Post de Ville de Montmagny Québec

Avez-vous suivi les dernières prévisions économiques pour 2024 ? Avec une croissance anticipée de 1,4% et une baisse de l'inflation à 2,6%, le gouvernement affiche des objectifs ambitieux pour le budget de l'année prochaine. Mais le Haut Conseil des finances publiques met en garde : cette prévision de croissance pourrait être trop optimiste. 📈 Les recettes fiscales nettes prévues pour 2024 s'élèveront à 349,4 Md€, une hausse significative qui reflète les mesures fiscales mises en place. 🏡 Le budget alloué à la transition écologique est en augmentation, avec 40 Md€ dédiés à des initiatives cruciales telles que la rénovation énergétique et le verdissement des transports. 👨👩👧👦 Les ménages et les retraités bénéficieront d'une attention particulière, avec l'indexation des prestations sociales et des retraites sur l'inflation, et un soutien accru pour les étudiants. Face à ces informations, il est essentiel de comprendre l'impact de ces mesures sur notre quotidien et notre avenir économique. #LoiDeFinances2024 #TransitionÉcologique https://lnkd.in/diNxAFYg

Les chiffres de la croissance du premier trimestre sont meilleurs qu'attendus, portés par la consommation des ménages et l'investissement. Pour l'instant, le gouvernement tient donc son pari et est toujours dans la course pour tenir sa prévision de 1% de croissance en 2024. A moins que la restriction des dépenses publiques ne vienne gâcher la fête...

🏢💼💬 "L'immobilier en France : un pilier économique en question 🤔" Le secteur immobilier, représentant plus de 8% des prélèvements obligatoires en 2022 pour les caisses de l'État, se retrouve au cœur d'une interrogation cruciale. Le retour de l'inflation a déclenché une série de réactions en chaîne, affectant non seulement le pouvoir d'achat mais aussi la santé économique globale. 📉 La remontée des taux d'intérêt a engendré une paralysie sur le marché immobilier, entraînant une dégradation du déficit public. Les chiffres révélés par l'Insee en mars, avec un déficit de 5,5% du PIB pour 2023, surpassent les prévisions gouvernementales, mettant en lumière des rentrées fiscales inférieures aux attentes. 🙄 L'état a laissé la situation se dégrader depuis le deuxième mandat macron. L'immobilier n'a jamais été une priorité il ne faut pas s'étonner... #Immobilier #Économie #France #DéficitPublic #Inflation Source Le Figaro Immobilier https://lnkd.in/eNv_s2js

Activité en hausse : Des prévisions optimistes Baisse rapide des taux d’intérêt : Les taux fixes des crédits immobiliers sur 20 ans ont chuté, passant de 4,5 % à 3,9 % en quelques mois. Cette diminution rend l’emprunt plus accessible, incitant davantage de ménages à acheter des biens immobiliers. Amélioration du pouvoir d’achat : La baisse des prix des matières premières et de l’énergie, combinée à la stabilité des réformes de la retraite, a amélioré le pouvoir d’achat des Français. Cette situation encourage les ménages à investir dans l’immobilier comme moyen sûr de renforcer leur patrimoine. Contexte économique stable : La stabilité des réformes économiques, notamment celles liées à la retraite, apporte une certaine sérénité aux ménages, les poussant à envisager des investissements à long terme tels que l’achat immobilier.

Dans ses deux composantes consommation des ménages et investissement, la demande devrait se poursuivre favorisée par le recul de l'inflation, le maintien des transferts des MRE et le lancement de grands chantiers et programmes publics relatifs au plan de reconstruction post-séisme.

🏢💼 Analyse : L'impact de la crise immobilière sur les finances publiques 💼🏢 La crise de l'immobilier ne se contente pas seulement de bouleverser le marché du logement, elle pèse également lourdement sur les finances publiques. Avec plus de 8% des prélèvements obligatoires en France, soit près de 97 milliards d'euros pour les caisses de l'État en 2022, le secteur immobilier joue un rôle crucial dans l'équilibre économique du pays. La remontée des taux, en grande partie due au retour de l'inflation, a provoqué une paralysie sur le marché de l'immobilier. Cette situation a engendré une série de conséquences en cascade, impactant directement la santé financière de l'État. Selon les récentes données de INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTQUE ET DES ETUDES ECONOMIQUES INSEE, le déficit public de 2023 a atteint 5,5% du PIB, dépassant largement les prévisions gouvernementales qui tablaient sur 4,9%. Cette dégradation s'explique en partie par des rentrées fiscales inférieures aux attentes, largement influencées par les difficultés rencontrées par le secteur immobilier. Les répercussions de cette crise sont multiples. Non seulement elle a conduit à la suppression de milliers d'emplois dans le secteur du bâtiment l'année dernière, mais elle a également entraîné une baisse significative des recettes fiscales. #CriseImmobilier #FinancesPubliques #MarchéImmobilier

Cette semaine on continue le décryptage d'un des grands mécanismes de réduction d'impôts chouchou des Français : L'immobilier 🏗️ ! On va parler aussi héritage 🤑 et Kanye West 🐐

Bruno Le Maire , votre annonce de ce matin sur le besoin d’économie de 10 Milliards d’euro pour l’Etat et une révision de croissance annuelle à 1% aurait presque pu passer inaperçu dans mon fil d’actualité… Entendre un gouvernement revenir sur ses prévisions avec un soupçon de langue de 🪵 tout en buvant mon café ☕️ le matin, … Pas de quoi fouetter un 🐈… on est sur du basique. Mais annoncer de facto une suppression / baisse (on ne sais pas encore trop) de la PRIME RÉNOV m’a tout fait recracher sur mon benjamin 👶🏻, auprès duquel je m’excuse au passage ! Pour vous vulgariser le positionnement, et le grotesque de la situation: 1) On tape sur les propriétaires bailleurs depuis des lustres alors que c’est sur eux que repose le gros du parc locatif français (augmentation taxe foncière, restriction légale, plafonnement des loyers, politique de surprotecrion des locataire,…). 2) On pond une loi ambitieuse sur la transition énergétique dans le bâtiment pour nous diriger vers un parc BBC à horizon 2050. Un coûts faramineux pour des propriétaires déjà bien secoués avec en plus un timing « tight ». 3) on crée un système d’aide pour les propriétaires afin de soutenir cette transition lourde et onéreuse. Surtout quand on est un simple retraité qui veut un complément de retraite, ou un jeune actif qui rembourse un prêt en capitalisant péniblement pour sa retraite. 4) Et enfin, on retropedale, on supprime/reduit cette aide. En somme, on demande a des propriétaires de continuer à louer leurs biens toujours moins chers, en leur faisant casquer toujours plus, tout en réduisant les aides à leurs disposition. En parallèle Emmanuel Macron annonce 3 milliards pour l’Ukraine ! J’ai envie de dire, « Normal No-Bru !!! normal Manu !! ». Je suis attérré….

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Le patrimoine des ménages a progressé de 2.012 milliards d’euros en trois ans à partir de 2020, que l'INSEE décompose ainsi : - patrimoine immobilier (net de dette) = +1.369 Md€ (équivalent à +1.405 Md€ entre 2009 et 2019) ; - actions, assurance vie, épargne retraite = - 15 Md€ (vs +1.409 Md€ entre 2009 et 2019) ; - dépôts à vue et autres actifs = +658 Md€ (vs +842 Md€). Comparer la période de 10 ans suivant la crise financière de 2008 et les 3 années de la crise COVID est impressionnant. Entre 2009 et 2019, les ménages ont dirigé 1.405 milliards d’euros vers le financement de l’économie (actions, assurances vie…) alors que cette catégorie d’actif n’a aucunement bénéficié de la manne du « quoi qu’il en coûte » entre début 2020 et fin 2022. Les interventions de l’Etat entre 2020 et 2022, si elles ont sécurisé les consommateurs et les épargnants, n’ont guère contribué à préparer la croissance future.