Post de TRANOÏ

IRL ou FOOH ? 👀 Quand les frontières entre #FOOH et #IRL se brouillent dans une expérience #immersive digne de l’IA générative   👉 Dans le cadre de notre veille sur l’évolution du #retail comme outil de #visibilité et comme manière de créer du #lien avec son client via l’#expérientiel, notons ce spectaculaire #pop-up pour mettre en scène une collaboration avec un talent créatif local.   🧊 #XiXingLe qui a récemment beaucoup joué la carte des vidéos #FOOH sur les réseaux sociaux, prend ici contre-pied du ‘fake out of home’ et propose une #expérience immersive réelle.   🐉 #Dialogue culturel, exploration des traditions, proximité et personnalisation de l’expérience client, comme les grandes maisons de #luxe, Zara cherche à approfondir ses liens avec la Chine via la #collaboration avec une marque locale dans un esprit de partenariat #culturel autour des symboles de prospérité et bonne fortune.   🍑 Si la mode occidentale conserve sa part de ‘soft power’, une des clés de l’adhésion des chinois consiste plus que jamais à promouvoir leur #créativité et à célébrer leurs talents via des événementiels innovants, mixant habilement le symbolisme traditionnel avec les modes de vie modernes, comme ici la porcelaine chinoise revisitée avec une pointe de vintage régressif et joyeux   🎨 Après #SusanFang et #CalvinLuo, c’est la 3è collaboration de Zara avec des talents créatifs locaux en Chine.   L’intérêt de cette veille retail est de pointer ces best practices comme leviers de réussite sur un marché local et aussi de #benchmarker ces initiatives dans d’autres secteurs.   #retail #luxury #prospective #collab #Zara #China #dialogueculturel #bestpractices #benchmark

It seemed that the BRICS+ Fashion Summit took place in early December 2023 but we are still seeing the results. Russian brands present their collections on the runways of fashion weeks in China, India, Tunisia, South Africa, Brazil, Turkey, and other countries. All this is done by the bilateral agreements that were signed at the BRICS+ Fashion Summit. It seems like the fashion world is starting to shift a little! And here's what the American edition of USA Today thinks about the new fashion centers: «The list of participant countries scrolled on a digital banner, a lengthy and eccentric lineup reminiscent of a supermodel's guest list at an exclusive club; featuring countries like Burundi, Guyana, Namibia, Costa Rica, this list, in any discussion about fashion, would have elicited a smile not too long ago. Today it’s a more considerate smirk, for the world has realized the futility of categorizing aesthetics into right or wrong, central or peripheral, and acknowledged that each culture or group can independently deem what constitutes beauty. Every voice deserves equal attention and respect. This recognition of respect has allowed for the creation of new fashion centers and cultural influences. It's a promising shift from the recent past when the West, or the marketplace, dictated global fashion to the consumers, leading to a homogenized, universally accepted aesthetic» p.s. you can learn more about the main fashion centers and the benefits of the BRICS+ Fashion Summer in the article: https://lnkd.in/e8DXqsk4 #BRICSFashionSummitCommunity #FashionWeek

#Luxury_Cashmere_Clothing Market Positioned for Noteworthy Growth During the Assessment Period 2023-2032 https://lnkd.in/dM6NRu4N Growing #demand for premium quality clothing #worldwide and rising popularity among #consumers due to its delicate and ideal woolen is steering the need for luxury #cashmere clothing. #Luxury cashmere clothing production continues to increase with the #global population and declining poverty. Rising digital sales is also spurring sales of #luxury cashmere clothing. Loro Piana Ermenegildo Zegna Group Brunello Cucinelli Sofia Cashmere Autumn Cashmere Pringle of Scotland

Qu'est-ce qui fait de FERRAGAMO l'une des plus belles Maisons de luxe du moment (et pas que) ? En trois mots : singularité, noblesse & rareté. 𝑺𝒊𝒏𝒈𝒖𝒍𝒂𝒓𝒊𝒕𝒆́ : Salvatore Ferragamo était un bottier, et a affirmé une vision du soulier unique et, à l'époque, avant-gardiste. Comme beaucoup, la Maison italienne s'est ensuite diversifiée en proposant des sacs, du PAP etc. Il a donc fallu étendre la signature créative du soulier vers d'autres lignes. Et en ce moment, il faut bien reconnaître que la singularité du style que Maximilian Davis décline sur toutes les lignes d'articles est remarquable. Son sens des couleurs inouï allié avec une approche esthétique du vêtement très particulière en font l'un des très rares "vrais" créateurs contemporain. On les reconnait à la cohérence de leur style au fil des collections et à leur capacité à s'affranchir des tendances. 𝑵𝒐𝒃𝒍𝒆𝒔𝒔𝒆 : le luxe doit être noble, ou n'est pas... Et oui, cela exclue beaucoup, beaucoup de "produits" de cette catégorie de luxe ! Chez Ferragamo, il y a une approche très technique de la coupe et des volumes, avec des matières fluides plus ou moins denses travaillées en drapé par exemple, et qui nécessitent une fabrication complexe et méticuleuse. Lesdites matières sont nobles, en particulier les cuirs (nappa ou plongés) dont on reconnait la qualité au toucher extrêmement doux/soyeux. Et lorsque synthétique il y a (viscose, souvent), c'est vraiment pour la texture et le tomber de la matière, non pour faire des économies sur les coûts de production comme c'est souvent le cas ailleurs. 𝑹𝒂𝒓𝒆𝒕𝒆́ : c'est tout bête hein ? Et pourtant : l'immense majorité des marques de luxe se sont massifiées, "démocratisées" étant le terme politiquement joli employé pour désigner ce phénomène. Car le luxe, s'il est partout, n'est plus. Si Ferragamo demeure une Maison plus confidentielle, moins "vues", c'est la conséquence tout à fait compréhensible de la noblesse évoquée plus haut. Les pièces complexes à fabriquer et nobles sont produites en plus petites quantités. Et c'est tout de même de ça aussi qu'il devrait s'agir lorsque l'on parle de luxe : la distinction. Si vous ne connaissez pas encore FERRAGAMO, je vous invite à découvrir cette marque singulière. Touchez les matières, observez l'immense sophistication des couleurs, les constructions et les tombers impeccables des pièces tailleurs ou floues. #luxe #milan #ferragamo

Les looks à retenir de cette dernière fashion week :

Fourth edition of my monthly "point de vue" on Allnews.ch, La finance suisse dans l'e-media out this morning. En français, et sur une société très française: Hermès. German and English on the way, with even richer content. Summary in one sentence: There's fashion, there's luxury and there's Hermès. Hermès is a company pretty much all of you will know, mainly because its products are very expensive. But Hermès, its equity as well as its products, are all much more than just expensive. Rather, we think both its products as well as its business model are very much the epitome within their respective fields. Both are very different to anything else or, as Michael Porter called it, differentiated. Notably differentiated out of their own will, which is even more powerful. Because authenticity is paramount, and Hermès is the apex of authenticity. Nobody put it better than 5th generation family descendant and former chief executive Jean-Louis Dumas: “I don’t look at what others are doing, I might be influenced”. Hermès, never change. Wrong tie, I know, I will change. https://lnkd.in/evRPHizb #rothschildandco #allnews #hermes #longrun #businessowner #relationshipbusiness #captivecustomers #everythingisdifferent #neverchange

How luxury fashion has evolved over the years : - The rise of luxury streetwear, which merges high-end fashion with urban style. - The rise of emerging markets like China and India, which has led to a surge in luxury fashion consumption. - The increase in collaborations between luxury fashion brands and celebrities. - The impact of the changing roles of women in society, which led to the creation of styles like flapper dresses in the 1920s and power suits in the 1980s. - The luxury fashion industry's contribution to job creation, craftsmanship preservation and economic growth in countries known for their heritage in luxury production. #fashion #luxuryfashion #trend Nivi.inc

Chez Hermès, on perpétue l'art et la tradition du tout fait à la main. Il y a des entreprises de mode, et de luxe et puis il y a Hermès. Beat Keiser, Head Equities, Rothschild & Co Wealth Management Suisse. #finance #financeandeconomy #economy #économie #investissement

Excited to share how Lanificio di Livenza, a herald of Italian elegance and craftsmanship in the textile industry, is making a significant impact in Guatemala. 🌍✨ This move not only showcases the universal appeal of Italian fashion but also highlights the strategic expansion of luxury brands into new and dynamic markets. Lanificio di Livenza’s dedication to quality and style offers a fresh perspective on the fusion of traditional craftsmanship with modern business strategies. A perfect read for fashion enthusiasts and business strategists alike! 🔗 Read more about their journey and the cultural exchange between Italy and Guatemala here: Read the full article #FashionIndustry #BusinessExpansion #ItalianStyle #GlobalBusiness

Loewe, aujourd'hui, c'est cela. Mais avant de devenir l'une des marques les plus hot de LVMH, d'où vient-elle ? D'abord, petit détour au 19ème siècle. Quelque part en Prusse nait Heinrich Roessberg Loewe. Mais il n'y reste pas. Il émigre plus au Sud, en Espagne et ouvre un petit atelier de pelleterie à Madrid, en 1846. Il y travaille les peaux les plus précieuses et s'amuse des découpes (déjà!). Peu à peu, sa renommée dans la ville se bâtit. Aussi, rebaptisé Enrique, il ouvre sa 1ère boutique en 1872. Consécration, en 1905, Loewe devient fournisseur officiel de la maison royale espagnole, sous le règne d'Alfonso XII. La Maison n'est encore que madrilène, avant d'ouvrir une boutique à Barcelone en 1910. Le fils d'Heinrich / Enrique, prénommé Enrique également, reprendra le flambeau et consolidera la position de la marque en Espagne à compter des années 30. Il ouvre notamment la boutique iconique de Gran Via en 1939. Ce n'est qu'à partir des années 60 que la marque s'ouvre à l'international. Les créations de José Pérez de Rozas, directeur artistique depuis 1945, plaisent par le travail du cuir et des formes. Vicente Vela, lui, imposera sa marque de fabrique en créant l'anagramme des 4 L dans les années 70. Concomitamment, Loewe conquiert Hollywood : Ava Gardner, Sophia Loren ou Marlène Dietrich s'offrent ses sacs tandis que le prêt-à-porter femme est lancé à la même époque. Cela sera suivi par l'homme en 1983. Dès 1985, avant LVMH, Louis Vuitton prend une participation minoritaire dans son concurrent espagnol. LVMH deviendra seul actionnaire en 1996, alors que Loewe fête ses 150 ans. En 1997, Narciso Rodriguez est nommé DA de la Maison, remplacé par José Enrique Oña Selfa en 2003. Puis vient en 2007 le tour de Stuart Vevers, en charge des sacs sous Marc Jacobs chez Louis Vuitton : sa nomination vise à créer des iconiques. Avant le règne actuel de Jonathan William Anderson, nommé en 2013. Avec Jonathan Anderson, la marque se propulse progressivement comme l'une des marques les plus solides du portefeuille de LVMH. Il renforce le lien entre Loewe et l'art, sans oublier de consolider les positions de savoir-faire de LVMH. Il n'oublie pas de créer des "moments", en innovant sur les techniques et les coupes : travail qui résonne sur les réseaux, par l'image. Il inscrit notamment la marque dans la pop culture, avec des collaborations artiqtiques poussées ou grand public, comme celles avec le studio Ghibli. Aujourd'hui, avec Celine, Loewe est devenu un relai de croissance fort chez LVMH, derrière Vuitton et Dior. Jusqu'à monter au même niveau ? #luxe #créativité #marketing #lvmh