Post de Rennes Ville et Métropole

Un terrible épisode cévenol s’est abattu sur plusieurs départements ces derniers jours, déversant des pluies torrentielles qui ont provoqué des inondations d’une ampleur exceptionnelle. Selon les météorologues, il s’agirait du phénomène le plus intense jamais enregistré en Ardèche. Le village de Limony, qui compte 800 habitants, a été particulièrement touché et se retrouve sous le choc. Des dégâts considérables et des opérations de secours en cours Les rues de Limony se sont transformées en véritables torrents de boue, l’eau montant par endroits à plus de deux mètres de haut. De nombreuses habitations ont été envahies et gravement endommagées, rendant leur réintégration impossible pour la plupart des sinistrés. Les dégâts matériels sont colossaux et les équipes de secours sont toujours à pied d’œuvre pour pomper l’eau, sécuriser les routes et les logements. D’après une source proche du dossier, les opérations devraient se poursuivre tout au long du week-end. Il faudra ensuite de longues semaines, voire des mois, pour réparer les dommages et permettre aux habitants de retrouver une vie normale. La priorité est donnée au relogement des familles évacuées et à la remise en état des infrastructures essentielles comme l’électricité et l’eau courante. Un élan de solidarité pour aider les sinistrés Face à l’ampleur du désastre, un formidable élan de générosité et d’entraide s’est mis en place. Les communes voisines se mobilisent pour accueillir les personnes déplacées et leur fournir des biens de première nécessité. Des associations locales et nationales organisent des collectes de dons pour financer la reconstruction. Chacun y met du sien à hauteur de ses moyens pour soutenir les sinistrés. On a tout perdu, c’est un crève-cœur. Mais on est en vie, c’est le principal. Et puis il y a cette solidarité incroyable qui nous réchauffe le cœur et nous donne la force de continuer. Témoignage d’une habitante sinistrée Des épisodes météo de plus en plus violents Les inondations qui ont frappé Limony et les communes alentour sont malheureusement symptomatiques d’une tendance lourde au dérèglement climatique. Les phénomènes météorologiques extrêmes se multiplient et gagnent en intensité un peu partout dans le monde. En France, les épisodes cévenols se font plus fréquents et dévastateurs d’année en année. Pour les spécialistes, il est urgent d’accélérer la transition écologique et d’adapter les territoires à ces nouvelles donnes climatiques. Cela passe par une meilleure gestion des risques, un renforcement des normes de construction, ainsi que des mesures de prévention et de sensibilisation auprès des populations concernées. Le bilan humain et les zones sinistrées Fort heureusement, aucune victime n’est à déplorer suite aux inondations qui ont ravagé l’Ardèche ce week-end. Néanmoins, le bilan matériel est très lourd, avec: Plus de 150 maisons endommagées rien que dans le village de Limony Une vingtaine de routes coupées et de ponts fragilisés De...

Ce week-end de la Toussaint, l’Espagne s’est réveillée sous un déluge meurtrier. Des crues d’une ampleur inédite ont semé chaos et désolation dans plusieurs régions, laissant les autorités et la population sous le choc. Un bilan humain et matériel déjà lourd Selon des sources officielles, ces inondations subites auraient déjà fait au moins 5 morts et plusieurs disparus sont encore activement recherchés par les secours. Les dégâts matériels sont également considérables, avec de nombreuses habitations envahies par les eaux et des infrastructures endommagées. Le gouvernement a rapidement réagi en déclenchant les plans d’urgence et en mobilisant d’importants moyens humains et logistiques pour venir en aide aux sinistrés. Le Premier ministre espagnol a exprimé dans un communiqué sa solidarité et son soutien aux familles des victimes ainsi qu’à tous les habitants touchés. Les régions les plus touchées Parmi les zones les plus sévèrement impactées figurent la Catalogne, la région de Valence et les îles Baléares. Dans certaines villes comme Orihuela, les rues se sont transformées en véritables torrents. Des centaines de personnes ont dû être évacuées en urgence. Des images saisissantes de voitures emportées par les flots et de magasins inondés jusqu’au plafond circulent sur les réseaux sociaux, témoignant de l’intensité du phénomène. Les dommages pour l’économie locale, notamment l’agriculture, s’annoncent importants, de quoi inquiéter une Espagne déjà fragilisée. Des précipitations records Selon les services météorologiques espagnols, des cumuls de pluie dépassant les 200 mm en 24h ont été enregistrés localement, du jamais vu pour un mois d’octobre. Un épisode méditerranéen d’une rare violence qui interroge dans le contexte du réchauffement climatique. Ces événements extrêmes risquent de se multiplier à l’avenir si nous n’agissons pas résolument contre le dérèglement du climat. Une climatologue espagnole Face à l’urgence, tous les moyens sont déployés pour secourir les personnes en difficulté et commencer à réparer les dégâts. L’armée a été appelée en renfort dans les zones les plus sinistrées. Mais au-delà de la gestion de crise, beaucoup s’alarment d’une menace qui pourrait devenir récurrente. La solidarité nationale s’organise Malgré le choc, la société espagnole fait preuve de solidarité. Des appels aux dons se multiplient pour aider les sinistrés et de nombreux volontaires affluent des régions épargnées pour prêter main forte sur place. Le Roi Felipe VI a fait part de son «émotion» et transmis tout son «soutien et son affection aux familles des victimes» de cette tragédie. Un message qui fait écho à celui de nombreux responsables politiques appelant à l’unité nationale face à l’adversité. Des questions en suspens Au-delà de l’émotion, ces inondations meurtrières soulèvent de nombreuses questions sur la prévention de tels drames et l’adaptation du pays aux effets du réchauffement climatique. L’urbanisation croissante des zones...

Quatre jours après les crues dévastatrices qui ont frappé le centre-est de la France, la situation reste très préoccupante dans les villages sinistrés de la Loire, du Rhône et de l’Ardèche. À Limony, un village ardéchois particulièrement touché, la moitié des maisons ont été inondées et évacuées. Le temps semble s’être figé sur les scènes de désolation laissées par la montée des eaux. Des dégâts colossaux et des vies bouleversées Chez Eric, un habitant de Limony, l’ampleur des dégâts est saisissante. Son garage, comme beaucoup d’autres pièces de sa maison, a été entièrement dévasté par les flots. Heureusement, il peut compter sur le soutien précieux de ses amis et voisins venus lui prêter main forte pour nettoyer et tenter de sauver ce qui peut l’être. Une solidarité exemplaire face à l’adversité. Mais au-delà des dommages matériels, ce sont des vies entières qui ont basculé. Beaucoup ont tout perdu et se retrouvent désemparés, ne sachant pas de quoi demain sera fait. L’urgence est maintenant à la reconstruction et à l’accompagnement des sinistrés. L’attente interminable des experts Dans ce contexte difficile, une étape cruciale est attendue avec impatience par tous les habitants touchés : l’arrivée des experts en assurance. Leur passage est indispensable pour constater les dégâts, enclencher les procédures d’indemnisation et permettre aux familles de se reconstruire. Selon nos informations, les premiers experts sont attendus dès ce lundi dans les villages sinistrés. Une catastrophe d’une ampleur inédite Ces inondations sont les pires connues dans la région depuis des décennies. Des records de précipitations ont été battus, provoquant une montée des eaux fulgurante. De nombreux cours d’eau sont sortis de leur lit, submergeant des villages entiers. Les dégâts se chiffrent déjà en dizaines de millions d’euros. On n’avait jamais vu ça. L’eau est montée tellement vite, on n’a rien pu faire. C’est un cauchemar. Témoignage d’un habitant de Limony Les autorités mobilisées Face à l’ampleur de la catastrophe, les autorités locales et nationales se sont rapidement mobilisées pour venir en aide aux populations. Des centaines de pompiers, gendarmes et bénévoles sont sur le terrain pour sécuriser les zones touchées, porter assistance aux sinistrés et entamer le nettoyage des rues et habitations. Le gouvernement a également annoncé le déblocage d’un fonds spécial pour soutenir les communes impactées et accélérer la reconstruction. Des aides d’urgence vont être versées aux familles les plus démunies. Vers une prise de conscience écologique ? Au-delà du drame humain, ces terribles inondations viennent nous rappeler avec force les conséquences déjà tangibles du dérèglement climatique. Les phénomènes météorologiques extrêmes se multiplient et gagnent en intensité, mettant en péril nos territoires et nos modes de vie. Il est urgent d’agir et de repenser en profondeur notre rapport à l’environnement. Renforcer les politiques de prévention des...

❗📣 La Croix-Rouge conseille aux Français de s’équiper dès à présent d’un sac d’urgence pour faire face à l’urgence climatique. Le site info.gouv en parle également. « 75 % [des Français] ne se sentent pas préparés face aux inondations, 73 % face aux incendies de forêt, 59 % face à la canicule. » La Croix-Rouge et le gouvernement préconisent ainsi que chaque foyer prépare « un sac d’urgence, destiné à couvrir l’ensemble des besoins vitaux d’une famille pendant 48h en cas d’évacuation soudaine. » Ce sac doit répondre à 5 besoins vitaux : - Se nourrir - S’hydrater - Se soigner - Se protéger - Se signaler Exemple de catakit : - Une radio à pile + piles de rechange - Médicaments et traitements - Trousse de premier secours (pansement, alcool, compresses…) - Outils de base (couteau, couverts, tournevis…) - Nourriture non périssable sans cuisson - Eau potable en quantité - Outils de signalement (sifflet, fusées de détresse…) - Lampe poche + piles de rechange - Kit d’hygiène (brosse à dent, dentifrice, savon, protections menstruelles, papier toilette…) - Bloc-notes et crayons - Pochette échanche avec copies des documents d’identité, chargeur, clés, argent liquide…). 👉 Les politiques devraient plutôt aider la promotion immobilière dans les zones non inondables et loin des forêts !! Et arreter de bassiner le ciel de produits toxiques en grande partie responsables des déséquilibres météorologiques actuels... source : https://lnkd.in/e_7iJpSe https://lnkd.in/etuaqSTN

Encore une catastrophe en Vésubie ce lundi 24 juin 2024. Bientôt 4 ans que les tempêtes et les fortes pluies et les inondations s enchainent devastant les infrastructures temporaires peu résilientes mis en place par la métropole de Nice. Par contre dans la Roya gérée par le département, où les infrastructures ont été reconstruites de manière durable, les habitants sont protégés : https://lnkd.in/d94wHTyg Alors que la métropole annoncait un peu plus tôt que les marchés étaient notifiées et les priorités arbitrées, les travaux de protection d urgence des infrastructures n étaient toujours pas suffisants pour supporter un gros orages. C est désespérant pour les habitants. Je pense que la métropole de Nice doit prendre ses responsabilités et s expliquer. C est un peu trop facil de parler de lenteur administrative dans la presse alors que les élus de la métropole font partie du partie de la majorité et que le département détenu par un partie d opposition a réussi à obtenir en moins de 3 ans toutes les autorisations et à réaliser tous les projets nécessaires dans la vallée voisine. Je pense que les élus de la métropole devraient organiser des élections locales pour retrouver un peu de légitimité... Mais je ne pense pas qu ils seraient élus. https://lnkd.in/dWxEwt_i

En ce mois d’octobre 2024, la France est frappée de plein fouet par des intempéries d’une rare violence. De la Bretagne à la région Auvergne-Rhône-Alpes, en passant par l’Occitanie, de nombreux départements subissent des pluies diluviennes, des orages et des vents violents. Les dégâts matériels sont considérables et les prévisions météorologiques restent préoccupantes pour les prochains jours. Un épisode cévenol particulièrement intense dans le Sud-Est Selon Météo France, un épisode cévenol d’une intensité exceptionnelle s’est abattu sur les départements du Gard, de l’Hérault et de l’Ardèche. En seulement 24 heures, il est tombé l’équivalent de deux mois de précipitations. Les cours d’eau ont rapidement gonflé, provoquant des inondations soudaines et des coulées de boue dévastatrices. Dans la commune de Vallon-Pont-d’Arc en Ardèche, les rues se sont transformées en torrents, emportant tout sur leur passage. Un habitant témoigne : C’était un véritable déluge, je n’avais jamais vu ça. L’eau est montée en quelques minutes, envahissant les maisons et les commerces. Beaucoup ont tout perdu. – Un riverain de Vallon-Pont-d’Arc Des évacuations préventives dans le Gard et l’Hérault Face à la montée des eaux, les autorités ont déclenché des évacuations préventives dans plusieurs communes du Gard et de l’Hérault. Plus de 2 000 personnes ont dû quitter leur domicile en urgence, souvent avec le strict minimum. Des centres d’hébergement d’urgence ont été ouverts pour accueillir les sinistrés. Le bilan matériel s’annonce d’ores et déjà très lourd. De nombreuses routes sont coupées, des ponts se sont effondrés et des centaines de maisons ont subi d’importants dégâts. Une source proche de la préfecture du Gard indique que le coût des dommages pourrait se chiffrer en dizaines de millions d’euros. À Saint-Malo, la digue a été en partie détruite par la force des vagues, inondant le centre-ville historique. Les pompiers sont intervenus toute la nuit pour porter secours aux personnes bloquées par les eaux. Un témoin raconte : Les bourrasques étaient d’une violence inouïe, on avait l’impression que le vent allait tout emporter. Quand la digue a cédé, l’eau s’est engouffrée dans les rues, c’était impressionnant. – Un habitant de Saint-Malo Prévisions météo inquiétantes pour les prochains jours Malheureusement, les prévisions météorologiques ne sont guère rassurantes pour les jours à venir. De nouvelles perturbations sont attendues sur une grande partie du pays, avec des risques d’orages violents et de pluies intenses. Le gouvernement a déclenché la cellule interministérielle de crise pour coordonner les secours et la mise en sécurité des populations. Des moyens exceptionnels ont été déployés, avec notamment l’envoi de renforts de la sécurité civile et de l’armée dans les zones les plus touchées. Face à cette situation préoccupante, les autorités appellent les Français à la plus grande prudence et à respecter scrupuleusement les consignes de...

#PluieInondation | Ayons les bons réflexes ! ➡️ Les inondations constituent le premier risque naturel en #France 🇫🇷 elles concernent 1 Français sur 4 ! ➡️ En cas de #pluie intense 🌧️ et d'inondation soudaine, des gestes #simples peuvent vous #sauver la vie : reporter ses déplacements, laisser ses enfants en sécurité à l'école, rester dans un lieu en sécurité, même au bureau si nécessaire, s'éloigner des cours d'eau, des berges et des ponts, rester informé et à l'écoute des consignes, préparer un kit d'urgence etc. ➡️ La FNHPA 🏕️ est une nouvelle fois #partenaire du Gouvernement dans le cadre de sa #campagne annuelle pour rappeler les bons #réflexes à adopter en cas d'épisode de #pluie intense ou d'#inondation soudaine. ➡️ Retrouvez-les sur le site officiel de la campagne et n'hésitez pas à les #partager, ils peuvent sauver des vies ! 👉 pluie-inondation.gouv.fr #inondation #pluie #risquesnaturels

[Pluies diluviennes et inondations] Voici la lettre ouverte du maire adressée aux médias. « Le 9 août dernier, des pluies diluviennes ont bouleversé la vie de milliers de Québécois, dont de nombreux Mascouchois. Les conséquences sont dévastatrices. J’ai rencontré certains de ces citoyens : M. Bélanger, 85 ans, vit seul dans une maison où l’air reste irrespirable, incapable de vider son sous-sol inondé. Émilie et ses deux enfants, locataires dans un sous-sol submergé, se retrouvent sans logis à l’approche de la rentrée scolaire. Yasmine, qui venait à peine de déménager dans son nouveau coin de paradis, voit son rêve transformé en cauchemar, son foyer enseveli sous les eaux. Ces histoires ne sont pas uniques. Mes collègues maires et mairesses en ont entendu de similaires dans leurs propres municipalités. Au-delà de la catastrophe naturelle, c’est un séisme financier que vivent les sinistrés. La majorité de ceux que j’ai rencontrés recevront beaucoup moins de leur assurance que les dommages subis. Certains étaient littéralement inassurables. Comment peuvent-ils rebâtir leur vie? Les solutions sont précaires : vendre à rabais, déménager... Dans le contexte actuel de pénurie de logements, ces options sont insoutenables pour beaucoup. Nos programmes d’indemnisation gouvernementaux sont-ils réellement adaptés à la situation? Alors que le premier ministre évoque la possibilité de bonifier l’aide, il est impératif d’offrir un soutien adéquat à ces citoyens démunis. Le milieu municipal est prêt à faire sa part pour adapter ses infrastructures, mais les moyens financiers manquent cruellement. Les changements climatiques transforment les événements extrêmes en nouvelle norme : feux de forêt, inondations, tornades, pluies diluviennes... Ces catastrophes coûtent cher, et il est économiquement plus judicieux d’investir en prévention plutôt qu’en réparation. Chaque 1$ investi maintenant en adaptation en sauvera 13-15$ aux générations futures. Cependant, avec un coût estimé à 2 milliards de dollars par an jusqu’en 2055, les municipalités ne peuvent pas porter ce fardeau seules. Nous avons besoin de l’appui du gouvernement du Québec et du gouvernement fédéral pour renforcer nos infrastructures et protéger nos citoyens. Il faut agir maintenant pour éviter que les drames vécus par M. Bélanger, Émilie, Yasmine, et tant d’autres, ne se répètent! »

Les villes ne peuvent relever seules les défis actuels. Il est indéniablement plus judicieux d'investir dans l’adaptation aujourd'hui que de supporter le coût des réparations demain. Paradoxalement, nous observons une baisse du transfert de la TECQ, principale contribution gouvernementale aux villes pour faire face, entre autres, à ces enjeux.

Alors que l’Ardèche et le Var subissent depuis plusieurs jours de violentes intempéries, la menace de nouvelles pluies laisse craindre le pire aux autorités locales. Déjà fortement touchées, ces deux régions s’apprêtent à faire face à un nouvel épisode orageux potentiellement dévastateur dans les prochaines heures. L’Ardèche en état d’urgence En Ardèche, l’heure est à la mobilisation générale pour anticiper l’arrivée des prochaines pluies. Après avoir subi en moins d’une heure l’équivalent d’un mois de précipitations, le département se prépare au pire. Plusieurs villages ont dû être évacués en urgence, les rivières sont sorties de leur lit, inondant routes et habitations. Les services de secours, appuyés par la sécurité civile, sont sur le pied de guerre pour porter assistance aux populations sinistrées. Des centres d’hébergement ont été ouverts pour accueillir les personnes évacuées. La préfecture appelle les habitants à la plus grande vigilance et à ne sortir qu’en cas d’absolue nécessité. #Ardèche | De très fortes pluies sont attendues dans les prochaines 24 heures. Soyez prudents et suivez les consignes des autorités.@Prefet07 pic.twitter.com/LmPiEN4wVf — Ministère de l’Intérieur (@Interieur_Gouv) October 25, 2024 Le Var sous haute surveillance Dans le Var, où les pluies diluviennes ont également fait des ravages, la situation reste particulièrement tendue. Un mois de précipitations s’est abattu en quelques heures, provoquant la crue de nombreux cours d’eau. Des axes routiers ont été coupés, des centaines de foyers privés d’électricité. Face à la menace de nouvelles intempéries, le département a été placé en vigilance rouge par Météo France. Les pompiers et les forces de l’ordre sont mobilisés pour faire face à toute éventualité. Les établissements scolaires resteront fermés par mesure de précaution. Nous sommes face à un épisode méditerranéen d’une rare violence. Tout est mis en œuvre pour assurer la sécurité de la population varoise. Évence Richard, préfet du Var Des phénomènes météorologiques de plus en plus extrêmes Ces épisodes orageux d’une intensité exceptionnelle semblent malheureusement se multiplier ces dernières années. Selon les experts, le dérèglement climatique y est pour beaucoup. Les épisodes cévenols, typiques du sud-est de la France, gagnent en fréquence et en violence. Face à cette nouvelle réalité, les pouvoirs publics tentent de s’adapter. Des plans de prévention des risques sont mis en place, les systèmes d’alerte et de gestion de crise renforcés. Mais ces mesures suffiront-elles à faire face à la multiplication des catastrophes naturelles ? Une solidarité nationale nécessaire Alors que l’Ardèche et le Var s’apprêtent à subir de nouvelles intempéries dévastatrices, c’est toute la France qui se mobilise. Les messages de soutien affluent des quatre coins de l’hexagone. Des collectes sont organisées pour venir en aide aux sinistrés. Face au drame qui frappe ces deux départements, la solidarité...