Post de TRALALERE

📲 Êtes-vous accro au portable ? Participez à notre grande enquête nationale ! ➡️ https://lnkd.in/gS-qf2ER    😟 89% des jeunes âgés de 18 à 24 ans seraient dépendants de leur mobile et 58% des moins de 35 ans profiteraient d’un réveil nocturne pour le consulter, selon une étude GROUPE IFOP réalisée pour Agir pour l'Environnement.   Malgré les alertes émises par un nombre toujours plus important de scientifiques, professionnels de santé, enseignants ou parents sur l’impact du smartphone sur les capacités attentionnelles des enfants, rien ne semble venir limiter un temps d’écran qui s’établit déjà à plus de 6h40 par jour chez les adolescents.   Nous aurions pourtant tort de croire que cette addiction serait une spécificité adolescente. Toutes et tous, à des degrés divers, sommes devenus accros à nos portables… 🤳   👉 Afin de mesurer précisément votre degré d’addiction et nous permettre d'établir un indicateur d’exposition aux mobiles, nous vous proposons de participer à une grande enquête nationale. En quelques minutes, répondez à une dizaine de questions et retrouvez les résultats de notre sondage. 🔗 https://lnkd.in/gS-qf2ER

À votre avis ? Avons-nous la notion du temps ? Combien d'heures nos enfants passent-ils sur les écrans les jours sans école ? Sachant que les enfants ont : 🔸 Entre 5 et 7 ans : 34% 🔺 Entre 8 et 10 ans : 31% 🔹 Entre 11 et 14 ans : 35% Le temps passé devant les écrans (TV, console, téléphone...) les jours sans école : 🔵 37,2% passeraient moins de 2h par jour 🔴 43,7% seraient devant les écrans entre 2 et 4h par jour 🟠 15,8% entre 4 et 6h 🟢 3,3% plus de 6h Quel est votre avis sur ces chiffres ? Pour participer à ce questionnaire (3min), n'hésitez pas à cliquer et à partager 😉⬇️ https://lnkd.in/ebttDT8S

Des outils pour équiper en douceur les #jeunes ados de #téléphone #portable. Conseils et logiciels adaptés, pour sécuriser sans espionner. Une progressivité des accès selon l’âge est un horizon constructif.

À la recherche du temps perdu ! Tel est le titre – très à-propos – du rapport d’experts remis aujourd'hui à Emmanuel Macron. Des médias ont pu accéder en amont aux conclusions des experts missionnés par l’exécutif et elles sont formelles : « Il s’est dégagé un consensus très net sur les effets négatifs, directs et indirects, des écrans », notamment sur « le sommeil, la sédentarité – qui favorise l’obésité – ou encore la myopie ». Et de préciser que les réseaux sociaux sont un « facteur de risque » de dépression ou d’anxiété, en cas de « vulnérabilité préexistante ». Par ailleurs, « le niveau d’exposition des enfants » à des contenus pornographiques et violents « apparaît alarmant ». Les #préconisations du rapport : 🚫 L’interdiction de l’usage des écrans aux enfants de moins de 3 ans ; 📉 La limitation très forte pour les enfants entre 3 et 6 ans avec un accès exclusif à des contenus de qualité éducative et accompagné par un adulte ; 🚫 L’interdiction des téléphones portables aux moins de 11 ans ; 👦🏻 L’accès au téléphone portable qu’à partir de 11 ans, via un téléphone sans Internet jusqu’à 13 ans ; 📱 La possibilité de disposer d’un smartphone sans accès aux réseaux sociaux à partir de 13 ans, puis d’ouvrir cet accès à partir de 15 ans. Amine Benyamina, neurologue et coprésident du comité d’experts, pointe les biais cognitifs « utilisés pour enfermer les enfants sur leurs écrans, les contrôler, les réengager, les monétiser. C’est une économie de la captation. Les parents sont quasiment hors-jeu, face à un marché qui s’est imposé à la société. » Servane Mouton, neurologue et également coprésidente du groupe, ajoute quant à elle : « Ce qui nous a heurtés, c’est que les professionnels n’ont pas comme priorité la protection des enfants. Derrière les discours de façade, c’est “business à tous les étages”». Face à l’hyperconnexion, le rappel inquiétant et sans fin du bon sens : il est urgent d'agir, collectivement ! Le retour au temps long, comme la lecture de #livres et de #magazines ou l’écoute de séries audio et #podcasts, est un fabuleux palliatif. Ça tombe bien, c’est ce que nous essayons de faire au quotidien chez UNIQUE HERITAGE MEDIA en proposant des contenus de qualité adaptés à tous les âges et à tous les goûts : les magazines Fleurus Presse et Disney Magazines, les livres et podcasts Quelle Histoire sans oublier l’excellent magazine d’actualité scientifique Epsiloon. Petit récapitulatif des recommandations du rapport avec les chiffres clés – éclairants ! – liés aux usages des écrans chez les enfants dans La Voix du Nord👇🏻

📲 Vous trouvez que les ados et les enfants sont accros à leur smartphone (ou celui que leur prête leurs parents) ? Ce phénomène ne touche pas que les plus jeunes. Consultez-vous la partie "Temps d'écran" dans les réglages de votre téléphone ? Les données sont parfois surprenantes et flippantes. Si vous possédez un iPhone, une notification vous donne le temps passé tous les lundis à 9h20. 🤓 Vous n'êtes pas surpris si l'on vous dit que l'utilisation extrême des écrans représente un réel danger aujourd'hui pour les plus jeunes, mais aussi chez les adultes. Si le sujet vous préoccupe, nous avons réalisé de nombreuses recherches sur ce sujet qui nous tient particulièrement à cœur. Certes, nous sommes les premières chez au2vi à travailler sur un ordinateur toute la journée, mais l'utilisation après notre journée de travail est limitée pour profiter de nos familles, de bons bouquins et surtout pour préserver notre santé mentale, nos yeux, mais pas que ! Ces outils sont formidables avec une utilisation raisonnée. Découvrez une mine d'informations dans l'article publiée sur notre site web. 👇

Tu veux plus de temps d’écran ?  Vois ça avec le Président. Chaque jour où presque, mon ado de 13 ans négocie son temps d'écran, ayant toujours une “bonne raison” d'allonger ses 45mn quotidiennes : “juste” ma musique / juste Ecole Directe / juste poser une question sur le groupe classe / juste pour mon réveil… J’ai acheté un réveil à pile et j’ai mis Ecole Directe sur l’ordi du salon. Mais ça reste un sujet quotidien. Comment l’aider à ne pas devenir accro ? Son temps d’écran et d’accès aux appli est - apparemment - contrôlé, toutes ses activités sportives sont des temps de déconnexion réguliers et pourtant, je constate que l’addiction n’est pas loin. En suivant notre exemple d'adulte, où nos portables nous happent à chaque instant. En septembre dernier, est entrée en vigueur en Chine une nouvelle législation "anti-addiction" qui interdit aux moins de 18 ans d'accéder à Internet la nuit sur leur smartphone et limite leur temps de connexion de jour : “Ce programme vérifie l'application de deux règles en particulier : la première prévoit que les enfants et adolescents de moins de 18 ans ne pourront plus utiliser leurs téléphones la nuit entre 22 heures et 6 heures du matin. La seconde mesure limite leur temps de connexion quotidien, avec trois seuils : deux heures de téléphone pour les jeunes de 16 à 18 ans, une heure pour 8 à 16 ans, et pas plus de quelques minutes pour moins de 8 ans. Officiellement, il s'agit pour les autorités chinoises de protéger les jeunes contre les problèmes d'addiction et de myopie qui seraient en hausse dans le pays, mais le régime autoritaire de la Chine et le fait que les réseaux sociaux aient joué un rôle important dans la mobilisation des étudiants lors des manifestations post Covid n’a pas non plus été indifférent à cette mobilisation.” *Le Point septembre 2023 Ces dernières années, plus de 50 études ont démontré que le smartphone est nocif pour les ados. Il favorise, entre autres, l’augmentation de troubles de la santé mentale : dépression, anxiété et insomnie. On assiste aussi depuis 2010 à l’émergence de nouveaux troubles chez les ado : la nomophobie, (peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile) et la FOMO, fear of missing out, (peur de rater quelque chose, liée à la multiplication des notifications et autres alertes qui sont légion sur les smartphones). La vente de cigarettes et d’alcool aux mineurs est interdite par l'État. Pourquoi la “consommation” de smartphone, source d’addictions, ne serait pas aussi réglementée ? Une loi pour protéger la santé des mineurs et pour venir en soutien éducatif aux parents. Une loi qui ne soit pas renégociée tous les soirs. •••• Je suis Estelle Roulin,  Je travaille avec les entreprises pour améliorer l’inclusion des parents et des aidants en entreprise.  J’organise aussi d’incroyables “Supercredis” : les plus fantastiques Family days en entreprise.  Pour en savoir plus, contactez moi directement via la messagerie LinkedIn. 

📨 Seule la génération NTM comprendra la référence dans le titre de ma dernière #newsletter, mais je ne pouvais pas passer à côté ! Dans cette édition, il est question des sentiments contradictoires que connaissent bien les parents d'enfants/d'ados qui possèdent un smartphone. 👉 Pour la lire, c'est ici : https://lnkd.in/e_gX2w-Y

📱Selon une étude menée par ExpressVPN, 40 % des enfants de 4 ans disposent déjà de leur propre tablette, ordinateur ou smartphone.📱 ⚠️ Cette proportion atteint un pic à l'adolescence, avec 99 % des jeunes de 14 ans possédant un “téléphone intelligent”⚠️ Cette réalité souligne une fois de plus le rôle de prévention que les opticiens peuvent tenir auprès des familles, tant on sait qu’il y a un lien entre développement de la myopie et exposition excessive aux écrans ⤵️ 👓 D’autant que le suivi ophtalmologique infantile reste perfectible : 38 % des enfants sans problème de vision diagnostiqué ne consultent que tous les 4/5 ans (selon le 2e Baromètre de la myopie en France, enquête Ipsos réalisée pour l'INSTITUT D'EDUCATION MEDICALE ET DE PREVENTION en partenariat avec Essilor) 👓 https://rebrand.ly/h9mf9tp #opticiens #myopie #freination #prevention #enfants #ecrans (Bruno Assouly, Ensemble contre la Myopie)

Mardi soir 20 février 2024 j'étais à Dunkerque (59) pour intervenir, à l'invitation de la Direction de l’enfance de la Ville de Dunkerque, devant une cinquantaine de mamans, d'assistantes maternelles, de spécialistes de la PMI, etc. pour parler des conséquences des écrans sur les enfants de moins de trois ans. D'après https://lnkd.in/evkiaZx6 les petits Français de 2 ans passent en moyenne 48 minutes par jour devant un écran, essentiellement la télévision. Selon une autre étude, 29% des enfants de 0 à 3 ans prennent leur repas devant un écran. Or, tous les spécialistes recommandent de ne pas exposer un enfant à un écran avant l'âge de 3, voire 6 ans. « Toutes les études montrent que les écrans non interactifs (télévision et DVD) devant lesquels le bébé est passif n’ont aucun effet positif, mais qu’ils peuvent au contraire avoir des effets négatifs : prise de poids, retard de langage, déficit de concentration et d’attention, risque d’adopter une attitude passive face au monde. » (Source : https://lnkd.in/epZ7byAj) #children #babies #screens #babyhealth #MotherandChildProtection #motherandchild #smartphone #tablets #tv #screentime #hautdefrance #dunkerque #braindevelopment #neurons #synapse #humaninteraction #languagedevelopment

Un enfant de deux ou trois ans dans une salle d’attente en train de regarder un écran, cela vous surprend ? Pas vraiment, non ? Voire même, vous tranquillise. Au moins, il ne va pas bouger partout, ni faire de bruit… Oui, mais. Une tranquillité bien temporaire pour des problèmes à venir : agressivité, troubles de l’attention, problème de sommeil ou de langage… On fait désormais plus facilement un lien entre ces éventuelles difficultés et l’usage des écrans. Sans oublier que nous, au sein d’Apprends et rêve, constatons de plus en plus d’enfants voient leurs fonctions motrices se « réduire ». Ils ont du mal à tenir une paire de ciseaux ou à découper. Idem, leurs dessins sont, pour certains, plus proches de ceux d’un enfant de 3 ans que de CP.  Quand à se focaliser sur un sujet… « Pas d’écran avant 3 ans », « notre enfant doit faire des activités manuelles et physiques », « nous devons protéger le développement des enfants et les faire interagir entre eux ». Des règles connues de tous. Oui mais… Et nous, parents, que faisons-nous vraiment ? Dans les maternités, 81 % des sages-femmes constatent souvent la présence systématique d’écrans dans les chambres en suite de couche et 62 % observent souvent que les parents restent sur leur téléphone en même temps qu’ils s’occupent de leur enfant. Nous reprochons aux écrans sur les enfants de créer de nombreux problèmes, mais quand est-il des conséquences pour les enfants lorsque ce sont les parents qui sont aspirés par ces écrans ? L’écrasante majorité des sages-femmes et puéricultrices sondées (entre 97 % et 98 %) estiment que ces pratiques numériques excessives des parents peuvent nuire aux premières interactions, à la qualité de l’attachement, à la relation familiale et au développement de l’enfant L’enfant peut avoir l’impression de ne jamais avoir l’attention complète de ses parents, d’être le « second » après les écrans. Une compétition difficile à suivre. Alors, deux solutions peuvent s’offrir à lui : devenir « insupportable » jusqu’à « gagner » l’attention des parents ou bien, faire comme eux, et devenir accro. Et les nouveaux parents sont issus de la génération Z : les digital natives, « les accros aux réseaux sociaux ». La prévention devient donc encore plus nécessaire pour le développement des générations présentes et futures.  Il est important de réduire la consommation des écrans chez les enfants ET les parents dès maintenant, de s’adapter pour redonner à nos enfants une stabilité émotionnelle et recréer le lien. Référence : https://lnkd.in/eiXF4QpG