Post de SYNALAF - Syndicat National des Labels Avicoles

[ Environnement ] Les Poulets Fermiers des Landes IGP/Label Rouge disposent d’un mode d’élevage unique et d’un environnement exceptionnel. Le maître mot de l’élevage des poulets fermiers des Landes est la liberté. Pour appliquer au mieux cette règle d’or, les éleveurs landais ont mis en place plusieurs règles de production : • Aucune limite : les parcours où évoluent les poulets ne sont pas délimités. Les poulets évoluent où ils veulent la journée et rentre naturellement la nuit dans les cabanes pour dormir ensemble. • La marensine, seul bâtiment autorisé. La marensine est la cabane traditionnelle utilisée dans l’élevage des poulets fermiers des Landes. Elles disposent de tout le confort nécessaire pour accueillir les poulets dès leur premier jour. Principe de base de la marensine: elle doit être mobile. • Rotation des parcours : les marensines, véritables mobil’homes, sont déplacées sur un site différent à la fin de chaque bande d’élevage. Cela permet à la végétation qui est à proximité directe des marensines de se régénérer. Autre avantage, chaque nouvelle bande de poulets dispose d’un site où la végétation est bien présente. Un luxe pour les poulets qui explorent les parcours à longueur de journée. Ce mode d’élevage landais, plus technique et contraignant qu’un élevage standard fait la fierté des agriculteurs landais, soucieux à la fois du bien-être animal, de l’environnement, du respect de la tradition et de la qualité irréprochables de leurs volailles.

[ Élevage ] Si nos Volailles Fermières des Landes IGP et Label rouge ont un goût et une saveur si uniques, c'est parce qu'elles sont choyées dans un environnement naturel et préservé. A l'abri et en sécurité la nuit dans les Marensines (petites cabanes déplaçables), elles sortent à l'extérieur dès les premières lueurs du jour et profitent d'un terrain de jeu sans limite : à l'ombre des pins ou des fougères, elles picorent la biodiversité à leur disposition dans le sol. Un élevage lent en totale liberté est un critère primordial du cahier des charges du Label Rouge, une assurance pour le consommateur de retrouver un goût incomparable et une qualité de viande irréprochable.

Pour votre projet d'aviculture, il est important de faire un bon choix de race de volaille🐓. Que ce soit pour la viande ou pour les œufs, il est indispensable de connaitre les caractéristiques de chaque volaille afin de déterminer ce qui correspond au mieux à votre objectif. Vous pouvez également opter pour un élevage mixte ! Le plus important, c'est de bien connaître les différences entre les deux types de race et de sélectionner celle qui vous convient. À la semaine prochaine pour d'autres conseils. Excellent week-end à tous ! Mon poulailler, Mon projet !

📢 [WEBINAIRE 04/06] La conduite du troupeau laitier vous intéresse ? 🐄 Dans la continuité de notre série de webinaires dédiés à la gestion du troupeau laitier, nous avons le plaisir d’organiser ce deuxième chapitre consacré à une approche avancée sur la gestion de la boiterie en élevage laitier, qui se tiendra le 4 juin de 19h à 20h.   👩⚕️ Ce webinaire sera animé par le Dr @Owen Atkinson, avec une traduction simultanée incluse. Voici le programme : 🔹L’importance de la notation et du suivi de la mobilité. 🔹L’approche EDPET (Early Detection Prompt Effective Treatment), élément clé du programme Healthy Feet qui a été conçu pour contribuer à réduire le nombre de vaches boiteuses à la ferme en identifiant et en appliquant les bonnes solutions. 🔹Aperçu de l’utilisation des AINS dans le cadre du traitement des boiteries. ➡ Inscrivez-vous : https://lnkd.in/eiT6wfii...   ✨Le webinaire sera disponible par la suite en replay après inscription sur ce même lien. Au plaisir de vous y retrouver ! Vetoquinol Global Vetoquinol France #webinaire #troupeaulaitier

Stéphane Bern présente les images de L214 issues de l’intérieur d’un élevage intensif de Belforêt-en-Perche (Orne). Sans étude d’impact sur l’environnement et en cours de procédure de demande d’autorisation, un exploitant d’un élevage de poulets, de dindes, de pintades a déjà commencé à remplir ses deux bâtiments avec des seuils qui dépassent les autorisations actuelles. En vérité, c’est pour le groupe LDC que ces animaux sont nourris et abattus. C’est LDC qui encourage l’intensification et qui refuse de s’engager contre le pire de l’élevage intensif. L214 porte plainte contre l’élevage et LDC pour mauvais traitements envers les animaux et exploitation d’une installation en violation du Code de l’environnement Signez la pétition pour demander au groupe LDC d’écouter la majorité des Français et des Françaises en arrêtant de soutenir le développement du pire de l’élevage intensif. Vous pouvez aussi interpeller les enseignes qui commercialisent les produits LDC.

Utiles sont ceux qui dénoncent les problèmes... Essentiels sont ceux qui trouvent des solutions. Enfin des journalistes qui encensent les formes d'aquaculture viables et responsables. On sait que la profession doit faire preuve de plus de bon sens paysans. Et que la profession tend de plus en plus à le faire. Mais si personne ne le dit, personne ne le sait. J'espère que cela sera bénéfique pour ceux qui se passionnent par ces formes de productions qu'elles soient intensive/semi-intensive ou extensive.

Jeudi 25 avril, Welfarm propose un webinaire avec Sebastien Moro et Gautier RIBEROLLES afin de mieux comprendre l'importance de protéger les saumons des systèmes d'élevages hyper-intensifs en projets en France. Les saumons sont des animaux capables de ressentir la douleur !

Imaginez un instant être un poisson, nageant paisiblement dans votre aquarium chez Decathlon. Soudain, une main surgit, vous attrape, et vous voilà empalé sur un hameçon, prêt à servir d’appât vivant pour attraper un plus gros poisson. C’est le sort réservé à des milliers de poissons vendus vivants dans les rayons pêche de l’enseigne de sport. Mais cette pratique pourrait bientôt appartenir au passé. La pêche au vif dans le viseur des associations animalistes Depuis plusieurs années, la pêche au vif, qui consiste à utiliser des poissons vivants comme appâts, est dans le collimateur des défenseurs du bien-être animal. Pour l’association PAZ (Paris Animaux Zoopolis), cette pratique s’apparente à de la “torture” et de la “souffrance animale”. Selon elle, Decathlon, en vendant ces poissons vivants, se rend complice de cette cruauté. Non seulement les poissons sont les seuls animaux vertébrés vivants à être vendus par Decathlon, mais ils le sont pour être torturés. Dénonce PAZ Des pétitions qui font mouche Pour faire entendre sa voix, l’association a lancé une soixantaine de pétitions en ligne visant spécifiquement les magasins Decathlon vendant ces poissons d’appâts. Avec parfois plusieurs milliers de signatures à la clé, ces pétitions semblent avoir trouvé un écho auprès d’un public sensible à la cause animale. Face à cette pression grandissante, certains magasins Decathlon ont fini par céder. Selon le décompte de PAZ, 13 enseignes ont déjà arrêté la vente de poissons vivants, soit un peu plus de 10% des magasins qui en proposaient jusque-là. Parmi eux, ceux de Bordeaux-Bègles, Carcassonne ou encore Pontivy. Vers une interdiction nationale ? Mais les ambitions de PAZ vont plus loin. En parallèle des pétitions visant Decathlon, l’association milite pour une interdiction pure et simple de la pêche au vif en France. Une pratique déjà bannie dans plusieurs pays européens comme l’Allemagne, l’Écosse ou la Suisse. En novembre 2023, une proposition de loi en ce sens a été déposée à l’Assemblée nationale par le député LFI Gabriel Amard. Reste à voir si elle sera inscrite à l’agenda parlementaire et si elle passera l’épreuve du vote. Decathlon favorable à une “transition” Du côté de Decathlon, on assure être favorable au développement de la pêche au leurre, sans appât vivant. L’enseigne dit même encourager ses clients à se tourner vers cette alternative. Nous sommes engagés dans la recherche, le développement et la vente de leurres de haute qualité, offrant des alternatives de plus en plus efficaces à la pratique traditionnelle de la pêche aux vifs. Affirme Decathlon Mais pour autant, l’enseigne ne semble pas prête à totalement tourner le dos à la pêche au vif du jour au lendemain. Évoquant la nécessité d’une “approche progressive et pédagogique” pour faire évoluer les mentalités des pêcheurs. Un sujet qui divise Car le sujet est loin de faire consensus. Pour de nombreux pêcheurs, la pêche au vif reste la technique la plus effica...

Dans cette interview vous en saurez plus sur le #brochet, une espèce pouvant atteindre les 10kg et vous découvrirez l'#ikejime, une méthode japonaise d'abattage qui sublime la chair du poisson...