La discussion sur l’optimisation de la voie d’abord chirurgicale est éternelle, de même que la quête pour la moindre agression tissulaire possible permettant au patient une récupération plus rapide et predictable. Pendant cette période estivale, Je vous partage une de nos études récentes portant sur l’importance cruciale du maintien des structures anatomiques et la minimisation de l’impact des interventions chirurgicales grâce à des techniques minimalement invasives. Cette revue de littérature nous montre les potentiels bénéfices relevant du choix d’une approche moins invasive même dans le cadre des chirurgies rachidiennes avec instrumention/fixation, quand cette dernière s’avère nécessaire pour un résultat optimal et pérenne. Le tout en assurant que le travail soit fait sans compromis de qualité et sans traitement incomplet de la maladie. Cela démontre que la même technique ou traitement peut être interprétee de différentes manières et peut toujours être améliorée mais sans la rendre inefficace. La limite entre la moindre invasion des tissus et le sous-traitement peut ainsi se révéler assez subtile, un esprit critique et une discussion au cas par cas est donc fondamentale afin de trouver une stratégie personnalisée pour chacun de nos patients. Restez connectés pour découvrir davantage sur nos recherches et avancées dans le domaine de la neurochirurgie et chirurgie du rachis. Voici le lien pour télécharger notre publication en pdf: https://shorturl.at/k6lOz #neurochirurgie #chirurgiedurachis #colonnevertebrale #neurochirurgiesuisse #publicationscientifique #minimiserimpact
neurochirurgien FMH, FEBNS, chirurgien spinal SGS
8 moisCa existe encore le plif ? 😉 En tout cas super d'exprimer l'idée de la préservation du PILC pour presque toutes nos opérations, et même le PLC si possible