Post de REAL ILLUSIONS

Impressionnant ! #OpenAI surprend et inquiète avec son nouvel outil de génération de vidéo depuis du texte #Sora. L’accès est ouvert actuellement uniquement pour quelques artistes et pour les tests de sécurité #redteam pour éviter des usages malveillants. Heureusement car le potentiel de création de #deepfake franchit encore une étape… Il est tant que des techniques de détection en temps réel des fausses vidéos / audios soient inventées (mais c’est très très complexes…) et accessibles simplement (par exemple avec un indicateur visuel sur les vidéos pour nous alerter). Un enjeu de recherche majeur pour le futur !

Un appel à la solidarité du collectif de cinéma Babylon 13: des drones pour le groupe Adam Nous travaillons avec le collectif Babylon 13 depuis presque deux ans. C'est une association cinématographique d’activistes dans la société civile. Elle s’est formée en novembre 2013 après la violente répression contre des étudiants, place Maïdan. Plus de 500 vidéos ont été créés et publiés sur les réseaux sociaux en circulation libre. Des membres du collectif ont aussi réalisé plusieurs longs métrages. Cette création collective privilégie la guerre vue d'en bas, dans le quotidien des masses populaires. Elle n'exalte pas des héros individuels. Elle montre la résistance quotidiene, acharnée de la population qui prend miolle et une formes et qui permet au front de tenir. Babylon 13 regroupe actuellement une centaine de militant.e.s : réalisateurs, opérateurs, ingénieur.e.s du son, producteurs, directeurs de montage, traducteurs, etc. Chacun.e un âge, une expérience, un style de travail et une vision différents. Mais le collectif est soudé par des valeurs communes et la volonté de changer la société par le cinéma. Nous avons pu projeter en Belgique de splendides documentaires de ce groupe. Une nouvelle projection aura lieu le mercredi 8 mai, à 18,30 à l'ULB avec "Mémoire fragile" d'Ihor Ivanko (2022). Actuellement, la PRIORITÉ ABSOLUE du collectif en ce qui concerne la solidarité matérielle est d'aider une formation de la résistance armée, le groupe tactique Adam. Plusieurs cinéastes se sont intégrés à cette formation qui effectue des missions de reconnaissance visuelle par drone sur la ligne de front. Dans la situation critique que connaît actuellement l'Ukraine, avec un manque dramatique de munitions et de défense anti-aérienne, le groupe tactique Adam dépend en grande partie de la solidarité internationale pour disposer d'un nombre suffisant de drones. Nous vous demandons de contribuer généreusement à cette campagne. en versant votre aide au compte bancaire “Soutien Ukraine”, IBAN BE48 0004 7644 7327. Il faut mentionner « ADAM » dans la communication. Afin de pouvoir répondre à des besoins urgents, nous vous suggérons d’envisager un ordre permanent (que vous pouvez suspendre à tout moment) sur le compte “Soutien à l’Ukraine”: | 000-4764473-27 | IBAN BE48 0004 7644 7327 | BIC: BPOT BE B1. Toutes les contributions même les plus modestes sont les bienvenues.

➡ Char du futur : Selon KNDS France, le développement du canon ASCALON a « franchi de nouvelles étapes » Longtemps embourbé dans des désaccords entre les industriels français et allemands concernés, le Système de combat principal terrestre [MGCS] a finalement été relancé en avril dernier, avec la signature d’un protocole d’accord entre la France et l’Allemagne ouvrant la voie à la phase 1A de ce projet, désormais organisé selon huit piliers [plateforme, tourelles, armement secondaire, système de communication, simulation, capteurs, protection contre les drones, logistique et infrastructure]. Seulement, une question n’a toujours pas été tranchée : celle concernant le canon qui armera le char de nouvelle génération sur lequel reposera ce « système de systèmes ». Un choix sera arrêté à l’issue d’essais comparatifs des deux solutions concurrentes, à savoir le système ASCALON développé par KNDS France [ex-Nexter] et le canon Rh-130 L52 de 130 mm proposé par Rheinmetall, celui-ci devant être associé à « un chargeur automatique de pointe ». Ces derniers mois, le groupe de Düsseldorf a profité de la moindre occasion pour faire la promotion de son canon de 130 mm, lequel équipe le char KF-51 « Panther », dévoilé en juin 2022, à l’occasion du salon de l’armement aéroterrestre EuroSatory. De son côté, KNDS France a semblé être plus en retrait, les vidéos impressionnantes des premiers essais du système ASCALON [pour Autoloaded and SCALable Outperforming guN] ayant disparu des réseaux sociaux sur lesquels elles avaient été diffusées. Cela étant, à quelques jours de l’édition 2024 d’EuroSatory, KNDS France a donné quelques nouvelles de son système ASCALON en faisant savoir qu’il venait de « franchir de nouvelles étapes ». « Lors de la dernière campagne de tirs, en mai 2024, le canon ASCALON a démontré d’excellentes capacités, tant en calibre 120 mm que 140. Les essais ont, de plus, mis en évidence la maturité de l’obus-flèche », en effet indiqué KNDS France, via un communiqué publié ce 10 juin. L’obus-flèche en question est probablement le SHARD [SHardenered ARmour Defeat], lequel a récemment été qualifié par KNDS France. Quoi qu’il en soit, ces essais « ont inclus des tirs avec un tube ASCALON de 140 mm, rapidement remplacé ensuite par un tube ASCALON de 120 mm pour effectuer de nouveaux tirs. Cette campagne montre la possibilité offerte par ce concept de remplacer n’importe quel tube de 120 mm ou de 140 mm sur un même affût en moins d’une heure », a indiqué l’industriel. À noter que la possibilité de tirer des obus de 120 et de 140 mm peut être un avantage par rapport au canon de 130 mm proposé par Rheinmetall… dans la mesure où, actuellement, tous les chars occidentaux [Leopard 2, Abrams, Leclerc, Challenger 3] sont dotés de canon de 120 mm. (...)

F35. Un casque pour le pilote à 400 000$ mais... 1. Absence de vision tête-haute : Un pari risqué. Contrairement à d'autres avions de combat tels que le Rafale ou le F-22, le F-35 a fait le choix audacieux de se reposer entièrement sur son casque pour la fourniture des données de vol essentielles, omettant ainsi le système traditionnel de vision tête-haute. Cette décision soulève des inquiétudes, surtout en ce qui concerne la capacité du pilote à surveiller les menaces venant de l'arrière. La conception même de l'avion, avec son fuselage large et sa verrière limitante, pose un défi supplémentaire, réduisant la visibilité directe et augmentant la dépendance aux technologies du casque. 2. Adaptation personnalisée : précision au millimètre. Chaque casque HMDS Gen 3 est conçu sur mesure pour s'adapter parfaitement à la tête de chaque pilote. Un ajustement précis au millimètre près est essentiel pour garantir une visibilité optimale des affichages. Les pilotes doivent se soumettre à des scans 3D pour assurer que le casque s'adapte parfaitement, un processus qui souligne l'importance de la précision dans l'utilisation de ce matériel avancé. Cependant, cette personnalisation poussée nécessite un entretien régulier, avec des vérifications tous les quatre mois pour maintenir les normes de performance et de sécurité. 3. Impact opérationnel et réactions des pilotes. Les retours des pilotes sur le terrain sont mitigés. Si certains louent les capacités innovantes du casque, d'autres rapportent des difficultés lors de missions où la visibilité arrière est cruciale. En situation de combat rapproché, l'absence de vision claire derrière eux pourrait, selon eux, être synonyme de vulnérabilité fatale. #CombatAircraft #F35 #US #Pilot #Ergonomy #Elmet #ElmetHMDSGen3 Source : Opex360 https://lnkd.in/eP5C8f2D

La vraie révolution pour les hélicoptères de combat Disposer d'un appareil révolutionnaire, par exemple volant deux fois plus vite que la génération précédente. Voilà ce qui semble pour certains ce qui permettrait de garder l'avantage technologique, donc militaire. Pas nécessairement une bonne idée. Ce genre de course technologique coûte cher, les armées doivent alors réduire leur masse et devenir parfois échantillonnaires. L'abandon récent du programme américain FARA l'illustre assez bien. La vraie révolution est sous nos yeux. Les capacités nouvelles rendant l'hélicoptère de combat plus « survivable », les technologies permettant de voler malgré la mauvaise visibilité et celles qui allègent la charge cognitive des équipages, afin par exemple de combattre avec des appareils robotisés. Les progrès en matière de vision nocturne sont une brique très intéressante, à cet égard il faut suivre Thalès, dont les jumelles disposent d'un champ de vision élargi et pèsent de moins en moins lourd. https://lnkd.in/dm5DHn5w #hélicoptèredecombat #thalès #JVN

Bonjour à tous, Un peu de #dcs et de #seriousgaming pour ce dimanche. Le Mirage 2000C ne dispose pas de GPS. Pour se repérer dans l'espace les systèmes utilisent une centrale inertielle (INS). Au démarrage de l'avion on injecte (par saisie manuelle en général) la position du Mirage dans l'INS avec ses coordonnées géographique (longitude/latitude/altitude). Ensuite pendant le vol, les calculateurs vont interpréter tous les mouvements et la distance parcourue pour en déduire la position (grâce aux accéléromètres et gyromètres). Malheureusement ces calculs ne tombent pas juste. Une dérive significative augmente en fonction du temps de vol (pour résumer rapidement). Lors de mission Air/Sol, en général, le pilote a besoin de précision pour suivre son plan de vol et pour arriver sur la cible le plus précisément possible. Pour pallier à la dérive de la centrale inertielle, on va "forcer" pendant le vol une nouvelle position de référence. Pour ce faire, nous avons besoin de l'association d'un point visuel et d'un point (BUT) du plan de vol préalablement enregistré dans l'INS. Cette action s'appelle un recalage de la centrale inertielle. Deux manières sur le Mirage 2000C pour recaler l'INS. - Radar allumé ce qui permet de faire un recalage oblique (anticipé). - Radar éteint (pour plus de furtivité) mais qui impose un recalage vertical au dessus du point visuel. Un peu de contexte sur la vidéo, nous arrivons à 4 en très basse altitude dans le territoire ennemi , radar éteint pour éviter au maximum de se faire repérer. Nous allons effectuer un recalage vertical. Au début de la vidéo, on voit sur la vision tête haute (HUD), la croix du point BUT calculé. Cette croix devrait être plus sur la gauche. Le point visuel de recalage est l'intersection des jetées du port. Lors du passage vertical, j'appuie sur le bouton de recalage directement sur ma centrale et je valide la position. Les calculateurs injectent cette nouvelle valeur et ma position est ainsi mise à jour. Prêt pour effectuer la mission en zone hostile. #simulation #vol #gaming #avgeek #Mirage2000C

L'AbramsX sera équipé de nouveaux armements pour faire face à la menace des drones. Ainsi, en plus d'un canon à âme lisse XM360 de 120 mm, le char sera doté de munitions sol-air avec un système de détection assisté par une IA. Elle permettra de localiser et identifier les menaces et les cibles potentielles sur terre comme dans les airs. Ce concept ne sortira pas avant l'horizon 2030. https://lnkd.in/e4KFGFXz

Un F-18 passe le mur du son. Il vole à environ 343 mètres par secondes, qui est la vitesse du son dans l’air (1 225 km/h). Le halo est un phénomène fascinant. Quand l’avion s’approche du mur du son, il comprime les ondes sonores devant lui vu qu’il les rattrappe. Quand l’avion atteint le mur du son, lesdites ondes sont comprimées en un seul front d’onde, connu sous le nom d’onde de choc. Lorsque l’avions traverse l’onde de choc, bardaf c’est le bam brutal et sonore qu’on entend (à retardement par rapport à la vue). Le halo lui-même est une conséquence de l’onde de choc. En gros, il y a chute de pression, chute de température (tout le monde choit) et condensation d’humidité comme sur une vitre en hiver. Lorsque l’avion franchit vraiment le mur du son, l’onde de choc et le halo se déplacent vers l’arrière de l’avion. La science peut tout. Salukes #science #son #acoustique #profbucella #lasciencepeuttout PS1- Le F-18 (McDonnell Douglas F/A-18 Hornet), est un avion de chasse multirôle, à la fois chasseur d’attaque au sol et avion de chasse aérienne. PS2- Source vidéo : Science.

C’est un moment marquant pour l’escalade urbaine en France : Seb Bouin, l’un des grimpeurs français les plus reconnus de la scène mondiale, a réalisé son tout premier free solo. Et pas n’importe où. C’est sur la tour Total à La Défense qu’il a choisi de se confronter à cette discipline sans corde ni matériel de sécurité, aux côtés d’Alain Robert, l’homme qu’on surnomme le « Spiderman français ». 📸 Jan Virt 🗞️ L’article complet à retrouver sur Vertige Media (Lien en commentaire)

👀 Cette YouTubeuse a fait plier Disney et Star Wars 👉 Une créatrice du bon côté de la force Notre histoire du jour commence avec un OVNI dans le monde de la création de contenus : une vidéo de 4h05 publiée sur YouTube. Un récit sur un sujet bien précis, qui peut potentiellement devenir viral : le nouvel hôtel 100% Star Wars du parc Walt Disney World à Orlando en Floride. 4h05, vraiment ? Notre protagoniste principal, c’est Jenny Nicholson, une YouTubeuse américaine aux 1,2 million d’abonnés. Jenny, son dada, c’est l’univers The Walt Disney Company et notamment tout ce qui touche à Star Wars. Ce qu’elle aime, c’est produire des vidéos de critiques face caméra, costumée, dans sa chambre pour parler de la dernière attraction Star Wars qu’elle vient d’essayer ou du dernier comic dérivé de la saga galactique qui vient d’être publié. Sauf qu’il y a un mois, Jenny poste une vidéo qui va la faire rentrer dans une autre dimension : celle dans laquelle elle parle de son séjour au « Galactic Star Cruiser », l’hôtel 100% Star Wars ouvert en 2021 au parc Disney d’Orlando. Dans cette vidéo - qui dure 4h (et que, je l’avoue, j’ai regardé en vitesse x2), Jenny dissèque les raisons d’un des plus gros échecs marketing de Disney depuis son rachat en 2012 de Lucasfilm, la société fondée par George Lucas qui a produit les premiers Star Wars. Sa déception est à la hauteur de ses attentes : le Star Cruiser était censé être L’EXPERIENCE Star Wars la plus immersive qu’on ait jamais connue. L’idée ? Vous enfermer pendant deux jours dans un « vaisseau spatial » et vous permettre de vivre la vie d’un personnage de votre saga préféré, avec des missions et des déguisements au programme. Après des centaines de millions de dollars dépensés et des teasing diffusés depuis des années, le projet n’a finalement pas donné grand-chose, et a même dû fermer prématurément… Dans sa vidéo de 4h, divisée en plusieurs chapitres, Jenny raconte avec une précision digne des enquêtes de Cash Investigation tout ce qui a foiré : la com’ mal pensée, les décors pas aboutis, le fait de devoir connecter son propre compte Disney + à la télé connectée de sa chambre pour pouvoir profiter des contenus proposés, le prix exorbitant de 6 000 dollars (!!!) pour un séjour pour deux de de deux jours (!!!)…et j’en passe (ça dure 4h donc si ça vous tente c’est ici). Cette dissection de l’échec a, au fil des jours, attiré les curieux puis a explosé et même des médias de 1er rang dont le The New York Times - qui qualifie la vidéo « d’une des plus captivantes de l’année » - ont commencé à s’y intéresser. Disney, profession censeur La critique de Jenny et ses près de 9 millions de vues est arrivée aux oreilles de Mickey et là, l’impensable s’est produit. Disney a voulu faire bannir la vidéo de YouTube pour non-respect des droits à l’image.... ... la suite dans notre newsletter du jour sur Hupster (lien en commentaire)