Post de Ville de Pont-l'Évêque

🙏 Cyclone Chido : soutien des Fédérations Cinov et Cinov Réunion-Mayotte 🙏 La Fédération Cinov, la Fédération Cinov Réunion-Mayotte et toutes les entreprises représentées, souhaitent exprimer leur soutien plein et entier à Mayotte ainsi qu’aux Mahoraises et Mahorais, frappés par le Cyclone Chido. Samedi, Mayotte a été frappée par le Cyclone #Chido, avec des rafales de vent à plus de 200 km/h, qui ont provoqué des dégâts sans précédent. Les pensées et le soutien de la fédération ainsi que l’ensemble de ses adhérents sont dirigés vers tous celles et ceux qui sont touchés par cette catastrophe, ainsi que vers les personnes mobilisées pour venir en aide à la population. Notre mobilisation Conscients de l’ampleur du sinistre provoqué par les rafales de vent à plus de 200 km/h qui ont frappé l’île, la nécessité d’un #engagement et d’une mobilisation forte s’impose pour participer au travail de reconstruction. Dans ce contexte, la Fédération Cinov Réunion-Mayotte, avec le soutien de la Fédération Cinov, étudie la possibilité de mettre en place, auprès de ses membres, un appel aux dons, aussi bien de matériaux de construction que de moyens humains (mobilisation de compétences pour un soutien technique). https://lnkd.in/e2g8AJuB

🧗♀️🇫🇷 L'arrêt de la Cour de Cassation du 16 juillet 2020 a renforcé la responsabilité des fédérations dans la gestion de la sécurité des sites d'escalade. En effet, la Fédération française de la montagne et de l'escalade a été tenue responsable suite à un accident, soulignant l'importance de l'entretien et de la surveillance des installations. 🔍 Jurisportiva vous invite dans cet article à découvrir une analyse concise de cette décision, mais aussi à explorer les répercussions potentielles sur les pratiques de sécurité au sein des fédérations sportives. Bonne lecture à tous !

Quelques modifications des habitudes de circulation à vélo à suivre depuis le décret du 29 novembre 2024. Soyez vigilent!

🏭 Employeurs : voici une information à passer à vos collègues vélotaffeurs. 🚲 Cela permet de leur rappeler que certains équipements sont obligatoires : - éclairage arrière rouge - éclairage avant blanc ou jaune - catadioptre arrière - catadioptre avant - catadioptres de pédale - catadioptres de roue - gilet réfléchissant hors agglomération, la nuit.

🔔 EXERCICE DE GESTION DE CRISE 🔔 Dans le cadre de la préparation opérationnelle de tous les acteurs de la sûreté et de la sécurité, un exercice de gestion de crise est prévu à Marseille sur la Marina Olympique le 28 mai 2024. La Préfecture de département et la Préfecture de police des Bouches-du-Rhône ont pour objectif de tester la coordination de tous les services concernés.🚑🚒🚓 📢 Il est important que les Marseillaises et les Marseillais, comme toutes les personnes témoins de cette exercice n appellent les services de secours. Ville de Marseille Bataillon de marins-pompiers de Marseille Préfecture de Police des Bouches-du-Rhône Préfet de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et des Bouches-du-Rhône Paris 2024 - Comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 #ddtm13 #securite #surete #police #pompier. #marinpompier #paris2024 #voile #JO #Olympique #Marseille

Encore des vies sacrifiées pour la conservation de la nature. Encore des vies perdues pour la biodiversité de la République Démocratique du Congo. Encore des vies fauchées dans l’espoir de léguer aux générations futures une planète viable. Jusqu’à quand ce carnage va-t-il se poursuivre ? Jusqu’à quand ceux qui œuvrent pour la protection de notre planète devront-ils risquer leur vie ? Aujourd'hui, nous apprenons avec une profonde tristesse le meurtre de deux pisteurs du Parc National de l’Upemba, Mbuya Musao Ambroise et Kishimba Kayemba Edmond, enlevés dans la nuit du 18 au 19 novembre 2024 au village de Katondo, en territoire de Bukama, dans la province du Haut-Lomami. Cette tragédie s'ajoute à une liste déjà trop longue de pertes humaines dans les rangs de l'ICCN (Institut Congolais pour la Conservation de la Nature). Cette situation est inacceptable et doit cesser. Il n’y a pas si longtemps, nous pleurions la perte de Mustapha Mukambilwa Bunia, ranger au Parc National de l’Upemba puis Egide Bilengi Lifindo, ranger à la Réserve de Faune à Okapis (RFO). Aujourd’hui, c’est encore le Parc National de l’Upemba qui est endeuillé. Jusqu’à quand allons-nous tolérer cette dégradation continue de la sécurité dans les aires protégées de la République Démocratique du Congo, un pays qui abrite des écosystèmes vitaux pour l’équilibre écologique mondial ? Mes sincères condoléances aux familles de Mbuya Musao Ambroise et Kishimba Kayemba Edmond. Que leurs âmes reposent en paix. #Conservation #Biodiversité #RDC #ICCN #RIP

Un match de football n’est pas qu’un simple événement sportif. C’est aussi un moment chargé d’émotions et de passions, surtout quand il s’agit d’une affiche aussi emblématique que le Classico entre l’Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain. À la veille de ce choc au sommet de la Ligue 1, les autorités ont mis les petits plats dans les grands pour assurer la sécurité de tous. Un dispositif exceptionnel pour un match à hauts risques D’après une source proche du dossier, pas moins de 600 policiers seront mobilisés aux abords et à l’intérieur du stade Vélodrome ce dimanche soir. Un déploiement massif qui comprend six unités de force mobile et des brigades spécialisées avec chiens et chevaux. L’objectif est clair : « prévenir tout risque de trouble à l’ordre public », confie un responsable. En complément de ce dispositif policier impressionnant, 800 agents de sécurité privée seront également sur le pont. Et pour avoir une vue d’ensemble, des moyens aériens surveilleront la zone. Il faut dire que le contexte est tendu et que les autorités ne veulent prendre aucun risque. Des incidents en série lors des précédents OM-PSG OM-PSG, ce n’est pas un match comme les autres. C’est l’opposition de deux clubs, de deux villes, de deux publics aux antipodes. Marseille, cité populaire et bouillante, contre Paris, la capitale, clinquante et (trop) souvent arrogante aux yeux des Marseillais. Sur le terrain, les joueurs ne sont que les représentants de ces antagonismes profonds, qui dépassent de loin le cadre du sport. Le Classico cristallise toutes les tensions entre le Nord et le Sud, entre la province et la capitale. C’est bien plus qu’un match de foot, c’est un concentré des clivages et des rivalités qui traversent la société française. Un sociologue spécialiste du supportérisme. Dans ce contexte surchauffé, on comprend mieux la nécessité d’un dispositif de sécurité renforcé. Il en va de la responsabilité des autorités d’assurer le bon déroulement de l’événement et d’éviter à tout prix les débordements. Un véritable défi quand on sait que certains « supporters » n’ont que faire du résultat et viennent avant tout en découdre. Des enjeux sportifs et financiers colossaux Au-delà des questions de sécurité et d’ordre public, ce Classico revêt une importance capitale sur le plan sportif. L’OM, actuel 3ème de Ligue 1, peut frapper un grand coup en cas de victoire face au leader parisien. Une victoire marseillaise relancerait complètement la course au titre et donnerait des ailes aux hommes de Marcelino pour la suite de la saison. Mais attention, un faux pas face au rival honni serait vécu comme une terrible désillusion par les fans marseillais, eux qui rêvent de titre depuis… 2010, date du dernier sacre olympien en championnat. Autant dire une éternité quand on connaît la ferveur et l’impatience du public phocéen. Enfin, impossible d’occulter les enjeux financiers colossaux d’une telle affiche. Droits TV, sponsors, transferts… Un Classico,...

Nous préparons l'avenir de demain pour être plus résilient ensemble

Une tragédie routière vient de frapper l’Ouganda, pays d’Afrique de l’Est. Mardi dernier, un camion-citerne a perdu le contrôle sur une voie rapide près de la capitale Kampala, avant de se retourner et de prendre feu. Si le bilan initial faisait état de 11 morts sur les lieux de l’accident, il s’est depuis alourdi de manière dramatique. Le bilan s’alourdit à 24 morts Selon un communiqué du ministre ougandais des Communications Godfrey Kabbyanga, 13 personnes supplémentaires ont succombé à leurs blessures à l’hôpital, portant ainsi le bilan total à 24 morts. Parmi les victimes, certaines étaient brûlées au point d’être méconnaissables. La police a dû recourir à des tests ADN pour les identifier. Le camion-citerne impliqué effectuait un trajet d’environ 650 kilomètres entre la capitale Kampala et la ville de Gulu, dans le nord du pays. C’est dans la ville de Kigogwa, à 25 km au nord de Kampala, qu’il s’est renversé avant de s’embraser. Le conducteur est actuellement en fuite tandis que plusieurs blessés sont toujours hospitalisés dans un état grave. Une série noire d’accidents similaires Malheureusement, ce drame n’est pas un cas isolé en Ouganda et plus largement en Afrique. Le pays a connu de nombreux accidents similaires impliquant des camions-citernes ces dernières années, avec un scénario qui se répète tragiquement : Un camion-citerne se renverse Des habitants accourent pour siphonner l’essence Le véhicule s’embrase, piégeant les personnes alentours En 2019, un tel accident avait fait 19 morts dans l’ouest de l’Ouganda. En 2013, c’est à Kampala que 33 personnes avaient péri. Le pire drame remonte à 2002, quand un camion-citerne avait percuté un bus, tuant 70 personnes. Un phénomène qui dépasse les frontières Cette série noire ne se limite pas à l’Ouganda. Le Nigeria voisin a été endeuillé par un drame similaire le 15 octobre dernier, avec plus de 170 morts. Deux jours avant l’accident de Kigogwa, deux autres camions-citernes se sont renversés sur une route reliant l’Ouganda au Rwanda, faisant un mort. Ces drames à répétition soulèvent des questions sur la sécurité du transport de matières dangereuses et plus largement sur l’état des routes et la régulation du trafic dans la région. – Un expert en sécurité routière Au-delà du lourd tribut humain, ces accidents ont un coût économique important pour des pays en développement comme l’Ouganda. La perte de carburant, les dégâts sur les infrastructures et la perturbation du trafic pèsent sur des économies déjà fragiles. Vers un renforcement de la réglementation ? Face à ce fléau, des voix s’élèvent pour demander un renforcement de la réglementation sur le transport des matières dangereuses. Parmi les pistes évoquées : Une formation renforcée et un contrôle accru des chauffeurs Des normes plus strictes sur l’état des véhicules Une meilleure sécurisation des routes empruntées Des sanctions plus lourdes en cas d’infraction Reste à voir si ces tragédies à répétition seront le...

Secours en montagne : deux interventions simultanées à Etsaut et Aydius