Post de tpg transports publics genevois

"Une puissance moderne " Je vous invite aujourd’hui à découvrir la Table des Matières du livre "L’Héritage antialcoolique", deuxième ouvrage de la série "Par-delà les alcoolismes…" Même si sa rédaction est maintenant bien avancée, il me faudra bientôt affiner et préciser cette Table des Matières. Pour le moment l’ouvrage est structuré autour de cinq chapitres et cette structure ne changera pas beaucoup désormais : l’objectif principal est de montrer comment l’antialcoolisme s’est installé et développé en France tout au long de la 3ème République. Il s’y trouve à mon sens toutes les racines du tropisme des méfaits, même si, évidemment, le contenu et la forme se sont sensiblement modifiés. Mais le mouvement antialcoolique, nous a aussi légué toute une tradition philanthropique et l’on peut dire alors que l’héritage antialcoolique comporte autant de pesanteurs qui nous tirent en arrière, avec le tropisme des méfaits, que d’aspirations à secourir et à prévenir, avec la persistance de la solidarité humaine.   Un événement me semble bien représenter ce grand mouvement : le premier congrès national antialcoolique d’octobre 1903 qui dura une semaine entière, réunissant plus de 500 participants. Différents intervenants se succédèrent à la tribune dressant un bilan des premières décennies de l’antialcoolisme ainsi qu’un programme pour les décennies suivantes. Il est l’occasion d’exposer "Une puissance moderne", sculpture de Eugène Legrain, père de l’apôtre de l’antialcoolisme, Paul-Maurice Legrain. On y voit le malfaisant mastroquet (le cabaretier) qui écrase de toute sa puissance le malheureux alcoolique, en proie à sa folie et soutenu par sa femme, sous les yeux de leur petite fille désespérée. Le comptoir est occupé par des bouteilles et des verres que le mastroquet remplit, on y aperçoit aussi l’inscription ABSINTHE… Les thèmes majeurs de l’antialcoolisme sont présents dans cette œuvre : l’aliénation mentale résultant de l’alcoolisme, l’antagonisme entre cabaret et foyer, la famille et l’enfance maltraitées, le combat pour l’interdiction de l’absinthe… Cette reproduction provient de la collection de Victoria Afanasyeva dont on lira les précieux commentaires sur le site Histoire(s) du mouvement antialcoolique en France (https://lnkd.in/eAfdQiei).   La couverture du livre L’Héritage antialcoolique pourrait bien s’inspirer de cette reproduction représentative. En effet, avec "Une puissance moderne" ne retrouve-t-on pas à la fois le tropisme des méfaits dans sa présentation des malheurs de la personne alcoolique et de sa famille ainsi que l’aspiration à la bienveillance symbolisée par les attitudes de l’épouse et de la petite fille ?

Quand les punaises rencontrent Saint Jean. Dans les écrits des IIe et IIIe siècles, une curieuse histoire des Actes de Saint Jean nous raconte comment l'apôtre a fait face à un lit infesté de punaises. Avec calme, il s'adressa à elles, leur demandant de partir, et, étonnamment, elles obéirent. Le lendemain, lorsque Saint Jean s'en alla, elles revinrent infester le lit, à sa demande. Dans notre monde moderne, face à des invités indésirables tels que les punaises, nous n'avons plus les punaises d'antan qui écoutaient et obéissaient. 🙂 Plutôt que d'espérer une intervention apostolique dans nos foyers ou nos lieux de travail, il est pragmatique et efficace de se tourner vers les solutions modernes que nous avons à notre disposition. Les professionnels de la désinsectisation sont nos "apôtres" modernes, armés non de miracles, mais de connaissances scientifiques et d'outils spécialisés pour garantir que nos espaces restent sains et libres de nuisibles. Faire appel à un professionnel n'est pas seulement une question de commodité; c'est une démarche responsable et civile qui protège la santé et le bien-être commun. En matière de nuisibles, il est toujours préférable de s'adresser directement aux experts. Laissons les histoires de punaises obéissantes aux temps anciens et embrassons les solutions modernes pour un avenir sans nuisibles.

Comment choisir entre inhumation et crémation ? 🕊️   Dans le parcours délicat des obsèques, la décision entre inhumation et crémation requiert réflexion.   L'inhumation (ou enterrement) traditionnelle place le défunt en terre, souvent dans un cimetière. La famille peut choisir une concession, avec des options temporaires ou perpétuelles. À terme, des choix flexibles s'offrent : renouveler la concession, procéder à la crémation, ou placer les restes dans l'ossuaire communal.   La crémation, pratiquée dans un crématorium, est une option en croissance. Les cendres peuvent être placées en urne dans un caveau, un columbarium, dispersées dans la nature, ou en mer. SOFI Funéraire accompagne la famille dans ce choix intime.   Conseil : La communication des volontés évite des décisions difficiles aux proches. Nos Opérateurs Funéraires Indépendants sont là pour répondre aux demandes personnalisées. Rappelons que la crémation, tout comme l'inhumation, peut être réversible si des volontés claires émergent ultérieurement.   Dans ces moments délicats, SOFI Funéraire honore la diversité des choix funéraires et accompagne chaque famille avec empathie et professionnalisme.   N’hésitez pas à consulter notre site internet : https://sofifuneraire.fr/   #independant #pompesfunebres #groupement #sofi #gofi #operateurfuneraire

📌Si Dieu a pu faire passer Israël à pied sec à travers la mer Rouge, alors il est capable de te protéger de la pluie sans qu'un parapluie ne te touche, te gardant ainsi sec même sous une pluie diluvienne. Rien n'est impossible pour Dieu. Que ce soit le jour de ton heureux événement ou lors de ton lancement officiel, tu ne seras pas dérangé par les pluies diluviennes. Même lorsque tu investirais dans le vin de Bordeaux, l'immobilier ou la formation en ligne, le marché ne se dégradera pas. Tout se passera bien pour toi. ✅L'onction du Saint-Esprit peut te permettre de faire les choses différemment. Tout le monde joue au football, mais l'autre le fait différemment. Tout le monde chante et danse, mais Joes Madi le fait différemment. Tout le monde a étudié le droit, mais certains le pratiquent différemment. D'autres promeuvent des formations professionnelles, mais d'autres le font différemment. Tous prophétisent, mais d'autres prophétisent différemment. En apportant une touche d'innovation, tu peux impressionner tes clients et te démarquer de tes concurrents. Des témoignages pour nourrir ta foi sont disponibles ici :⬇️ https://lnkd.in/eWB5CtaR Tu peux commencer par lire gratuitement sur👏 https://lnkd.in/eJ5wP_yD

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Imaginez un instant que vous viviez au XVIIe siècle en France. Une époque où la simple accusation de sorcellerie pouvait vous conduire au bûcher. Mais saviez-vous que c’est paradoxalement sous le règne du Roi Soleil, Louis XIV, que la chasse aux sorcières a pris fin ? Et tout cela grâce à l’arrestation d’une mystérieuse empoisonneuse de la cour. Un contexte propice aux scandales Le XVIIe siècle en France est marqué par une succession d’affaires retentissantes mêlant sorcellerie et empoisonnements. Des nobles sont accusés d’organiser des messes noires. Des rumeurs courent sur l’implication de la maîtresse du roi, Madame de Montespan, dans ces sombres histoires. C’est dans ce contexte que survient l’arrestation qui va tout faire basculer. L’arrestation qui change tout Les historiens s’accordent à dire que c’est l’arrestation d’une empoisonneuse de haut rang qui a précipité la fin de la chasse aux sorcières. Robert Mandrou, éminent spécialiste, parle même d’une véritable « révolution culturelle » dans son ouvrage Magistrats et sorciers en France au XVIIe siècle. Cette révolution est venue de la ville, en particulier des élites juridiques, et non de la cour. – Robert Mandrou 1682 : l’ordonnance royale qui met fin aux bûchers Quelque temps après ces scandales, en juillet 1682, Louis XIV promulgue une ordonnance royale qui met un terme définitif aux procès de sorcellerie. Fini les bûchers, fini les accusations. Un revirement aussi soudain qu’inattendu. Certes, il y aura encore quelques dérapages isolés au siècle des Lumières. Mais globalement, on assiste à la disparition des procès en sorcellerie, et ce, bien avant la Révolution française contrairement à ce que l’on pourrait penser. Les raisons d’un tel revirement Comment expliquer une telle volte-face ? Plusieurs hypothèses sont avancées par les historiens : La prise de conscience par les élites de l’absurdité des accusations de sorcellerie La volonté du roi de mettre fin à des scandales qui éclaboussent la cour L’influence croissante de la pensée cartésienne et rationnelle Toujours est-il que l’ordonnance de 1682 marque un tournant capital. La sorcellerie n’est plus assimilée à un crime passible de la peine de mort. On entre dans une ère nouvelle, où la raison commence à l’emporter sur la superstition. Épilogue Ainsi, c’est paradoxalement le Grand Siècle qui sonne le glas de la chasse aux sorcières en France. L’arrestation d’une empoisonneuse aura, par un curieux concours de circonstances, précipité ce basculement historique. Preuve que l’histoire est souvent faite d’évènements a priori anecdotiques, mais qui ont un retentissement insoupçonné. The post L’Arrestation d’une Empoisonneuse Met Fin à la Chasse aux Sorcières first appeared on ViralMag.fr.

Émission extraordinaire d’un homme extraordinaire et médiocrité de la classe politique actuelle. 3 axes de cette émission - Science Po n’est plus et ne peut plus être une grande école. - Le président Macron assassine la France , c’est le meurtrier de la France pour une Europe mondialiste et financière - Le progressisme en marche est cette dynamique à cliqué de destruction de l’être humain. Pacs, mariage pour tous. adopton par le couple homosexuel, GPA, Transgenre, Transhumanusme , l’homme robot individu fabriquéé par clonage industriel. Notre monde est sur la voie irresponsable et inconsciente de la séparation de l’homme avec la vie avec le sacré., l’absolu de la vie, l’amour universel par un égoïsme et un égotisme déifiés. J’espère que mon petit fils de deux ans fera partie de cette jeunesse qui fera renaître après beaucoup de printemps l’espérance de la vie l’espérance du sacre,de l’union de l’homme avec la vie, avec la nature le sacré et l’absolu. Nos temps avec ses acteurs destructeurs type Macron sont sur 3 lignes de dstructions profonde - celle de la formation de nos élites - celle de la France par l’Europe - celle de l’homme qui doit devenir sans vie sans amour et sans conscience. Espérance de la prise de conscience d’une nouvelle jeunesse en apparition.

"À l'occasion du début du mois des mémoires, consacré à la #mémoire de l'esclavage, nous vous proposons d'écouter sous la forme originale d'un podcast la définition du mot : marronnage. Avec le comédien Yao Louis decouvrez la lettre M de l'Abécédaire des Outre-mer. “Neg mawon”, vous avez sans doute déjà entendu ce terme quelque part. Peut-être avec le groupe de hip-hop à la mode dans les années 2000 et qui portait ce nom. “Fiers d’être Neg’Marrons”, c’était même l’une de leurs chansons. Alors vous vous en doutez, neg mawon est une contraction de "nègre" et cette expression est le fruit de toute une histoire. Le nègre marron était le nom attribué à celui qui s’était rendu coupable de marronnage. Nous y voilà : M comme marronnage. C’est au temps de l’#esclavage que ce terme a vu le jour. Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, des milliers d’hommes et de femmes esclavisés se sont enfuis des domaines de leurs maîtres pour trouver refuge dans des lieux reculés. C’était ça le marronnage : avoir fui la plantation et tenter de vivre libre. Le terme provient de l’espagnol “cimarrón” qui signifie “celui qui vit sur les cimes”. Le mot désignait à l’origine du bétail échappé dans les collines de l’île d’Hispaniola, aujourd'hui #Haïti et la Républicaine Dominicaine. Lors de la conquête espagnole, le terme aurait peu à peu été utilisé pour qualifier les Amérindiens qui se révoltaient et partaient se réfugier dans les montagnes. Il se serait ensuite répandu dans toutes les colonies, aux #Antilles, en #Guyane, à #LaRéunion, pour désigner les esclaves en fuite. " (...) #histoire #culture

Amitav Ghosh est un auteur indien de fiction et de non-fiction. Dans la Trilogie de l’Ibis, il est parti du commerce et de la guerre de l’opium pour traiter de l’impact planétaire du colonialisme et de la mondialisation. Il reprend cette thématique dans son dernier essai Smoke and Ashes, Opium’s Hidden Histories (2024), dans lequel le pavot à opium se voit reconnaître sa propre agentivité. Dans son travail, Ghosh se concentre sur la place donnée au capitalisme dans le récit commun sur le changement climatique et la crise de l’extinction, afin de montrer leurs causes souvent moins visibles et plus profondes – le colonialisme et l’impérialisme. De livre en livre, depuis Le Grand Dérangement, D’autres récits à l’ère de la crise climatique (2021), Ghosh a créé de nouveaux récits qui incitent les lecteurs à penser ces crises en adoptant un point de vue radicalement différent. Avec La Malédiction de la muscade, Une contre-histoire de la modernité (2024), l’auteur aborde la malédiction des ressources, en l’examinant à partir des îles Banda du XVIIe siècle et en retraçant son histoire de l’océan Indien aux Amériques et à l’Europe. https://lnkd.in/e8GeBrD4

🔥 "𝘓'𝘦𝘳𝘳𝘦𝘶𝘳 𝘦𝘯 𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘮𝘰𝘯𝘥𝘦 𝘥'𝘰𝘶̀ 𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘷𝘪𝘦𝘯𝘵, 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘱𝘢𝘴 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘮𝘰𝘯𝘥𝘦 𝘰𝘶̀ 𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘷𝘢." - Aurélien Barrau Je m'apprêtais à écrire un post sur le thème de l'éco-anxiété, et puis je suis tombée sur la vidéo de la conversation publique "Heureuses erreurs" d'Aurélien Barrau et Camille Boitel - ce qui m'a fait construire un pont (de singe...) entre les deux sujets. Depuis que j'ai tout plaqué il y a 5 ans pour cause d'éco-anxiété, je me suis souvent questionnée sur ce thème de l'erreur: "Ai-je bien fait de quitter mon travail au CNRS ? Ai-je bien fait de quitter mon apart parisien ? Ai-je bien fait de partir vivre à 500km de ma fille sous prétexte de lui préparer un meilleur avenir ? Qu'ai-je finalement accompli depuis ? Se peut-il que j'ai fait fausse route depuis le début ?"... 🛣️ 𝘜𝘯𝘦 𝘳𝘰𝘶𝘵𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘢𝘭𝘭𝘦𝘳 𝘰𝘶̀ ? 🚧 Je pourrais raconter mon histoire pour qu'elle ressemble à une success story (=histoire sans erreurs), mais la vérité c'est que je me sens cabossée et que je regrette clairement certains choix (=histoire avec erreurs). 𝗡𝗼𝘂𝘀 𝘀𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗳𝗮𝗶𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘀 𝗲𝗿𝗿𝗲𝘂𝗿𝘀 - disent Aurélien et Camille -, et la seule souffrance qu'elles peuvent générer vient du regard binaire que nous portons sur elles (= "c'est bien" ou "c'est mal"). Alors serait-il possible de 𝘀'𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝗱𝗿𝗶𝗿 𝗱𝗲𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗻𝗼𝘀 "𝗲𝗿𝗿𝗲𝘂𝗿𝘀" 𝗲𝘁 𝗱'𝘆 𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗹'𝗮𝗰𝗰𝗼𝘂𝗰𝗵𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝗱𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗮𝘂 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 ? Mais en reconnectant ce thème de l'erreur à celui de l'éco-anxiété, je me demande: serait-il aussi possible de 𝘀'𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝗱𝗿𝗶𝗿 𝗱𝗲𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 "𝗲𝗿𝗿𝗲𝘂𝗿𝘀" 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗹’𝗲𝘀𝗽𝗲̀𝗰𝗲 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗽𝗹𝗮𝗻𝗲̀𝘁𝗲, et d'y voir la même exploration du champ des possibles ? Ce qui, encore une fois, n'excuse en rien les atrocités du monde, qu'elles soient individuelles ou collectives et n'enlève rien à la confrontation du champ des possibles aux limites planétaires - mais nous amène simplement à 𝗰𝗵𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗿𝗲𝗴𝗮𝗿𝗱 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗲𝗿𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗻𝗶𝘁𝗲́. En ce qui me concerne, cette pensée - assez subversive - est finalement la seule qui parvient à véritablement apaiser mon éco-anxiété. Merci en tous les cas à Aurélien et Camille pour leur étonnant binôme. Je retiendrai surtout qu'il est barbant de tout réussir, et que ce que nous aimons par dessus tout chez les autres, ce sont leurs fragilités... #successstory #erreurs #arts PS: une autre ressource que je recommande sur le thème des erreurs: "les vertus de l'échec" de Charles Pépin.