Post de SHEM (Société Hydro-Electrique du Midi)

Merci #sixnationsrugby pour cet article qui aborde l'enjeu crucial selon moi, du développement du rugby féminin et de la montée en puissance des joueuses vers les exigences du haut niveau, illustré par quelques anecdotes. Lisez-le ! 👇🏻 https://lnkd.in/eaRVZVHY

Dans un tournoi olympique, le tirage au sort peut s’avérer être un moment tout aussi crucial que les matchs eux-mêmes. Et pour l’Équipe de France féminine de Basketball, ce tirage ressemble à un véritable coup de pouce du destin en vue des Jeux Olympiques de Paris 2024. Une Défaite, mais pas de Défaitisme Tout a commencé par une défaite, 72-79, face à l’Australie ce dimanche au stade Pierre-Mauroy. Un revers qui, sur le papier, semblait compromettre les chances des Bleues d’obtenir un statut de tête de série favorable au tirage. Mais c’était sans compter sur les caprices du sort. Le Privilège d’Éviter les Meilleures Car en réalité, cette défaite s’est avérée être une bénédiction déguisée. En terminant deuxièmes de leur groupe, les joueuses de Jean-Aimé Toupane héritent certes d’un quart de finale périlleux face à l’Allemagne, mais surtout, elles esquivent l’épouvantail américain jusqu’à une potentielle finale. Le tirage au sort, c’est toujours un moment particulier. Là, on peut dire qu’on s’en sort plutôt bien ! – Sarah Michel, meneuse des Bleues Le Tableau des Possibles Concrètement, voici à quoi ressemble le chemin des Françaises : Quart de Finale : France – Allemagne Demi-Finale : France ou Allemagne vs Espagne ou Belgique Finale : France ou Allemagne ou Espagne ou Belgique vs USA ou autre Un parcours certes ardu, mais qui laisse la porte ouverte à tous les espoirs, notamment celui d’une médaille d’or qui échappe aux Bleues depuis Londres 2012. L’Heure de la Mobilisation Maintenant que le tableau est connu, place à la préparation. Les joueuses de l’Équipe de France savent ce qui les attend et vont tout mettre en œuvre pour transformer cette opportunité en succès retentissant. Avec le soutien inconditionnel du public français, tout semble possible pour ce groupe talentueux et ambitieux. Rendez-vous donc le mercredi 7 août à 18h à Bercy pour le début de cette aventure olympique pas comme les autres. Les Bleues ont rendez-vous avec leur destin, et comptent bien ne pas le manquer ! The post Miracle au Tirage: Les Bleues évitent les Redoutables US en Basket first appeared on ViralMag.fr.

Qui aurait cru qu’un simple geste audacieux d’un étudiant anglais en 1823 donnerait naissance à l’un des sports les plus populaires au monde ? William Webb Ellis, en saisissant le ballon avec ses mains lors d’un match de football, ne se doutait pas qu’il venait de poser les fondations du rugby. Mais à l’époque, le ballon était bien différent de celui que nous connaissons aujourd’hui. Les premiers ballons de rugby ressemblaient davantage à des ballons de football déformés qu’à l’élégant ovoïde actuel. Sans taille standard, ils variaient grandement d’un match à l’autre. C’est alors qu’un cordonnier visionnaire entre en scène. William Gilbert, l’homme qui a donné forme au rugby En 1835, William Gilbert décide de mettre de l’ordre dans ce chaos en créant ses propres ballons de forme plus ovale. Fabriqués à base de vessie de porc recouverte de panneaux de cuir cousus à la main, ils avaient pour but de rendre les trajectoires et rebonds plus incertains, tout en améliorant le contrôle lorsque le ballon était porté. Son idée était de rendre la trajectoire et les rebonds plus incertains mais aussi d’améliorer le contrôle du ballon contre le corps lorsqu’il était entre les mains d’un joueur. Une innovation récompensée Le succès fut tel que la famille Gilbert, basée dans la ville de Rugby, exporta ses ballons dans les colonies britanniques, gagnant une solide réputation. En 1862, leur création remporta même une médaille d’argent à l’Exposition Universelle de Londres. Mais il faudra attendre 1892 pour que la Fédération anglaise établisse enfin une norme officielle. Le ballon moderne Aujourd’hui, les dimensions du ballon sont strictement réglementées par World Rugby, l’instance dirigeante de ce sport au niveau mondial : Longueur du grand axe entre 280 et 300 mm Circonférence entre 740 et 770 mm Petit périmètre entre 580 et 620 mm Poids entre 410 et 460 grammes Fabriqué en cuir ou matériaux synthétiques, le ballon ovale est devenu l’emblème incontournable du rugby. Et c’est avec ce même ballon que les plus grands champions s’illustrent, à l’image d’Antoine Dupont et de l’équipe de France de rugby à 7, en quête d’une médaille olympique à Paris en 2024. De ses origines modestes à son statut iconique, l’évolution du ballon de rugby est un témoignage fascinant de la passion et de l’innovation qui animent ce sport. Une histoire ovale qui n’a pas fini de rebondir ! The post L’évolution fascinante du ballon ovale dans le rugby first appeared on ViralMag.fr.

🤩A L’Adeenne du Sport, les performances de nos partenaires sont notre priorité. Vraisemblablement portées par les effets de la Rugby World Cup France 2023, mais aussi par les efforts accomplis par les clubs, les affluences de Ligue Nationale de Rugby - ProD2 battent des records. Évidemment ravis des performances des clubs de cette division que nous accompagnons ou avons accompagné : 🏉Provence Rugby avec Johann Morales , Marie-Camille Giuggiola , Maxime Devaux • Provence Rugby , Paul Deleon, sans oublier Alexis Eouzan - Voyage Privé. Merci à vincent bobin pour sa confiance. 🏉FC Grenoble Rugby avec Corentin Fernandes, Louis Jacquemet 🔴🔵 , Théo Peyresblanques , Kenny PONDERANT sans oublier Isaure Godefroy , Marc-Antoine Yéo 🔹 Keylinkjob et Aurélien Butillon. Merci à Yann FINOT pour avoir cru en ces talents. 🏉AS Béziers Hérault avec Léo Fusco 🔴🔵. 🏉Rugby Club Vannes avec Baptiste ROUX. Merci à Martin Michel pour sa confiance. Comme la grande majorité des autres talents que nous accompagnons dans leur #insertion professionnelle dans le monde du sport, 10 de ces 14 recrues ont été maintenues dans leur fonction à échéance de notre #accompagnement de 18 mois. Un signe de l’efficacité de notre dispositif et de la pertinence de notre approche spécifique fondée sur un nécessaire équilibre « #HardSkills ⚖️ #SoftSkills», sur le ressourcement #nature et sur la réactivation des #valeurs du sport (son ADN) dans la conduite de l’acte #commercial. Tout est à améliorer en permanence. Mais nos orientations sont confortées par ces performances. #affluence #frequentation #billetterie

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Depuis quelques années, les sports professionnels tendent à éclipser de leurs palmarès les champions romantiques du passé. À force de préparations optimisées, d’un culte de l’hyper-performance et d’une montée générale des niveaux, les vainqueurs d’aujourd’hui le doivent beaucoup moins à leur instinct qu’à leur inlassable besogne, à leurs calculs stratégiques et à la rigueur de leur exécution technique. On perd en spontanéité et croyons parfois voir le triomphe d'athlètes robotiques sur nos écrans. Cette impression mécaniste est en tout cas observable dans les deux sports que j’ai le plus de plaisir à suivre : le rugby et le cyclisme sur route. Pourtant, le week-end dernier, deux victoires ont bousculé la donne. Samedi, Tadej Pogačar a remporté les Strade Bianche, sa course de reprise, au terme d’une attaque en solitaire de plus de 80 kilomètres (!) Un ton au-dessus du reste de ses concurrents, le champion slovène a encore fait montre de son panache en allant au bout de ses convictions offensives. S’il souhaitait durcir la course dans le Monte Sante Marie, il assuma ensuite sa chevauchée lorsqu’il ne trouva personne en mesure de le suivre. Esseulé sur le dernier tiers de l’exigeante course toscane, il franchit la ligne d’arrivée avec près de 3 impressionnantes minutes d’avance sur le reste du podium. De bon augure à 15 jours du Milan-San Remo, l’un des 2 monuments (avec Paris-Roubaix) qu’il lui reste à emporter et alors qu’il disputera son premier Giro en mai. Dans la nuit de dimanche à lundi, c’est l’équipe de France masculine de rugby à 7 qui a remporté le Tournoi de Los Angeles avec la contribution remarquée de la star du XV, Antoine Dupont. Premier succès tricolore sur le circuit mondial depuis la victoire au Tournoi de Paris en 2005 (un certain Vincent Clerc était alors présent dans l’effectif), cette performance s’inscrit dans le sillage de la belle troisième place obtenue la semaine précédente à Vancouver. Si la focalisation sur Dupont est facile et répétée, elle a toutefois le mérite de montrer comment l’apport d’un élément hétéroclite dans un collectif peut permettre à celui-ci de franchir un cap de progression. On imagine aussi combien cette parenthèse peut être bénéfique pour le principal intéressé. En changeant d’air après la frustration que lui laissa l’élimination prématurée de la dernière coupe du monde, notre stadiste s’est indéniablement ressourcé. Forte de ces performances, l’équipe toute entière peut regarder son objectif olympique avec plus d’allant et de confiance. Si on retrouve derrière ces victoires deux figures très représentatives du sport hyper-performant à l’ordinaire, force est de constater que les deux champions ont touché à l’excellence en sortant avec panache de leur zone de confort. De là à dire que l’on peut encore rêver de voir l’audace et l'irrationnel être récompensés jusque dans les secteurs les plus compétitifs, il n’y a qu’un pas que le romantique en moi souhaiterait pouvoir franchir…

En ce début de saison, Le Havre Athletic Club traverse une période délicate, non seulement sur le plan sportif mais aussi et surtout en coulisses. Le club normand, promu cette année en Ligue 1, estime faire les frais de décisions arbitrales discutables qui pèsent lourd dans la balance des résultats. Face à ce qu’il considère comme un manque d’équité, le HAC a demandé à s’entretenir avec les instances dirigeantes de l’arbitrage français. Retour sur les faits Tout a commencé lors de la dernière journée de championnat. Sur la pelouse du stade Francis-Le Blé à Brest, les Havrais se sont inclinés 2 buts à 0, non sans nourrir de profonds regrets. Leur entraîneur Didier Digard n’avait d’ailleurs pas mâché ses mots au coup de sifflet final : Il y a des choses qu’on ne contrôle pas quand on est Le Havre. Didier Digard, entraîneur du HAC Le technicien faisait notamment référence à plusieurs faits de jeu litigieux, dont l’expulsion très sévère de son défenseur Étienne Youté pour un geste similaire à celui qui n’avait valu qu’un simple avertissement côté brestois quelques minutes plus tôt. Un sentiment d’injustice partagé par tout un club. Une demande de dialogue Face à ce qu’ils estiment être une accumulation de décisions préjudiciables depuis l’entame du championnat, les dirigeants havrais ont souhaité en discuter avec Antony Gautier, le directeur technique de l’arbitrage français. Une rencontre a ainsi eu lieu entre ce dernier, le président du HAC Jean-Michel Roussier, le directeur sportif Mathieu Bodmer et l’entraîneur Didier Digard. L’objectif était clair : faire part d’un ressenti d’iniquité et obtenir des éclaircissements quant à certaines décisions qui ont fait basculer des matchs du mauvais côté pour les Normands. Le tout dans un esprit de dialogue et de bonne intelligence, loin des invectives parfois entendues sur les terrains. Des attentes légitimes Si Le Havre ne s’attend pas à un traitement de faveur, il espère en revanche pouvoir jouer à armes égales avec ses adversaires. Une exigence de justice et d’équité que le club promu souhaite rappeler, surtout avant d’affronter deux mastodontes du championnat, l’Olympique Lyonnais puis le Paris Saint-Germain. Nul doute que la direction du HAC scrutera avec attention les prestations des hommes en noir lors de ces chocs au sommet. Avec l’espoir que cette rencontre avec les instances de l’arbitrage portera ses fruits et apaisera les tensions. Car sur le terrain comme en dehors, seul le jeu devrait être le juge de paix. L’arbitrage, eternel point de crispation Cette démarche du Havre Athletic Club n’est pas sans rappeler celles initiées par d’autres écuries par le passé. De Marseille à Lens en passant par Montpellier, nombreux sont les clubs qui ont eu le sentiment d’être lésés par des décisions arbitrales, surtout lors de saisons compliquées sur le plan comptable. Mais au-delà des cas particuliers, c’est bien la question de la professionnalisation et de la qualité de l’arbitrage...

⚫ 𝐑𝐄𝐒𝐏𝐄𝐂𝐓𝐄𝐙 𝐌𝐎𝐍 𝐒𝐏𝐎𝐑𝐓 ⚫ ▶ C'est quoi ? Ceux sont les cinq comités majeurs de la Haute-Garonne (Basketball, Football, Volleyball, Rugby et Handball) qui se sont associés autour d’une campagne de sensibilisation pour lutter contre toutes les formes d’incivilités et violences perpétrées lors des rencontres sportives. ▶ Pourquoi ? Les stades et les gymnases doivent être un lieu où les valeurs du sport telles que l’inclusion, la persévérance, le respect, l’esprit d’équipe, l’entraide... sont dominantes. L’objectif est de protéger les personnes victimes de ces mauvais comportements et combattre le non-respect des joueurs, joueuses, entraîneurs et arbitres par les personnes aux bords des terrains. ▶ Comment ? En s'appuyant, entre autres, sur les clubs professionnels. Vendredi dernier, lors de notre rencontre de championnat FENIX Toulouse Handball / CRETEIL, le mouvement "RESPECTEZ MON SPORT" était à l'honneur en avant-match. Nous soutenons évidemment cette initiative, qui est un combat de chaque jour. Un grand bravo aux organisateurs: Comité départemental de Basketball de la Haute-Garonne COMITE DEPARTEMENTAL DE VOLLEY BALL DE LA HAUTE GARONNE Comité Départemental de Rugby de la Haute-Garonne Comité Handball 31 District Haute-Garonne de Football On perd, on gagne et on se respecte...🤝

En cette fin de saison, alors que le Top 14 bat son plein, une question brûlante agite le microcosme du rugby français : quel sera l’avenir de Matthieu Jalibert, le prodige de l’Union Bordeaux Bègles (UBB) ? Le jeune demi d’ouverture, grand espoir du XV de France, arrive au terme de son contrat avec le club girondin. Et pour l’heure, rien n’est décidé quant à son futur. Jalibert, un talent convoité À seulement 24 ans, Matthieu Jalibert s’est déjà imposé comme l’un des meilleurs ouvreurs du championnat. Son talent, sa vista et son jeu au pied font de lui un joueur exceptionnel, courtisé par les plus grands clubs. Son contrat arrivant à échéance en juin, les prétendants ne manquent pas pour s’attacher ses services. Un avenir en pointillé Mais alors, où évoluera Jalibert la saison prochaine ? Lui-même semble dans l’expectative : Je serais très content de rester ici mais il faut que les discussions reprennent. Je ne veux pas me précipiter. Matthieu Jalibert Le joueur l’assure, il se sent bien à l’UBB et n’exclut pas de prolonger l’aventure. Mais à ce stade de sa carrière, il souhaite prendre le temps de la réflexion avant de s’engager. Son président, Laurent Marti, se veut compréhensif et patient, conscient de l’enjeu que représente la décision de sa pépite. Un choix crucial Car au-delà d’un simple choix de club, c’est une véritable orientation de carrière qui se joue pour Matthieu Jalibert. Rester à l’UBB, c’est s’inscrire dans la durée dans un projet ambitieux, avec l’objectif assumé de décrocher enfin le Brennus. Mais c’est aussi, peut-être, se priver d’expériences enrichissantes sous d’autres cieux. Son profil suscite les convoitises aux quatre coins de l’Hexagone mais aussi à l’étranger. Les meilleurs clubs européens rêvent de s’offrir ce grand talent français pour renforcer leurs lignes arrières. La tentation sera grande, pour le natif de Saint-Germain-en-Laye, d’aller voir si l’herbe est plus verte ailleurs. Prendre son temps Mais Jalibert ne veut pas se précipiter et entend bien prendre le temps de la réflexion. Il sait que son choix aura un impact majeur sur la suite de sa carrière, tant en club qu’avec les Bleus. À l’aube de la Coupe du Monde 2023, le demi d’ouverture a conscience qu’une mauvaise décision pourrait fragiliser sa place en équipe nationale. Alors, en attendant de trancher, Jalibert reste concentré sur sa fin de saison avec l’UBB. Et il compte bien tout donner pour offrir à son club un premier titre de champion. Histoire, peut-être, de partir sur une bonne note si son avenir doit s’écrire loin de la Gironde. L’avis des experts Pour les observateurs, un départ de Jalibert serait un coup dur pour l’UBB mais pas une surprise. Comme l’explique Christophe Vandecasteele, spécialiste rugby : Matthieu est arrivé à un moment charnière de sa carrière. À son âge et avec son potentiel, il est légitime qu’il s’interroge sur la meilleure façon de progresser et de s’épanouir. L’UBB aura du mal à le retenir si un...

Voilà, c’est terminé. L’arbitre vient de siffler la fin du match. Nous sommes Champions, Champion des Alpes de notre niveau. Fier de ma Team, fier de ce groupe et de ce club qui porte les valeurs hautes du rugby ! Et j’en suis que peu fier aujourd’hui de voir l’aboutissement d’un travail acharné et continu, d’un esprit d’équipe et collégiale permettant de renforcer les atouts de chacun. On dit souvent que le rugby est l’école de la vie. Il est en fait l’école de ce qu’elle devrait être dans une société où primeraient l’altruisme, le courage, la solidarité, la tolérance et le respect. Il y a une place pour chacun dans une équipe de rugby mais pas de la place pour tout le monde parce qu’être rugbyman , être reconnu comme tel par ses frères de l’équipe, c’est faire la preuve, dans les épreuves, que l’on respecte les valeurs de la grande famille de ceux qui ont un jour porté au front un ballon ovale. Ce n’est pas une question de niveau sportif car il y a des compétitions pour tous les potentiels physiques. C’est une question d’état d’esprit. Ici la théorie n’est pas possible. On n’apprend pas les valeurs de l’ovalie dans les livres, on les incorpore sur le champ de jeu. On les fait siennes puis on y est fidèle. En ce sens, entrer en rugby engage. Alors quand le corps ne permet plus de participer aux joutes du weekend, reste l’esprit et la possibilité qu’il offre de devenir un passeur de valeurs. C’est ça être rugby !! Alors si vous aussi vous voulez avoir le cœur jaune et bleu, rejoignez nous en tant que partenaire car l’aventure continue en Régionale 1 et une HISTOIRE s’écrit ensemble. MP pour plus d’information Ville d'Annemasse Matthieu Del Ben Nicolas de La Chaise