Post de Savoie News

Chaque jour depuis plus de 8 ans, des volontaires interviennent en tant que citoyen sauveteur à la demande des SDIS et des SAMU. Lorsque comme à #Seignosse, cette intervention permet de sauver une victime d'arrêt cardiaque, c'est à chaque fois pour toute l'équipe de Staying Alive, une immense joie et une fierté. Les centaines de vies sauvées n'ont en rien émoussé ou banalisé l'émotion que nous avions ressentie dès 2017 avec le sauvetage d'Othmane, triathlète de 34 ans en région parisienne. Aujourd’hui plus que jamais et afin d’être toujours plus efficace, notre communauté de citoyens sauveteurs a besoin de se développer afin de mailler l’ensemble du territoire en profondeur et pas uniquement dans les grandes métropoles. Nos 330.000 volontaires doivent devenir 1.000.000. Oui un million de citoyens sauveteurs ! Cet objectif peut paraitre fou et pourtant il est indispensable si l’on veut vraiment faire chuter la mortalité liée à l’arrêt cardiaque. La France ne peut pas s’enorgueillir dans ce domaine avec un taux de survie inférieur à 10% qui stagne depuis des années. Au sein de l’association Staying Alive, le développement de la communauté des citoyens sauveteurs, en particulier en milieu rural, est notre axe majeur de développement pour les prochaines mois. C’est pour cette raison notamment que nous avons candidaté à l’appel à projet de La France s'engage dont nous sommes finalistes et que nous participons également à La Nuit du Bien Commun à Rouen le 30 mai prochain. Nous avons besoin du soutien et de l'engagement de tous. On ne peut pas sauver toutes les vies, mais on peut tous sauver une vie. Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France Samu-Urgences de France Direction générale de la Sécurité civile et de la gestion des crises Ministère de la Santé

Plus de mots pour décrire notre tristesse.

Malheureusement, chaque année en France et dans le monde, des drames sont causés par la foudre. Pour limiter / éviter les risques de foudroiement, voici ce que nous vous conseillons de faire : ✅ Restez attentif aux cuminolingus et informez-vous sur les prévisions météorologiques. ✅ En cas d'orage, cherchez un abri sûr dès que possible. Les bâtiments, souvent équipés de paratonnerres, et les voitures sont les meilleurs endroits pour se protéger contre la foudre. ✅ Éloignez-vous des objets métalliques tels que les clôtures, les poteaux et les équipements de jeu comme les clubs de golf, par exemple. ✅ Si vous vous retrouvez à l'extérieur sans abri, adoptez la position de sécurité en vous accroupissant avec les pieds joints, la tête baissée et les mains sur les genoux. Et ce qu’il ne faut pas faire : ❌ Se mettre sous un arbre ❌ Se tenir près d'objets métalliques tels que les clôtures, les poteaux et les équipements de jeu ❌ Se tenir près de l'eau, car c’est un bon conducteur d'électricité ❌ S'abriter sous une structure légère comme les tentes et les auvents ❌ S'abriter dans un endroit élevé comme les collines et les sommets de montagnes ❌ Se tenir près de grandes surfaces planes comme les terrains de sport et les champs ❌ S’allonger à plat sur le sol Restez vigilant et prenez les mesures nécessaires pour assurer votre sécurité. #Foudre #Sécurité #Prévention https://lnkd.in/eK-CKJQR

Dès dimanche soir, alors que nous découvrions l'horreur des premières images de Mayotte dévastée, le préfet de Mayotte déclarait au sujet des victimes humaines du cyclone Chido "je ne pourrai pas [les] décompter, je le dis de manière officielle" (journal TV de Mayotte la 1ère). Il expliquait cette impossibilité en affirmant que dans la tradition musulmane les corps doivent être enterrés dans les 24 heures suivant le décès.   Depuis, de nombreux articles de presse reprennent ces éléments de langage. Progressivement s'installe l'idée selon laquelle nous ne saurons jamais parce qu'il est impossible de savoir. Or l'Etat ne peut pas ne pas compter, il en va de sa responsabilité. Pourquoi les enterrements constitueraient-ils un frein au recensement des morts ? Ne pourrait-on pas interroger les vivants, ceux qui ont eux-mêmes mis en terre leurs proches ? Ne pourrait-on pas recenser les prières funéraires sollicitées auprès des mosquées ? Doit-on se résigner à ne pas savoir ?   Les témoignages qui nous parviennent sont terrifiants et confirment nos pires craintes. Des corps sont sous les décombres et il faudra aller déblayer et soulever les tôles pour les compter. Ces morts doivent être connus, dénombrés, précisément, et jamais n'être oubliés. S'en tenir à de "l'à peu près" serait une injure innommable envers ces vies humaines que nous avons perdues et envers leurs proches qui ont survécu.   Lors de mes recherches à Mayotte, le dénombrement "à grosses louches", "grosso modo", des habitants des quartiers d'habitat précaire par les autorités préfectorales bien occupées à les déloger m'avait frappée. J'ose espérer que ces approximations ne seront pas considérées comme acceptables à l'heure de dresser le bilan humain de Chido. Chacune de ces vies comptait et il revient aujourd'hui aux autorités de tout mettre en œuvre pour ne pas les effacer définitivement de notre mémoire collective.

La zone. Episode 11. L'infiltration. Dans un espace dévasté où le moindre brin d'herbe est pollué, l'eau devient le pricipal facteur d'infection. Elle traverse les tuyaux, les murs, toutes les conduites encore présentes dans les ruines, mais elle souille également les végétaux et les animaux qui, d'habitude, participaient à l'équilibre des organismes. De source de vie, l'eau est devenue source de mort...le passeur le sait, il accompagne les visiteurs en les mettant à l'épreuve des liquides empoisonnés. Lors des déplacements guidés par les rubans blancs et la force de la zone, le Stalker les place dans des positions où ils peuvent apercevoir le fond d'une onde porteuse de tous les maux. Ils peuvent y contempler les traces de leurs actions ignominieuses et, pour le Passeur, leur péché originel. Au fond de l'eau se trouve de multiples détritus, des obus, des armes, des poissons fous, des trous noirs, de vieilles montres arrêtées, des formes de vie marine complètement inconnues, bref les traces d'un saccage ininterrompu de l'environnement. Le passé, le présent et l'avenir sont figés tandis que le flux de ce courant dévastateur continue. Pour Catalina la perception du désastre est plus proche. Adelheid Duvanel nous raconte que la toute jeune fille voit la catastrophe par l'intermédiaire d'une peau de murène séchée fixée sur la porte de sa maison. L'oncle Manuel lui a attaché une clochette pour manifester sa brutalité sans nom. L'onde sonore a remplacé l'eau pour affirmer l'ineptie du genre humain, les coups et l'oppression sur le corps d'une petite fille sans défense, dont la seule chance de survie sera de se recroqueviller sur elle-même. Il ne faut pas attendre le moindre secours dans une zone où les faits et gestes ont perdu toute signification. Dans la zone du Stalker, toutes les choses ont été détruites, dans celle de Catalina, elles se défont jour après jour.

Les émeutes de 2023 se distinguent de celles de 2005 par trois phénomènes.  La catégorie des communes touchées dont l’amplitude a largement dépassé les seuls quartiers « sensibles » touchant des villes moyennes, voire rurales. 23 % des infractions recensées à la date du 31 juillet 2023 ont été commises en zone Gendarmerie (1) Elles sont plus intenses et ressemblent à des « guérillas urbaines » : 782 policiers ont été blessés en 9 jours, soit près de 4 fois plus qu’au cours des 25 nuits d’émeutes de 2005 (2) L’Etat a été beaucoup plus ciblé : près de 7 fois plus de faits de dégradation de biens publics ont été constatées (3) Lien vers le rapport de Jerome LADES : https://lnkd.in/gcE64mfb

Sept morts (connus) par balles, mais presque 80 morts supplémentaires en moins de 14 jours ! ! ! Depuis le début des émeutes, le nombre de morts naturelles a presque doublé… https://lnkd.in/g2gMgMtQ Les émeutes, commencées le 13 mai, ont occasionné le décès, par armes à feu, de sept individus. Dans le même temps, le nombre de morts naturelles s’accroît aussi sur le territoire, principalement à Nouméa. Le centre funéraire municipal doit s’adapter. Un manque de réapprovisionnement en médicaments, des routes pour se rendre dans les centres de secours difficilement empruntables, voire bloquées, des hôpitaux surchargés, des crises cardiaques, des dialysés en grande souffrance ou simplement l’âge : la « Faucheuse » a trouvé de nombreux prétextes pour se montrer omniprésente sur le territoire depuis la mi-mai. Si les décès causés par les émeutes sont connus de tous, et voit son nombre régulièrement contesté, de nombreuses autres personnes portent aussi le deuil en cette triste période. 79 défunts admis à Nouméa… « Le centre funéraire municipal est resté ouvert depuis le début de la crise », informe Alan Boufenèche, directeur de la vie citoyenne, éducative et sportive à la mairie de Nouméa. Une mission obligatoire quand on apprend que 79 défunts ont été admis depuis le 14 mai, parmi lesquels un Tongien et un Australien, dont les familles sont toujours dans l’attente de rapatriement. En quatorze jours – les chiffres datent du 28 mai – les décès enregistrés par le centre funéraire municipal sont proche de la moyenne mensuelle qui s’élève à 100 décès. A ce rythme, le total, sur un mois, pourrait atteindre les 169 défunts. Des chiffres qui montrent un impact jusque-là sous-estimé des émeutes. Mais comment faire pour gérer la problématique des corps lorsque la ville est réduite au chaos ? Deux containers frigorifiques : 30 crémations, 23 inhumations, 19 transferts, ce sont les sombres chiffres qui se cachent derrière les sept individus ayant connu une mort violente durant les émeutes.

ÉMEUTES 2023 : LE SÉNAT TIRE LES LEÇONS – UNE PROMESSE (104) PRÉSIDENTIELLE TOUJOURS EN SOUFFRANCE Les sénateurs dressent le bilan des émeutes de juin 2023 La commission des lois du Sénat a rendu son rapport d’évaluation sur les émeutes de juin 2023, et élaboré une liste de 25 propositions pour améliorer la réponse à ce type d’événements. Bilan, stratégie de maintien de l’ordre, rôle des policiers municipaux et des maires, le Sénat a passé au crible tous les aspects de la question. En à peine plus d’une semaine, les émeutes du début de l’été 2023 ont largement «excédé, en violence et en destruction d’équipements publics ou commerciaux, les trois semaines de violences urbaines» de 2005. EN L’ABSENCE DU BILAN DE L’EXÉCUTIF Voilà le constat dressé par une mission d’information sénatoriale dont les conclusions ont été présentées ce mercredi. Plus de 2 508 bâtiments sont incendiés ou dégradés, parmi lesquels 105 mairies, 243 écoles et 273 bâtiments des forces de l’ordre, pour un coût total de plus d’un milliard d’euros. ARTICLE : Neuf mois après les émeutes, un bilan et 25 propositions Par Franck Lemarc MAIRIE INFO Dès le mois de juillet dernier, alors que les incendies allumés pendant les émeutes de fin juin et début juillet étaient à peine refroidis, la commission des lois du Sénat a créé une mission d’information transpartisane, présidée par François-Noël Buffet et dotée de prérogatives d’une commission d’enquête, afin de « dresser le constat des événements » et analyser les réponses des pouvoirs publics. …/…

Saviez-vous à quoi sert une « cellule réfrigérée » dans le domaine funéraire ? Aussi appelée cellule mortuaire, elle sert à préserver le corps du défunt en ralentissant sa décomposition. Celles-ci sont généralement situées dans la chambre froide des pompes funèbres. La température intérieure doit être située entre 0 et 5°C. Le corps est ainsi protégé en attendant que les soins de conservation soient effectués, c’est-à-dire la mise en bière, ou lorsque la famille préfère éviter une veillée avant les funérailles. 🌐 https://lnkd.in/eczVT9uc 🌐 www.groupe-touchard.fr/  #pompesfunebres #obsèques #touchardpompesfunebres #familletouchard #agencefuneraire #celluleréfrigérée