🧮 Chargée de la production exécutive des cérémonies d’ouverture des Jeux olympiques et paralympiques, la structure Paname 24, née pour l’événement de l’association de cinq agences événementielles (AUDITOIRE, Havas Events Paris, ubi bene, OBO et Double 2), a travaillé près de deux ans sur le 26 juillet. Quitte, derrière le succès fou remporté par la cérémonie y compris à l’international, à y consacrer un certain nombre de nuits blanches… «On a tout eu : la météo, la dissolution, un débit de la Seine historique…», résume-t-on en interne. 🛥 Le défi était tout bonnement pharaonique : livrer la première cérémonie des JO organisée hors d’un stade, qui plus est sur un lieu mouvant (la Seine) et au cœur de la ville, donc passant. Le parcours, sur six kilomètres, «était l’équivalent de cinq ou six stades en termes de nombre de spectateurs et d’une cinquantaine de stades sur la longueur. Un défi technique monstrueux», estime Cyril de Froissard, directeur général de Paname 24. L’idée majeure était de permettre à la vision de Thomas Jolly, directeur artistique des cérémonies de #Paris2024, de se déployer. Du point de vue production, il n’y a pas un tableau qui ait été plus complexe à mettre plus en œuvre qu’un autre. Céline Dion sur la Tour Eiffel, le funambule au-dessus de la Seine, le porteur de flamme ou les artistes sur les toits… 💬 «Chaque tableau avait ses propres contraintes et il y en avait toute une typologie : pluie, sécurité, contraintes électriques, contraintes de vent…», estime Julien Carette. Si aucun ne comprenait «de points de technicité hors pair», selon Paname 24, le fait de se trouver dans le domaine public, face à des conditions d’exploitation complexes, avec par exemple l’obligation de ménager des accès piéton et vélo, n’a pas facilité le travail.
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C’est un événement que le monde entier attendait avec impatience : la cérémonie d’ouverture des tant attendus Jeux Olympiques de Paris 2024. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le spectacle inaugural donné ce 26 juillet sur la Seine n’a laissé personne indifférent. Entre admiration béate pour certains et critique acerbe pour d’autres, retour sur une soirée riche en émotions et en controverses. Un spectacle hors norme qui a subjugué le public Dès les premières minutes, le ton était donné. Un défilé de bateaux illuminés et décorés, des danseurs évoluant avec grâce sur les quais et les ponts de Paris, des feux d’artifice éclatant dans le ciel de la capitale… Cette cérémonie d’ouverture restera dans les annales pour son ampleur et son audace. Pendant plus de trois heures, ce sont près de 10 000 athlètes venus du monde entier qui ont paradé le long de la Seine, acclamés par une foule en liesse massée sur les berges. Une apothéose visuelle et un moment magique. Paris a réussi son pari : offrir une cérémonie inoubliable ! Thomas Bach, président du Comité International Olympique Au-delà de l’aspect spectaculaire, cette soirée a aussi été l’occasion de mettre en avant des valeurs chères à l’olympisme comme la paix, l’unité ou encore l’égalité. Plusieurs tableaux touchants ont notamment célébré la diversité et appelé à plus d’inclusion dans le sport. Des critiques sur le coût et l’impact écologique Mais rapidement, le revers de la médaille est apparu. Sur les réseaux sociaux, de nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer le coût faramineux de l’événement, estimé à plus de 100 millions d’euros. Beaucoup jugent cette somme indécente alors que le pays traverse une crise économique et sociale sans précédent. L’impact environnemental de ce show XXL a aussi été pointé du doigt. Malgré les efforts des organisateurs pour limiter l’empreinte carbone, difficile de ne pas s’interroger devant ces dizaines de bateaux motorisés sillonnant la Seine ou ces milliers de feux d’artifice tirés en plein cœur de Paris. Cette cérémonie était certes magnifique mais à quel prix ? Celui d’un gâchis écologique et financier sans nom alors que tant de Français galèrent à boucler leurs fins de mois. Un internaute sur Twitter Des accusations de “propagande woke” Autre grosse polémique : le contenu et les messages délivrés durant la cérémonie. La droite radicale et l’extrême droite ont vivement condamné ce qu’ils qualifient de “lavage de cerveau gauchiste” et de “propagande woke à tous les étages”. La représentation de la diversité culturelle, les tableaux sur l’égalité des genres ou encore les hommages appuyés à des figures progressistes comme Josephine Baker ou Jesse Owens ont en effet du mal à passer auprès d’une frange conservatrice de la population. C’est du grand n’importe quoi cette cérémonie d’ouverture. L’extrême gauche bien-pensante a encore frappé et instrumentalisé le sport pour nous faire la morale ! Jordan Bardella, préside...
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Au lendemain de la majestueuse cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, un choix éditorial pour le moins surprenant fait le buzz. Alors que l’ensemble de la presse nationale a mis à l’honneur ce spectacle grandiose sur la Seine, un journal régional a osé faire cavalier seul. En effet, le quotidien “L’Ardennais” a choisi de consacrer sa Une non pas aux JO, mais au sauvetage d’un sanglier prénommé “Toto“. Un parti pris audacieux qui surprend Intitulée “Victoire !“, la Une de L’Ardennais met en avant l’histoire touchante de ce sanglier mascotte, adopté par une famille près d’Arras. Menacé d’euthanasie en raison d’une maladie, “Toto” a finalement pu être placé dans un refuge in extremis. Une belle histoire, certes, mais qui peut paraître décalée en ce lendemain de lancement des Jeux Olympiques. Pourtant, assumer ce choix éditorial insolite n’est pas anodin. Cela dénote une volonté de se démarquer, de privilégier la proximité et l’ancrage local. Dans un paysage médiatique où la cérémonie d’ouverture faisait la Une de tous les grands quotidiens nationaux, opter pour “Toto” le sanglier est un pari osé. L’attachement au terroir mis en lumière Au-delà du côté insolite, ce choix met en exergue l’importance des journaux de proximité. Là où la presse nationale se focalise sur les grands événements, la presse régionale reste à l’écoute des petites histoires qui font le sel de nos territoires. Ce sanglier érigé en “mascotte” locale, dont le destin a ému de nombreux lecteurs, en est le parfait exemple. En choisissant “Toto” plutôt que les JO en Une, L’Ardennais rappelle la place essentielle de la presse de proximité, au plus proche des préoccupations de ses lecteurs. Analyse d’un expert des médias Un buzz sur les réseaux sociaux Forcément, ce choix a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Entre amusement, étonnement et parfois critiques, les internautes ne sont pas restés insensibles à cette Une atypique. Rapidement devenue virale, elle a généré un véritable buzz, donnant une visibilité inespérée à ce journal local et à l’histoire de “Toto”. Quand un sanglier fait de l'ombre à la cérémonie des JO ! La Une surprenante de "L'Ardennais" qui fait le buzz https://t.co/xxxxxxxx — Un internaute (@uninternaute) July 27, 2024 Cet épisode pose la question du rôle de la presse locale à l’heure de la mondialisation et des méga-événements comme les Jeux Olympiques. En accordant sa Une à un fait a priori anecdotique, L’Ardennais réaffirme avec force son positionnement : être la voix de son territoire, le reflet des préoccupations de ses habitants, aussi modestes soient-elles à l’échelle planétaire. Une Une symbolique à plus d’un titre Au final, cette Une insolite aura marqué les esprits bien au-delà du lectorat de L’Ardennais. Elle restera comme un symbole fort : celui d’une presse locale indépendante et audacieuse, fière de ses différences et de son ancrage. Face à l’uniformisation de l’information, ce petit éclat de...
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☀️Ce n'est que le début ☀️... Nous savons que les Jeux olympiques de Paris vont passer à l’histoire. Les Français ont réussi leur pari, jusqu’à présent, de sortir des sentiers battus et d’oser aller dans l’océan bleu afin de présenter des JO à leur image. Voici quelques initiatives qui peuvent nous inspirer à passer à l’action dans notre quotidien. 🇫🇷Oser: Malgré le scepticisme mondial, ils ont offert une ouverture des JO hors de l'ordinaire. Pour la première fois, l’ouverture officielle s’est déroulée à l’extérieur d’un stade, permettant à 330 000 personnes d'être aux premières loges du spectacle. De plus, quelle belle carte de visite de la ville de Paris avec les milliards de téléspectateurs qui ont vu défilé les éléments emblématiques de Paris. 🇫🇷Écoresponsable: Quelle belle idée d'avoir utilisé des installations existantes comme sites de compétition. J'aimerais tellement assister au volleyball de plage à la Tour Eiffel, voir les compétitions d'escrime au Grand Palais ou assister aux compétitions équestres à Versailles. Je lisais également, par leurs actions, que les JO de Paris vont réduire de 50% leur empreinte carbone par rapport aux autres JO. Les organisateurs démontrent, ainsi, une grande préoccupation de l’environnement tout en sensibilisant l’audience la plus importante de l’année. Comme exemple, la piscine temporaire sera réchauffée par la chaleur produite des serveurs de la compagnie Qarnot Computing. Et on ne peut pas passer sous silence, la magnifique montgolfière qui illuminera les JO par la flamme olympique qui a été construite à partir de tissus écologiques et qui est alimentée par des combustibles propres. 🇫🇷Rassembleur: En ces temps de turbulence politique, c'est fou le message qui est envoyé en unissant tous les pays autour d'un objectif commun, nous pouvons créer un événement sensationnel. Cet événement permet également de réunir, un peu partout dans le monde, des familles, des amis, des collaborateurs afin d’encourager ou de voir les prouesses physiques et psychologiques offertes par les athlètes. 🇫🇷Courage: Je ne peux pas passer sous silence l'impressionnante prestation de Céline. Quel courage, après avoir passé des années à relever les défis d'une santé défaillante, elle a eu la détermination de se présenter à ce challenge, livrer une prestation hors du commun, de chanter live à l'émission la plus regarder du monde. Elle est vraiment étonnante. J'aurais pu continuer encore avec mes exemples car je suis vraiment impressionnée des détails de l'organisation des JO de Paris que je découvre quotidiennement. Maintenant, l'essentiel, c'est de laisser les athlètes nous éblouir!
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En 2024, la flamme olympique brillera à nouveau sur Paris, un siècle après les derniers Jeux organisés dans la capitale française en 1924. Si l’esprit de l’olympisme reste inchangé, l’ampleur de l’événement a considérablement évolué en 100 ans. Retour sur les similitudes et différences entre ces deux éditions des JO à Paris. Paris 1924 vs Paris 2024 : un siècle d’écart, un même défi Organiser les Jeux Olympiques représente un challenge de taille pour toute ville hôte. Logement, transport, sécurité, financement… Les problématiques restent sensiblement les mêmes malgré le siècle qui sépare les deux éditions parisiennes. Mais si les enjeux demeurent, les solutions, elles, ont bien changé ! Le casse-tête du logement olympique Déjà en 1924, loger les athlètes et les spectateurs s’avérait complexe dans une ville en proie à une crise du logement. Pour y remédier, un “AirBnB avant l’heure” avait été mis en place, mettant en relation particuliers et visiteurs. Surtout, pour la première fois, un village olympique voyait le jour pour héberger les sportifs, une tradition depuis perpétuée à chaque édition des JO. En 2024, le village des athlètes s’installera à Saint-Denis, avec une capacité d’accueil de 14 500 lits. Mais la capitale devra aussi loger les milliers de touristes attendus pour l’occasion. Les plateformes de location type AirBnB seront donc à nouveau mises à contribution, 100 ans après les premiers JO parisiens ! Le défi de la mobilité pendant les Jeux Acheminer des milliers de personnes vers les sites de compétition en un temps record, le tout dans une ville déjà saturée par les embouteillages : le problème n’est pas nouveau ! En 1924, le métro parisien ne desservait pas encore la banlieue où se déroulaient certaines épreuves. La solution avait été de renforcer la ligne de chemin de fer, avec à la clé une augmentation des tarifs pour les spectateurs. Un siècle plus tard, le réseau de transports francilien s’est densifié mais reste sous tension. Pour 2024, pas moins de 200 kilomètres de voies olympiques seront aménagées, avec un système de navettes spéciales pour rallier les différents sites. Avec l’objectif d’inciter 100% des spectateurs à emprunter les transports en commun ! Quel héritage pour les villes olympiques ? Si les Jeux de 1924 avaient permis la construction de nouveaux équipements sportifs comme le stade de Colombes, la tendance en 2024 est davantage à la sobriété. Pas question de faire sortir de terre des infrastructures vouées à devenir des “éléphants blancs”. 95% des sites qui accueilleront les compétitions existent déjà, certains datant d’ailleurs de 1924 comme le stade nautique de Vaires-sur-Marne ! “Le sport va chercher la peur pour la dominer, la fatigue pour en triompher, la difficulté pour la vaincre.” Pierre de Coubertin, rénovateur des Jeux olympiques modernes Autre similitude entre 1924 et 2024 : des Jeux qui se veulent une vitrine pour le pays hôte. Après le traumatisme de la Grande Guerre, ceux de 1924 d...
En 2024, la flamme olympique brillera à nouveau sur Paris, un siècle après les derniers Jeux organisés dans la capitale française en 1924. Si l’esprit de l’olympisme reste inchangé, l’ampleur de l’événement a considérablement évolué en 100 ans. Retour sur les similitudes et différences entre ces deux éditions des JO à Paris. Paris 1924 vs Paris 2024 : un siècle d’écart, un même défi Organi...
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C’est un moment historique qui se déroule ce matin à Paris : la maire Anne Hidalgo va enfin tenir sa promesse de se baigner dans la Seine ! Un événement très attendu, à seulement 9 jours du coup d’envoi des Jeux Olympiques de Paris 2024. Cette baignade vient couronner des années d’efforts pour dépolluer le fleuve et le rendre propre à la baignade. Un plongeon symbolique pour les JO En compagnie de Tony Estanguet, président du comité d’organisation des JO, et de Marc Guillaume, préfet d’Île-de-France, Anne Hidalgo va donc se jeter à l’eau à 10h près de l’Hôtel de Ville. Un geste fort pour montrer que oui, on peut désormais se baigner sans risque dans la Seine à Paris. Les conditions sont enfin réunies pour ce plongeon historique de trois personnages-clés des Jeux olympiques. Le Figaro La maire de Paris a même pris des cours de plongeon spécialement pour l’occasion ! Un événement qui suscite un intérêt médiatique énorme, preuve de l’importance de ce moment pour la capitale. Plus de 150 journalistes ont demandé une accréditation une heure seulement après l’annonce de l’heure de la baignade. Un fleuve enfin propre pour les épreuves olympiques Si cette baignade peut paraître anecdotique, elle est en réalité cruciale pour les organisateurs des JO. La Seine sera en effet le théâtre de nombreuses épreuves lors des Jeux : Triathlon (30 et 31 juillet, 5 août) Natation en eau libre (8 et 9 août) Paratriathlon (1er et 2 septembre) Il était donc indispensable de réussir le pari de la dépollution du fleuve, l’un des grands défis et arguments de la candidature de Paris 2024. Un plan massif de 1,4 milliard d’euros a été déployé depuis 2016 pour atteindre cet objectif, avec notamment : La modernisation des stations d’épuration Le raccordement des péniches au tout-à-l’égout Le ramassage des déchets plastiques La construction de bassins de stockage des eaux Des investissements qui portent leurs fruits, comme en témoignent les derniers relevés encourageants sur la qualité de l’eau, propice à la baignade au regard des normes des fédérations internationales concernées. Un moment attendu de longue date Cette baignade, c’est aussi l’aboutissement d’une promesse de longue date d’Anne Hidalgo. Son prédécesseur Jacques Chirac l’avait faite en son temps, en 1990, sans pouvoir la tenir. Cette fois, c’est donc différent. Outre la promesse de se baigner, que n’avait pas tenue son illustre prédécesseur Jacques Chirac, alors maire de la capitale, en 1990, la maire voit là un de ses engagements prendre forme. Le Figaro Au-delà du symbole pour les JO, c’est une véritable avancée pour les Parisiens. La baignade devrait être autorisée pour tous dès l’été 2025 à plusieurs endroits de la capitale. De quoi ravir les amateurs de nage en eau libre et offrir de nouvelles perspectives de loisirs aux habitants. L’heure de vérité pour les JO Après des répétitions d’épreuves en demi-teinte l’été dernier en raison d’une qualité d’eau insuffisante, les or...
C’est un moment historique qui se déroule ce matin à Paris : la maire Anne Hidalgo va enfin tenir sa promesse de se baigner dans la Seine ! Un événement très attendu, à seulement 9 jours du coup d’envoi des Jeux Olympiques de Paris 2024. Cette baignade vient couronner des années d’efforts pour dépolluer le fleuve et le rendre propre à la baignade. Un plongeon symbolique pour les JO En comp...
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Pendant quelques semaines magiques, elle a illuminé le ciel de Paris de ses envolées nocturnes. Mais depuis la fin des Jeux Olympiques 2024, la vasque olympique s’est éclipsée de son emplacement royal au cœur des Tuileries. Démontée mi-septembre face au Louvre, son avenir demeure incertain. Si Anne Hidalgo, maire de Paris, a exprimé le souhait de conserver cette icône dans la capitale, aucune décision définitive n’a encore été prise. C’est dans ce contexte qu’une suggestion originale émerge de l’ouest parisien : et si la vasque olympique trouvait sa place à la Porte Maillot ? La Porte Maillot, nouvelle terre d’accueil pour la vasque olympique ? L’idée a été évoquée par Éric Donnet, président du comité Grande-Armée, lors d’un sommet sur la transformation de l’Axe majeur organisé ce mardi soir. Pour lui, la vasque aurait toute sa place à côté du futur siège d’EDF, dont la construction est prévue Porte Maillot. Il se trouve que les JO ont fait naître cette vasque incroyable, elle aurait désormais toute sa place à côté du futur siège d’EDF. Éric Donnet, président du comité Grande-Armée Un clin d’œil à l’histoire avec le ballon captif Cette proposition n’est pas dénuée de sens historique. Il y a plus d’un siècle, la Porte Maillot était en effet survolée par un ballon captif, offrant aux Parisiens une vue imprenable sur la capitale. La vasque olympique, avec ses envolées spectaculaires, ferait ainsi écho à ce passé méconnu. Un lien étroit avec EDF Le positionnement suggéré, à proximité immédiate du futur siège d’EDF, n’est pas non plus anodin. C’est en effet cette entreprise qui est à l’origine du mécanisme innovant utilisé pour faire s’élever la sphère olympique dans les airs. En accueillant la vasque, EDF pourrait ainsi mettre en valeur ce savoir-faire unique et renforcer son image de marque. Une porte d’entrée symbolique pour Paris Au-delà de ces considérations historiques et techniques, c’est aussi la symbolique du lieu qui plaide en faveur de cette installation. La Porte Maillot constitue en effet la principale entrée de Paris par l’ouest, un axe majeur emprunté chaque jour par des milliers de visiteurs. En y installant la vasque olympique, Paris offrirait à ses hôtes un symbole fort, rappelant l’héritage des Jeux de 2024. Quel avenir pour ce projet ? Si l’idée semble séduisante, sa concrétisation dépendra de nombreux facteurs, à commencer par la volonté de la Mairie de Paris. Les contraintes techniques et financières devront également être évaluées avec soin. Mais une chose est sûre : en offrant une seconde vie à la vasque olympique, Paris perpétuerait l’esprit et la magie des Jeux, bien au-delà de l’été 2024. Alors, la vasque olympique s’installera-t-elle à la Porte Maillot ? L’avenir nous le dira. Mais cette suggestion a le mérite de relancer le débat sur le devenir de cet objet iconique, devenu en quelques semaines le symbole flamboyant de Paris 2024. Une chose est sûre : où qu’elle atterrisse, la vasque olympique ne...
Pendant quelques semaines magiques, elle a illuminé le ciel de Paris de ses envolées nocturnes. Mais depuis la fin des Jeux Olympiques 2024, la vasque olympique s’est éclipsée de son emplacement royal au cœur des Tuileries. Démontée mi-septembre face au Louvre, son avenir demeure incertain. Si Anne Hidalgo, maire de Paris, a exprimé le souhait de conserver cette icône dans la capitale, aucune...
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Les Jeux Olympiques & la France unifiée Chronique de Cécile Cornudet, Les Echos Que Marseille était belle, mercredi à l'arrivée de la flamme olympique, ainsi filmée, apprêtée, ouverte sur la mer et serrée pour la fête ! Les JO entrent par le sud et font d'emblée mentir leur nom : ce ne sont pas les « Jeux Paris 2024 » mais ceux du pays tout entier. « Ils seront les plus décentralisés de notre histoire », loue Emmanuel Macron à la télévision, en montrant la pièce offerte aux écoliers : la tour Eiffel, la basilique de Marseille et la fleur de Tahiti s'y côtoient. Tout le pays dans un anneau. « C'est un moment d'unité, on en est capables. » Ce n'est pas un hasard si ces Jeux ont été conçus comme un antidote à l'« archipélisation » du pays. L'hôte s'en sert pour livrer des messages et panser ses plaies. Les JO de Paris 2024 seront paritaires (autant d'athlètes femmes qu'hommes), écologiques (pas de voitures), les moins coûteux de l'histoire, a-t-il été fixé d'emblée. Avec donc en plus cet objectif : réconcilier Paris et le « désert français », les râleurs de la capitale (sport national) et les jaloux d'ailleurs (sport national). Le politique effacé Pas moins de 73 villes vont ainsi accueillir des épreuves et des athlètes. Depuis six ans, le Comité olympique construit des partenariats pour impliquer les collectivités locales : 4.800 sont labélisées « Terre de Jeux 2024 », dont 450 vont être traversées par la flamme avant son arrivée à Paris. Pour la seule Ile-de-France, 200 communes ont travaillé avec l'Etat pour héberger des délégations, entraîner des équipes et organiser des festivités.
JO de Paris 2024 : la France dans un anneau
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Edito Jeux Olympiques & Unité nationale par Cecile Cornudet, Les Echos "Que Marseille était belle, mercredi à l'arrivée de la flamme olympique, ainsi filmée, apprêtée, ouverte sur la mer et serrée pour la fête ! Les JO entrent par le sud et font d'emblée mentir leur nom : ce ne sont pas les « Jeux Paris 2024 » mais ceux du pays tout entier. « Ils seront les plus décentralisés de notre histoire », loue Emmanuel Macron à la télévision, en montrant la pièce offerte aux écoliers : la tour Eiffel, la basilique de Marseille et la fleur de Tahiti s'y côtoient. Tout le pays dans un anneau. « C'est un moment d'unité, on en est capables. » Ce n'est pas un hasard si ces Jeux ont été conçus comme un antidote à l'« archipélisation » du pays. L'hôte s'en sert pour livrer des messages et panser ses plaies. Les JO de Paris 2024 seront paritaires (autant d'athlètes femmes qu'hommes), écologiques (pas de voitures), les moins coûteux de l'histoire, a-t-il été fixé d'emblée. Avec donc en plus cet objectif : réconcilier Paris et le « désert français », les râleurs de la capitale (sport national) et les jaloux d'ailleurs (sport national). Pas moins de 73 villes vont ainsi accueillir des épreuves et des athlètes. Depuis six ans, le Comité olympique construit des partenariats pour impliquer les collectivités locales : 4.800 sont labélisées « Terre de Jeux 2024 », dont 450 vont être traversées par la flamme avant son arrivée à Paris. Pour la seule Ile-de-France, 200 communes ont travaillé avec l'Etat pour héberger des délégations, entraîner des équipes et organiser des festivités." Extrait - Cecile Cornudet Les Jeux Olympiques en France : vers un beau moment d'unité
JO de Paris 2024 : la France dans un anneau
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Les JO en 🇫🇷 commencent, et tout le monde devrait s'en réjouir ! Voici pourquoi : Alors que la flamme arrive sur le Bellem à Marseille aujourd'hui, et que c'est la fête dans la ville portuaire. Il faut admettre que les JO ont beaucoup fait parler, certaines personnes sont même complètement hostiles et n'hésitent pas à en parler sur les réseaux… Mais pourtant, les JO sont clairement un événement incroyable pour la France, les Franciliens et de manière générale les Français. 1️⃣ L'héritage des jeux : Les Jeux olympiques de Paris 2024 laisseront un héritage important, entre les installations sportives rénovées ou nouvellement construites, des améliorations de l'infrastructure de transport, les logements… Et évidemment la dépollution de la Seine 🏊♂️ Sans compter sur l'impact culturel et le rayonnement de la France impactant positivement sur le tourisme pour le plus grand plaisir des HCR 😇 D'ailleurs, les JO aident aussi à encourager la pratique du sport chez les jeunes et ça c'est top ! 🏃🫶 2️⃣ La fête, un besoin essentiel. 💃🏼🕺 Avec la conjoncture actuelle triste et oppressante, faire la fête devient une nécessité. Les Jeux olympiques de Paris offriront une célébration sportive novatrice et étendue dans tout le pays, allant au-delà des stades pour englober les villes et les communautés. Le Club France, situé au Parc de la Villette, sera un lieu central de rassemblement pour les fans et les athlètes français, offrant des moments de célébration et d'initiation aux sports, avec une programmation axée sur le partage, la fête et la découverte. 🪩 3️⃣ Il n'y a pas que LVMH qui sera mis en avant ! Les Jeux olympiques de Paris offrent une occasion exceptionnelle aux entreprises françaises de briller à l'échelle mondiale. Le Parcours des Savoir-Faire Français, lancé par la direction générale des Entreprises, vise à valoriser les métiers locaux à travers deux initiatives majeures : "Viens visiter mon atelier !" qui invite le public à découvrir les coulisses de la production française, et "Viens visiter mon marché !" qui met en avant les produits français lors de marchés et salons. Les entreprises sont encouragées à s'inscrire sur la plateforme dédiée pour bénéficier d'une visibilité renforcée grâce à un plan de communication soutenu par l'État. En conclusion, vous l'aurez compris, les JO seront un grand moment et pas seulement pour quelques semaines... Nous devrions tous nous en réjouir, même si évidemment tout n'est pas parfait et que l'on peut être en désaccord avec certains aspects de nos Jeux. Mais ils arrivent, alors profitons-en et faisons la fête. Bravo Tony Estanguet - Paris 2024 - Comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 Arthur Fel Cécile Grangé et toutes les personnes qui travaillent y compris bénévolement dans l’ombre 🫶💪 #Jeuxolympiques #JO #paris2024
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J'offre une gamme de services personnalisés pour aider les professionnel(le)s du BTP à optimiser leurs projets avec le béton, tout en réduisant leurs coûts et leurs impacts environnementaux.
Paris est magique... surtout pour les JO 2024 ! 🇫🇷🏅 Ah, les Jeux Olympiques à Paris ! Un événement censé célébrer l'union, la paix et l'excellence sportive. Sauf qu'il semblerait que notre belle capitale se prépare à une expérience un peu... particulière. 🤔 Sécurité renforcée, contrôles omniprésents, liberté de mouvement restreinte... On dirait que l'esprit olympique prend une autre tournure. Ne nous y trompons pas, ces mesures soulèvent des questions cruciales : Comment maintenir l'équilibre entre sécurité et convivialité ? Est-il possible de préserver l'essence même des Jeux dans ce contexte ? Contexte que la société a créé aussi, quand on attise la peur et la haine, voilà ce qu'on récolte. J'espère quand même que ces JO vont bien se passer, Et que la fête du sport va faire rappeler certaines valeurs qui ont été oubliées ces derniers temps. Car au-delà de l'aspect technique que j'offre dans mes services, Je crois fermement que le béton peut jouer un rôle dans la création d'espaces qui rassemblent plutôt que qui divisent. Et j'attends de voir la seconde vie que vont avoir les infrastructures des JO surtout du village olympique, Puisque c'est la promesse qui a été faite : créer des espaces dans lesquels il fait bon vivre. Et vous, comment voyez-vous ces Jeux Olympiques 2024 ? Partagez vos réflexions en commentaire. Qui sait, vos idées pourraient peut-être inspirer le comité d'organisation... ou au moins nous faire sourire sur la situation ! 😉 Merci beaucoup et prenez soin de vous et de vos proches. Je suis Ali le 'cuistot du béton' qui se demande si on ne devrait pas repenser nos villes pour qu'elles soient plus accueillantes, JO ou pas ! 🏙️🤔
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Journaliste/ Rédactrice en chef adjointe Groupe TF1. Sciences Po : EM management des médias et du numérique
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