#ActuBIÈRE 🍺🚮😱 De la Jupiler à la poubelle… et c’est le drame ! Ça aurait effectivement pu être le drame ! Car ce ne sont pas de simples canettes de 50 cl de Jupiler… non, il s’agit d’une œuvre de l’artiste français Alexandre Lavet qui s’est retrouvée dans la poubelle du musée de Lisse, aux Pays-Bas 🇳🇱 . L’œuvre, installée dans l’ascenseur en verre du musée, n’a laissé aucun doute à la personne en charge de l’entretien des locaux : une nouvelle recrue qui a pensé bien faire en enlevant ces déchets oubliés dans l’ascenseur 🚮. À première vue, ce sont deux canettes vides écrasées abandonnées sur le sol ! La scénarisation a évidemment amplifié la confusion. 🎨 En réalité, l’artiste a minutieusement peint à la main (à l’acrylique sur aluminium) cette œuvre intitulée “Tous les bons moments que nous avons passés ensemble”. Et des bons moments, il semble bien que les Belges en passent souvent aux côtés de Jupiler 😍. Marque du groupe AB InBev créée en 1966 à Jupille-sur-Meuse (dans la banlieue liégeoise), elle est aujourd’hui l’une des bières les plus populaires en Belgique 🇧🇪. Historiquement créée pour concurrencer les pils allemandes, très tendance dans les années 60, la marque continue aujourd’hui de se faire une belle place sur le marché de la bière. Sa notoriété dépasse évidemment les frontières belges ! Pas étonnant que la marque soit également le sponsor principal de l’équipe nationale ⚽️ : les Diables Rouges ! Bref, c’était l’histoire d’une presque blague Belge : une bière belge, un artiste français dans un musée hollandais 🤩. 😮💨 Ouf, tout est rentré dans l’ordre… l’œuvre est de nouveau en place au musée, mais à présent sur un socle bien plus traditionnel. Note pour plus tard : l’art se cache même dans des bières vides ! #artmoderne #jupiler #biere #bierologie #culturebière
Post de 📢 Sandrine Teixeira 🍺
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Cette année, j'ai été témoin des travaux de peinture réalisés sur une route principale, celle reliant le carrefour Mauricentre à la maison du premier président de la république, le défunt Mokhtar Daddah. Une tradition annuelle qui consiste à maquiller la ville avant les festivités liées à l'indépendance. Les peintures ont été réalisées manuellement, non pas par des professionnels avec des équipements sophistiqués et des machines spécialisées, mais par deux amateurs, armés seulement de seaux et de pinceaux. Résultat : un véritable désastre visuel. Les traits sont maladroits, non alignés, avec des zigzags qui défigurent l’ensemble. L’irrégularité de la peinture dénote un manque de préparation et de compétence technique, ce qui suscite de nombreuses interrogations sur l'organisation et les choix faits dans le cadre de cette initiative. Pourquoi un tel échec ? Peut-être est-ce le résultat d'un manque de ressources, d'une gestion insuffisante ou de la précipitation pour finaliser ces travaux avant la date des célébrations. En tout cas, cet aspect "maquillage" de la ville, censé symboliser la fête et la fierté nationale, finit par ternir l'image d'une ville qui mériterait un travail plus soigné et réfléchi. On peut se demander si cet "embellissement" annuel n'a pas plus de répercussions négatives que positives lorsqu'il est mal exécuté. #BetterEducationForMauritania #pionniers_du_changement #LeColibriMauritanien
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Ukrainien en exile déballant la valise de son ancienne vie sur le trottoir. Belge à la décoration kitsch, baroque ou colorée. Petit fils d'immigrant marocain aux bras chargés de théières, de casseroles et de cuivre. Voyageurs ayant ramené de sa valise souvenirs de Thaïlande, du Brésil ou du Congo. Personne âgée, ayant une histoire à raconter pour chaque objet. À 5h du matin le Monde, en ébullition, est dans la rue. Derrière chaque objet une histoire, une culture ou une époque. Bague Touareg en argent passée de main en main, échangée, donnée, vendue, ayant parcouru des milliers de kilomètres avant d'être oubliée au fond d'une boîte. Animal en terre cuite peint à la main de multiples motifs géométriques, Mexique, ayant survécu douze heures de vol dans un bagage en soute, arrivé sans fêlures ni ébréchures offert à une grand-mère collectionneuse ravie par le présent de ses petits-enfants. Miroir style Art Nouveau sérigraphié, reproduction anglaise des années 70s, ancien décors de Bar désormais fermé, à vendre, adossé sur la porte latérale d'un utilitaire. Pour parler l'antiquaire il faut être passionné par les gens comme par leurs objets, par l'Histoire de l'un et l'autre et pour aider partager rien de tel que quelques mots étrangers. Mon métier n'est pas simplement d'acheter pour revendre. Le but c'est de redonner vie à des pépites oubliées, faire perdurer l'histoire de preuves d'humanité en les passant d'un humain à l'autre, de faire en sorte que de belles pièces ne soient pas perdues. Pour accéder à des pièces uniques rendez-vous sur www.noyo-creatif.com !
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🔴 Un apéritif à Paris en 1908 Cette belle photo de la terrasse du restaurant de l’hôtel de Normandie, situé à Paris, a été prise en 1908. On peut y voir un groupe d’hommes, que l’on suppose être amis, l’air sérieux (on ne souriait pas sur les photos à l’époque), attablés pour l’apéritif. Tous portent la moustache et tous – sauf un – sont coiffés de divers modèles de couvre-chefs parmi lesquels le melon et la casquette l’emportent. Question chiffons toujours, tous portent veston et bottines. Les carafes vides, les verres et les petites cuillères que l’on aperçoit nous laissent penser qu’ils ont bu de l’absinthe. Ou de l’anisette. Voire du Clacquesin, une impossible mixture de couleur noire – décrite à l’époque comme une liqueur de goudron hygiénique ! - composée d'extraits de pins de Norvège et d'une trentaine d'épices, laquelle boisson fut cela dit médaillée à l'Exposition universelle de 1900 à Paris. Les deux affichettes que l’on aperçoit de part et d’autre de la tablée nous rappellent que la Ville-lumière était une capitale animée où des spectacles de toutes sortes étaient programmés d’un bout de l’année à l’autre : cirque, théâtre, cabaret, expositions… Enfin, les tarifs des plats indiqués sur la vitrine semblent des plus modestes puisque ces derniers ne coûtent que quelques centimes : 25, 30, 40, 50 et 60 centimes respectivement. Evidemment, il n’en est rien. Pour s’en convaincre, il suffit de rappeler qu’avant-guerre, le salaire moyen d’un ouvrier non qualifié était de 100 à 140 fr par mois (avec des semaines de 50 à 60h). Bref, l’écrasante majorité des contemporains de nos amis n’avaient visité que les tous premiers étages de la pyramide de Maslow.
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Alors que le marché de Noël ouvre ses portes à Strasbourg, voici l'occasion de parler un peu cristal. Depuis des années à cette occasion festive, la rue des Hallebardes, qui passe près de la cathédrale, est illuminée par des lustres en cristal de Baccarat, dument protégés du vandalisme par des grilles... Cela permet de mettre en valeur le savoir-faire de la cristallerie de Baccarat, certes, mais aussi plus généralement du massif des Vosges, comme celle de Saint-Louis, la plus ancienne de France, ou encore Lalique. Pourquoi cet art s'est-il installé dans ces contrées ? Il y avait des raisons géographiques : nous nous trouvons ici dans une zone d'échanges transfrontaliers où circulent marchandises, humains et idées. Le duché de Lorraine faisait partie du Saint Empire Germanique, et la main d'œuvre d'Europe Centrale (mineurs, métalliers mais aussi verriers..) parvient jusque dans les Vosges. S'ajoutent à cela des conditions géographiques. Il y a du bois en abondance, nécessaire aux fours, actionnés par les roues des moulins barrant les nombreux cours d'eau. Enfin, le sol recèle du sable indispensable à la fabrication du verre, formé de silice. Enfin, le sol siliceux est favorable aux fougères, qui fournissent de la soude, un fondant apprécié, qui permet d'abaisser la température de fusion du sable. Le développement de cette industrie est encouragé par les ducs de Lorraine, puis par les souverains français, qui voient là une occasion de développer l'industrie et de moins dépendre de l'étranger. Les maitres des verreries acquièrent parfois la noblesse, signe que le statut de ces industriels est important. La fabrication du cristal sera plus tardive, et sera liée à l’importation des techniques anglaises avec l’adjonction d’oxyde de plomb. Aujourd'hui, les cristalleries du massif des Vosges sont les ambassadeurs du "Made in France" et le cristal n'est pas pour rien célébré lors des 15 ans de mariage. Cela dit, je vous rassure, même un bilboquet ne saurait faire de dégâts sur les lustres strasbourgeois. Image : Gaston Lagaffe - Franquin.
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Extrait du numéro 498 Offrir International, p.56 : "Fondée en 2023 par trois frères métalliers lyonnais, la marque Hexagone a choisi de se démarquer avec des braseros haut de gamme à la dimension décorative et versatile, et une identité française prononcée. « Pour cela nous nous positionnons sur des collaborations qui ont du sens, et ne restons pas cantonnés sur l’image du brasero synonyme de moment convivial qui est certes une évidence mais sur laquelle tout le monde se positionne, pour explorer d’autres champs, en particulier dans l’univers du sport (golf, ski, équitation) », explique Laurent Pillot, directeur marketing et communication d’Hexagone. Hexagone propose un produit modulable quatre-en-un pensé pour devenir une pièce maîtresse de l’espace extérieur. Celle-ci fait en effet office de plancha et de gril bien entendu, mais aussi de mange-debout grâce à un couvercle/étouffoir, ou peut aussi se transformer en version basse. « Dans quelques années, le brasero sera un grand classique du jardin, prédit Laurent Pillot. Il conjugue la magie du feu à la dimension alimentaire et nous nous activons pour faire connaître nos produits comme des objets utiles toute l’année mais cela reste un challenge. Nous portons aussi un message de transmission : hériter d’un Hexagone est une valeur sûre ! » Lire l'article en entier : https://lnkd.in/eybW-Syb
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Les caves rémoises de Veuve Clicquot, inscrites au patrimoine mondial de l’Unesco, abritent un savoir-faire ancestral où les "remueurs" perfectionnent depuis quarante ans les méthodes traditionnelles de manipulation des célèbres champagnes de la maison, qui existe depuis plus de 250 ans. Ce geste précis, réservé aux cuvées de prestige, illustre la complexité de certains métiers de niche dans l'artisanat et le luxe, secteurs qui nécessitent une décennie pour transmettre pleinement les compétences aux nouvelles générations. Le besoin en main-d'œuvre qualifiée est criant dans ces secteurs variés, englobant la mode, la joaillerie, l'horlogerie, la cristallerie et bien d'autres. Le Comité Colbert estime à environ 20 000 le nombre de personnes nécessaires pour répondre à la demande. Jean-François Girardin, président des Meilleurs Ouvriers de France, souligne une hausse de 20% des participants aux concours de l'organisation, bien que beaucoup abandonnent, faute de débouchés ou de clarté dans leurs objectifs professionnels. Face à cette réalité, des géants comme LVMH prennent des mesures proactives. Alexandre BOQUEL, directeur des métiers d’excellence chez LVMH, explique que l'entreprise ne peut plus se permettre d'attendre passivement que les artisans viennent à eux, surtout avec des marques en croissance rapide comme Louis Vuitton. Cela a mené à la création d'un pôle dédié il y a dix ans, rassemblant 4 000 artisans à travers le monde. Plus récemment, LVMH a inauguré la maison des métiers d’excellence à Paris pour mieux informer sur ces carrières. D'autres, comme Hermès, développent des formations internes pour soutenir leur expansion, tandis que des institutions plus modestes comme le Mobilier National peinent avec des contraintes budgétaires, notant une fluctuation des carrières de leurs artisans, comme l'indique son président Hervé Lemoine. L'attractivité de ces métiers est également renforcée par des initiatives de sensibilisation. Gabrielle Légeret, à travers son association De l’or dans les mains, intervient dans les écoles pour inspirer les jeunes. Luc Lesénécal, président de Saint-James, partage que l'ouverture de leur atelier au public, initialement une démarche marketing, s'est transformée en un outil efficace de recrutement et de promotion des carrières dans l'artisanat. Le Comité Colbert utilise les réseaux sociaux, notamment TikTok, pour atteindre les jeunes, avec des campagnes qui ont généré plus de 500 millions de vues en un an. Toutefois, Alexandre Boquel de LVMH met en garde contre la surenchère dans la promotion de ces métiers, soulignant la nécessité de présenter une image réaliste de l'effort requis, en plus de l'attrait pour la beauté du produit fini.
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Il y a des noms qui allument l’imaginaire dans le monde entier. Baccarat est de ces noms-là. Voilà 260 ans qu’il brille avec non moins d’éclat que ce cristal qui sort des manufactures et qui ravit les yeux du monde entier. Baccarat c’est un lieu-dit, autrefois, une poignée de maisons juste avant la côte qui mène à Deneuvre dont Baccarat fait partie plusieurs siècles avant de devenir la ville qu’on connaît. Ce qui a fait surgir Baccarat dans l’histoire de la beauté c’est la décision d’un évêque de Metz. Propriétaire des lieux, il ne sait plus quoi faire de tout ce bois qu’on y trouve et décide de se lancer dans la verrerie. Elle a cet avantage de brûler le bois pour faire surgir du verre et gagner de l’argent et on peut faire du verre sans perdre sa noblesse. Banco donc, et Louis XV de valider l’idée en accordant son privilège. Le premier four, la production qui commence, et bien vite, un état d’esprit. Ce qui fait la force de baccarat, en plus de la beauté, c’est l’audace. Il faut bien peu de temps à la manufacture pour passer du verre au cristal en sortant le meilleur au bout des cannes qui arrachent le cristal en fusion dans le four avant de lui donner les formes qui plaisent à l’humain qui fabrique. Il faut aussi beaucoup d’audace pour sortir ce rouge magnifique, à base d’or, qui sidère le monde du luxe au 19e siècle et propulse Baccarat dans le grand monde. Il faut de l’audace pour choisir de développer le cristal noir, il y a quelques années, quand on sait que pour un verre réussi, il faut en casser plusieurs. Il faut toujours de l’audace, aujourd’hui, pour achever la découverte et surtout la maîtrise du cristal sans plomb, c’est-à-dire sans l’ingrédient qui donne l’éclat incomparable. Et pourtant, Baccarat sait déjà et nul doute que Baccarat continuera ce que la marque sait bien faire : coller à l’air du temps, surprendre toute de même et surtout : réussir le parfait. Et pour réussir cela il faut des lorrains, nos ouvriers lorrains, ces mains d’or qui font surgir la beauté du feu depuis 260 ans. Ces savoirs d’hommes qui se transmettent des plus anciens aux plus jeunes pour continuer ce miracle permanent qu’est le travail dans les manufactures bachamoise. Baccarat a 260 ans, un destin mouvementé, comme on a vu dernièrement avec la propriétaire fantôme restée en Chine, mais un destin. C’est peut-être sa plus grande force : une destinée dédiée à l’audace et à l’excellence qui en fait un trésor lorrain, fleuron du luxe français, et marque monde parce que le monde, même s’il va un mauvais train, sait reconnaître l’excellence. J'ai eu le plaisir de le rappeler ce matin sur France Bleu. Pardon : ICI ! #Lorraine #Luxe #francebleu #france #Baccarat on peut écouter ici https://lnkd.in/ezmUCB_q
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Dans mes infos.fr plusieurs lignes détaillées sur Calanque Swimwear ✍️
🩳 Calanque Swimwear s’installe à Printemps Les Terrasses du Port et Centre commercial Grand Var à Toulon 🚨 Avant d’arriver mi-juin au centre commercial Prado Shopping Marseille 8e 👍 La créatrice Thalie Moliner a choisi également de soutenir Pour le fil d’Ariane lors d’une soirée caritative à venir le 7 juin Les détails ici ⬇️⬇️⬇️
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Cher réseau, Vous avez peut-être vu passer une photo de Guillaume et moi en chemises hawaïennes dans votre flux. Je vous laisse découvrir cet article qui raconte pourquoi. Merci à Philippe Guerrier pour ce superbe papier qui capture parfaitement l’essence de notre projet et cette soirée pas comme les autres. 👉 Lien vers l’article en commentaire #InnovationIA #Lingueo
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Même le collectionneur le plus riche du monde ne peut se targuer de posséder la première malle de tel ou tel grand malletier parisien du XIXᵉ siècle. Aujourd’hui, le petit monde des Malletiers se résume à une dizaine de marques, dont les deux premières se taillent la part du lion. Or, toute règle peut avoir ses exceptions. Exemple : la première malle dressing d’Albatros-Malletier, fabriquée à l’occasion de sa première A.G. en octobre 2015, est actuellement proposée à la vente. Réfléchissez : il s’agit de la PREMIÈRE pièce d’une nouvelle marque de luxe. Voici un bel exemple de « pièce unique ». C’est un investissement, futur vintage, qui deviendra de plus en plus précieux au fur et à mesure que le temps passe. Pour info, cette malle est visible à Saint-Cast, sur rendez-vous. Discutez-en avec son créateur, autour d’un café ? #vintage #malle #collection #luxe #investissement #madeinfrance #savoirfaire #albatrosmalletier #chateaudebogard
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Graphiste spécialisé bière & boisson | +100 Logos et étiquettes créés | 12 ans d'expérience dans le milieu du graphisme et de la communication | Créateur de pimpmybeer.fr
5 moisJ'aurais probablement fait la même 🤣