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Article très intéressant qui explore le potentiel économique de l'Afrique subsaharienne face à la demande croissante de minerais critiques, essentiels pour la transition énergétique mondiale (véhicules électriques, éoliennes). Avec 30 % des réserves mondiales, le continent pourrait voir son PIB augmenter de 12 % d'ici 2050, selon le FMI. Des pays comme la RDC, l'Afrique du Sud et le Mozambique se démarquent déjà grâce à leurs ressources en cobalt, chrome, platine et titane. Cependant, pour que ce boom profite réellement aux économies locales, plusieurs défis doivent être relevés : la réforme des codes miniers pour garantir une meilleure redistribution des revenus, la transformation locale des minerais bruts pour maximiser leur valeur ajoutée et la création d'emplois. Actuellement, la majorité des minerais extraits, notamment en RDC et au Zimbabwe, est exportée brute vers des puissances comme la Chine, qui domine la chaîne de transformation. Les infrastructures énergétiques limitées et le faible marché local pour les technologies vertes constituent d'autres obstacles majeurs. De plus, les stratégies d'approvisionnement des grandes puissances (Chine, Inde, UE) privilégient leurs propres intérêts économiques et géostratégiques, limitant les bénéfices pour l'Afrique. Le succès de cette opportunité dépendra donc de la capacité des pays africains à mieux encadrer le secteur, à renforcer leurs infrastructures et à exiger une plus grande part de la valeur ajoutée issue de leurs ressources naturelles. https://lnkd.in/d5HzNphx

Exploitation des minerais de transition : La RDC, l'Afrique du Sud et la Zambie à l'aube d'une révolution économique de 32 milliards de dollars L'Afrique est en passe de devenir un acteur incontournable dans le secteur des minerais de transition, des ressources clés pour l'industrie mondiale de l'énergie renouvelable. D'après les récentes recherches de "Publish What You Pay" (PCQVP), le continent pourrait ajouter jusqu'à 24 milliards de dollars par an à son produit intérieur brut (PIB) et créer 2,3 millions d'emplois supplémentaires en valorisant ces ressources sur place. Une opportunité qui pourrait transformer les économies africaines, mais qui nécessite une approche concertée et stratégique de la part des gouvernements. https://lnkd.in/eUdC4npr

Exploitation des minerais de transition : La RDC, l'Afrique du Sud et la Zambie à l'aube d'une révolution économique de 32 milliards de dollars L'Afrique est en passe de devenir un acteur incontournable dans le secteur des minerais de transition, des ressources clés pour l'industrie mondiale de l'énergie renouvelable. D'après les récentes recherches de "Publish What You Pay" (PCQVP), le continent pourrait ajouter jusqu'à 24 milliards de dollars par an à son produit intérieur brut (PIB) et créer 2,3 millions d'emplois supplémentaires en valorisant ces ressources sur place. Une opportunité qui pourrait transformer les économies africaines, mais qui nécessite une approche concertée et stratégique de la part des gouvernements. https://lnkd.in/enMfpkHK

💡 Minerais critiques : Quel rôle pour l’Afrique dans la transition énergétique ? La transition écologique et énergétique entraîne une demande croissante pour des minerais « critiques » comme le cobalt, le lithium et le cuivre. Ces ressources sont essentielles pour la production de batteries électriques et d’autres technologies vertes. 🔍 Pourquoi l’Afrique Sub-Saharienne est-elle au cœur de cette dynamique ? 💎 Ressources Abondantes : La République Démocratique du Congo détient par exemple près de 60% des réserves mondiales de cobalt et en est le premier producteur mondial. L’Afrique du Sud est un acteur majeur du marché du manganèse et le potentiel du continent pour le lithium est prometteur. Retombées positives pour les économies des pays producteurs. Les États prennent des mesures pour développer l’extraction, mais aussi la transformation locale de ces minerais afin d’augmenter leurs revenus, mais aussi les emplois locaux. 🌍 La Coopération Régionale serait un atout : Le FMI souligne l’importance d’une stratégie régionale pour mutualiser les ressources et élargir le marché. Les progrès de la Zone de Libre-échange Africain (ZLECA) favoriserait cette coopération. 🤔 Quelles sont les opportunités ? Les pays producteurs pourraient bénéficier de la volonté de l’UE de diversifier ses sources d’approvisionnement en renforçant ses partenariats (notamment avec la Namibie, la Zambie ou la RDC) comme le recommande le rapport de M. Draghi sur la compétitivité européenne. L’initiative AfricaMaVal, lancée en 2022, vise à garantir l’approvisionnement en ressources minérales pour l’UE tout en promouvant un développement local durable. Afin d’en savoir plus aller lire le Flash Eco 👉 https://bit.ly/3ZRveyw  #TransitionÉnergétique #MineraisCritiques #Afrique #DéveloppementDurable #Innovation #Coopération

NEWS: L'Afrique pourrait augmenter son PIB de 24 milliards de dollars par an et créer 2,3 millions d'emplois grâce à de nouvelles politiques pour accroître la valeur des minerais de transition, comme le montre notre nouvelle recherche. 📊 L'Afrique abrite plus de 40 % des minerais essentiels aux énergies renouvelables, mais à l'heure actuelle, les pays africains ne perçoivent qu'une petite partie de la valeur potentielle de ces minerais. Seuls 2 % des minerais de transition sont exportés à l’intérieur de l’Afrique. La plupart des profits tirés de ces matériaux sont réalisés en dehors de l'Afrique. Lire plus: https://bit.ly/3XyA9n2 #JustMineralsAfrica #TransitionMinerals

La demande mondiale croissante de minerais essentiels à la transition énergétique offre à l'Afrique d'immenses opportunités économiques. Le continent possède d'énormes gisements de minerais tels que le cobalt, le manganèse et le cuivre, qui sont nécessaires aux technologies des énergies renouvelables. Rejoignez-nous le 4 juin pour discuter de la manière de maximiser le potentiel de l'Afrique à exploiter ces minerais pour le développement durable. Inscrivez-vous : ➡ https://bit.ly/3yveYbk UN Trade and Development (UNCTAD) United Nations Economic Commission for Africa African Minerals Development Centre (AMDC))

🌍 Découvrez la campagne #JustMineralsAfrica !🌍 Alors que la demande mondiale de minerais de transition essentiels à un avenir énergétique propre augmente, l’Afrique a une opportunité unique. Si cela est bien géré, cela pourrait empêcher la répétition des erreurs historiques associées à l’extraction minière. #JustMineralsAfrica est une campagne collaborative lancée par diverses organisations de la société civile, plaidant pour l'extraction et l'utilisation stratégiques, responsables et durables des minéraux de transition de l'Afrique pour débloquer le développement, la souveraineté énergétique et la prospérité du continent. 🤔 En savoir plus : https://lnkd.in/eiYkFcPq 📹 Écoutez Dr Marit Kitaw discuter des opportunités que la transition énergétique offre à l'Afrique: https://lnkd.in/eJY4GwiP

Comment ajouter 24 milliards $ par an au PIB de l’Afrique (rapport) Le continent africain pourrait créer 2,3 millions d’emplois supplémentaires en se positionnant sur les segments en aval des chaînes de valeur des minerais de transition, comme la conception, la fabrication et la commercialisation des technologies d’énergies renouvelables. Le rapport rappelle que le continent abrite plus de 40 % des minerais nécessaires à la transition énergétique mondiale tels que le cuivre, le lithium et le nickel. La République démocratique du Congo détient à elle seule 60 % des réserves mondiales de cobalt, un minerai utilisé pour fabriquer des batteries lithium-ion. https://lnkd.in/e26dtTpf

Le Sénégal semble être sur le point de devenir un important producteur d’hydrocarbures (de gaz principalement). Le pays a mené auparavant et continue de mener des activités de production de gaz à petite échelle. Cependant, entre 2014 et 2017, un certain nombre de découvertes gazières importantes ont été réalisées. Deux projets (Sangomar et Grand Tortue Ahmeyim (GTA)) ont récemment fait l’objet d’une décision finale d’investissement (DFI), et une troisième découverte (Yakaar-Teranga) est également candidate à l’investissement. (Le terme DFI renvoie à la décision des investisseurs de mettre en œuvre un projet – après cette étape, des engagements financiers importants sont pris) . Le Sénégal se prépare donc aux investissements nécessaires à la mise en service de ces projets, et à l’impact d’une augmentation significative des revenus tirés des ressources naturelles. Les pays sont confrontés à un certain nombre de défis dans la gestion des revenus tirés des ressources naturelles. Dans ce rapport, nous nous concentrons sur certains défis particuliers qui affectent les pays qui se préparent à la production liée aux découvertes pétrolières et gazières. Tout d’abord, l’expérience internationale a montré qu’un certain nombre de pays a succombé à la « pré-malédiction des ressources » qui survient quand un optimisme excessif concernant les bénéfices futurs du secteur fragilise les politiques gouvernementales et conduit à terme à des résultats décevants. Il est donc important de gérer les attentes du public concernant les conséquences de ces découvertes pour l’économie et de résister aux pressions exercées pour s’engager dans des plans d’emprunt, de dépenses publiques ou d’investissement non durables fondés sur des prévisions trop optimistes sur les revenus qui seront tirés de ces ressources4. La mise en place d’un cadre de gouvernance approprié pour éviter que les revenus ne soient perdus à cause de l’évasion ou de la fraude fiscale et d’une mauvaise gestion pose un certain nombre de défis5. Dans le contexte de la pandémie de coronavirus, ces défis sont particulièrement complexes, car les pays sont confrontés à la crainte de perdre des investissements et se demandent s’il faut utiliser leur richesse en ressources pour financer les dépenses temporaires nécessaires à la stabilisation de l’économie 🇸🇳🇸🇳🇸🇳🙏Port Autonome de Dakar L'Officielle Ministère du Pétrole et des Energies (MPE) Sénégal Oil & Energy Jobs

🌍 #Géopolitique #stratégie : Comment l'Afrique entend profiter de l'essor des minerais critiques essentiels à la transition énergétique Le continent veut intégrer les chaînes de valeur et ne plus se contenter d’exporter les seules matières premières