La sous représentation des femmes dans les filières scientifiques et techniques est un mal sociétal et économique alors même que demain, 75% des métiers nécessiteront des compétences scientifiques. Pour changer la donne et briser les stéréotypes, dans l'éducation et dans le monde scientifique la Région Auvergne-Rhône-Alpes s’engage pour faire sauter les blocages dans notre société. Dès le lycée, il faut changer la donne pour encourager les vocation scientifiques et lever les obstacles. L’industrie, la recherche scientifique ont besoin de tous et toutes. À nous de faciliter, par des actions ciblées, l’accès des jeunes filles à ces filières. florence dubessy Mickaël PACCAUD Catherine Staron Jacques BLANCHET Laurent Wauquiez
Post de Renaud Pfeffer
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Vice-Présidente déléguée aux Lycées, à l’Enseignement supérieur, la recherche et l’innovation chez Région Auvergne-Rhône-Alpes
La sous représentation des femmes dans les filières scientifiques et techniques est un mal sociétal et économique alors même que demain, 75% des métiers nécessiteront des compétences scientifiques. Nous devons contribuer à changer la donne, à briser les stéréotypes dans la société et dans l'éducation Nous devons contribuer à éduquer, inspirer et soutenir les nouvelles générations pour qu'elles s'intéressent aux disciplines scientifiques En adoptant ce jour, une délibération pour encourager les vocations scientifiques chez les lycéennes par des actions ciblées, dès le lycée, la Région souhaite lever les obstacles afin de faciliter l'accès de ces filières aux jeunes filles de la Région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez Mickaël PACCAUD florence dubessy Auvergne-Rhône-Alpes Orientation Sophie Cruz Laura Vachez Charles Thérond Sylvain Lemaire Sandrine CHAIX Marie-Pierre MONTORO-SADOUX Laurence Fautra Isabelle RAMET
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🙃 Et pan pour les #scientifiques ! Hippolyte d'Albis ironise à propos de ce petit monde qui s'agace tant de ne pas être écouté et se révèle incapable d'atteindre un objectif d'#égalité, pourtant simple et évident, entre les femmes et les hommes. 📊 En 2022, on ne comptait parmi les scientifiques et ingénieurs d'Ile-de-France que 37 % de femmes. 🔎 Il suffit de regarder les organigrammes des directions des grandes institutions de recherche pour voir que la parité n'est pas de mise. ⁉️ Comment s'en sortir ? C'est très simple, il suffit de démissionner l'intégralité de l'équipe dirigeante et de lancer un recrutement global aboutissant à la parité. Irréaliste, impossible ?Pourtant, les politiques le font sans que cela ne choque plus personne : ils savent mettre fin aux fonctions de l'ensemble d'un gouvernement et renommer un gouvernement systématiquement paritaire. Les Echos https://lnkd.in/e3Sq-fsC
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Le futur de l’égalité est-il en péril ? 😫 Alors que Mars 2024 a été un mois de célébration de la parité, les obstacles persistent. Les femmes ingénieures font face à une équation complexe, avec des variables qui évoluent plus rapidement que les solutions proposées. La réforme du bac influence la parité dans les sciences, et l’IA générative perpétue les stéréotypes de genre. Cependant, l’espoir demeure et ce n’est pas notre étude qui dira le contraire 😲 Avec plus de 7 646 personnes interrogées en France, notre équipe R&D a exploré les différences de genre et les préjugés liés au leadership révélant des insights cruciaux. Découvrez notre étude dans cet article de Cadremploi, qui décrypte aujourd’hui l'actu de la parité en entreprise (et autour) à travers dix infos essentielles 👌 Partageons ces découvertes, brisons les stéréotypes et développons un avenir où la parité n’est pas seulement un hashtag, mais une réalité. #Parité #SoftSkills #Etude
Alerte rouge ! Les recruteurs galéraient déjà pour attirer des femmes ingénieures mais le pire est à venir (et d’autres info sur la parité)
cadremploi.fr
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Malgré les progrès accomplis, l'Insse dévoile les inégalités entre hommes et femmes qui persistent dans la région #Occitanie, du choix des filières scolaires à l'accès au pouvoir politique, en passant par l'impact de la parentalité sur la carrière. Les #femmes optent majoritairement pour le lycée général, tandis que les hommes se dirigent davantage vers les lycées technologiques et professionnels. Des disparités existent dans les choix de spécialités, avec une prédominance féminine dans les sciences humaines, les arts et les sciences sociales. Les filières technologiques et professionnelles révèlent une ségrégation genrée, avec les femmes concentrées dans l'esthétique et le soin, et les hommes absents des métiers techniques. Les femmes en Occitanie obtiennent plus de diplômes du supérieur que les hommes, mais leur accès aux opportunités professionnelles reste inégal. Elles sont plus souvent à temps partiel et occupent des postes d'employées, tandis que les hommes dominent les métiers d'ouvriers, de conducteurs et de maintenance. Les #salaires des femmes demeurent inférieurs à ceux des hommes, avec un écart de 17% en moyenne. La maternité accentue les disparités, avec une part des femmes inactives ou au chômage deux fois plus importante que celle des hommes après la naissance du premier enfant. Les femmes sont moins nombreuses à accéder aux postes à responsabilité dans les #entreprises et les institutions publiques. Elles occupent moins de sièges dans les conseils municipaux et régionaux, et sont encore moins présentes à l'Assemblée nationale et au Sénat. La parité, bien que légiférée, n'est pas encore atteinte dans les instances décisionnaires. Pour découvrir les défis et les évolutions sur la parité homme/femme, cliquez sur le lien ci-dessous ⬇ Valérie Jimenez Maguelone Pontier ✅Medef Haute-Garonne Comex40 du MEDEF Haute Garonne UIMM Occitanie Toulouse Métropole Carole Delga La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée Julien Pinna Insee
Occitanie. Parité hommes/femmes et pouvoir : des défis persistants malgré les avancées législatives
entreprises-occitanie.com
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CEO SoScience, Autrice, Experte en Recherche et Innovation Responsable, Ashoka et Echoing Green Fellow
🚨 “Ma priorité est de recruter une femme sur le poste de thèse que j’ouvre”. Hier soir, cette phrase d’un jeune directeur de recherche m’a marqué. Une simple remarque entre le plat et le dessert, mais d'une portée puissante. Comment l'égalité des genres est devenue une telle priorité pour les chercheurs ? Je suis entourée d’amis aux bonnes intentions, féministes et qui déplorent qu’il n’y ait pas plus de femmes dans leur laboratoire. Mais jusqu’à présent que faisaient-ils à part déplorer ? Ces grands sujets systémiques (par exemple le manque de femmes en science) nous semblent hors de portée, nous n’y pouvons pas grand chose, nous ne sommes qu’une goutte d’eau dans l’océan. On se sent impuissant. Par contre, s’il existe une contrainte forte, comme le conditionnement d’un financement, alors la même personne va remuer ciel et terre pour faire changer la donne. C’est humain, normal, banal. Nous avons tous des milliers de choses à faire dans une journée qui ne fait que 24h et une énergie limitée. Il faut que cela fasse mal pour justifier de mettre autant d’énergie dans un problème. Quand ça commence à piquer, on se prend la tête, on y pense le soir, lors des diners entre amis et on fait tout ce qu’on peut sur le sujet, même si bien sûr ça ne résout pas les enjeux systémiques. Un chercheur est un humain comme les autres. Il y a 4 ans, mon ami était touché par la cause féministe mais ça ne le travaillait pas nuit et jour. Maintenant que ses financements sont directement impactés, il va jusqu’à se dire “Comment le site de labo peut être plus inclusif?”. C’est un changement majeur. Je suis convaincue que si j’avais mentionné le principe d’un site web inclusif il y a 4 ans, il se serait dit “Ah c’est sympa” mais il n’aurait pas pensé une seconde que son labo pouvait être concerné ! C’est la différence fondamentale entre être touché, et tout faire pour trouver une solution. Cet aveu m'a fait réaliser que ce qui transforme réellement les pratiques universitaires et industrielles, ce sont : - les contraintes réglementaires - les nouvelles règles culturelles (ce qui devient inadmissible) - les exigences en matière de financement Les institutions ont un rôle majeur à jouer pour que ces sujets deviennent “top of mind”. C’est un message d’espoir pour ce qui concerne l’impact social et environnemental de la recherche. J’aimerai bien que les chercheurs passent leurs soirées à réfléchir à l’impact sociétal de leurs travaux, mais ce n’est juste pas le cas. Cependant les changements peuvent survenir rapidement et efficacement si les institutions le décident. Si, comme pour l’égalité de genre, les règles et les financements nous poussent vers cette réflexion et changent les pratiques des jeunes chercheurs. Si l'égalité des genres a pu devenir une priorité, imaginez ce que nous pouvons accomplir ensemble sur d'autres fronts essentiels. La clé ? Des décisions audacieuses et un engagement ferme de nos institutions.
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💥 #BIENSURQUE les femmes peuvent être ingénieures ! 💥Aujourd’hui on déconstruit les stéréotypes sur les métiers d’ingénieures avec nos marraines Marion, Fadwa et Mathilde ! 🎬 Les femmes ont toute leur place dans l’ingénierie et nous avons besoin de leur talent et de leur créativité pour innover et construire le monde de demain ! 💪 Dans cette vidéo, nous avons donné la parole à des femmes ingénieures qui partagent avec humour leur expérience et les stéréotypes qu’elles ont pu rencontrer dans leur parcours. Chez Elles bougent, nous encourageons les filles à se lancer dans les filières scientifiques et techniques, et à croire en leurs rêves ! 👩🚀 👉Partagez cette vidéo autour de vous pour aider à briser les stéréotypes et à promouvoir l’égalité des chances dans tous les domaines. #ellesbougent #EB2024 #mixité #égalité #parité #orientation
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Les Femmes en Sciences et Techniques : Un Modèle d'Ascension Sociale et d'Équité Aujourd'hui, La présidente de PIKALI Réunion Océan Indien Erika ☀️ VELIO 🚀 MRAeS sera en visioconférence avec les lycéens du Lycée Marguerite JAUZELON à Bellepierre pour aborder un sujet essentiel : l’égalité de traitement fille-garçon et l’égalité des chances. Nous mettrons en lumière l'importance des femmes dans les domaines scientifiques et techniques comme modèle d'ascension sociale et d'équité. Il est crucial de montrer l'exemple pour ouvrir la voie à une société plus inclusive, où la diversité et l’égalité de traitement sont des piliers fondamentaux. En encourageant les jeunes filles à s’engager dans les filières scientifiques et technologiques, nous contribuons à un avenir où l'égalité des chances est réelle et où chacun, peu importe son genre, peut réussir. Avec cet échange, nous espérons inspirer les lycéens et lycéennes à croire en leur potentiel et à viser haut, tout en encourageant une meilleure diversité et inclusion dans ces secteurs. Avec PIKALI Réunion Océan Indien, nous avons l'ambition de former nos #entrepreneurs et #architectes du #spatial. #Erasmus Lycée Marguerite JAUZELON #Bellepierre Académie de La Réunion Région Réunion Ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche #Equity #Diversity #Inclusion
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Sparring Partner - Business Advisor - J'aide les dirigeants à prendre les bonnes décisions Business et les accompagne à les mettre en oeuvre - Administratrice indépendante - Conférencière
Il y a moins de femmes en école d’ingénieur aujourd’hui qu’à mon époque. Cette année, je prends la parole le 8 mars et je mets en avant une scientifique. À l’occasion du #8Mars, WILLA met en lumière ces innovatrices à l’origine de solutions majeures pour notre société actuelle. Moins connues que Marie Curie, ces femmes souvent invisibilisées ont pourtant contribué à l’évolution de la société telle que nous la connaissons actuellement. Elles montrent l’importance des femmes dans l’innovation pour répondre aux enjeux de toute une population. Elles sont #EssentiELLES, les limitons pas à une date. Aux côtés de WILLA, je souhaite mettre en lumière ces femmes invisibilisées. Rappeler également que les femmes ne devraient pas être limitées à une date et qu’elles ont besoin du soutien de tou.te.s pour continuer à innover ! J’ai choisi la découvreuse de l’ADN, parce que je suis biochimiste de formation, et passionnée par ces brins minuscules si déterminants… #EssentiELLES #8mars #JournéeDesDroitsDesFemmes #InternationalWomensRightsDay PS : lis bien les détails de chacune des femmes mises en avant dans cette campagne, tu vas apprendre plein de trucs ! ----------------- #SparringPartner, j'aide les dirigeants à prendre les bonnes décisions Business et je les accompagne à les mettre en oeuvre. + de stratégie et + de structure + de CA et + de marge et plus jamais seul On en parle ?
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Il s'agit d'une union sacrée dont nous avons besoin aujourd'hui : celle de femmes et d'hommes contribuant à part égale à la mise en oeuvre de notre nouveau contrat économique. Nous le savons, la pleine intégration des femmes dans l'ensemble des secteurs professionnels, et en particulier ceux en croissance pourrait représenter une hausse de 330 milliards de dollars pour le PIB français. Face au défi climatique, aux crises géopolitiques, à la vague déferlante de l'intelligence artificielle, aux bouleversements énergétiques et technologiques extra-européens qui menacent notre souveraineté : comment imaginer investir dans des formations où femmes et hommes n'auraient pas une part égale ? L'accès aux mathématiques, à l'ingénierie, aux sciences, à la finance est un levier essentiel vers des perspectives professionnelles dont les femmes ne peuvent plus être exclues. Et parce qu'on appréhende bien que ce que l'on mesure avec précision, la loi du 24 décembre 2021 visant à accélérer l'égalité économique et professionnelle dite " loi Rixain" impose un certain nombre d'obligations aux établissements d'enseignement supérieur : 🎯 Un quota de 30 % du sexe le moins représenté dans les jurys d'admission des écoles du supérieur ; 🎯 Publication par sexe des données relatives à la professionnalisation des élèves par établissement ; 🎯 Objectif de parité des filières d'orientation inscrit dans les accords de coopération entre les établissements scolaires et universitaires ; 🎯 Prise en considération de l'égalité femmes-hommes dans l'avis émis par la Commission des titres d'ingénieurs pour l'accréditation des écoles délivrant le diplôme d'ingénieur. ➡ La loi prévoit également la création d'un baromètre de l'égalité femmes-hommes dans les établissements du supérieur et de la recherche. Cet outil indispensable pour permettre aux établissements de revoir leur politique interne d'accueil et d'orientation des étudiantes et des étudiants était soumis à la publication de décrets d'application. Ceux-ci sont dorénavant publiés. Je remercie Sylvie Retailleau, Ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, pour la publication de ces 3 décrets qui visent à préciser les modalités de publication de ces indicateurs (au plus tard au 31 décembre de chaque année). "Compter les femmes pour que les femmes comptent", le fameux mantra de SISTA s'impose dorénavant à l'enseignement supérieur. Grâce à ces précieuses datas, il conviendra d'ajuster nos publiques publiques, notamment lorsque ces établissements sont financés par la puissance publique. Je sais que les entreprises seront tout aussi vigilantes à la publication de ces données, dans le cadre de leurs liens avec les établissements d'enseignement supérieur. L'égalité économique, qui repose en partie sur la place des femmes dans les secteurs les plus porteurs en matière de rémunérations, n'attend plus et ne peut plus être un slogan. Aussi mesurons et agissons.
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Etre rôle modèle pour inspirer les jeunes femmes et les attirer dans les STEM, c'est l'engagement du réseau des ambassadrices des formations techniques de Schneider Electric. Si vous voulez comprendre pourquoi nous nous engageons dans ce combat, quelques explications sur le constat, les stéréotypes et... l'histoire (de Napoléon à Blanquer)! *STEM : Science, technologies, Engineering and Mathematics
🎙 La semaine dernière, Valerie Brusseau a participé à l'émission "Le choix des études est-il influencé par le genre?" animée par Sophie de Tarlé, rédactrice en chef du Figaro Étudiant. Aux côtés d'amandine charvet, docteure en sciences de l'éducation et de Garance YVERNEAU, CEO de Garance&Moi, Valerie Brusseau, présidente d’Elles bougent, a pu partager au nom d’Elles bougent son expertise et sa vision sur les stéréotypes de genre dans l'orientation scolaire et professionnelle. Avec seulement 29% de femmes en écoles d’ingénieures, versus 87% dans le paramédical et le social, il est essentiel d’encourager les jeunes filles à aller vers ces filières. C’est un enjeu d’égalité, notamment économique. Selon Valérie Brusseau, il faut déconstruire l’image de l’industrie : “Aujourd’hui l’industrie a une vision extrêmement patriarcale. C’est une organisation qui a été pensée par des hommes, pour des hommes et il y a très clairement des freins pour une femme à aller dans l’industrie. Or en tant que femme, on peut complètement s’y épanouir. Les entreprises mettent de plus en plus en place des politiques qui bénéficient à la fois aux femmes et aux hommes, notamment vis-à-vis de la parentalité, ou encore de la détection des talents, afin d’éliminer le fameux plafond de verre. La déconstruction des stéréotypes est essentielle. C’est ce que font nos marraines chez Elles bougent, au travers de tous nos événements : montrer que dans cette industrie, il y a de la place pour les femmes, et que c’est un véritable enjeu d’efficacité.” Elles bougent a pour mission d'encourager les jeunes filles à poursuivre des études dans les filières scientifiques et techniques en déconstruisant les stéréotypes de genre avec l'aide de plus de 12 000 marraines, femmes ingénieures ou techniciennes au sein de nos partenaires. Merci à Sophie de Tarlé pour cette invitation et bravo à toutes les intervenantes pour cette discussion passionnante et instructive. 📺Retrouvez le replay de l'émission sur Figaro TV 👉 https://bit.ly/3vM6Ge1 #EllesBougent #EB2024 #Orientation #StéréotypesDeGenre #ÉgalitéFemmesHommes Valerie Brusseau Amel KEFIF Priscilla Le Lièvre Diane de Vignon
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