[#WEBINAIRE] Le Centre National de Gestion des praticiens et directeurs de la fonction publique hospitalière (CNG) vous convie à un webinaire portant sur la nouvelle campagne d’évaluation 2024 des directeurs de la fonction publique hospitalière suite à la publication de la note d’information fin juin (NOTE D’INFORMATION N° CNG/DGD/2024/77 du 20 juin 2024 relative à l'évaluation et à la prime de fonctions et de résultats des directeurs d’hôpital, directeurs d’établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux, et des directeurs des soins des établissements mentionnés à l’article L5 du Code général de la fonction publique, portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique hospitalière, au titre de l’année 2024). Nous vous présenterons les principaux éléments de la note d’information et les nouveautés sur le fond comme sur la forme du support d’évaluation des directeurs. Un temps de questions sera prévu à l’issue de la présentation. 📅 Date : Jeudi 11 juillet 🕑 Heure : 14h00 🔗 Lien d’inscription : https://lnkd.in/eiJhaB2K Nadia Boulharouf Cédric Coutron #directeur #choisirleservicepublic
Post de Centre National de Gestion des praticiens et directeurs de la fonction publique hospitalière
Plus de posts pertinents
-
Le KCE - Federaal Kenniscentrum voor de Gezondheidszorg - Centre Fédéral d'Expertise des Soins de Santé a calculé les coûts indirects des hôpitaux sous la forme d'un pourcentage de majoration des coûts directs. Vu les différences considérables entre hôpitaux dans la façon de rapporter les coûts, il vaudrait mieux fixer ce pourcentage pour chaque service ou groupe de services hospitaliers. https://lnkd.in/evbYqeHG
Réforme du financement des hôpitaux: le KCE plaide pour un template de coûts détaillé
lejournaldumedecin.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🔴 Réforme de la haute fonction publique : 6 600 administrateurs territoriaux et directeurs d'hôpital concernés à la rentrée "La réforme de la haute fonction publique s’appliquera désormais aux directeurs d’hôpitaux et aux administrateurs territoriaux", a annoncé le ministre de la Fonction publique, Stanislas Guerini, lors d’une journée nationale organisée par l’Association des directrices et des directeurs d'hôpital (ADH), ce 15 mars 2024. Cette réforme devrait s’accompagner d’une transposition des grilles mises en place pour les administrateurs de l’État aux directeurs d’hôpitaux et aux administrateurs territoriaux. Le ministre souhaite ainsi "reconnaître l’évolution des métiers et des parcours". Alors que l’application de la réforme de la haute fonction publique aux directeurs d'hôpitaux était initialement prévue pour le début de l’année 2024, les travaux devraient être finalisés dans le courant du semestre dans le cadre des groupes de travail déjà en cours, indique à AEF info le ministère de la Fonction publique. "On souhaite se saisir des prochains CSFPH et CSFPT pour faire passer des projets de texte et appliquer la réforme d'ici à la rentrée", ajoute-t-il. ❓ 𝐐𝐮'𝐞𝐧 𝐞𝐬𝐭-𝐢𝐥 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐢𝐫𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐢𝐧𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐢𝐫𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐞́𝐭𝐚𝐛𝐥𝐢𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐬𝐚𝐧𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬, 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐮𝐱 𝐞𝐭 𝐦𝐞́𝐝𝐢𝐜𝐨-𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐮𝐱 ? Si des mesures ont été annoncées pour les directeurs d'hôpitaux, le flou persiste s'agissant des directeurs des soins et des directeurs d'établissements, dans l'attente – toujours – d'arbitrages. "On ne les oublie pas, des annonces seront faites prochainement, assure le ministère de la Fonction publique, admettant les problèmes d’attractivité des métiers de D3S et de DS. On pense qu’il y a des spécificités propres aux trois corps et on souhaite apporter une réponse spécifique à chacun de ces métiers. C’est la raison pour laquelle la DGOS avait monté des groupes de travail spécifiques avec les organisations syndicales." 👇 Un article à retrouver sur AEF info Social RH
Réforme de la haute fonction publique : 6600 administrateurs territoriaux...
aefinfo.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Une décision inédite de mise en péril de la pérennité des cliniques et hôpitaux privés et du secteur libéral Le ministère de la Santé a rendu publics le 26 mars dernier, par voie de presse et sans concertation avec les acteurs, les tarifs qui seront en vigueur en 2024 pour financer les établissements de santé publics et privés. Le gouvernement a décidé de n’augmenter les financements accordés aux cliniques et hôpitaux privés MCO (médecine/chirurgie/obstétrique) que de 0,3% alors que les hôpitaux publics bénéficieront de 4,3%, sachant que les tarifs sont déjà inférieurs dans le privé. Cette décision aura des conséquences extrêmement graves pour les cliniques et hôpitaux privés. Donnée extrêmement inquiétante, la part d’hôpitaux privés en déficit, qui est passée de 25 à 40 % entre 2021 et 2023, atteindra dans ces conditions le niveau alarmant de plus de 60 % en 2024, avec les conséquences induites en matière d’accès aux soins pour les citoyens. In fine, le coût pour notre société de ces décisions comptables à courte vue sera bien plus grand. Affaiblir l’hôpital privé ne permettra pas que l’hôpital public aille mieux. A situation inédite, réaction inédite : décision d’une série d’actions, dont un arrêt total d’activité à compter du 3 juin 2024 ! Soutenez nous en signant cette pétition : https://chng.it/HTyyz8XYnt #cliniquesendanger #santeasauver
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Une décision inédite de mise en péril de la pérennité des cliniques et hôpitaux privés et du secteur libéral Le ministère de la Santé a rendu publics le 26 mars dernier, par voie de presse et sans concertation avec les acteurs, les tarifs qui seront en vigueur en 2024 pour financer les établissements de santé publics et privés. Le gouvernement a décidé de n’augmenter les financements accordés aux cliniques et hôpitaux privés MCO (médecine/chirurgie/obstétrique) que de 0,3% alors que les hôpitaux publics bénéficieront de 4,3%, sachant que les tarifs sont déjà inférieurs dans le privé. Cette décision aura des conséquences extrêmement graves pour les cliniques et hôpitaux privés. Donnée extrêmement inquiétante, la part d’hôpitaux privés en déficit, qui est passée de 25 à 40 % entre 2021 et 2023, atteindra dans ces conditions le niveau alarmant de plus de 60 % en 2024, avec les conséquences induites en matière d’accès aux soins pour les citoyens. In fine, le coût pour notre société de ces décisions comptables à courte vue sera bien plus grand. Affaiblir l’hôpital privé ne permettra pas que l’hôpital public aille mieux. Nous, professionnels de santé du secteur privé qui sommes parfaitement régulés par le ministère de la santé, et apportons un service essentiel à la démocratie sanitaire, nous n’acceptons plus d’être stigmatisés de la sorte, d’être la variable d’ajustement d'une politique sanitaire qui justifie une iniquité de traitement tarifaire entre des établissements de santé avec des statuts différents, alors même que nous prodiguons les mêmes soins, avec les mêmes règles et avec les mêmes professionnels. Il faut que ça cesse ! Notre survie, mais surtout notre santé, est en jeu ! A situation inédite, réaction inédite : décision d’une série d’actions, dont un arrêt total d’activité à compter du 3 juin 2024 ! Soutenez-nous en signant cette pétition : https://chng.it/HTyyz8XYnt #cliniquesendanger #santeasauver
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
❌ "60% des cliniques risquent de fermer", alerte la Fédération de l’Hospitalisation Privée qui appelle à une "grève totale" le 3 juin 🔍 Outrée par la faible augmentation tarifaire que leur a octroyée le gouvernement en 2024, les hôpitaux et cliniques privées ont annoncé la semaine dernière "une grève totale" à compter du 3 juin, en maintenant toutefois les "soins vitaux". "60% des cliniques sont en déficit et risquent de fermer", alerte Lamine GHARBI, président de la Fédération de l’Hospitalisation privée ↔️ Le gouvernement a choisi d’augmenter très légèrement le prix des actes médicaux réalisés dans les cliniques, alors que les tarifs vont augmenter de 4,3% dans l’hôpital public. La FHP exige donc "une équité de traitement" avec l'hôpital public et à demandé un rendez-vous au Premier Ministre 👉🏻 Lamine GHARBI ne comprend pas l’attitude du gouvernement. D’autant plus que les cliniques privées ont su, selon lui, répondre présentes pendant la crise du COVID. "Nous pallions cette dette COVID. 400 000 séjours ont été pris en charge pour épurer cette dette de patients qui sont en retard de soins" ❓ Pendant la période COVID, "il y avait une équité et une complémentarité. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas. Donc nous demandons la même augmentation dans le budget que l'hôpital public. Pourquoi serions-nous traités différemment ?", s'est insurgé le président de la FHP 👉🏻 Dénonçant les mauvaises intentions de la part de l’exécutif, il a demandé "un rendez-vous avec le Premier ministre pour qu'il puisse (…) se rendre compte de l'importance que nous avons sur les territoires"
Tarifs hospitaliers : "60% des cliniques risquent de fermer", alerte la fédération de l’hospitalisation privée qui appelle à une "grève totale" le 3 juin
francetvinfo.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
À la direction territoriale de l’ARS pour faire un point avec son directeur Franck Nivaud sur quelques dossiers en cours. ✅ évaluation de la PEC des urgences après la mise en place d’une organisation suite à la fermeture du service de la clinique Médipôle la nuit. ✅exercice coordonné et maillage territorial en matière d’offre de soins.( MSP et CPTS). ✅hôpital de Cerdagne. ✅activité libérale. ✅pharmacies. ✅eau.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
ARTICLE ✍ LES CHU APPELLENT GABRIEL ATTAL À REVALORISER DES TARIFS HOSPITALIERS INADAPTÉS Moins de deux mois après leur dernier communiqué commun, qui alertait sur la situation financière « catastrophique » des CHU, Directeurs généraux, doyens des facultés de médecine et PCME ont une fois encore unis leurs voix, ou plutôt leurs plumes, demandant au Premier ministre Gabriel Attal et à son gouvernement de “préserver un trésor national”. Plus concrètement, les trois conférences souhaitent un redressement en urgence des tarifs hospitaliers qui “ont été chroniquement sous-évalués depuis la crise Covid.” Et de développer : “la baisse d’activité constatée dans les hôpitaux publics depuis 2020, la crise de recrutement des soignants et les fermetures de lits ont conduit les pouvoirs public à déterminer des tarifs hospitaliers inadaptés, totalement déconnectés des coûts auxquels sont confrontés les CHU et de leur place dans le système de santé.” Une situation qui ne peut plus durer. Sans une hausse des tarifs qui permettraient, toujours selon les représentants des CHU, de “mieux répartir les fonds alloués par le parlement entre hôpitaux publics ou privés”, les CHU ne pourraient plus assurer les missions essentielles et fondamentales de soins, de formation et de recherche “tout en portant les espoirs d’embellie.” [...] À LIRE EN INTÉGRALITÉ SUR NOTRE SITE https://lnkd.in/e7DQHqG4 Lire aussi : Le déficit des CHU triple en un an et atteint un record catastrophique https://lnkd.in/gNxsz2bh Directeurs généraux de CHRU Philippe EL SAIR Rémi SALOMON Conférence Nationale des Doyens de Médecine celine Wasmer Yann Bubien Catherine Vautrin Frédéric Valletoux Gouvernement Fédération hospitalière de France (FHF) Arnaud Robinet Haute Autorité de Santé Ministère de la Santé #hopital #sante #crise #tarifs #deficit #public #privé #hospitalisation #appel #gouvernement #covid #communiqué #article
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Les dépenses sociales font partie du % de déficit acceptable pour juste tenir la dette et ne pas devenir la Grèce. Dans l'enveloppe fermée restrictive de l'ONDAM le rationnement collectif fera des perdants sans gagnants. La compétition féroce entre secteurs et au sein de chaque secteur ne sera pas amortie. Il faut emboiter tous les concepts existants autour de la médiation stratégique dans le cadre de l'Article 1-2-4 de la Convention Médicale de 2005. Du temps et de la survie perdus.
La Fédération de l'Hospitalisation Privée (FHP) a tenue mercredi une conférence de presse au sujet de la situation alarmante des cliniques et hôpitaux privés et la campagne tarifaire de mars 2024. Découvrez l'article du journal Le Figaro suite aux propos de notre Président, Lamine Gharbi. 👇 https://lnkd.in/e2__qTRC
«En difficulté», le secteur privé hospitalier réclame une augmentation de 10% de ses ressources
lefigaro.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🔍🏥 [#DroitPublic] Pouvoirs adjudicateurs : nouveautés juridiques pour les gestionnaires d'établissements sociaux et médico-sociaux Dans un article pour Eurojuris France, Clément Gourdain, avocat directeur du cabinet revient sur l’avis du 11 avril 2024 du Conseil d'État, concernant les gestionnaires des établissements et services sociaux et médico-sociaux et leurs pouvoirs adjudicateurs. 💬 « L’avis rendu par le Conseil d'État le 11 avril 2024 permet d’exclure du champ d’application de la commande publique un grand nombre d’établissements sociaux et médicosociaux, mais il ne permet pas de faire l’économie d’un examen attentif au cas par cas en fonction de la situation précise de chacun de ses organismes. » Pour en savoir plus 🔗 https://lnkd.in/eCDPAz5q
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Vietnam / France / Professeur droit de la médecine / Legal Counsel (CAPA - diplôme d'avocat, diplômes universitaires de médecine Paris 5 et 6, Versailles) #droits des PADHUE
#PADHUE Application des dispositions de l'article L. 4111-2 (II) du code de la santé publique.
Arrêté du 7 mars 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité « pédiatrie » en application des dispositions de l'article L. 4111-2 (II) du code de la santé publique
legifrance.gouv.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
11 440 abonnés