Post de SNCF Voyageurs

Mini reportage 5/6 En 2005, avec la loi de décentralisation, la Région Bretagne devient propriétaire des aéroports de Rennes et Dinard. La CCI Ille-et-Vilaine et VINCI Airports Aiports se voient alors confiés en 2010 les clés des 2 infrastructures pour 15 ans. Les deux structures sont en charge de la gestion et de l’exploitation. Elles ont alors pour objectifs « l’optimisation de l’exploitation, tant sur le trafic passager que sur le fret, facteur de développement économique » ainsi que « la connexion de la Région Bretagne aux capitales européennes, de façon directe ou via des hubs ». Fort de leurs expertises respectives, les deux actionnaires développent le trafic rennais pour atteindre 850 000 passagers en 2019 et entreprennent des travaux importants pour l’accueil des passagers, améliorent le parcours des passagers à mobilité réduite, réalise des travaux d’envergure sur la piste principale en 2020, ... Cette période a vu également les flottes d’avions évoluer pour passer progressivement d’avions de 50/100 places à des avions de 150/200 places réduisant ainsi le nombre de vols tout en embarquant plus de passagers. L’aéroport accueille 640 000 passagers en 2022, opérant la reprise post-covid la plus dynamique de l’ensemble des aéroports bretons, et continuant de positionner l’aéroport de Rennes comme l’aéroport de proximité métropolitain au développement le plus dynamique depuis 2010. 🧐Le saviez-vous ? En 2023, l’aéroport de Rennes peut se réjouir d’accueillir de façon équilibrée autant de passagers à l’import qu’à l’export. - 1/3 de passagers qui voyagent dans le cadre de leurs déplacements professionnels, - 1/3 dans le cadre de voyages touristiques, - 1/3 pour rendre visite à de la famille ou des amis. #rennesaeroport #dinardaeroport #bretagne #exploitation #airports

🚇✈️ Nouvelle passionnante pour les voyageurs d'affaires : Orly en métro avec la ligne 14 dès le 24 juin ! 🚇✈️ Préparez-vous, voyageurs d'affaires ! À partir du 24 juin, se rendre à l'aéroport de Paris-Orly sera plus rapide et plus facile que jamais, avec l'extension de la ligne 14 du métro parisien. Cela signifie que Paris-Orly ne sera plus qu'à quelques minutes du cœur de Paris, avec un temps de trajet d'environ 20 minutes. L'extension de la ligne 14 constitue une étape importante dans le développement de l'infrastructure de transport en commun de Paris. Initialement prévu pour être terminé en 2027, ce projet ambitieux a été accéléré en raison de l'attribution des Jeux Olympiques de 2024 à Paris. Désormais, non seulement la ligne desservira sept stations supplémentaires dans le sud de la ville, mais elle sera également directement reliée à l'aéroport de Paris-Orly. Avec cette extension, les voyageurs pourront rejoindre l'aéroport d'Orly depuis la Gare de Lyon en seulement 23 minutes et depuis Châtelet en 25 minutes. Cela représente un gain de temps de 50 % par rapport à l'utilisation du RER B et de l'Orlyval. De plus, les nouvelles stations ont été stratégiquement situées pour desservir une population d'environ 260 000 habitants, ce qui devrait augmenter considérablement la fréquentation quotidienne de la ligne 14 à 650 000 passagers par jour, avec un million prévu d'ici la fin de 2025. Pendant les Jeux Olympiques, la ligne 14 devrait jouer un rôle crucial dans le transport des spectateurs et des participants, la station Saint-Denis-Pleyel desservant plusieurs sites tels que le Stade de France, la piscine olympique et le village des athlètes. Pour faire face à l'augmentation anticipée du trafic, la RATP prévoit de faire circuler des trains environ toutes les 90 secondes aux heures de pointe. Ces trains de pointe, fabriqués par Alstom, peuvent accueillir jusqu'à 1 000 passagers et sont équipés de commodités telles que des ports de chargement USB. En termes de tarification, un trajet aller simple vers l'aéroport d'Orly via la ligne 14 coûtera 11,50 €, ce qui en fait une option économique pour les voyageurs d'affaires. Cependant, pendant la période des Jeux Olympiques (du 20 juillet au 8 septembre), le tarif augmentera temporairement à 16,00 €. Les passagers munis d'un pass Navigo bénéficieront d'un accès gratuit au service. En conclusion, l'extension de la ligne 14 constitue une amélioration significative du réseau de transport en commun de Paris, offrant aux voyageurs d'affaires un moyen plus rapide, plus pratique et plus économique de rejoindre l'aéroport d'Orly. À mesure que la ligne 14 continue de s'étendre et de s'intégrer à d'autres systèmes de transport, elle jouera un rôle de plus en plus vital dans l'avenir du transport parisien. Restez à l'écoute pour plus d'informations sur cette évolution passionnante ! Source : voyages-d-affaires.com

L'Aéroport Paris-Beauvais n'en finit plus de vouloir grossir. Nouvel objectif : 8 millions de passagers, pour en faire le 5ème ou 6ème aéroport français, "en compétition avec Toulouse et Marseille". Retour sur une révolution du "low-cost" qui nous mène dans le mur. Spécialiste des compagnies à bas coûts, l'aéroport Beauvais-Tillé (64 000 passagers en 1996) illustre mieux que n'importe quel autre les évolutions de ce secteur depuis une vingtaine d'années. Avec la déréglementation du trafic aérien en 1997 et l'essor des compagnies à bas coûts, les petits aéroports bien situés sont devenus subitement attractifs. Car, en quelques années, c'est un bouleversement complet des modèles économiques qui est intervenu : une fois les coûts internes compressés au maximum, c'est sur les taxes d'aéroport que les compagnies ont joué, mettant les aéroports en concurrence. Résultat : plus que des rabais, les plateformes distribuent des subventions via les CCI (les aéroports de Carcassonne, Rodez, Pau ou La Rochelle ont pu aller jusqu'à 35€ par passager dans les années 2000), ou utilisent leur navette pour financer l'aéroport, comme le fait Beauvais (à 17€ aller simple, les recettes de la ligne Paris - Beauvais représentent la principale source de financement de l'aéroport). Relais de croissance pour les aéroports impactés par le TGV (Marseille, Bordeaux, Lille, Lyon...), source inouïe de trafic pour les petits aéroports régionaux dont le trafic n'avait jamais décollé (Beauvais, Carcassonne, Rodez, Grenoble, Nîmes) : le bas coût a transformé le paysage aérien français. Au point de créer une dépendance problématique : avec ses 67 destinations et 80% du trafic, Ryanair fait la loi à Beauvais (Les Echos parlait en 2014 d'un "cadeau empoisonné"). Comme le rappelle le Le Canard enchaîné, cette course folle n'est pas prête de s'arrêter : à Beauvais, pour doubler le trafic, 200 à 300 millions sont prévus pour agrandir l'aérogare, construire un nouveau parking et un nouveau taxiway. Beauvais et son Agglo a pourtant bien établi, dès 2020, un PCAET (Plan Climat Air Energie Territorial) : pour réduire les émissions du territoires (évaluées à 1,4 millions de tonnes), Caroline Cayeux, sa présidente (qui préside aussi le SMABT, syndicat gérant l'aéroport) promet 112 mesures, 24 axes stratégiques, une réduction de 24% des émissions CO2. Des objectifs louables, mais dont la sincérité est plus que questionnable : la hausse du trafic de l'aéroport (qu'on ne peut bien entendu pas imputer au seul territoire) va générer à elle seule un million de tonnes de CO2 supplémentaires par an. Qui veut vraiment réduire le trafic aérien ? Entre les irrésistibles désirs d'ailleurs des individus et les indépassables objectifs de "développement économique", la maitrise du trafic aérien rencontre de forts vents contraires qu'il faut décrypter : ils expliquent pourquoi l'aérien continue de croitre en dépit de tous les discours passionnés sur l'écologie.

Interview sur BFMTV pour analyser l'initiative de la Région Grand Est, qui expérimente la réservation sur 2 lignes #TER au départ de Paris. Ce dispositif vise à faire face à la surfréquentation de ces lignes aux heures de pointe, en informant les voyageurs du manque de places assises sur certains trains et en les incitant à préférer d'autres trains où il reste des places assises. A la clé : un meilleur confort des voyageurs et un lissage de la fréquentation. Evidemment le dispositif crée une contrainte pour les voyageurs (même si 25% des places d'un train reste disponible sans réservation), et il faut qu'il soit facilement accessible pour les voyageurs éloignés des canaux numériques. Mais c'est peut-être préférable à un voyage debout ou à une arrivée en gare longtemps à l'avance. Le dispositif existe déjà en Normandie et semble satisfaire les voyageurs. Réponse des usagers Grand Est à l'issue de l'expérimentation... https://lnkd.in/eYKnyTfH (à partir de 1:05) #Train #ferroviaire #regional #transport #transportPublic Franck Leroy Laura Baqué Laurine Velay #Nomad Région Normandie SNCF Voyageurs Stéphanie Dommange Grégoire FORGEOT d'ARC Hervé Morin Éric Steil Jean-Aimé Mougenot

[Mobilité et Tourisme] - La🇨🇭 Suisse, en pointe dans le monde... 🚝🚠🚡 Afin de mieux répondre aux besoins de loisirs et des touristes, les SBB CFF FFS (principal opérateur ferroviaire) souhaitent mieux considérer la chaîne de transports dans son ensemble, en améliorant par exemple les liaisons plaine-montagne, en intermodalité avec des télécabines. 👉Ca passe aussi par l'intégration de toutes les remontées mécaniques, quelqu'elles soient, au sein de l'application SBB/CFF... J'en parlerai dans le second épisode, publié la semaine prochaine. 👉Ici l'exemple d'un funiculaire urbain, dans la ville de #Lugano. ✅ En attendant, l'épisode n°1 est en ligne. https://lnkd.in/eDbbuDNh

MOBILITÉS | 🚆 Une politique ambitieuse pour le #TER et une qualité de service au rendez-vous ! ◾ Nous avons reçu le Grand prix des régions du magazine Ville, Rail & Transports le 30 mai à #Paris : une distinction qui vient récompenser la politique volontariste en matière de #transport et les excellents résultats du réseau TER breton. ◾ Le dispositif régional "2 trains sur la même voie" (#2TMV) en gare de #Rennes a également été récompensé par le prix de l'Innovation. Dès septembre, ce système permettra d’ajouter 24 circulations supplémentaires par jour, du lundi au vendredi, sur les axes de "l’étoile rennaise" (Saint-Malo, Saint-Brieuc, Redon, Vitré). ◾ Enfin, nous avons également reçu le Grand prix du tourisme ferroviaire décerné par l’UNECTO (la fédération des chemins de fer touristiques et des musées à caractère ferroviaire de France) pour notre action en faveur des petites lignes ferroviaires. 💬 Pour Michaël Quernez, 1er Vice-président de la Région au climat et aux mobilités, "ces distinctions constituent tout autant la reconnaissance du travail mené par les élus, les agents de la Région et ses partenaires, notamment l’ensemble des équipes du TER #BreizhGo, qu’une incitation à poursuivre dans cette voie. C’est bien l’ambition de la Région qui entend doubler l’offre de transports dans ses TER à l’horizon 2040 avec une évolution des grilles horaires par grand palier." https://lnkd.in/gAG-AZzE

Une publication qui va plaire à Clive Lamming . Très instructif.

Le REME aidé par la gare à 360°🚄 Le président de la Région Grand Est, Franck Leroy, et des élus font le point aujourd'hui sur le Réseau Express Métropolitain Européen (REME) de l’Eurométropole de Strasbourg un an et demi après son lancement. 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Strasbourg, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : https://lnkd.in/e3B-CDkt LE CONTEXTE 🚆 ◾ L'objectif initial du REME, soutenu par la Ville et Eurométropole de Strasbourg ainsi que la Région Grand Est, était d'augmenter la fréquence des TER et des cars express pour réduire l'utilisation de la voiture. ◾ Selon les données de la Région Grand Est, 650 trains supplémentaires, au lieu des 1 000 promis, ont été ajoutés au réseau depuis décembre 2022, visant à proposer un TER aux usagers toutes les 30 minutes. ◾ Les élus, dont Franck Leroy, font le point cet après-midi en gare de Hoerdt puis de Vendenheim sur ce service. ◾ Pour rappel, le nouveau contrat d’exploitation entre la Région Grand Est et la SNCF pour 2023-2033 a multiplié par 10 les plafonds de pénalités payés par la société ferroviaire en cas de retard des trains. ZOOM SUR 🔍 ◾ L’efficacité du REME prendrait une nouvelle dimension avec le projet « Gare 360° », prévu d’ici la fin 2027. ◾ Il consiste à ouvrir la gare centrale de Strasbourg côté ouest sur la rue des Remparts avec un parking silo connecté à la M35 et une nouvelle gare routière desservie par des cars express dès 2027. ◾ Un parking sécurisé de 3 000 vélos remplace le parking de courte durée en sous-sol. ◾ Les lieux de dépose-minute sont installés dans les parkings Sainte-Aurélie et Wodli et dans le parking-silo à construire. ◾ La Région Grand Est, l’Eurométropole de Strasbourg, la Ville de Strasbourg et le Groupe SNCF (Immobilier, Gares & Connexions, Réseau et Voyageurs) ont signé un avenant fin mai, pour réaliser les premiers aménagements à court terme en arrière-gare. Crédit photo : Sailesh Gya #transports #mobilité #gare #bilan #strasbourg

Dans une démarche de réinvention de l'expérience voyageur et d'engagement environnemental, Augustin de Romanet PDG d'ADP, a dévoilé le projet Orly 2035 visant à transformer l'aéroport du sud parisien. Ce plan, qualifié d'ambitieux et disruptif, s'éloigne de la simple gestion de la croissance pour se concentrer sur la décarbonation. Les mouvements aériens, plafonnés à 230.000 par an d'ici 2035, et l'augmentation de 16% du nombre de passagers seront principalement dus à l'accroissement des vols européens et internationaux. Le projet de 650 hectares pivote autour de trois axes principaux : la décarbonation, l'intégration territoriale, et l'amélioration de la qualité de service. Ces axes visent à offrir une nouvelle expérience aux voyageurs, en particulier dans leur accès à Orly. Aujourd'hui, 70% des passagers arrivent en véhicule individuel, mais cette tendance devrait évoluer avec l'introduction de nouvelles connexions de transport en commun. D'ici 2024, la ligne 14 du métro desservira l'aéroport, suivie par la ligne 18 en 2027, qui reliera la gare TGV de Massy, et le prolongement du tramway T7 en 2029, bénéficiant autant aux passagers qu'aux 25.000 salariés d'Orly. Face à ces développements, l'avenir de la navette Orlyval, empruntée par 18% des passagers, est incertain. Les autorités locales devront trancher son sort lors de la concertation de trois mois prévue fin février. En parallèle, ADP vise le zéro net carbone pour les émissions au sol d'ici 2030, une initiative qui pourrait réduire considérablement l'usage de véhicules thermiques individuels, responsables de 40% des émissions de l'aéroport. La proposition des nouveaux parkings à environ 1 km de l'aérogare, avec une liaison par des transports en commun dédiés, est particulièrement innovante. Elle permettra aux voyageurs de s'enregistrer et de déposer leurs bagages directement au parking. Cette mesure sera testée lors des Jeux olympiques et paralympiques de Paris cet été. Pour améliorer l'embarquement des vols internationaux, actuellement réalisé à 56% directement par passerelle, une nouvelle salle d'embarquement sera construite, reliée par un skybridge. Ce n'est qu'une partie des améliorations prévues, qui incluent également une usine de méthanol en projet, des mesures de protection de la biodiversité et des projets immobiliers. Le déploiement de ce projet colossal, décrit comme un modèle pour les aéroports mondiaux par Augustin de Romanet, se fera progressivement, avec une attente jusqu'en 2027 ou 2028 pour voir émerger les premières infrastructures significatives. Orly 2035 promet donc un avenir où la qualité de service et le respect de l'environnement se conjuguent pour redéfinir le voyage aérien.

Destination l’#Italie ! SNCF Voyageurs a depuis toujours l'Europe dans son ADN. Et nous avons décidé d'aller plus loin ! Déjà présents dans 9 pays européens, en coopération avec nos partenaires ou en compétition : nous comptons un tiers de nos voyageurs et de notre chiffre d'affaires sur la longue distance qui se font à l'international. Afin d'être durablement le leader du train de voyageurs en Europe, nous voulons être au rendez-vous de la croissance de la mobilité en train qui se confirme partout et ainsi prendre toute notre place dans le jeu de la concurrence. Nous sommes donc fiers d'annoncer notre arrivée sur le marché de la grande vitesse en Italie, à partir de 2026 ! C’est un choix naturel et pertinent pour nous. ➡️ Nous y sommes depuis 1995 avec l’offre Artesia, puis depuis 2011 avec l’offre transfrontalière TGV INOUI entre Paris, Turin et Milan ; ➡️ C’est un marché dynamique : 80 % des voyageurs italiens qui actuellement n’empruntent pas le train sont appétents à ce mode de transport. Nous y voyons un moyen de de toucher de nouveaux clients qui n’auraient pas voyagé et/ou qui auraient pris l’avion ou la voiture ; ➡️ Ainsi, nous participons ensemble à la baisse du niveau des émissions carbone de la mobilité longue distance en Italie. Avec un réseau en développement qui offre des perspectives d'extension, nous envisageons de nous lancer sur l'axe Turin-Milan-Rome et Naples, ainsi qu'entre Turin et Venise. Pour ce déploiement, nous avons choisi de mettre en service 15 rames TGV M, qui sont issues d’une commande supplémentaire que nous avions réalisée en 2022, complémentaire à la commande initiale des 100 rames TGVM destinées à circuler en France. Cette ambition pour l'Italie s’inscrit dans notre cap de doubler le nombre de voyageurs en Europe dans les dix prochaines années. Et je fixe l'objectif d’atteindre sur le marché italien une part de marché de 15%. Merci à toutes les équipes TGV-INTERCITES et en particulier de notre direction internationale qui préparent ce lancement et font vivre notre vocation européenne tous les jours ! 👉 https://lnkd.in/eZtx-Kfq Alain Krakovitch Jean-Baptiste Guenot Caroline Chabrol