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[Focus sur la ligne régulière] Dans un secteur hyper concurrentiel, dominé par de grandes alliances entre géants qui partagent des navires pour assurer une couverture globale, de la régularité et de la fréquence, le leader mondial est le seul en mesure d’assurer le tour du monde sans l’apport d’un tiers. La puissance navale est plus que jamais un enjeu dans le contexte actuel. https://lnkd.in/d_rmUv4e

Un sujet fascinant.

Version intégrale À l’instar de la Russie, la flotte de sous-marin chinois se compose de navires à propulsion nucléaire, et de modèles à propulsion conventionnelle. Bien que sensiblement moins performants, en particulier en haute mer, ces derniers s’avèrent toutefois beaucoup plus économiques à produire, et ne nécessitent pas de tranche nucléaire pour former leur équipage. Pour la Russie, ces sous-marins conventionnels sont principalement employés en zone côtière, et dans certaines mers étroites, comme la mer Baltique ou la mer Noire. La Marine chinoise, elle, les déploie principalement en mer de Chine de sud, pour en protéger les accès, et ainsi assurer la sécurité des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins, qui y évoluent, et des grandes unités navales, comme les porte-avions, qui s’y entrainent. Le dernier modèle de sous-marins chinois à propulsion conventionnelle, le Type 039C, est entré en service, il n’y a de cela que deux ans. De fait, l’observation faite, il y a quelques semaines, d’un nouveau modèle de sous-marin, lancé par les chantiers navals de Wuchang, a de quoi surprendre. D’autant que le nouveau navire, semble bien différent des Type 039, et pourrait représenter la première unité d’une nouvelle classe de sous-marins conventionnels, à capacités océaniques.

À l’instar de la Russie, la flotte de sous-marin chinois se compose de navires à propulsion nucléaire, et de modèles à propulsion conventionnelle. Bien que sensiblement moins performants, en particulier en haute mer, ces derniers s’avèrent toutefois beaucoup plus économiques à produire, et ne nécessitent pas de tranche nucléaire pour former leur équipage. Pour la Russie, ces sous-marins conventionnels sont principalement employés en zone côtière, et dans certaines mers étroites, comme la mer Baltique ou la mer Noire. La Marine chinoise, elle, les déploie principalement en mer de Chine de sud, pour en protéger les accès, et ainsi assurer la sécurité des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins, qui y évoluent, et des grandes unités navales, comme les porte-avions, qui s’y entrainent. Le dernier modèle de sous-marins chinois à propulsion conventionnelle, le Type 039C, est entré en service, il n’y a de cela que deux ans. De fait, l’observation faite, il y a quelques semaines, d’un nouveau modèle de sous-marin, lancé par les chantiers navals de Wuchang, a de quoi surprendre. D’autant que le nouveau navire, semble bien différent des Type 039, et pourrait représenter la première unité d’une nouvelle classe de sous-marins conventionnels, à capacités océaniques.

⚓️🔍 #DicoPortuaire 🛳️🚢 Découvrons ensemble le terme de cette semaine : 𝗦𝗢𝗟𝗔𝗦 La 𝗖𝗼𝗻𝘃𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝘀𝗮𝘂𝘃𝗲𝗴𝗮𝗿𝗱𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘃𝗶𝗲 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲 𝗲𝗻 𝗺𝗲𝗿 (𝗦𝗢𝗟𝗔𝗦 : 𝗦𝗮𝗳𝗲𝘁𝘆 𝗢𝗳 𝗟𝗶𝗳𝗲 𝗔𝘁 𝗦𝗲𝗮) actuellement en vigueur a été adoptée le 1er Novembre 1974 et est entrée en vigueur le 25 mai 1980. La Convention SOLAS est considérée comme le plus important de tous les instruments internationaux ayant trait à la sécurité des navires de commerce. La première version a été adoptée en 1914, en réponse au naufrage du Titanic, la deuxième en 1929, la troisième en 1948 et la quatrième en 1960. Le but de la convention SOLAS est de spécifier un certain nombre de normes standards minimales afin de garantir la sécurité et la sûreté des navires marchands et de leurs équipages. #LePortdeCotonouenMarche #LifeAtSea #Transport #Logistique #Commerce #Trade Port of Antwerp-Bruges International International Maritime Organization MARITIMAFRICA

▶️ Contrôle technique du chemin de fer🚆 Pour garantir la sécurité et la fiabilité de l'infrastructure ferroviaire, l'ARTF mandaté par l'Etat a effectué une mission de contrôle des travaux de maintenance de la voie et des infrastructures de Franceville à Booué. 📽️⬇️ #Transgabonais #maintenance #sécuritéferroviaire

[Focus sur la ligne régulière] Dans un secteur hyper concurrentiel, dominé par de grandes alliances entre géants qui partagent des navires pour assurer une couverture globale, de la régularité et de la fréquence, le leader mondial est le seul en mesure d’assurer le tour du monde sans l’apport d’un tiers. Les capacités sont plus que jamais un enjeu dans le contexte actuel. https://lnkd.in/d_rmUv4e

Rail Baltica, l’autre méga projet ferroviaire européen qui irrite la Russie. Mis sur les rails dans les années 2010, le projet Rail Baltica est un programme ferroviaire ambitieux de près de 1000 km de lignes nouvelles visant à connecter les trois États baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie) à l'Europe centrale. Comme le Lyon-Turin, le Rail Baltica est un des grands projets prioritaires de l’UE pour structurer le Réseau Transeuropéen de Transport. Actuellement en phase de conception, le projet s’est vu attribuer mercredi plus de 1,4 milliards d’euros de subventions européennes pour avancer dans la phase chantier. Sa mise en service partielle est prévue en 2028 et sa mise en service complète en 2030. Son coût est estimé à près de 7 milliards d’euros. Destinées aux voyageurs et aux marchandises, les nouvelles lignes ferroviaires seront construites selon les normes européennes avec un écartement de 1435 mm, contrairement aux voies existantes de 1520 mm héritées du système russe. Une perspective que la Russie ne voit pas vraiment d’un très bon œil puisque le Rail Baltica va renforcer l’autonomie du système productif et logistique des pays Baltes. Surtout, les spécificités techniques de la future liaison permettront le transport de matériels militaires. De quoi en faire faire régulièrement la proie des «usines à trolls » et des médias officiels russes qui évoquent une menace ourdie par l'OTAN.