Post de SLN - Le Nickel

Génial mon p’tit Laurent, ça c’est une annonce qui va bien….. Maintenant, dommage pour ton initiative car c’est pas dans l’ordre. La séquence normale est: 1)prise d’infos, 2) analyse, 3)décision, 4) annonce, 5) mobilisation des énergies et 6) action….. Dans le 1) prise d’infos, il faut savoir que pour extraire lithium sous forme de saumure, il faut beaucoup d’eau: pour sortir une tonne de lithium, un million de litres d'eau sont nécessaires. Pour fabriquer une batterie électrique, il faut donc l'équivalent de la consommation d'eau de 500 personnes pendant un an… Question: Après que d’année en années les sécheresses sont sur notre territoire de plus en plus intenses au points de mettre en péril nos forêts; Alors où vas-tu puiser ton eaux cher Laurent ? En créant les super-bassines que tu as combattu l’été dernier ? Et juste pour ton info personnelle, le lithium pour les batteries touche à sa fin avec les batteries sodium… Donc ton investissement est tardif et bientôt mort née ;-) Et oui mon Laurent, la stratégie c’a s’écrit globalement et pas au coup par coups à l’occasion des meetings et des marchés du dimanches 🤓

La Chine développe différentes stratégies pour se positionner sur les gigantesques gisements aurifères de l’Afrique. L’une des principales stratégies de l’Empire du Milieu consiste à racheter des compagnies minières concurrentes et de booster la capacité de production. En plus de l’or africain, la Chine lorgne sérieusement sur d’autres ressources minières inestimables présentes sur le continent. Pékin mène une bataille sans merci avec les États-Unis dans le but de se constituer des réserves importantes de métaux critiques et de terres rares.il rest aux dirigeants de mon continent de savoir tirer profit la demande est 1000fois supérieure à l’offre

Le comble pour certains géologues et ingénieurs calédoniens seraient de devoir s’expatrier dans l’hexagone pour exercer leur métier à cause de l’incapacité de nos responsables politiques de sauver la filière métallurgique en Calédonie. En effet, l’exploitation des mines seule ne suffira pas à employer tous les ingénieurs et techniciens calédoniens qui ont cru au développement des usines. La gestion prévisionnelle des ressources humaines nécessaires au développement d’un pays nécessite d’avoir une vision stratégique à long terme ce dont la Calédonie manque cruellement pour cause de débats et discussions politiques sans fin. Parfois, la pénurie a des causes bien curieuses. En effet, on manque aujourd’hui de médecins aujourd’hui parce qu’il y a quelques décennies des décideurs ont estimé nécessaire de réduire le nombre de médecins afin de réduire le nombre de prescriptions médicales qui selon eux coutaient trop cher à la Sécu! Ils ont simplement oublié de limiter cette mesure dans le temps conduisant à l’instabilité du système.

[#STREAMINNOVATIONCENTER] La dernière conférence du cycle ALMA MATTER sur la matière c'est ce jeudi à l'agence ! Cette conférence conclusive met en regard les dynamiques sociétales et économiques liées à l’exploitation des matériaux à l’échelle nationale et planétaire. La guerre en Ukraine a révélé nos dépendances à nos voisins et relancé des questions de souveraineté et d’autosuffisance. La France a été moins impactée par l’embargo sur le gaz russe que l’Allemagne, mais la transition vers des énergies renouvelables ne se fera pas sans les terres rares que nous importons essentiellement de Chine. Les limites de la mondialisation semblent être atteintes, qu’est-ce que cela implique pour notre industrie, nos filières et notre politique économique ? Quel rôle joueront les marchés, notamment carbone, dans l’encouragement de matériaux nationaux et européens ? Avec mathieu Arnoux, professeur à l’Université de Paris et Directeur d’études à l’EHESS, Isabelle Bensidoun, économiste au CEPII, Vincent Charlet, économiste fondateur de La Fabrique de l'industrie et Liliana Doganova, sociologue chercheure au CSI des Mines Paris - PSL. Pour vous inscrire 👉 https://lnkd.in/e-_CpdbD

Récemment, un internaute m'a demandé, à la suite d'une de mes publications, d'aborder le sujet de la logistique minière. Cette question m’a interpellé, car, bien que cette branche de la logistique soit souvent sous-estimée, elle revêt une importance capitale dans l’industrie extractive. Imaginez un instant une mine regorgeant de ressources précieuses, mais incapable de les extraire, de les transporter ou de les transformer efficacement. C’est là que la logistique entre en jeu, assurant que chaque phase, de l’extraction au transport des matières premières, se déroule sans accroc. La logistique minière n'est donc pas un simple rouage, mais le moteur essentiel qui fait tourner l'ensemble de l'industrie. Dans un premier temps, il est important de noter que la logistique minière va bien au-delà du simple transport des ressources. Elle comprend un ensemble de processus interconnectés, allant de la gestion des stocks à la coordination des équipes sur le terrain. La réussite des opérations repose sur une parfaite synchronisation de ces maillons. Un moindre décalage dans cette chaîne peut entraîner des retards coûteux et perturber les activités minières. En somme, une logistique bien orchestrée est la clé de la productivité et de la durabilité des projets miniers. Ensuite, pour garantir cette efficacité, l'intégration des technologies modernes est devenue incontournable. Grâce à des systèmes de gestion performants, il est désormais possible de suivre en temps réel les flux de matériaux et d'anticiper les besoins. Ces outils permettent de rationaliser les coûts et d'accroître la réactivité des équipes sur le terrain. En d'autres termes, une logistique optimisée ne se contente pas de soutenir les opérations minières, elle en devient un vecteur de compétitivité. Pour sortir, on pourrait comparer la logistique minière à un chef d'orchestre invisible : sans elle, les meilleures partitions minières resteraient silencieuses. En la maîtrisant, les entreprises du secteur transforment leurs ressources en véritable symphonie industrielle. Car, au final, la véritable richesse ne réside pas seulement dans ce qui est extrait du sol, mais dans la manière dont ces ressources sont acheminées, transformées et optimisées pour atteindre le marché. Tiktok khalillogistique : https://lnkd.in/dGAek6RC Khalillogistique : "l'art de la logistique redéfini " #logistiqueminière #efficacitélogistique #industrieextractive #transportminier #optimisation

Les grandes puissances économiques telles que la Chine, la Russie, les États-Unis, et le Canada déploient d'énormes moyens pour exploiter efficacement les gisements aurifères. L'Agence Ecofin a récemment dévoilé un classement des 10 principaux producteurs d'or à l'échelle mondiale, où les superpuissances comme la Chine, la Russie, l'Australie, le Canada et les États-Unis occupent les premières

Chaque année le même congrès qui n’apporte rien pour l’Afrique ni aucun document officiel n’était sorti pour donner des orientations fermes, ni des nouvelles implantations industrielles de fabriques des équipements miniers et de recherches géologiques, qui s’installent en Afrique pour le développement minéral industriel. J’interpelle L’Union africaine et indaba 2024 de leur devoir absolument à changer des stratégies globales pour l’Afrique, un changement afin de mieux protéger nos richesses industrielles en imposant aux fabriquants d’équipements et de matériels d’exploitations minières et de recherches géologiques étrangers, de venir s’installer dans les pays africains absolument pour donner les chances de faisabilités très économiques aux africains d’être privilégiés et non, nous les faire payer trop trop chers des autres continents.

🔴 L'Événement | Algérie : Cobalt, fer et coltan : les grands plans miniers de Tebboune : Le président de la république a donné à son gouvernement ce mardi 7 juillet 2020, le feu vert pour entamer l’exploitation à grande échelle de produits miniers dont le pays regorge. Il s’agit on l’a compris de la mine de fer à ciel ouvert de Gara Djebilet (Tindouf), du méga gisement de zinc d’Amizour (Bejaia) et des « terres rares » disséminées à travers tout le territoire national. On s’étonne évidemment de l’intérêt tardif porté par les autorités algériennes à d’aussi importantes sources de revenus. Les enjeux financiers sont en effet colossaux. Ils le sont pour le minerai de fer de Gara Djebilet qui offre le privilège d’être facilement exploitable et intarissable durant au minimum un demi-siècle. Ils le sont aussi pour la mine de zinc d’Amizour qui peut rapporter gros du fait de l’envolée des cours de ce minerai qui tend à manquer sur le marché mondial. Mais ils le sont surtout pour les « terres rares », dont la demande mondiale avait explosée avec l’industrie électronique (ordinateurs, Smartphones, équipements médicaux etc.) et progresse encore plus aujourd’hui, avec l’industrie de la voiture électrique qui requiert des quantités gigantesques de Lanthane, Cérium, Néodyme, L’yttrium, mais aussi et surtout, de Cobalt pour réaliser les batteries Lithium et le matériel électronique qui équiperont les dizaines de millions de véhicules écologiques qui sortiront prochainement en masse de pratiquement toutes les usines d’automobiles du monde. Pour l’économie algérienne, la prochaine décennie sera sans doute celle des produits miniers et, notamment, celle des « terres rares » dont le pays regorge, à en croire les informations livrées par quelques médias qui en 2017 déjà classaient l’Algérie au troisième rang mondial des réserves disponibles. Le sous sol algérien renfermerait pas moins de 20% des réserves mondiales de « terres rares », elles feraient de l’Algérie un pays qui pèsera très lourd, non seulement, sur le plan économique, mais aussi et surtout, sur le plan géostratégique, tant ces métaux rares sont indispensables à l’industrie des équipements de pointe qui, comme on le sait, connaît un essor prodigieux dans les pays les plus puissants de la planète. La présence à une aussi grande échelle de terres rares, serait en effet de nature à faire de l’Algérie, un richissime détenteur de ces métaux précieux indispensables à la fabrication de technologies ultra modernes, que très peu de pays possèdent. Faouzi DJOUDI Un citoyen algérien

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