Post de Ville de gonesse

Parmis mes sujets d'étude, il en est un en particulier que je n'ai pas encore eu le temps de développer autant que je le voudrais, c'est l'impact de la domestication du feu. Moment essentiel de l'histoire de l'humanité, il n'est pourtant que peu ou mal étudié à mes yeux. Bien entendu il y a quelques exceptions notoires comme les travaux de Gaston Bachelard. Mais il faut bien admettre que l'indigence de la pensée académique ne permet pas d'interroger correctement cet élément pourtant essentiel de notre histoire. Aussi, ce constat me conforte dans l'idée qu'Alexandre Grothendieck a eu raison de rompre avec le système institutionnel, emprunt de technique autoritaire. Mais ceci est une autre histoire, qui démonte en particulier les idées reçues et jugements implicites liés à la notion généralement instrumantalisante de réactance. Et vive les veillées au coin du feu, origine potentielle de notre démence rationnelle. 😁 #anthropologie #ressourcement #veillées #partage

#Humour #Dérision #Bourgeoisie #Idéologies #Cultuel Un tyran (du grec ancien τύραννος / túrannos, « maître absolu ») désigne dans l’Antiquité grecque un individu disposant d’un pouvoir absolu, après s’en être emparé de façon illégitime, en général par la force. La tyrannie constitue un phénomène historique capital du fait de la chute de l’aristocratie et de l’accession au pouvoir de la bourgeoisie. Son avènement au VIème siècle av. J.-C. marque en effet un bouleversement économique et social. Amen la ‘’caisse’’… [Image] 😄 Moldus, à s’entêter aux bords du lit des tyrans. A taire les magiciennes, poètes et poétesses d’allants, Têtes sans engeance, falsifications sans prudence. Continuez à croire fermement aux vices d’appartenances, Veules proxy, réfraction basées aux commodités d’habitus, Tares frappées au sceau de douteuses salonardes. « Every human being needs to have multiple roots. He needs to receive almost the whole of his moral, intellectual, and spiritual life through the intermediary of the circles of which he is naturally a part. » « Chaque être humain a besoin d’avoir de multiples racines. Il a besoin de recevoir la presque totalité de sa vie morale, intellectuelle, spirituelle, par l’intermédiaire des milieux dont il fait naturellement partie. » https://lnkd.in/dkG5fbph Les jalousies se ravivent dans les ravines de façades Le vernis de papier aseptise les feuilles mortes Je te fiche mon billet que l’essence est plastique. Les paons et les gorgones vocifèrent sur les colonnes Les postulats perfides succèdent aux chants des innocents Les fauteuils d’hémicycle sont devenus articles miteux Les disputations des justes se meurent sous transactions Je te fiche mon billet que les ténors nichent capital. Le nœud des alliances s’exaspère sous corporatismes L’image déguisée transgresse les accords stimulants La boue d’inculture recouvre les habits de mémoire Où élixirs sans évidence dénaturent fruits de la passion Je te fiche mon billet que fontaine à souhait est miroir lugubre. Loin des simulacres, sur des landes de terres encore vierges Après avoir rejeté les restes du service fraternel démystifié Avoir vu attention entre estime et liberté Les bourgeons des vieux chênes tomberont encore sur Gaïa Je te fiche mon billet que les amphitryons iront bon temps

🕵🏻 Sous la majestueuse colonne de Juillet se cachent des momies égyptiennes. Nous savons déjà que sous la Bastille, reposent les corps de 504 parisiens, ayant combattu lors des 3 glorieuses de 1830 et 203 opposants lors de la révolution de 1848. Mais à leurs côtés, il y aurait aussi une momie égyptienne ! On vous explique. ✅ Info ou intox ?❌ Cette légende alimente les imaginations depuis des décennies. Elle est apparue avec l'historien Robert Miquel en 1989, lors du Bicentenaire de la Révolution Française, qui indique qu'une momie se trouve dans la nécropole révolutionnaire. Mais que sait-on réellement de cette mystérieuse histoire ? 🎁 D'après les récits, cette momie, offerte par l'émir égyptien Méhemet Ali à Louis XVIII en 1824, aurait été enterrée sous la Bastille pour des raisons de sécurité sanitaire, après avoir été déplacée des jardins du Louvre. Mais comment une telle relique aurait-elle atterri aux côtés de ces révolutionnaires ? Claude Quétel, également historien, émet aussi cette hypothèse en 2006, mais pas avec une momie, mais plusieurs ! Cependant, les sources restent encore floues. 🤔 Bien que cette histoire fascine, elle reste sujette à débat. Alors, info ou intox ? Une enquête plus approfondie serait nécessaire pour percer définitivement le mystère de la momie de la Bastille. Nous ne le saurons jamais, à moins d’aller déterrer les corps et de regarder un à un les ossements pour voir ce qu’ils contiennent réellement !🔬 😫 Vous êtes frustrés ? Nous aussi ! Aussi pour vous détendre, nous vous proposons de venir prendre l'air et jouer à travers les rues de Paris et de son Histoire ! Vous n’êtes pas à l’abri d’apprendre d'autres anecdotes insolites. #Info #Intox #Histoire #Paris #Anecdote #Momie #Bastille

Vous voulez nous aider à finir ce rêve de voir un spectacle raconter la vie des héros que l'on oublie ? Participez à notre cagnotte en ligne, chaque don compte : https://lnkd.in/eFqexgjJ 5 raisons de soutenir ce projet Devoir de mémoire : Soutenir ce projet, c'est contribuer à la préservation de la mémoire collective en mettant en lumière des événements historiques cruciaux pour notre société. C'est une manière de rendre hommage aux héros qui ont combattu pour notre liberté. Sensibilisation aux valeurs mutuelles : Le spectacle met en avant des valeurs telles que la liberté, la résistance, l'amour et le patriotisme. Ces thèmes universels peuvent inspirer le public à réfléchir sur l'importance de ces valeurs dans notre monde actuel. Éducation et transmission : Un spectacle sur la libération de la France offre une opportunité d'apprendre et de comprendre notre histoire de manière vivante et immersive. C'est une façon de transmettre des leçons précieuses aux générations futures. Engagement artistique : Soutenir un projet artistique audacieux qui s'attaque à des sujets aussi importants est une façon de promouvoir l'art engagé et de soutenir des artistes qui osent aborder des thèmes profonds et pertinents. Cohésion sociale : Le spectacle peut réunir les gens autour d'un moment de réflexion partagée et de célébration de nos valeurs communes. Cela contribue à renforcer le lien social et à promouvoir une vision commune de l'histoire et de l'avenir. Et n'oubliez pas, en parler, partager c'est aussi soutenir ! Merci ! :)

📢 Savez-vous collaborer sans parler ? Saviez-vous qu’une illustre inconnue fut le « Reine de Montparnasse » durant l’entre-deux guerre ?    Lundi 15 janvier, la plénière de LA MAISON DES CADRES D’INDRE ET LOIRE a proposé à ses membres de participer à un atelier de travail de coopération en silence. Les participants ont pu constater la difficulté qu’il y a à combiner les contraintes d’un objectif personnel et commun tout en respectant la contrainte de règles établies à l’avance.       Cet atelier a été suivi d’une intervention de Philippe GAUDREE : "L'illustre inconnue ou la vie d'un réseau".    Au travers la vie Kiki de Montparnasse, Philippe nous a présenté les logiques de réseau. Cette femme d’exception fut la cheville ouvrière du monde de l’art des années de l’entre-deux guerre avec un réseau très large :  Des peintres (Modigliani, Picasso, Fujika, Calder, etc.) qui l’ont peinte plus de 600 fois.  Des poètes : Tristan Tzara, Jean Cocteau, André Breton, Louis Aragon, etc.  Des personnalités : Coco Chanel, Louis Armstrong, Hemingway, etc.  Des mécènes : Henri-Pierre Roché, Marie Vassilief, Henri Broca, André Laroque, etc.    Après 1940, elle s’éloigne de Paris et perd peu à peu de son influence. Elle meurt en quasi-inconnue en 1953 : seuls dix personnes assisteront à son enterrement. Elle est redécouverte en 2005 après la republication de ses mémoires.     De sa vie on peut retenir :   Un réseau n’est pas pérenne s’il n’est pas entretenu  Un réseau est une source de rencontre… mais il faut les provoquer !  Pour rencontrer dans un réseau, il peut être bon de reconnaitre qui en sont les « Kiki ».    #MDCIL #maisondescadres #MaisonDesCadresdIndreEtLoire   💡pensez à republier ! 😉 

Révolution d'Identité des Carmagnolle-Carmagnole Bonjour à toute personne issu de ce nom ou ayant une parenté portant le nom de Carmagnolle-Carmagnole. Pourquoi Cette révolution sur le nom de Carmagnolle-Carmagnol! Pour la simple saison qu'il y a 99% de chance que vous vous êtes posé(e) cette question un moment de votre vie et vous n'avez eu que peu de réponse. ou pas du tout Venez nous rejoindre, Silvano et moi-même. Je suis l'auteur , l'archiviste qui a démystifié l'identité réelle du scaphandre Carmagnolle et le scaphandre de Marseille, deux scaphandres du temps de la révolution industrielle qui depuis leur invention, l'histoire cachait leur identité, leur provenance de la même ville, un héritage culturel qui vous appartient. En devenant un membre à part entière de la révolution d'identité de votre nom, ceci amènera de la discussion dans votre environnement familiale et, quelques brides d'histoire vont certainement resurgir. Vous serez surpris d'apprendre que les Carmagnolle-Carmagnol proviennent d'un même lieu! N'hésiter plus, contacter-nous 🤔 😏

🎼🇫🇷 AIMONS-NOUS "VIVANT", N’ATTENDONS PAS QUE "SAINT-MAUR" NOUS TROUVE DU TALENT ! Pour le titre, nous avons préférée cette chanson de François Valery a été préférée à « Ça ira, ça ira, les aristocrates à la lanterne ! » ... sur le fil … de la lame révolutionnaire  ! Une époque de grands bouleversements, de guillotines et… de rebranding municipal en tout cas, cette période révolutionnaire ! Eh oui, car quand il s’agissait de faire table rase de l’Ancien Régime, nos intrépides révolutionnaires n'ont pas fait dans la dentelle, surtout dans le Val-de-Marne. Là, on a assisté à un véritable concours Lépine (qui n'était même pas né) du changement de nom de villes, histoire de bien marquer le coup contre tout ce qui sentait un peu trop la royauté ou la sacristie. Saint-Maur-des-Fossés, pour une courte période, allait ainsi s''appeler d'un nom somme toute assez charmant Vivant-sur-Marne. Cela sonnait plutôt joyeux, non ? Comme un hymne à la vie au bord de l'eau ! Choisy-le-Roi, de manière assez compréhensible dans le contexte, allait lui aussi troquer son nom pour Choisy-sur-Seine. Pas très original, mais efficace pour effacer toute référence royale. Villeneuve-le-Roi a suivi le même chemin et s’est transformée en Villeneuve-sur-Seine. Quant à Villeneuve-Saint-Georges, la commune a pris de l’altitude en devenant Villeneuve-la-Montagne mais dû attendre plus de 300 ans pour avoir enfin son téléphérique ! Charenton-Saint-Maurice, aujourd’hui connu sous le nom de Saint-Maurice, a opté pour un double combo en devenant Charenton-Républicain et Montgravier. Par contre, Port à l’Anglais (notre actuelle Vitry-sur-Seine) s’est rebaptisé Port-Marat, en hommage au célèbre journaliste révolutionnaire Jean-Paul Marat, ce qui devait certainement plaire aux fans locaux du journal 'L'Ami du peuple'. Et La Queue-en-Brie, n'en fit pas tout un fromage, et troqua temporairement son nom qui sent des pieds pour celui de La Queue Le Peletier (du nom du révolutionnaire). Mais comme toutes bonnes (ou pas) choses ont une fin, la parenthèse républicaine s’est refermée avec le retour de Louis XVIII au pouvoir. Ce dernier allait trancher et décidait de sonner la fin de la récrée et que tout ce joli monde devait retrouver ses anciens noms. Merci, Louis, pour ce tour de montagnes russes administratives ! 𝘐𝘭𝘭𝘶𝘴𝘵𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 : 𝘗𝘪𝘦𝘳𝘳𝘦-𝘎𝘢𝘴𝘱𝘢𝘳𝘥 𝘥𝘶 𝘱𝘰𝘴𝘴𝘦 94'𝘊𝘶𝘵'𝘒𝘪𝘯𝘨's 𝘏𝘦𝘢𝘥 𝘦𝘯 𝘱𝘭𝘦𝘪𝘯 𝘳𝘦𝘯𝘰𝘮𝘮𝘢𝘨𝘦 𝘥𝘦 𝘱𝘢𝘯𝘯𝘦𝘢𝘶 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘴𝘦𝘴 𝘨𝘢𝘳𝘴. #saintmaurdesfosses #saintmaur #vivantsurmarne #ViveLeRoi #couic

La procession de la Sanch, symbole puissant de piété et de tradition à Perpignan, remonte à 1416 lorsque le prédicateur dominicain Saint Vincent Ferrier l'a instaurée pour commémorer le Vendredi Saint. Originellement conçue pour permettre aux condamnés à mort de se repentir, la Sanch a évolué pour devenir un rituel profond de #deuil collectif. 🤍 Mais saviez-vous qu’elle a été interrompue pendant la Révolution française en raison de l’interdiction des manifestations religieuses ? 💭 Cette tradition fut relancée au XIXe siècle, reflétant la résilience et l'adaptabilité culturelle de la communauté locale. En 1950, l’archiprêtre de la cathédrale de Perpignan a joué un rôle crucial en rénovant et en revitalisant cette tradition ancestrale, en veillant à ce que son essence spirituelle soit préservée tout en la rendant pertinente pour les générations contemporaines. ✝️ Aujourd'hui, la #Sanch est non seulement un pilier de l'identité de #Perpignan mais attire aussi des visiteurs de toute la France et au-delà, désireux de découvrir ce témoignage vivant du passé médiéval de la région. Chaque année, des milliers de personnes se rassemblent pour observer la procession des pénitents en robes rouges, un spectacle empreint de dévotion et de #tradition. 🙏

𝐃𝐞𝐬 𝐞𝐱𝐩𝐫𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐨𝐫𝐢𝐠𝐢𝐧𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐢𝐬𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞. 𝐄𝐧𝐭𝐫𝐞𝐫 𝐚̀ 𝐥’œ𝐢𝐥… … ou obtenir quelque chose à l’œil. Chacun connaît la signification de cette expression, mais d’où vient-elle ? Elle signifie que rien n’a été déboursé (sorti de la bourse !) grâce à des stratagèmes souvent peu recommandables. L'origine de cette expression parisienne remonte au début du XXe siècle, lorsque les maisons closes (maisons de passes ou de tolérance, fermées en 1946, par Marthe Richard) étaient surveillées par la brigade mondaine (ou de répression du proxénétisme). Les agents chargés de cette surveillance portaient comme insigne, un petit œil sur le revers de leur manteau comme signe distinctif. Ils étaient alors aisément reconnaissables et pouvaient entrer dans les établissements sans payer. 𝟐𝟐, 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐥𝐞𝐭𝐬 ! Deux explications s’imposent : Tout d’abord «pourquoi 22 ? « Vingt-deux » signifie couteau dans l'argot français du XIX e siècle. L'expression signifierait donc « tous à vos armes ». L'arme favorite des voyous du temps était le « couteau d'arsouille » avec sa lame de 22 centimètres. Quant à l’appellation « poulets », les policiers se sont vus attribuer ce sobriquet à partir de 1871, lorsque la Préfecture de Police de Paris s’installe dans la caserne sur l’île de la Cité. De fait, c'est lors des grands travaux du baron Haussmann que cette caserne est édifiée sur un ancien marché aux volailles. Les nouveaux occupants sont alors assimilés aux anciens occupants des lieux. Les policiers tout d’abord parisiens deviennent alors rapidement « des poulets » sur tout le territoire.   𝐂’𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐚 𝐟𝐞̂𝐭𝐞 𝐚̀ 𝐍𝐞𝐮-𝐍𝐞𝐮 Cette appellation vient d'une ancienne fête foraine créée sous le règne de Napoléon, en juin 1815 et qui partait de Neuilly : l’appellation viendrait de l’abbé Delabordère qui exerçait alors la fonction de maire de cette ville. L’événement fut abandonné en 1925 en raison de travaux sur la voirie, avant d’être de nouveau organisé en 2008 sous le nom de «Fête au Bois». En 2010, à la demande des citoyens, la fête reprit son ancien nom : « Fête à Neu-Neu». En raison de son origine géographique cette expression est restée parisienne, mais Il ne faut pas confondre ce Neu-Neu, issu du début du nom de la ville, avec le « neuneu », familier de la langue française qui signifie "niais, sot, nigaud".

DEUX NIDS Le château de Dieppe constitue, on le sait, un verrou. Nous sommes le 19 juillet 2024, et dans un mois, sans doute bien avant, le rédacteur de ces lignes sera, comme un certain nombre d'entre nous, loin des écrans plats. Et le 19 août sera fêté, comme tous les ans, le débarquement canadien de 1942. Je ne suis pas un spécialiste de l'histoire militaire, mais il m'arrive d'être logique. Quand on voit la tour la plus excentrée de ce château, on constate tout de suite qu'elle comporte deux ouvertures horizontales, fort peu moyenâgeuses, à la base. Il s'agit de deux nids de mitrailleuses allemandes. Quelle que soit la science des argumenteurs, reste une évidence : ces deux nids, parfaitement protégés, interdisent l'accès. Dieu merci, les Anglo-Canadiens ne sont pas des Yankees. Le château de Dieppe aurait connu le sort du Palais impérial de Hué au Vietnam, ou des cinquante ville normandes, telles Saint Lô et Le Havre, dont l'histoire et le charme ont été définitivement atteints par nos chers alliés de Washington. Imaginer que demain, dans des circonstances similaires, les dégâts humains et matériels puissent être au minimum, les mêmes, sans doute bien pires, devraient amener les uns et les autres à réfléchir sur nos alliances. Face à un micro-événement bien différent, d'un ordre différent, à savoir hier l'alliance des députés LR et du diable, avec le magnifique résultat que l'on sait, la réaction de nombre de nos compatriotes a été le dégoût. Sans doute peut-on leur opposer qu'il fallait défendre l'Assemblée des hordes vulgaires d'une part, et d'autre part s'emparer d'un ou deux nids de mitrailleuses pour les retourner demain contre le diable. Mais la Politique est aussi affaire de symbole. Dans une France soupçonneuse - à raison ! - de tout, il ne faut pas ne voir que les deux trous de la tour. Et la tour elle-même, et le château. Et son ciel. ___ Photographie de Savy Svay