Post de Thomas Bonte

[Concentrations] L’Autorité autorise le rachat de Kindred Group plc (Unibet), actif dans le secteur des jeux d’argent et de hasard, par FDJ - La Française des Jeux . Cette opération intervient quelques mois après que La Française des Jeux (FDJ) a renforcé sa position dans le secteur des paris en ligne en procédant à l’acquisition de ZEturf, ce qui a eu pour effet de faire entrer FDJ sur le marché des paris hippiques en ligne, seul marché du secteur des jeux en ligne qu’elle n’avait pas encore investi, et d’augmenter sa part de marché en matière de paris sportifs en ligne. Compte tenu de l’activité de Kindred sur les marchés connexes des paris sportifs et hippiques en ligne et du poker en ligne, l’Autorité considère que la présente opération est susceptible de présenter les mêmes types de risques congloméraux que ceux relevés dans le cadre de l’examen de l’opération ZEturf. Pour pallier les risques soulevés, FDJ s’engage à reprendre et à compléter les engagements pris en septembre 2023 dans le cadre de l’autorisation de l’acquisition de ZEturf et souscrit un nouvel engagement de séparation de marques. 📌 Pour mémoire, la FDJ s’était, dans le cadre des remèdes souscrits en 2023, engagée en particulier à ne pas exploiter ses activités de jeux en monopole pour le développement des jeux concurrentiels, à s’abstenir de pratiquer toute promotion de ses jeux concurrentiels dans les points de vente de son réseau ou auprès des joueurs de loterie en ligne, à filialiser ses activités concurrentielles et à continuer à donner l’accès à la masse commune des paris hippiques en ligne. https://lnkd.in/ePC-qteM #adlc #parissportifs

"FDJ : lancement d'une OPA sur Kindred pour 2,6 milliards d'euros- Ce lundi, La Française des jeux (FDJ) a annoncé son intention de lancer une offre publique d'achat sur l'ensemble du capital de l'opérateur de jeux en ligne Kindred pour un montant de 2,6 milliards d'euros. Objectif : former « un champion européen des jeux d'argent et de hasard », selon la FDJ. Kindred, qui détient notamment Unibet, « est un acteur de premier plan dans le secteur des paris et des jeux d'argent en ligne en Europe » et ce rapprochement donnera naissance à un « champion européen au profil financier renforcé », souligne la FDJ. L'offre du groupe français, qui porte sur l'ensemble du capital de Kindred, " est faite au prix de 130 couronnes suédoises par action de Kindred, coté au Nasdaq à Stockholm ", un prix " qui représente une prime de 24% sur le cours de clôture au 19 janvier et correspond à une valeur d'entreprise de 2,6 milliards d'euros pour Kindred ". Elle sera ouverte le 19 février prochain, " pour une période de neuf mois maximum". Une solide performance au quatrième trimestre Côté résultats, la FDJ a par ailleurs annoncé ce lundi un chiffre d'affaires global de 747 millions d'euros, en hausse de 13,8 % par rapport au troisième trimestre. Toutes les activités enregistrent une bonne performance ", assure la FDJ. Sa loterie enregistre un chiffre d'affaires de 531 millions d'euros en hausse de +7,8 % et les paris sportifs et jeux en ligne " confirment leur bonne dynamique ", avec un chiffre d'affaires de 159 millions d'euros, en progression de 14,9 %. Sur l'ensemble de l'exercice 2023, le chiffre d'affaires global de l'opérateur ressort à 2,621 milliard d'euros, en progression de 6,5 %. Le groupe communiquera ses résultats 2023 le jeudi 15 février 2024 avant Bourse." Boursorama for information

La Française des Jeux (FDJ) vient de réaliser la plus importante acquisition de son histoire en rachetant Kindred, propriétaire de la marque Unibet, pour 2,6 milliards d’euros. Cette opération place la FDJ au deuxième rang des jeux d’argent en Europe et renforce sa position sur le marché en ligne, un domaine où elle était jusque-là peu présente. Avec ce rachat, la FDJ entre dans le secteur du casino en ligne, une activité interdite en France mais prospère sur de nombreux sites illégaux. Stéphane Pallez, PDG de la FDJ, rappelle que Kindred a déjà amorcé un virage vers des marchés régulés. L’entreprise suédoise réalisait encore 18 % de son activité sur des marchés non régulés fin 2023, mais la FDJ a pris des mesures pour cesser les activités illégales en Norvège et en Hongrie. En revanche, Kindred restera en Finlande, où la législation sur les jeux en ligne évoluera en 2026. Cette opération soulève des inquiétudes chez les concurrents, notamment dans l’industrie des casinos physiques. Romain Tranchant, président du Groupe Tranchant, s’inquiète de l’avantage concurrentiel que la FDJ pourrait obtenir si le casino en ligne venait à être autorisé en France. Il déplore également que l’opérateur, partiellement détenu par l’État, puisse utiliser les revenus issus de ses activités sous monopole pour se développer sur des marchés concurrentiels. Isabelle Falque-Pierrotin, présidente de l’Autorité nationale des jeux (ANJ), exprime également des réserves quant à l’impact de cette acquisition sur les équilibres concurrentiels du marché. La FDJ devra veiller à ne pas adopter une stratégie commerciale trop agressive, conformément à la jurisprudence européenne qui encadre la croissance des monopoles. L’ANJ promet de surveiller étroitement non seulement la FDJ, mais aussi ses concurrents, qui pourraient intensifier leurs actions marketing pour conserver leurs parts de marché. Stéphane Pallez rappelle que l’acquisition a été approuvée par l’Autorité de la concurrence et souligne que, malgré cette expansion, la FDJ ne sera que le troisième opérateur sur le marché français des paris sportifs en ligne, derrière Winamax et Betclic. Par ailleurs, la FDJ s’est engagée à séparer strictement ses activités sous monopole de celles en concurrence, notamment en créant des filiales distinctes et en utilisant des marques différentes pour les paris sportifs en ligne (Unibet) et en points de vente (Parions Sport). Les casinos, de leur côté, demandent des garanties pour éviter que la FDJ ne bénéficie d’un nouveau monopole si le casino en ligne venait à être autorisé en France. En parallèle, une possible augmentation de la fiscalité sur les jeux d’argent inquiète le secteur, bien que la FDJ affirme qu’aucune mesure fiscale concernant les jeux d’argent n’est prévue dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale à court terme. Cependant, cette perspective pourrait resurgir à l’avenir.

Conseil en stratégie : Décryptage de la stratégie de la FDJ pour devenir le champion européen des jeux d'argent et de hasard 🎰🇫🇷   Le groupe a publié des résultats 2023 en progression avec l’acquisition de ZEturf et la bonne dynamique des paris sportifs et jeux en ligne.   ✅ Contexte : En poste depuis 10 ans, la patronne de la Française des Jeux Stéphane Pallez a été confirmée à son poste pour 4 années supplémentaires par le conseil d'administration. L’occasion de revenir sur la stratégie du groupe privatisé en 2019. Avec deux objectifs clairs : 1️⃣ Conforter sa place de leader sur le marché français des jeux d’argent et de hasard 2️⃣ Renforcer la solidité de son modèle avec la diversification de ses sources de revenus   🔎 Axes stratégiques : La stratégie se décline autour de 4 axes : 1️⃣ Développer l’activité B2C à l’international 2️⃣ Renforcer les activités en dehors des jeux d’argent. Ex : FDJ Services (filiale spécialisée dans les services d’encaissement et paiement de proximité) 3️⃣ Accélérer la digitalisation de l’activité Loterie 4️⃣ Conquérir des PDM sur les paris sportifs en ligne, avec un élargissement vers 2 verticales : poker et paris hippiques   🏆 Pour aller plus loin : La FDJ a de fortes ambitions en Europe. En effet, elle a annoncé en janvier le lancement d'une OPA sur le suédois Kindred (maison mère d’Unibet). Si l'opération aboutit, la FDJ va renforcer sa présence en Europe et avoir les moyens d'investir de nouveaux terrains comme le casino en ligne !   Vous cherchez un stage en Conseil ? Préparez-vous avec Training You ! Détails dans le premier commentaire 👇

𝐂𝐨𝐧𝐭𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐞𝐧𝐭𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐭 𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐭𝐢𝐞𝐫𝐬 L’Autorité de la concurrence vient de donner son feu vert au rachat de Kindred Group plc (Unibet) par la FDJ - La Française des Jeux au titre du contrôle des concentrations mais sous réserve d'engagements.   L’autorisation de cette opération est en effet conditionnée à une séparation des activités sous monopole et concurrentielles de la FDJ notamment en ce qui concerne les marques.   Ainsi, au-delà des engagements souscrits par la FDJ en septembre 2023 dans le cadre du rachat du groupe ZEturf, l’Autorité souligne ce jour dans son communiqué que :   "𝑒𝑛 𝑟𝑒́𝑝𝑜𝑛𝑠𝑒 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑏𝑠𝑒𝑟𝑣𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑟𝑜𝑔𝑒́𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑑𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑠𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑒́𝑠, 𝐹𝐷𝐽 𝑠𝑜𝑢𝑠𝑐𝑟𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙 𝑒𝑛𝑔𝑎𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑠 : 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑓𝑓𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑗𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑢𝑟𝑟𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙𝑠 𝑠𝑒𝑟𝑜𝑛𝑡, 𝑎̀ 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑖𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑢𝑛𝑒 𝑜𝑢 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒(𝑠) 𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒(𝑠) 𝑎𝑢𝑥 𝑗𝑒𝑢𝑥 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑢𝑟𝑟𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙𝑠 𝑒𝑡 𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑑𝑒 𝑟𝑎𝑐𝑖𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑒 𝑜𝑢 𝑑𝑒 𝑙𝑜𝑔𝑜 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒𝑠 𝐹𝐷𝐽, 𝑃𝑎𝑟𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑆𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑃𝑜𝑖𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑉𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑜𝑢 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎𝑞𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝐹𝐷𝐽 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑖𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑠𝑒𝑠 𝑗𝑒𝑢𝑥 𝑠𝑜𝑢𝑠 𝑑𝑟𝑜𝑖𝑡𝑠 𝑒𝑥𝑐𝑙𝑢𝑠𝑖𝑓𝑠".   Cette affaire est donc l’occasion de rappeler que les tiers peuvent jouer un rôle actif et déterminant dans le cadre du contrôle des concentrations à condition d’apporter à l’Autorité des éléments d’informations éclairants et de qualité relatifs à l’opération et aux marchés qu’elle concerne.   Les tiers qui souhaitent influer sur l’examen d’une opération doivent ainsi s’assurer que leur intervention entre pleinement dans le cadre d’analyse de l’Autorité et y consacrer le temps et les ressources appropriées. A défaut, l’Autorité n’apporte aucun crédit aux demandes s’apparentant à de simples "listes de courses".   Dans le cadre du rachat de Kindred par la FDJ mais aussi, en septembre 2023, lors de la prise de contrôle du groupe ZEturf, Carve est intervenu pour représenter des tiers à l’opération en vue notamment de demander la mise en place d’un engagement visant à la séparation des marques pour les activités sous droits exclusifs et celles sur les marchés concurrentiels. https://lnkd.in/e5tU4kVj

📢 Breaking News (retail ) : FDJ - La Française des Jeux franchit une nouvelle étape majeure ! La FDJ boucle le rachat de l’opérateur suédois Kindred, propriétaire du site Unibet, renforçant ainsi sa position sur le marché européen des jeux en ligne. Cette acquisition stratégique permettra à la FDJ de devenir le troisième opérateur de paris sportifs et de jeux d’argent en ligne en France, ouvrant la voie à de nouveaux enjeux de régulation et de concurrence. 🔍 Enjeux sociaux et économiques : le secteur des café-tabac en toile de fond Le rachat de Kindred n’est pas sans lien avec l’écosystème plus large des points de vente FDJ, notamment les buralistes, qui jouent un rôle crucial dans la distribution des jeux de loterie et des paris sportifs. Actuellement, la France compte plus de 24 000 buralistes, qui agissent à la fois comme points de vente de jeux, de tabac et de produits dérivés. 🎯 Le rôle des buralistes : au croisement du social et du business Les buralistes ne sont pas seulement des commerçants : ils occupent une place centrale dans la dynamique sociale de nombreuses communes, servant de lien local tout en générant des revenus importants grâce à la vente de jeux de la FDJ et de tabac. En 2023, la FDJ a étendu son réseau en intégrant ces points de vente dans sa stratégie d’expansion des jeux en ligne et de paris sportifs. 🔮 Enjeux futurs : diversification et régulation Le futur du modèle FDJ-buraliste sera marqué par plusieurs défis, dont la transition vers le digital, la régulation stricte des jeux d’argent, et la diminution progressive des ventes de tabac, en ligne avec les objectifs de santé publique. Toutefois, les buralistes continueront d’évoluer, en renforçant leur rôle dans la vente de services numériques (comme le paiement de factures) et la diversification de leurs offres commerciales. 🚀 Avec ce rachat de Kindred et son réseau de buralistes, la FDJ se prépare à un avenir où la frontière entre jeux d’argent et commerce de proximité se redéfinit continuellement. Une étape stratégique pour anticiper les besoins d’un marché en pleine mutation. Quelles sont votre vision du rôle des buralistes ? Partagez vos réflexions en commentaire !

#Casinos : un #jackpot de 182 M€ dans les #Savoie et l’#Ain. Le marché français des jeux d’#argent et de #hasard a enregistré, en 2023, une croissance record de son chiffre d’affaires à 13,4 milliards d’euros, pour la première fois depuis 2019. L’activité des casinos, en hausse aussi de 8,1 %, s’inscrit dans cette dynamique. Le marché des jeux d’argent et de hasard rafle la mise. Selon l’ANJ (Autorité Nationale des Jeux) jeux, le produit brut des jeux (PBJ), ou l’équivalent du chiffre d’affaires, enregistre un record à 13,4 milliards d’euros (Md€) en 2023, soit une croissance de 3,5 % par rapport à 2022. Et pour la première fois depuis 2019, l’ensemble des segments du marché progresse, avec des hausses inégales variant de 0,9 % à 14,1 %. La FDJ - La Française des Jeux (FDJ) établit un nouveau record à 6,6 Md€ (+1,8 %), totalisant environ 27 millions de joueurs (+6 %), le pari sportif en tête. Quant aux jeux en ligne, ils augmentent de 7,2 % à 2,3 Md€ (17,5 % de parts de marché), comparativement à une année 2022 en stabilité. Là encore, le marché en ligne est porté par le pari sportif, avec 63,3 % du PBJ en ligne, suivi du poker (21,6 %) et du pari hippique (15,1 %). Dynamique des casinos S’agissant des casinos, lourdement pénalisés pendant la crise, la reprise se confirme. Sur l’exercice 2022-2023 (clôturé au 31 octobre), le PBJ des 203 établissements français a atteint le chiffre record de 2,7 Md€, en hausse de 8,1 %. Cette performance concerne la majorité d’entre eux : 73,8 % ont retrouvé un PBJ supérieur à celui de 2019. Interrogé sur son activité, Casinos de France, #syndicat de la profession, évoque davantage « une progression logique et attendue ; 2023 étant la première vraie saison complète après deux ans de covid ». Et Philippe Bon, son délégué général, de modérer ces bons résultats par une baisse tout aussi significative de la fréquentation de 8 %, avec 31 millions d’entrées : « Pendant la crise, les joueurs se sont tournés vers d’autres jeux en ligne, légaux ou illégaux. De fait, quand nous avons rouvert, toute la clientèle n’était pas au rendez-vous. S’y ajoutent l’inflation et la hausse des prix de l’énergie… D’où l’importance des animations dans les casinos, qui peuvent faire la différence. » En Pays de Savoie et dans l’Ain, les treize établissements ont, au global, enregistré des hausses sensibles, cumulant un PBJ de 182 M€. Divonne, qui se classe en tête (10e au niveau national) avec un PBJ de 42,7 M€, ne progresse toutefois que de 1,1 %. Il est suivi de... Lire la suite sur : https://lnkd.in/d87TY69s

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