Saviez-vous que... ...un lanceur ça passe sa vie au sol? (à part quelques minutes) Cette semaine le Président Macron a annoncé les lauréats du dispositif "démonstration d'un service de micro et mini lancement" dans le cadre du volet spatial de #France2030 Félicitations à eux: HyPrSpace, Latitude, MaiaSpace et Sirius Space Services ! Nous sommes fiers et heureux d'avoir collaboré et de continuer à travailler avec la plupart de ces acteurs, en particulier HyPrSpace qui nous confie le développement de ses moyens d'essai et de son ensemble de lancement. Mais Spacedreams est également lauréat! En effet notre projet TwinPad a été sélectionné dans ce même cadre par Bpifrance. Le Twinpad est le jumeau numérique du système de lancement au sol. Il permet de modéliser les mises en oeuvre, réduire la durée de développement, développer et valider le logiciel, former les utilisateurs, et réduire les coûts en exploitation. Toutes les infos sur les projets lauréats du volet spatial de FR2030 ici: https://swll.to/VFGnUTV Cette même semaine nous avons été sélectionnés par le CNES dans le cadre du "challenge R&T Ecoconception". Notre démarche est d'introduire ces aspects dès les prémices du développement des moyens sol, et de démontrer l'intérêt écologique et économique de nos solutions mutualisées. Merci à tous pour votre confiance et votre soutien. Notre slogan "de la Terre pour l'Espace" est plus que jamais d'actualité.
Post de SpaceDreamS
Plus de posts pertinents
-
Lancements Spatiaux Le secteur spatial est en effervescence avec le développement de projets tous azimuts, tous plus ambitieux les uns que les autres. Mais, 2024 est l’année du premier lancement d’Ariane 6 (si tout va bien) et de plusieurs itérations...
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Beaucoup de projets et de sociétés nouveaux sont apparus au récent colloque 4S à Palma de Majorque : 5 à 600 participants ! Mais les grands acteurs notamment industriels étaient peu présents ! Qu'est-ce que ça veut dire ? Peut-être qu'ils ne croient pas tant que ça aux petits satellites ? Peut-être qu'ils ne croient pas à l'intérêt des colloques ? Pourtant tant Airbus que Thalès en France et Europe ont une activité dans le domaine. Mais à la vérité ce sont surtout pour des constellations de "Petits" satellites -grosso modo 100 kg ou plus- mais pas les plus petits satellites notamment les cubesats (de 1 à 16 U). L'activité "dynamique" des start up sur les plus petits satellites est-elle durable ? Elle montre clairement que le spatial n'a aucune difficulté pour recruter et lever des fonds ! Mais il est vrai aussi que la démonstration de la viabilité économique reste à faire. Pour faire un "business" commercialement rentable il semble qu'il faut avoir des satellites de classe Mini (> 100 kg). C'est largement ce qu'on voit : si les premières générations sont parfois des Cubesats ou équivalent on voit souvent les générations suivantes faites avec des satellites plus gros. Quand certains proposent des missions avec des Minisatellites, on voit toujours des alternatives reposant sur des satellites moins chers. mais seront-ils aptes à faire des missions avec un "marché" ? La stratégie d'un pays ne peut sans doute pas être de développer les "nouveaux acteurs" sans penser aux plus anciens et sans penser à la durabilité des business. A vos plumes pour le dialogue sur ce sujet !
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Dans un contexte d’ouverture d’un secteur auparavant très fermé, de démocratisation de l’accès à l’#espace (avancées technologiques, réduction des coûts…), de diversification des applications #spatiales (observation, communication, géolocalisation…), et alors que les perspectives de croissance du secteur au niveau mondial sont exponentielles, l’institut a pour mission de donner de la visibilité à un « écosystème régional favorable » IRISPACE Région Bretagne CNES IMT Atlantique Unseenlabs Hytech-imaging eOdyn
Irispace : « On trouve du spatial dans tous les sous-domaines maritimes » | Mer et Marine
meretmarine.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🚀 Environnement et Espace #1. L’industrie spatiale : usages, évolutions et enjeux 🛰️ Le secteur #spatial, essentiel à l'innovation et à la connectivité modernes, a doublé de taille entre 2010 et 2023. Avec une augmentation significative des lancements, ce secteur est confronté à de nombreuses opportunités économiques, mais aussi à des défis environnementaux, comme le témoigne le vol inaugural d’#Ariane6 prévu ce 9 juillet en Guyane. 🔗 Quelle dépendance avons-nous avec l’espace ? Comment celle-ci a-t-elle évolué ? Découvrez notre 1er article sur le sujet : https://deloi.tt/3XYi1TZ Olivier Jan, Romain RADZIMINSKI, Natacha W., Romain Tison
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Coach, superviseur , spécialiste en thérapie de couple, sexothérapeute. Un peu, beaucoup, passionnément à la retraite, je trie par plaisir et valeurs mes activités
Quels sont les nouveaux enjeux liés à la démocratisation du spatial et l'usage des satellites dans notre quotidien ? Conférence de Raphaël Chevrier qui est porte-parole, responsable de la communication et chef de projet au sein de la jeune entreprise MaiaSpace, qui conçoit, développe et commercialise le premier mini-lanceur réutilisable en Europe. A Dieppe, le 9 Février 2024 à 21h30 à La Maison Jacques Prévert lors du Festival "Objectif Espace" organisé par Pilotes & Cie « L’Espace est un bien commun, celui des 7.7 milliards d’habitants de notre planète. Les saccageurs de l’Espace ont une responsabilité accablante en générant des débris qui polluent et mettent nos astronautes et satellites en danger ». En novembre 2021, la Ministre des Armées Florence Parly réagit avec virulence à un tir anti-satellite russe, lequel a généré des milliers de nouveaux débris dans l'espace. Depuis, la liste des "saccageurs de l'espace" s'est allongée : Elon Musk et ses pratiques de cow-boy, les charlatans prêts à tout pour faire du rêve spatial une marchandise, les docteurs Folamour du 21e siècle qui voient l’espace comme un nouveau champ de bataille, les touristes de l’espace au bilan carbone désastreux… tous se comportent dans les cieux comme si la loi de la jungle y prévalait. Si la révolution du « New Space », célébrée pour avoir remis l’aventure spatiale au goût du jour, est riche de promesses, elle risque également d’entraîner une multiplication des débris spatiaux, de lancer une course aux ressources extraterrestres et de laisser le champ libre à des entrepreneurs sans scrupule au détriment de nos droits à tous sur ce bien commun qu’est l’espace. Pour réagir, il n'est pas trop tard. C'est même une question d'avenir, tant l'espace est devenu incontournable dans notre façon de nous déplacer, de communiquer, de prévenir les catastrophes naturelles, de comprendre et mieux appréhender le changement climatique ou encore de sonder notre Univers. https://lnkd.in/eEKdXHzM https://lnkd.in/eX_XttP7
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
𝗘𝘅𝗽𝗹𝗼𝗿𝗲𝘇 𝗹’𝗮𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗱𝘂 𝘀𝗽𝗮𝘁𝗶𝗮𝗹 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗔𝗠𝗢𝗦 𝗲𝘁 𝗔𝗲𝗿𝗼𝘀𝗽𝗮𝗰𝗲𝗹𝗮𝗯🛰️ Visite dans les entrailles de l'aérospatiale wallonne👽 Le secteur spatial est en pleine ébullition. Depuis quelques années, la Wallonie s’impose comme un acteur incontournable dans cette course à l’innovation🐓 Et au cœur de cette dynamique se trouvent deux entreprises majeures : AMOS et Aerospacelab🚀 𝗟𝗲 𝟯𝟬 𝘀𝗲𝗽𝘁𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲, vous aurez le privilège d’entrer dans les coulisses de ces deux entreprises grâce à la visite d’AMOS, avec Damien Kaivers, CEO d'AMOS, et Benoît Deper, CEO d’Aerospacelab. 𝗠𝗮𝗶𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗮𝗰𝗵𝗲𝗻𝘁 𝘃𝗿𝗮𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗰𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝗽𝗹𝗲𝗶𝗻𝗲 𝗲𝘅𝗽𝗮𝗻𝘀𝗶𝗼𝗻 ? AMOS, pionnière en optique spatiale, a su se hisser parmi les leaders mondiaux dans la conception d’instruments optiques de pointe. De son côté, Aerospacelab s'est lancée à corps perdu dans la production de satellites de nouvelle génération. Leur objectif : rendre l’espace plus accessible et permettre une meilleure observation de notre planète 🌍 Ces deux leaders d’industries complémentaires partageront leur vision de l’avenir spatial en vous ouvrant exceptionnellement les portes de leur antre🤩 𝗜𝗻𝘀𝗰𝗿𝗶𝘃𝗲𝘇-𝘃𝗼𝘂𝘀 𝘃𝗶𝘁𝗲 𝗶𝗰𝗶👇 https://lnkd.in/eYMp-XMp
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Dans l'odyssée spatiale de la connectivité, il semble que le ciel ne soit plus la limite ! La conquête de l'espace a pris une tournure inattendue : une foule de satellites LEO (Orbite terrestre basse) s'apprête à danser la valse du haut débit autour de notre planète. 🌐 Ce ballet aérien est bien plus qu'une prouesse technologique ; c'est la promesse d'une révolution pour les 7% de territoires vierges de toute couverture réseau. Imaginez : des satellites qui apportent la 5G là où même les pigeons voyageurs refusent de livrer des messages. 💡 Voici quelques atouts clés de ces compagnons célestes à l'ère du tout-connecté : - Couverture globale : du pôle Nord au fin fond du désert, la 5G deviendra le nouveau nomade digital favori. - Déploiement rapide : plus efficace que monter un meuble suédois, établir un réseau satellite est une affaire de rapidité. - Latence réduite : suffisamment véloce pour ne plus blâmer les lags pendant les jeux en ligne. - Support backhaul : une béquille robuste pour relier les antennes isolées au reste du monde. - Fiabilité : quand la terre se dérobe sous nos pieds, le signal, lui, reste dans les nuages. - Mobilité : que vous soyez en jet privé ou sur votre voilier, restez connectés - Scalabilité : un réseau qui grandit comme une start-up, prêt à s'adapter à la demande croissante. La connectivité par satellite 5G, c'est un peu comme un food truck : il vient à vous avec un menu prometteur, mais encore faut-il qu'il sache stationner sans encombre et que le burger soit à la hauteur de nos attentes. Et c'est là que le bât blesse, entre coûts, régulations et complexités techniques, le chemin est encore semé d’embûches pour que cette intégration soit réussie. 🛠️ Le futur de la connectivité ? Un ciel étoilé de possibilités, à la portée de ceux qui veulent bien lever les yeux. Si vous voulez aller plus loin, n'hésitez pas à me contacter et lire le superbe article rédigé par les équipes de SmartViser : https://lnkd.in/eCTWKS4A #LesTontonsDeLaTech #Technologie #Innovation #Conseil #Entrepreneuriat
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
“Méga-constellations : la bombe à retardement” Une semaine après sa sortie, la vidéo du Journal de l’Espace comptabilise déjà plus de 100 000 vues et 1 500 commentaires. Elle vulgarise avec brio (bravo Quentin Leicht) les principaux éléments de compréhension de l'impact environnemental du secteur spatial : - Si tous les projets de méga-constellations voient le jour, 77 000 satellites seront en activité. - 12 000 doivent être lancés chaque année pour maintenir cette infrastructure de “kleenex” de l'espace à très courte durée de vie. - Pour évaluer l'impact environnemental, il faut considérer l’ensemble du cycle de vie et pas uniquement le CO2 au lancement qui est finalement marginal. - Les émissions en haute atmosphère (suies, alumine et vapeur d’eau) dimensionnent l'impact climatique des lanceurs. - En déployant toutes ces constellations, le secteur spatial pourrait autant contribuer au changement climatique que l'aviation. - Face à ces impacts, il est impératif de questionner les usages spatiaux. Cette vidéo est une lueur d’espoir à plusieurs titres. Elle offre un contenu synthétique, rigoureux et largement diffusable produit par l'un des principaux "influenceurs espace” français. Mais plus important encore, le nombre conséquent de commentaires sont, pour l’écrasante majorité, extrêmement positifs. Depuis quelques années des voix d’initiés s'élèvent pour avertir que la démesure des méga-constellations met en péril tous les autres projets spatiaux. Cet accueil favorable d’une communauté pas spécialement étiquetée “écolo” témoigne du fait qu’une prise de conscience plus large est en train d’advenir. Ce constat est d’autant plus bienvenu qu’un certain nombre de décisions politiques (trajectoire de décarbonation française, loi spatiale européenne) doivent intervenir prochainement. Ad astra… mais sans compromettre notre planète. PS: La vidéo reprend les éléments clés du rapport de Pour un réveil écologique et AÉRO DÉCARBO. Si vous souhaitez être formés aux questions pas si triviales des impacts environnementaux du secteur spatial, n'hésitez pas à nous contacter.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Merci pour le relais, cette vidéo éclairante montre les vrais enjeux du spatial et les manques de connaissances que nous tentons de combler, notamment sur l'impact en haute atmosphère des activités spatiales. Une thèse CNES démarre avec l'IRAP et le LATMOS, intitulée "Atmospheric Contamination from Launches and Rentry", elle pourra s'appuyer sur les données spatiales que nous avons déjà et les méthodes et outils que nous avons développés, et nous avons hâte d'avancer sur ce sujet ! Il aidera à argumenter sur le choix des missions spatiales, au juste besoin.
“Méga-constellations : la bombe à retardement” Une semaine après sa sortie, la vidéo du Journal de l’Espace comptabilise déjà plus de 100 000 vues et 1 500 commentaires. Elle vulgarise avec brio (bravo Quentin Leicht) les principaux éléments de compréhension de l'impact environnemental du secteur spatial : - Si tous les projets de méga-constellations voient le jour, 77 000 satellites seront en activité. - 12 000 doivent être lancés chaque année pour maintenir cette infrastructure de “kleenex” de l'espace à très courte durée de vie. - Pour évaluer l'impact environnemental, il faut considérer l’ensemble du cycle de vie et pas uniquement le CO2 au lancement qui est finalement marginal. - Les émissions en haute atmosphère (suies, alumine et vapeur d’eau) dimensionnent l'impact climatique des lanceurs. - En déployant toutes ces constellations, le secteur spatial pourrait autant contribuer au changement climatique que l'aviation. - Face à ces impacts, il est impératif de questionner les usages spatiaux. Cette vidéo est une lueur d’espoir à plusieurs titres. Elle offre un contenu synthétique, rigoureux et largement diffusable produit par l'un des principaux "influenceurs espace” français. Mais plus important encore, le nombre conséquent de commentaires sont, pour l’écrasante majorité, extrêmement positifs. Depuis quelques années des voix d’initiés s'élèvent pour avertir que la démesure des méga-constellations met en péril tous les autres projets spatiaux. Cet accueil favorable d’une communauté pas spécialement étiquetée “écolo” témoigne du fait qu’une prise de conscience plus large est en train d’advenir. Ce constat est d’autant plus bienvenu qu’un certain nombre de décisions politiques (trajectoire de décarbonation française, loi spatiale européenne) doivent intervenir prochainement. Ad astra… mais sans compromettre notre planète. PS: La vidéo reprend les éléments clés du rapport de Pour un réveil écologique et AÉRO DÉCARBO. Si vous souhaitez être formés aux questions pas si triviales des impacts environnementaux du secteur spatial, n'hésitez pas à nous contacter.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
pour une conscience écologique vs. l'industrie du spatial instructif !
“Méga-constellations : la bombe à retardement” Une semaine après sa sortie, la vidéo du Journal de l’Espace comptabilise déjà plus de 100 000 vues et 1 500 commentaires. Elle vulgarise avec brio (bravo Quentin Leicht) les principaux éléments de compréhension de l'impact environnemental du secteur spatial : - Si tous les projets de méga-constellations voient le jour, 77 000 satellites seront en activité. - 12 000 doivent être lancés chaque année pour maintenir cette infrastructure de “kleenex” de l'espace à très courte durée de vie. - Pour évaluer l'impact environnemental, il faut considérer l’ensemble du cycle de vie et pas uniquement le CO2 au lancement qui est finalement marginal. - Les émissions en haute atmosphère (suies, alumine et vapeur d’eau) dimensionnent l'impact climatique des lanceurs. - En déployant toutes ces constellations, le secteur spatial pourrait autant contribuer au changement climatique que l'aviation. - Face à ces impacts, il est impératif de questionner les usages spatiaux. Cette vidéo est une lueur d’espoir à plusieurs titres. Elle offre un contenu synthétique, rigoureux et largement diffusable produit par l'un des principaux "influenceurs espace” français. Mais plus important encore, le nombre conséquent de commentaires sont, pour l’écrasante majorité, extrêmement positifs. Depuis quelques années des voix d’initiés s'élèvent pour avertir que la démesure des méga-constellations met en péril tous les autres projets spatiaux. Cet accueil favorable d’une communauté pas spécialement étiquetée “écolo” témoigne du fait qu’une prise de conscience plus large est en train d’advenir. Ce constat est d’autant plus bienvenu qu’un certain nombre de décisions politiques (trajectoire de décarbonation française, loi spatiale européenne) doivent intervenir prochainement. Ad astra… mais sans compromettre notre planète. PS: La vidéo reprend les éléments clés du rapport de Pour un réveil écologique et AÉRO DÉCARBO. Si vous souhaitez être formés aux questions pas si triviales des impacts environnementaux du secteur spatial, n'hésitez pas à nous contacter.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
2 674 abonnés
Merci à la Direction Générale des Entreprises pour son soutien, sa confiance et sa vision.