes de gouvernances originales et multiplier les cadres (association, fondation, coopérative...) ➡ utiliser le numérique et des offres en ligne ou plateforme pour "former" ou "sensibiliser" ➡ communiquer, beaucoup, notamment sur le nombre de bénéficiaires, d'actions, d'heures données... ➡ finir par élargir ses prérogatives de départ parce que le "cyberharcèlement, c'est important", "il faut parler du développement durable", "les valeurs de la République".... pour devenir un objet fourre-tout éloigné de l'idée de départ, souvent excellente. Bref : je ne sais pas si ça fonctionne et j'ai hâte d'en savoir plus et puis, vous, qu'en pensez-vous ? #Espritcritique #EMI #Educmédia

Semaines intensives avec de nombreux workshops auprès d'établissements scolaires et de communes sur la question de la bonne gouvernance des outils d'IA générative. Les questions récurrentes: 🎯 Comment intégrer au mieux ces outils, notamment du point de vue des employé-es et des usager-ères ? Quelles compétences nouvelles sont nécessaires ? 🎯 Comment faire coïncider les obligations juridiques et les ambitions éthiques ? 🎯 A la conjonction de ces réflexions, comment se donner des règles communes acceptables, orientées vers des espaces d'expérimentation et le respect des missions de service public ? Lessons learnt pour nous: ces questionnements sont la meilleure preuve de ce que nous appelons la "3ème phase" de l'éthique de l'IA. Après une 1ère phase de scepticisme soft (pour ne pas dire désintérêt), une 2ème phase de pragmatisme tactique (si les clients le veulent, nous le ferons), nous voici au coeur d'une phase d'institutionnalisation: comment intégrer dans les organisations et les entreprises les demandes d'éthique de l'IA ? Cette phase est cruciale car elle offre plus de clarté aux acteurs du marché en clarifiant ce qui est attendu d’eux. En combinaison avec un renforcement du cadre juridique, cette éthique numérique assure une meilleure protection des intérêts des usager-ères et des citoyen-nes.  

[PépiteDePéparationDeCours] Les "données" sont mobilisées partout autour de nous et un vaste imaginaire les accompagne : rationnalisation et optimisation du monde, idéal d'objectivité des traitements, richesse de ce qu'apporteraient naturellement ces "données", etc. Pourtant les résultats de la mise en place de dispositifs reposant sur ces "données" sont souvent décevants. Cet écart peut paraître étonnant, mais les chercheur.es analysant comment ces dispositifs sont mis en place et exploités permettent de bien le comprendre : on y découvre à quel point il n'y a rien de donné là-dedans mais plutôt des constructions impliquant beaucoup de choix, plus ou moins justifiés mais demeurant toujours discutables; des limites dans les informations recueillies; des contraintes apportées par des contextes techniques, organisationnels, juridiques, économiques; des limites majeures et indépassables à la codification du monde et, surtout, l'omniprésence du travail et des expertises humaines pour arriver à faire tourner ces systèmes. Pour comprendre cela et avoir un rapport plus concret aux innovations technologiques, il n'y a pas de meilleur moyen que l'enquête en sciences sociales et cet épisode permet de le comprendre en décortiquant les enjeux pour garantir l'anonymisation des décisions de justice rendues accessibles publiquement.

[RESSOURCES] 📕 𝘓𝑎 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒-𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑛’𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑗𝑢𝑠𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑒́𝑡ℎ𝑜𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑎𝑏𝑜𝑟𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒, 𝑐’𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑝𝑜𝑙𝑖𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑜𝑛𝑡 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑎𝑖𝑠𝑖𝑠𝑠𝑜𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑒𝑡 𝑠𝑜𝑢𝑣𝑒𝑛𝑡 𝑠𝑝𝑜𝑛𝑡𝑎𝑛𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡, 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑎𝑔𝑖𝑟 𝑠𝑢𝑟 𝑛𝑜𝑠 𝑚𝑖𝑙𝑖𝑒𝑢𝑥 𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑒. 𝐶’𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡 𝑎̀ 𝑒𝑛𝑞𝑢𝑒̂𝑡𝑒𝑟, 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑟𝑒́𝑐𝑖𝑡, 𝑎̀ 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑙𝑒́𝑚𝑎𝑡𝑖𝑠𝑒𝑟, 𝑎̀ 𝑑𝑜𝑐𝑢𝑚𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟, 𝑎̀ 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑒𝑝𝑡𝑢𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒𝑟, 𝑎̀ 𝑐𝑟𝑒́𝑒𝑟 𝑑𝑢 𝑙𝑎𝑛𝑔𝑎𝑔𝑒, 𝑑𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟𝑠, 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒𝑠, 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑒́𝑚𝑒𝑟𝑔𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́𝑠. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑟𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒-𝑎𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑠𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑎𝑛𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑏𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑚𝑜𝑐𝑟𝑎𝑡𝑖𝑒 𝑒𝑛 𝑎𝑐𝑡𝑒𝑠, 𝑎𝑢 𝑐œ𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑛𝑜𝑠 𝑒𝑥𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑒𝑛𝑐𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑒𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠. On vous invite à lire l'article "Pour des tiers-lieux en recherche-action permanente ?" écrit par Pascal NICOLAS-LE STRAT et Louis Staritzky, qui invite les lieux à se saisir des démarches de recherche-action pour documenter, partager, nourrir ou caractériser collectivement des situations vécues dans les tiers-lieux. Des mots qui font échos à la vision apprenante, évolutive et collective de l'évaluation que nous défendons chez Commune Mesure ! ➡ Un article à retrouver sur le site de l'Observatoire des tiers-lieux (cc France Tiers-Lieux ) : https://lnkd.in/ezMzC5hP ➡ Retrouvez également des articles, ressources, et méthodes sur note site internet : https://lnkd.in/dTCv6w_V

📣 Pour la première fois, une équipe de recherche mène, en concertation avec les principales têtes de réseaux associatives, une #étude d’ampleur #nationale pour analyser les #relations entre #associations et #pouvoirs #publics. Université de Lille ANR (Agence nationale de la recherche) 🙏 Responsables associatif-ves : merci de remplir et de relayer ce questionnaire d’ici au 15 novembre. Aidez-nous à #éclairer à la fois les #conditions de la #coopération avec les pouvoirs publics, et les #difficultés rencontrées. Les premiers résultats de l’analyse seront rendus publics au printemps 2025.   Lien vers le questionnaire : https://lnkd.in/eAHmx8xr 👇 Quelles sont les conditions du partenariat et de la coopération entre ces deux mondes ? Et quelles sont les limites et contraintes expérimentées par les associations dans le cadre de ce partenariat ? Comment a été perçu et mis en œuvre le Contrat d’engagement républicain ? Au-delà, quel est l’état des libertés associatives dans la France contemporaine ? C'est notamment à ces questions que cherchera à répondre cette étude inédite, portée par une équipe de recherche de l’Université de Lille dans le cadre du projet « Libertés associatives et initiatives citoyennes » , financé par l’Agence Nationale de la Recherche (2023-2025).  Cette enquête a été construite en collaboration avec les principales têtes de réseaux associatives et sera complétée par des entretiens qualitatifs plus approfondis. Elle s’adresse à l’ensemble du monde associatif, y compris les associations de fait et les collectifs informels. Votre contribution à cette enquête est essentielle. C’est en effet la première fois qu’une enquête d’une telle ampleur est menée. Afin de pouvoir aboutir à des résultats représentatifs et à des analyses qui pourront nourrir votre dialogue avec les pouvoirs publics, nous avons besoin de réunir un nombre important de réponses, issues d’une diversité d’acteurs associatifs (en terme de taille, secteur d’activité, etc.). Merci aux responsables d'associations (direction, présidence ou membres du CA) de répondre à ce questionnaire entre le 16 septembre et le 15 novembre 2024. Merci aussi de diffuser ce questionnaire dans vos réseaux et d’inviter vos partenaires à y répondre.

🔈 « Rᴇɴᴄᴏɴᴛʀᴇs ᴅᴇs ᴇ́ᴅᴜᴄᴀᴛɪᴏɴs ᴀ̀ » Non, il ne manque pas un mot dans le titre. Ou plutôt si, il en manque tout un tas. Chacun d’entre eux pouvant illustrer une thématique, un secteur, un public : Education à l’Action Culturelle, Education aux Médias, Education au Développement Durable etc. Le terme anglais de « 𝑐𝑟𝑜𝑠𝑠-𝑐𝑢𝑡𝑡𝑖𝑛𝑔 𝑖𝑠𝑠𝑢𝑒 » rend peut-être mieux justice à cette approche transversale que chacun appelle de ses voeux, mais qui manque cruellement d'espaces pour tisser des passerelles. Pour aller plus loin dans l'analyse, je vous conseille l'ouvrage "Dictionnaire critique des enjeux et concepts de l'Education à" que Jean-Marc Lange a su nous résumer brillamment en introduction. Ces mouvements réunis à Rennes, ont mobilisé près de 300 personnes pendant deux jours pour engager une vraie réflexion sur les convergences possibles. A l’initiative de la CIRRMA et du Réseau Bretagne Solidaire, en partenariat avec le CREAD et le F3E, nous avons réussi le pari de traverser la jungle des acronymes pour tisser des liens entre les familles d'acteurs. J'en retiens qu'il y a bien plus de croisements, d'emprunts, de partages que la critique classique de "l'approche en silo" laissait croire. Accélérer le mouvement par des espaces de dialogue entre les familles d'acteurs et à travers les commissions interministérielles est essentiel. Mais il y avait "an elephant in the room" durant tous nos échanges. Si "nous", les différentes familles d'acteurs présents, sommes à peu près d'accord sur les enjeux et les perspectives, nous ne pouvons faire semblant d'ignorer qu'il existe des mouvements puissants qui oeuvrent dans le sens contraire. La "crétinisation" comme l'a rappelée de manière analytique Pierre-Jean Roca nous attire, par écran interposé, par des algorithmes, par manque de temps, à nous poser moins de question et à simplifier les débats... et les solutions! En cela les mouvements d'éducation ont une responsabilité sociétale, ce n'était plus à démontrer, mais également politique en offrant à nos concitoyens les moyens pour construire un "esprit critique" rappelé au cours des nombreux ateliers. Face aux enjeux de la période, et porté par l'enthousiasme des participants, Gaël Clabecq nous a également rappelé la nécessité de faire face à la tempête budgétaire, d'assumer des choix courageux, car "nous sommes tous dans la même barque". Je reste marqué par cette plénière finale qui, grâce à des méthodes participatives dont Agathe Neveu a le secret, a permis d'afficher une nuage de mots sur les enjeux clés selon les participants. En son centre, une préoccupation : la Paix. Alors, prêt pour une seconde édition? #RRMA Merci aux soutiens directs biensûr AFD - Agence Française de Développement Stéphanie Beney Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères Lucas Pedrol-Margaley Frédéric Cholé Rennes Ville et Métropole ...mais aussi à tous ceux qui, par leurs soutiens aux acteurs des éducations à, ont rendu cet évènement possible.

Challenge #ramentafraise - Nina Ramen 🍓 - JOUR 3 : Et si on déconstruisait les clichés sur la fonction publique ? Je suis fière aujourd'hui d'être fonctionnaire engagée dans le service public. Je veux témoigner que beaucoup des services publics tiennent grâce à l'engagement des personnels. Cela ne doit pas empêcher de réfléchir pour améliorer le service rendu. Que faut-il faire pour innover ? D'abord, je le répète, créer les conditions de plus de mixité dans les groupes de décision et de pilotage qui portent la vision du service public de demain. 💥 L'enjeu = Comment y arriver ? 💭 Faut-il supprimer ou modifier les concours ou les conditions d'accès aux concours ? Peut-être, comme cela existe avec le concours 3ème voie dans l'Education Nationale. 💭 Faut-il créer des groupes de soutien pour les minorités ? Peut-être. 100 femmes talentueuses accompagnées et coachées, c'est un bon début (https://lnkd.in/dcnmNkXj). Il faut aller encore plus loin pour plus de diversité. 💭 Faut-il créer des instances pour réfléchir autrement ? Sans aucun doute. J'ai découvert que les Laboratoires d'innovation publique sont faits pour ça. Pas de côté, approche inter catégorielle, penser autrement pour faire bouger les lignes. J'ai fait un stage d'observation dans un lab, c'était passionnant de promouvoir de la transversalité. La relation usager ? Ca nous concerne tous. Merci Blandine THOMAZO qui m'a accueillie de porter aussi bien et aussi haut sa mission de transformation. C'est très inspirant. Pour en savoir plus : https://lnkd.in/dQ3q8pne J'imagine "mon" laboratoire d'innovation, il travaillerait sur des besoins émergeant du terrain et serait une organisation apprenante et agile. 🔶 Ce serait un groupe d'humains animés par la volonté de comprendre le point de vue des autres et la capacité à libérer leur créativité. 🔶 Il porterait des valeurs d'écoute, de respect, d'humilité. Il se donnerait le temps d'agir plutôt que de réagir. 🔶 Il garderait le cap fixé, en sachant faire preuve d'agilité. Il disposerait d'un budget dédié et surtout, il travaillerait en lien avec le service formation / Accompagnement. Car, je suis persuadée qu'on n'obtiendra pas de transformation sans proposer de la formation et de l'accompagnement aux agents. Vous aussi vous avez des exemples à partager ? Laisser un commentaire... Peut-être à demain, mais, pas sûr 💦 _____________________________________________________________________________ Je suis Véronique Scherrer Nicorosi et je suis persuadée que le monde a besoin de nouvelles façons d'agir. Je veux mettre mes compétences au service d'un monde plus juste et plus durable, dans un collectif qui a une vision pour le monde. Mon moteur 🚲 : ma curiosité et ma soif d'apprendre de nouvelles choses. Mes superpouvoirs 🦋: empathie, engagement, curiosité ________________________________________________________________________________

J'ai beaucoup aimé la manière dont la Grille de priorisation des cibles des objectifs de développement durable est conçue et articulée. C'est un outil pratico-pratique à connaître pour initier et alimenter la réflexion en plus de structurer et de suivre l'évolution des actions.