Post de Richard Chemla

𝐀𝐜𝐭𝐮𝐚𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐒𝐮𝐫𝐯𝐞𝐢𝐥𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐄́𝐩𝐢𝐝𝐞́𝐦𝐢𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐧 𝐆𝐮𝐢𝐧𝐞́𝐞 : 𝐔𝐧𝐞 𝐕𝐢𝐠𝐢𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐂𝐡𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐈𝐧𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭 L'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (ANSS) met à jour la population sur la situation épidémiologique actuelle en Guinée, comme indiqué dans notre dernière cartographie des épidémies pour la semaine 10 de l'année 2024. Notre surveillance continue a identifié plusieurs foyers de maladies qui requièrent une attention soutenue et une action coordonnée. La poliomyélite, avec des cas dans 18 districts, reste une préoccupation majeure. Nous rappelons à toutes les communautés l'importance cruciale de la vaccination complète des enfants pour prévenir de nouveaux cas. La rougeole, présente dans sept districts, nécessite également une mobilisation accrue pour des campagnes de vaccination d'urgence et des actions de suivi. Bien que le nombre de districts touchés par le COVID-19 soit moins élevé, six au total, nous continuons de promouvoir les mesures préventives standard, y compris le port du masque dans les lieux publics et la vaccination, pour endiguer la propagation du virus. Les actions contre la fièvre de Lassa et la coqueluche, détectées respectivement dans deux districts, comprennent la surveillance renforcée des cas suspects, une réponse rapide aux alertes sanitaires et la sensibilisation aux pratiques d'hygiène. La diphtérie, quant à elle, est surveillée de près avec un cas rapporté, nous rappelant l'importance de la vaccination DT-Polio. L'ANSS insiste sur l'engagement des communautés à suivre les recommandations de santé publique, à signaler rapidement les symptômes suspectés d'une maladie épidémique et à soutenir les initiatives de santé communautaire. La prévention est la pierre angulaire de la lutte contre la propagation des maladies, et la coopération de chaque citoyen est essentielle. La mise à jour de cette cartographie est un élément clé pour informer et impliquer le public dans les efforts de prévention et de contrôle des maladies. Nous sommes déterminés à travailler sans relâche pour maintenir la sécurité sanitaire et invitons chaque Guinéen à participer activement à ces efforts essentiels pour la santé de tous.

𝐀𝐜𝐭𝐮𝐚𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐒𝐮𝐫𝐯𝐞𝐢𝐥𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐄́𝐩𝐢𝐝𝐞́𝐦𝐢𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐧 𝐆𝐮𝐢𝐧𝐞́𝐞 : 𝐔𝐧𝐞 𝐕𝐢𝐠𝐢𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐂𝐡𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐈𝐧𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭 L'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (ANSS) met à jour la population sur la situation épidémiologique actuelle en Guinée, comme indiqué dans notre dernière cartographie des épidémies pour la semaine 10 de l'année 2024. Notre surveillance continue a identifié plusieurs foyers de maladies qui requièrent une attention soutenue et une action coordonnée. La poliomyélite, avec des cas dans 18 districts, reste une préoccupation majeure. Nous rappelons à toutes les communautés l'importance cruciale de la vaccination complète des enfants pour prévenir de nouveaux cas. La rougeole, présente dans sept districts, nécessite également une mobilisation accrue pour des campagnes de vaccination d'urgence et des actions de suivi. Bien que le nombre de districts touchés par le COVID-19 soit moins élevé, six au total, nous continuons de promouvoir les mesures préventives standard, y compris le port du masque dans les lieux publics et la vaccination, pour endiguer la propagation du virus. Les actions contre la fièvre de Lassa et la coqueluche, détectées respectivement dans deux districts, comprennent la surveillance renforcée des cas suspects, une réponse rapide aux alertes sanitaires et la sensibilisation aux pratiques d'hygiène. La diphtérie, quant à elle, est surveillée de près avec un cas rapporté, nous rappelant l'importance de la vaccination DT-Polio. L'ANSS insiste sur l'engagement des communautés à suivre les recommandations de santé publique, à signaler rapidement les symptômes suspectés d'une maladie épidémique et à soutenir les initiatives de santé communautaire. La prévention est la pierre angulaire de la lutte contre la propagation des maladies, et la coopération de chaque citoyen est essentielle. La mise à jour de cette cartographie est un élément clé pour informer et impliquer le public dans les efforts de prévention et de contrôle des maladies. Nous sommes déterminés à travailler sans relâche pour maintenir la sécurité sanitaire et invitons chaque Guinéen à participer activement à ces efforts essentiels pour la santé de tous.

Les autorités sanitaires britanniques sont en alerte. L’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni (UKHSA) a annoncé mercredi avoir identifié un premier cas d’infection au nouveau variant du virus mpox, aussi appelé variole du singe, à Londres. Ce variant, baptisé clade 1b, est à l’origine d’une importante épidémie qui frappe actuellement plusieurs pays d’Afrique. Selon l’UKHSA, la personne infectée avait récemment voyagé dans des pays africains touchés par ce nouveau variant de mpox. Les autorités se veulent néanmoins rassurantes, affirmant que “le risque pour la population reste faible”. Tous les contacts de ce patient se verront proposer un test de dépistage et une vaccination si nécessaire. Une collaboration étroite pour évaluer les risques Face à cette situation, l’agence britannique travaille “en étroite collaboration” avec le service de santé public du pays (NHS) ainsi que des partenaires universitaires pour déterminer les caractéristiques précises de ce pathogène et évaluer plus en détail les risques potentiels pour la santé humaine. Le Royaume-Uni n’est pas le seul pays à faire face à ce nouveau variant. Un cas avait déjà été détecté en Allemagne il y a un peu plus d’une semaine, tandis que d’autres ont été signalés en Suède ainsi que dans plusieurs pays d’Asie. Cette situation suscite une certaine inquiétude au niveau international. Deux épidémies distinctes en Afrique Le continent africain est particulièrement impacté par le virus mpox ces derniers mois. Deux épidémies concomitantes y sévissent actuellement : Une provoquée par le clade 1 en Afrique centrale, touchant principalement des enfants Une autre liée au nouveau variant clade 1b, qui frappe surtout des adultes dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC) et les pays limitrophes La RDC, pays le plus affecté au monde par le mpox, a d’ailleurs lancé début octobre une campagne de vaccination pour tenter d’endiguer l’épidémie sur son territoire. Le mpox, un virus qui se transmet de l’animal à l’homme Anciennement appelé variole du singe, le mpox est une maladie virale qui peut se propager de l’animal à l’homme, mais qui se transmet également entre humains. Elle provoque de la fièvre, des douleurs musculaires et des lésions cutanées caractéristiques. Si la plupart des cas restent bénins, des complications graves peuvent parfois survenir, en particulier chez les enfants, les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées. Une prise en charge médicale précoce est donc essentielle. Rester vigilant sans céder à la panique La détection de ce premier cas de clade 1b au Royaume-Uni est un signal d’alerte qui appelle à une vigilance renforcée de la part des autorités sanitaires. Cependant, il n’y a pas lieu de céder à la panique pour autant. Nous suivons de très près l’évolution de la situation et adaptons nos mesures en fonction des dernières données scientifiques disponibles. Pr. Susan Hopkins, Directrice médicale de l’UKHSA Les systèmes de...

Dès les premières heures de la pandémie de #Covid19, l'Australie et la Nouvelle-Zélande se sont très vite démarquées en appliquant une politique d'isolationnisme sanitaire associant fermeture des aéroports internationaux et interruption du trafic maritime international dont les résultats et les enseignements commencent à peine à être tirés mais qui pourraient préfigurer de futures recommandations de prévention de pandémies et autres zoonoses. Ces deux pays se sont également illustrés par le succès indéniable des campagnes de vaccination déployées par les autorités : en février 2022, date à laquelle les restrictions de circulation hors des frontières australiennes ont été levées, on considère qu'un peu plus de 90 % de la population-cible a complété un cycle complet de vaccination à deux injections. Aussi, à la levée des restrictions de circulation, la population australienne, qui, en dehors des vaccins, n'avait pas été exposée aux précédents variants du SARS-CoV-2 s'est retrouvée au contact exclusif d'Omicron, situation inédite dont l'impact sur le développement du #CovidLong n'avait jusqu'ici jamais été évaluée. Les auteurs de cet article ont tenté de combler ce vide en recrutant, sur la base des registres vaccinaux de l'ouest australien un peu plus de 20 000 personnes vaccinées âgées de 18 ans ou plus ayant été infectées par Omicron (avec test à l'appui) et souffrant d'un moins un symptôme évocateur de Covid Long après au moins 3 mois suivant l'infection conformément à la définition de la World Health Organization. Les résultats de cette étude montrent que 18 % des participants témoignent souffrir d'au moins un symptôme de Covid Long. Parmi les personnes souffrantes, plus de 36 % ont eu recours à une prise en charge médicale ambulatoire ou hospitalière au cours du mois précédant le 3ème mois post-infection (entre le 2ème et le 3ème mois), un peu moins de 4 % ayant été hospitalisées. Les auteurs ont également cherché à savoir quel impact le Covid Long pouvait avoir chez les sujets ayant exercé une activité professionnelle ou fait des études avant l'infection et il apparaît que même si 65 % d'entre eux ont repris le cours normal de leur vie, 18 % ont du retarder la reprise de leurs activités ou n'avaient toujours pas repris au terme de la surveillance. Conformément aux résultats d'autres études menées dans d'autres aires géographiques, le risque de Covid Long semble être plus important chez les femmes, croissant avec l'âge, touchant principalement les personnes âgées d'au moins 50 ans, ainsi que chez les sujets atteints de comorbidités Mais les résultats de cette étude viennent également confirmer le rôle protecteur relatif de la vaccination sur le risque de développer un Covid Long, il apparaît ainsi que ce risque décroît proportionnellement au nombre de rappels. Au moment où les mesures d'isolement du territoire australien ont été abolies, chaque australien éligible à la vaccination était susceptible d'avoir eu accès à au moins 4 injections.

Il y a quelques semaines, nous évoquions le Sommet international sur la grippe aviaire qui aura lieu tout début octobre 2024, au moment où l’OMS vient justement de dire qu’elle veut des « vaccins ARNm » chez l’homme ! J’avais publié plusieurs vidéos. ➡️ On a le programme de ce « séminaire » et c’est une dinguerie qui doit alerter : https://lnkd.in/gaN5hXSn ➡️ Il y aura notamment des exercices portant sur : « Gérer des décès massifs » « Maintenir l’ordre public face à la panique » « Assurer la livraison des vaccins et conduire des efforts de vaccination de masse » « Contrôler l’ordre social » « Mettre en place des mesures d’isolement » « Assurer la sécurité des voyages » (ça sent le Pass sanitaire ça…) « Préparation militaire » ! Etc. Ils y seront tous : industrie pharmaceutiques, gouvernements, administrations, ONG, OMS, etc. Ils « préparent » ou ils espèrent ?! Florian Philippot

#PlanBlanc 🏥 l Activation du plan blanc pour les établissements du territoire de santé n°5 : Rennes/Redon/Fougères et Vitré, dont l'activité est fortement impactée par le passage de la région #Bretagne en phase épidémique de la grippe. Dans ce contexte, l'ARS Bretagne rappelle : ▶ l'importance des #GestesBarrières, notamment le port du masque, le lavage des mains et l'aération des pièces de vie ; ▶ la vaccination contre le virus de la grippe, moyen le plus efficace de réduire le risque de forme grave de la grippe et dont la campagne de vaccination est prolongée jusqu'au 29 février ; ▶ l'appel au 15 avant de se rendre aux urgences, afin de ne pas saturer ces dernières. En savoir plus sur https://lnkd.in/gJVyu3WK

🔔 Urgence sanitaire internationale face à la circulation du Mpox (clade I) en Afrique centrale L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré une urgence de santé publique de portée internationale en réponse à la circulation active du Mpox de clade I en Afrique centrale. Bien qu’aucun cas de ce clade n’ait été recensé en France à ce jour, notre stratégie de réponse, déjà éprouvée en 2022 avec le clade II, est prête à faire face à cette menace. La France reste mobilisée avec un plan solide comprenant : ✅ Prévention et diagnostic rapide ✅ Prise en charge des cas et contacts ✅ Stratégie vaccinale proactive En collaboration avec les autorités internationales, la France se prépare également à soutenir les pays les plus touchés via des dons de vaccins et traitements. Les populations à risque et les professionnels de santé sont informés de la situation en temps réel, et le dispositif téléphonique “Monkeypox info service” reste actif pour répondre aux questions du public : 0 801 90 80 69. Restons solidaires et vigilants face à cette menace sanitaire globale. 🌍💉 #SantéPublique #UrgenceSanitaire #Mpox #OMS #Prévention #Solidarité #Vaccination #SantéGlobale #Santé

📺 Intervention Télévisée de Mme Bernadette WORMS : Éclairage sur la Situation COVID-19 à Wallis et Futuna Le 30 janvier 2024, Mme Bernadette WORMS, médecin de Santé publique à l'Agence de Santé de Wallis et Futuna, été sur le plateau de Wallis et Futuna la 1ère. Elle a partagé des informations cruciales sur la situation actuelle de la COVID-19 sur nos îles. 🔍 Faits marquants de l'intervention : Analyse approfondie : Mme Worms a fourni une analyse détaillée de la situation épidémiologique, mettant en évidence les tendances actuelles et les défis spécifiques auxquels nous faisons face. Protection via les vaccins : Elle a souligné l'efficacité des vaccins disponibles, offrant une protection considérable contre la COVID-19, encourageant ainsi la vaccination pour la santé individuelle et collective. Maintien des gestes barrières : Malgré l'efficacité des vaccins, Mme Worms a rappelé l'importance cruciale de maintenir les gestes barrières classiques. Le lavage des mains, le port du masque et la distanciation sociale restent des pratiques recommandées pour minimiser la propagation du virus. 🤝 Appel à la solidarité : En ces temps délicats, nous sommes appelés à rester solidaires. En partageant ces informations cruciales avec nos proches, nous contribuons à sensibiliser et à protéger notre communauté. 📺 L'interview est disponible entièrement sur ce lien : https://lnkd.in/ewJTvzir . #COVID19 #santepublique #prévention #vaccination #wallisfutuna #solidarite #agencedesanté

Où en sommes-nous actuellement dans le monde concernant la résistance aux antibiotiques ? Face à l’urgence de santé publique qui est la résistance aux antibiotiques, l’OMS avait lancé en 2015 ‘’Le plan d’action mondial sur la résistance aux antibiotiques.’’ Ce plan visait à améliorer la sensibilisation et la compréhension de la RAM, renforcer la surveillance et la recherche, réduire l'incidence des infections, optimiser l'usage des antimicrobiens et encourager des investissements durables. Les pays développés ont réussi à mettre en place plusieurs mesures comme la prescription uniquement sur ordonnance de tous les antibiotiques mais malheureusement dans les pays africains, ces mesures ne sont pas encore effectives. La surveillance et le suivi reste encore un véritable challenge voilà pourquoi nous nous sommes assignés cette responsabilité à YFAHP de sensibiliser autour de ce sujet dont on parle peu ces deux prochains mois. Un célèbre adage ne dit-il pas que ‘’Prévenir vaut mieux que guérir ? N’hésiter pas à nous suivre pour ne rien manquer. #SantéPublique #Antimicrobiens #OMS #Afrique

La récente déclaration d’urgence de santé publique internationale de l’OMS concernant l’épidémie de mpox (anciennement appelée variole du singe) a ravivé les craintes d’une nouvelle pandémie mondiale. Mais pas de panique: la situation est bien différente de celle du Covid-19 il y a trois ans. Deux vaccins déjà disponibles offrent de sérieux espoirs pour endiguer rapidement la propagation de ce virus. Le mpox, un virus qui inquiète mais bien différent du Covid Certes, l’épidémie de mpox a explosé ces derniers mois, surtout en République démocratique du Congo avec plus de 16 000 cas et 500 décès. Mais ce virus n’a rien à voir avec le redoutable coronavirus responsable du Covid-19 : Il se transmet beaucoup moins facilement, essentiellement par contact étroit et prolongé. Ses symptômes sont généralement bénins : fièvre, maux de tête, douleurs musculaires puis éruption cutanée. Son taux de létalité est bien plus faible, autour de 3 à 6% contre 1 à 3% pour le Covid. Le mpox n’a donc pas le même potentiel de diffusion rapide et massive que le Covid à l’échelle planétaire. Pour autant, sa récente propagation hors d’Afrique, notamment en Europe et en Amérique du Nord, impose une vigilance accrue. Deux vaccins déjà disponibles, un atout majeur Autre différence de taille avec le Covid : nous disposons déjà de deux vaccins efficaces contre le mpox. Développés initialement contre la variole, ils confèrent une protection croisée contre ce virus cousin : Le vaccin ACAM2000, utilisé de longue date et qui nécessite une injection. Le vaccin plus récent Jynneos (ou Imvanex en Europe), administré en deux doses. Selon les experts, en ciblant la vaccination sur les personnes à risque et leurs contacts, il devrait être possible de casser rapidement les chaînes de transmission du mpox et circonscrire l’épidémie. Un scénario bien plus favorable qu’avec le Covid, contre lequel aucun vaccin n’existait au début. L’OMS appelle à une réponse mondiale coordonnée Face à la menace, l’OMS exhorte tous les pays à mettre en place une surveillance renforcée, à isoler les cas détectés et tracer leurs contacts. Elle recommande aussi de constituer des stocks de vaccins et de médicaments antiviraux. Une réponse rapide et coordonnée à l’échelle internationale sera la clé pour éviter une nouvelle crise sanitaire majeure. Avec une action forte à l’échelle mondiale, notre communauté de santé publique peut arrêter la transmission et mettre fin à l’épidémie de mpox Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS Vigilance oui, alarmisme non L’épidémie de mpox doit donc être prise au sérieux et faire l’objet d’une mobilisation concertée. Mais nul besoin de sombrer dans un catastrophisme excessif, comme l’ont fait certains médias. Restons prudents et informés, en appliquant les gestes barrières et en suivant les recommandations des autorités sanitaires. Avec les vaccins existants comme atout, la bataille contre ce nouveau virus est loin d’être perdue d’ava...