Les moissons touchent à leur fin 🌾 Les résultats s'annoncent en baisse par rapport aux années précédentes. D'après les résultats partagés par les agriculteurs français sur la plateforme Moisson Live (plus de 2000 points de partage!), le rendement moyen en orge d'hiver est par exemple en baisse d'environ 20% par rapport à l'année 2023. 🌧️Les fortes précipitations sont les principales responsables. Elles ont pu causer un retard des semis, un pourrissement des pieds plantés, le développement des maladies ou encore un retard des moissons. Lire l'article "Moisson 2024 : l'impact de la météo sur les récoltes" 👉https://hubs.la/Q02JxPGp0 Partagez vos rendements sur Moisson Live et consultez l'ensemble des résultats 👉https://hubs.la/Q02JxJ290 (🎁et tentez de remporter un des lots Sencrop en jeu !)
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Etre agriculteur en 2024, c’est s’adapter sans pouvoir forcément réussir. 🫛 Automne 23 : Semis de pois d’hiver ❌ Sortie hiver 24 : Destruction des pois avec un potentiel proche de 0 🌻 Printemps 24 : Semis de tournesol pour remplacer le pois ❌ Automne 24 : Retard végétatif qui empêche de moissonner et tournesols avec les pieds dans l’eau Une parcelle, deux semis, deux cultures, zéro récolte ! Des charges, pas de produits, quelle belle année ! ⛈️ Plus de 1 000 mm depuis un an dans l’Oise et la pluie continue. Au micro de RTL pour expliquer la récente hausse des cours à l'heure où le bilan européen se tend. Retour sur 3 ans d'évolution des cours de l'huile pour le panier RTL avec Pierre Herbulot : https://lnkd.in/gZpH3Vcu Virginie Garin Olivier Dauvers Dominique Schelcher ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires) Ministère de l'Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt Argus Agriculture
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👩🌾 Fière fille d’agriculteurs, je tiens à souhaiter nos fournisseurs beaucoup de courage! En ces temps de défis climatiques, il est essentiel que nous nous engagions tous dans des pratiques régénératives pour atténuer les effets des intempéries, comme les récoltes trop humides. 🌱 Nous avons tous un rôle à jouer, de la production à la consommation, en passant par la distribution. Adopter ces pratiques n'est pas seulement un choix personnel, mais une responsabilité collective pour assurer un avenir durable et prospère. 🔗 Tous ensemble, faisons de notre chaîne alimentaire un modèle de durabilité.🙏 👉 N'hésitez pas à me contacter pour obtenir des détails sur nos initiatives en matière de développement durable. #AgricultureDurable #ANIA #PratiquesRégénératives #Agroécologie #SoutienAgriculteurs #CoopérativesFrançaises #FNSEA #AgriMutualité #TerreInnovante #AgriculteursEngagés #ClimateAction #SBTi #Scope3
Etre agriculteur en 2024, c’est s’adapter sans pouvoir forcément réussir. 🫛 Automne 23 : Semis de pois d’hiver ❌ Sortie hiver 24 : Destruction des pois avec un potentiel proche de 0 🌻 Printemps 24 : Semis de tournesol pour remplacer le pois ❌ Automne 24 : Retard végétatif qui empêche de moissonner et tournesols avec les pieds dans l’eau Une parcelle, deux semis, deux cultures, zéro récolte ! Des charges, pas de produits, quelle belle année ! ⛈️ Plus de 1 000 mm depuis un an dans l’Oise et la pluie continue. Au micro de RTL pour expliquer la récente hausse des cours à l'heure où le bilan européen se tend. Retour sur 3 ans d'évolution des cours de l'huile pour le panier RTL avec Pierre Herbulot : https://lnkd.in/gZpH3Vcu Virginie Garin Olivier Dauvers Dominique Schelcher ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires) Ministère de l'Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt Argus Agriculture
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Saison agricole dingue 7 juillet 2024 et la température est descendue l'espace de quelques instants à 5°c durant la nuit. Un épisode dingue qui s'ajoute aux nombreux autres phénomènes exceptionnels. Les répercussions sur la production agricole sont là. L'historique des années précédentes montre des récoltes en masse de légumes et fruits (aubergines, betteraves....) là où cette année aucun de ces spécimens n'a été récolté encore. L'ail est ridicule, les poireaux sont montés en graine comme beaucoup de salades, j'ai du replanter deux fois les pommes de terre et vais devoir le refaire une troisième fois sur certaines zones... Ma stratégie de semer en nombre ne suffit plus. Le raisonnement d'une résilience doit se faire sur 5 ans de production avec des stocks toujours en forte croissance pour gommer les années catastrophiques. Belle journée pierre1911
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Chaque année, les agriculteurs se demandent quand déclencher l'#irrigation dans leur parcelle. 💧 Et chaque année la réponse est différente, tant elle dépend de nombreux paramètres, à commencer par la météo ! Après un printemps particulièrement humide, et une situation des nappes phréatiques plutôt rassurante, l'été est annoncé plutôt chaud voir caniculaire à certains endroits par Météo-France. Alors, à quoi faut-il s'attendre pour cet été ? "Si les prévisions de Météo-France pour l'été se confirment les cultures de printemps risquent de pâtir parce que leurs racines auront été développées en surface du fait de l'abondance d'humidité au semis. Elles n'iront pas chercher l'eau présente en profondeur" nous a expliqué Emmanuel BUISSON notre expert météo. Pour savoir quand déclencher leur irrigation et éviter le stress hydrique, il faudra donc suivre de près les besoins en eau des cultures 💧 à l'aide de tensiomètres ou d'une sonde capacitive par exemple 👉 https://lnkd.in/d7Rb23U
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Les trombes d’eau qui s’abattent sans répit sur le département du Rhône mettent les agriculteurs locaux dans une situation plus que précaire. Depuis un an, les épisodes de fortes précipitations s’enchaînent, transformant les champs en véritables marécages, rendant les terrains impraticables et détruisant une grande partie des récoltes. Face à ce mauvais temps persistant, c’est tout un secteur qui se retrouve en grande difficulté et lance aujourd’hui un véritable cri de détresse. Des pertes considérables pour les agriculteurs Pour Pascal Bonnard, éleveur à Longes, l’heure est grave. Ses champs, dans lesquels il devait semer des céréales pour nourrir son bétail, sont complètement détrempés suite aux violentes précipitations de ces derniers jours. “On ne sèmera pas cette année, on ne pourra pas. Ce sera trop mouillé”, reconnaît-il avec amertume. Une situation dramatique qui compromet sérieusement l’alimentation de ses volailles et de ses vaches. Même constat chez Philippe Hérard, maraîcher à Ampuis. Ses serres ont été submergées par 50 cm d’eau, noyant complètement ses cultures de mâche. “La boue qui s’est déposée sur les feuilles, on ne peut rien y faire, il y en a jusque dans le cœur. Ça n’est absolument pas commercialisable. Pour moi, ça, c’est poubelle”, déplore-t-il. Des dégâts chiffrés à environ 20 000 euros pour une seule serre. Un coup dur dont il se serait bien passé. Un phénomène inédit qui met en péril les exploitations Si les agriculteurs sont habitués à composer avec les aléas climatiques, la récurrence et l’intensité des intempéries de ces derniers mois les laissent dans un grand désarroi. Philippe Hérard témoigne : “On travaille, on fait tout ce qu’il faut pour aller de l’avant et puis en 10 heures, tout n’est pas ruiné, mais une bonne partie de notre récolte est foutue”. Une situation inédite qui met en danger la pérennité même de nombreuses exploitations de la région. Un appel à la reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle Face à l’ampleur des dégâts, les agriculteurs en appellent maintenant aux pouvoirs publics. Ils demandent la reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, indispensable selon eux pour obtenir des indemnisations à la hauteur de leurs pertes. Car au-delà de la détresse immédiate, c’est l’avenir de toute une profession qui est en jeu. On est au bord du gouffre. Si on n’obtient pas d’aide rapidement, beaucoup vont mettre la clé sous la porte. C’est toute l’agriculture locale qui risque de disparaître. Un agriculteur du Rhône L’agriculture face au défi du changement climatique Au-delà de l’urgence immédiate, ces intempéries à répétition mettent en lumière la vulnérabilité de l’agriculture face au changement climatique. Avec des épisodes météorologiques extrêmes de plus en plus fréquents, c’est tout le modèle agricole qui est questionné. Les professionnels du secteur vont devoir s’adapter et repenser leurs pratiques pour faire face à ces nouveaux défis environnementaux. Un besoin urgent de...
Les trombes d’eau qui s’abattent sans répit sur le département du Rhône mettent les agriculteurs locaux dans une situation plus que précaire. Depuis un an, les épisodes de fortes précipitations s’enchaînent, transformant les champs en véritables marécages, rendant les terrains impraticables et détruisant une grande partie des récoltes. Face à ce mauvais temps persistant, c’est tout un secteur...
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Déjà des dégâts d’aléas climatiques sur les vignes du château ISSALY et avec 3 année de petites récolte causé par des aléas climatiques une cotisations d’assurances récolte 2024 plus élevé que le capital assurer à cause de la moyenne olympique des 3 années ,donc pas d’assurance récolte cette année car ça ne ferait qu’engraisser mon assureur qui ne cherche qu’à capter mes aide PAC que j’aurai perçu pour assurer les récoltes . Cette année les vignes ont 3 semaines d’avances et on aperçoit déjà les futures grappes. Jeudi 18 avril les giboulées de grêles fréquentes chaque années à cette époque, cette année font des dégâts à cause de l’avancé du stade végétatif de la vigne, blessures sur les rameaux et grappes, feuilles perforés. Vendredi 19 avril dégâts de gel dans le bas font, rameaux feuilles grappes grillés. Je suis convaincu que l’agrivoltaïsme est une solution pour atténuer l’impact de ses aléas climatiques. Je suis en train d’étudier un concept de Géo-Thermo-Régulation sur parcelles du projet VITIS-FRUITS Clean, qui permettrait naturellement avec peu d’énergie de réchauffer l’air en période de petites gelées de printemps et de rafraîchir l’air en car de canicules . L’innovation est pour moi la seule issu face aux aléas climatiques
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Le printemps pluvieux a causé des difficultés aux agriculteurs, en particulier aux maraîchers, avec des sols détrempés entravant les récoltes. Les fraises pourrissent rapidement dans les champs humides, obligeant certains à se tourner vers la culture sous serre pour maintenir leur activité. Malgré des conditions météorologiques difficiles, certaines fraises parviennent à mûrir et à être sucrées, mais le nombre de clients sur les marchés est en baisse en raison du mauvais temps. Heureusement, des conditions plus douces sont prévues pour la semaine prochaine, offrant un soulagement potentiel pour les agriculteurs et les consommateurs. #MétéoAgricole #PrintempsPluvieux #DifficultésDesMaraîchers https://lnkd.in/eZvquVSq
Météo : les fruits et légumes en souffrance à cause du printemps pluvieux
francetvinfo.fr
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En termes de paille, pensons à diversifier les ressources. La paille de miscanthus est trois fois plus absorbante que la paille classique, et la récolte a été abondante cette année. Bien sûr, il n'est pas question de compétition entre les végétaux, mais bien au contraire de leur complémentarité, dont il convient dans un cas comme celui de la paille, de faire profit. Par ailleurs, bien sûr, la pénurie alimentaire causée par le manque de blé aura d'autres conséquences graves, difficiles à pallier.
La pire moisson en 41 ans, l'urgence climatique s'intensifie ! 2024 marque une année noire pour les moissons françaises, avec les pires rendements depuis quatre décennies. Intempéries, maladies et manque de soleil ont durement frappé les cultures. Cette crise pourrait avoir des répercussions à long terme, obligeant la France à dépendre davantage du marché agricole mondial pour répondre à la demande en blé. L'adaptation des pratiques agricoles et une transition vers l'agroécologie apparaissent donc nécessaires pour faire face aux changements climatiques de plus en plus prégnants. Retrouvez le témoignage d’un agriculteur en Essonne > https://lnkd.in/eQm5qaM5
Agriculture : la pire moisson depuis quarante ans en France
francetvinfo.fr
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🌽 Températures fraîches et pluies ont marqué la campagne maïs 2024, avec des semis très échelonnés sur mai voire juin. Ce qui a eu des conséquences sur le développement des cultures. Des questions se posent aujourd’hui quant au positionnement des récoltes. Les équipes Arvalis des régions Auvergne, Centre et Ile-de-France proposent des éléments de réponses pour trouver le meilleur compromis dans le contexte actuel 👇
Maïs grain : une campagne tardive qui conduit à récolter des grains plus humides
terre-net.fr
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❗Moissons 2024 : que nous révèlent les premières bennes 🚚 ? Rendements faibles, qualité moyenne, la récolte de blé tendre 🌾 est annoncée comme l’une des trois plus faibles de ces vingt dernières années. La météo continue à faire des siennes 🌦 et les moissons 🚜 se déroulent dans des conditions difficiles. Seules les régions du sud semblent tirer leur épingle du jeu. Un tour de France 🚴♀️ des premières récoltes à lire sur Réussir Grandes Cultures - Groupe Réussir - L'information de l'Agriculture et de l'Alimentaire 👉 https://lnkd.in/dXP-XCmW Groupe VIVESCIA EURALIS ARTERRIS CAVAC Coopérative TERRE ATLANTIQUE Soufflet Agriculture ARVALIS INTERCEREALES FranceAgriMer
Moisson 2024 : des rendements très décevants sauf dans le sud
reussir.fr
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