Post de Ville de Pantin

📢 CONCOURS PHOTO 👉 Si promouvoir la sobriété est important pour vous, cette action devrait vous plaire ! Jusqu'au 8 novembre 2024, le Réseau Sobriété co-animé par le réseau Cler et Virage Énergie avec le soutien de l’ADEME, vous invite à participer au Concours photo #StopEbriétés pour constituer la collection du futur Musée des ébriétés. 📸 L’objectif : mettre en lumière les excès de notre société de consommation, ces “ébriétés” qui surexploitent les ressources naturelles, afin de mieux promouvoir, par contraste, les sobriétés et les acteurs qui œuvrent en leur faveur. Quelques exemples d’ébriétés collectives : des bureaux vides éclairés la nuit, des amas de plastique en mer, des écrans lumineux publicitaires, etc. Comment participer à cette exposition collective ? Quel thème choisir ? Quels critères seront ceux du jury pour désigner les lauréats ? 👉 Le Musée des ébriétés vous donne toutes les clés ici : https://bit.ly/3Tujka3 #StopEbriétés #TransitionEcologique #Sobriété #Territoires

La Beauté Sauvera Le Monde est une initiative créée par la ville de Saint-Dizier, en 2021 en pleine crise du Covid, visant à profiter des affichages (panneaux publicitaires) de l’espace public et des lieux de services publics pour déployer des œuvres d’arts, visibles de tous. L’opération vise à mettre l’art et le beau à porter de tous et élever les regards pour susciter l’émerveillement, l’interrogation, la découverte. Elle permet de donner accès à la culture au maximum de personnes en s’établissant dans l’espace public, dernier lieu qu’on en commun ceux qui n’ont plus rien en commun. Les œuvres sont sélectionnées autour d’un thème commun (« La Nature » en 2022, « Les arts dans l’Art » en 2023) par le GrandPalaisRmn. Celles choisies sont volontairement des chefs d’œuvres inscrits dans les canons de la culture et présents dans les grands musées nationaux. Des thèmes ludiques, lumineux et positifs sont priorisés dans la sélection des œuvres. Après 3 éditions (2021, 2022 et 2023) organisées par la Ville de Saint-Dizier, en 2024 c’est la première fois que cette initiative culturelle est dupliquée simultanément à l’échelle nationale par 32 municipalités de l'hexagone. https://lnkd.in/eMyM5XpM

📢 CONCOURS PHOTO 👉 Si promouvoir la sobriété est important pour vous, cette action devrait vous plaire ! Du 4 octobre au 8 novembre 2024, le Réseau Sobriété co-animé par le réseau Cler et Virage Energie avec le soutien de l’ADEME, vous invite à participer au Concours photo #StopEbriétés pour constituer la collection du futur Musée des ébriétés. 📸 L’objectif : mettre en lumière les excès de notre société de consommation, ces “ébriétés” qui surexploitent les ressources naturelles, afin de mieux promouvoir, par contraste, les sobriétés et les acteurs qui œuvrent en leur faveur. Quelques exemples d’ébriétés collectives : des bureaux vides éclairés la nuit, des amas de plastique en mer, des écrans lumineux publicitaires, etc. Comment participer à cette exposition collective ? Quel thème choisir ? Quels critères seront ceux du jury pour désigner les lauréats ?  👉 Le Musée des ébriétés vous donne toutes les clés ici : https://bit.ly/3Tujka3 #StopEbriétés #TransitionEcologique #Sobriété #Territoires

🔎 Prenez 5 minutes pour découvrir ce post : Il montre parfaitement comment le design peut aller bien au-delà de l’esthétique, en devenant un véritable outil d’engagement et de transformation. Ce travail incarne un véritable engagement, mettant en valeur la diversité tout en insufflant une vision durable et inclusive. Une preuve éclatante que le graphisme, lorsqu’il est pensé avec sens et responsabilité, peut devenir un levier puissant pour porter des projets. Bravo

L'ébriété... c'est le contraire de la sobriété ! Partcicipez à ce joli concours du CLER, qui devrait donner des résultats spectaculaires ;-) Du 4 octobre au 8 novembre 2024, le Réseau Sobriété co-animé par le réseau Cler et Virage Energie avec le soutien de l’ADEME, vous invite à participer au Concours photo #StopEbriétés pour constituer la collection du futur Musée des ébriétés. 📸 L’objectif : mettre en lumière les excès de notre société de consommation, ces “ébriétés” qui surexploitent les ressources naturelles, afin de mieux promouvoir, par contraste, les sobriétés et les acteurs qui œuvrent en leur faveur.  Quelques exemples d’ébriétés collectives : des bureaux vides éclairés la nuit, des amas de plastique en mer, des écrans lumineux publicitaires, etc. Comment participer à cette exposition collective ? Quel thème choisir ? Quels critères seront ceux du jury pour désigner les lauréats ?  👉 Le Musée des ébriétés vous donne toutes les clés ici : https://bit.ly/3Tujka3 #StopEbriétés #TransitionEcologique #Sobriété #Territoires

Saint-Denis : la première ville incarnée par ses habitants ! Et voici son guide de marque. À partir du 1er janvier 2025, la Ville de Saint-Denis et la Ville de Pierrefitte-sur-Seine ne formeront plus qu’une seule et même commune, et deviendra ainsi la deuxième plus grande ville d’Île de France après Paris. Cette fusion réunira plus de 150 nationalités, faisant de cette nouvelle commune l’une des plus cosmopolites du pays. Avec David Jobin, DG de Royalties, Yann Lalande et Lucie Benoist, directeurs de la communication de Saint-Denis et de Pierrefitte, nous sommes allés à la rencontre des habitants pour comprendre leurs visions et leurs ambitions pour cette nouvelle ville. Laure-Anne Pachet, assistée de Louis Duvinage, ont mené plus de 63 heures d’entretiens avec des citoyens et des élus. Un mot s’est imposé au fil des discussions : Diversité. Cette diversité est l’essence même de cette ville. Nous avons souhaité lui donner corps à travers une identité visuelle résolument humaniste et citoyenne. Adieu blasons, paysages vides et autres monogrammes ! Saint-Denis devient la première ville représentée par ses habitants, une ville où l’humain est au centre de tout. Mais une idée aussi simple exige une exécution délicate et sensible : nous avons recherché des profils variés parmi les habitants, convaincu chaque modèle de devenir le visage de Saint-Denis et le porteur de ses valeurs. Avec Doriane Bunel, aidée de Cassandre Sabbe, nous avons imaginé un nouveau territoire de #marque, où chaque visage reflète la promesse du vivre-ensemble, ou plutôt du "Ville Ensemble", comme l’a si bien écrit Leo Anselmi et Weza Carolina De Carvalho. Saint-Denis et sa commune déléguée, Pierrefitte, deviennent une ville à visage humain, incarnée par une Marianne aux mille visages : femme, homme, jeune, vieux, et bien au-delà. (L’héritage Paris 2024 n’est pas loin ;) ) Nous avons conçu une #typographie sur mesure avec Tina P.. Suivant notre volonté de créer une identité inclusive à tous niveaux, nous avons développé une typographie répondant aux critères les plus exigeants en matière d’accessibilité. Dans la continuité de notre engagement pour l’ecobranding, nous avons intégré des pratiques écoresponsables dans la conception des supports de communication, qu’ils soient web ou print. Ces bonnes pratiques, facilement applicables par les équipes internes et les prestataires externes, ont également vocation à inspirer d’autres communes dans une démarche de #design #Ecobranding. Cette #identité visionnaire a été dévoilée récemment par Mathieu Hanotin, maire de Saint-Denis, et Michel Fourcade, maire de Pierrefitte. Plus de 150 visages ont déjà été dessinés pour le lancement en 2025, et ce nombre continuera de croître pour construire une nouvelle ère. Une ville où chaque habitant est à la fois acteur et ambassadeur, et où la diversité devient une véritable force. Place au jeu : Le Saint-Denis s’est glissé dans la charte graphique… Saurez-vous le retrouver ?

😋 "La communication, c'est comme le gratin dauphinois"! Vous en voulez une part ? 👉🏻 Retrouvez ci-dessous mon dernier billet paru dans Point commun de Cap'Com. #compublique #communication #newsletter

Veille sectorielle : indispensable. L'appétence pour la veille et la culture sectorielle (et plus largement la culture générale et le monde qui nous entoure) est un savoir être autant qu'un savoir faire, une compétence professionnelle autant qu'une qualité humaine. La curiosité n'est pas toujours un vilain défaut. Chaque jour, nous inspirer.

🌟 Les rêves d'aujourd'hui façonnent les territoires de demain ! Dans cette troisième capsule, nous plongeons dans l'univers créatif des enfants participants à Peindre Demain. 🎨 🌇 Mais avant cela, mettons à l'honneur l'une des trois villes participantes au projet. Dans la capsule 1, Jean-François Escapil-Inchauspé nous avait parlé d'Oloron-Sainte-Marie. Aujourd'hui, c'est au tour de Gisèle Vincent, Maire d'Ibos, de nous présenter la ville d’Ibos et ses engagements pour l'avenir : "À Ibos, nous pensons et agissons pour demain à travers des actions concrètes comme la restauration scolaire, où nous cuisinons sur place avec des produits bio et locaux issus de circuits courts. Nous initions aussi les enfants à bien se nourrir pour leur santé et celle de la planète, avec des ateliers ludiques de découverte du goût. Peindre Demain s’inscrit pleinement dans cette démarche, en sensibilisant les enfants à la citoyenneté et à la préservation de notre environnement." Gisèle Vincent, Maire d'Ibos 🎬 Cette vidéo capture des moments authentiques où les enfants partagent leurs visions du futur pour leurs villes et villages. À travers des interviews, découvrez leurs rêves, leurs inspirations et comment ils imaginent l'avenir de leurs territoires. 🙌 ✨ "Que tout soit beau." ✨ “Qu’il y ait des animaux nouveaux” ✨ "Qu’il n'y ait plus de carburant dans le futur." 🚀 Ne manquez pas ce moment clé qui dévoile l'enthousiasme palpable des enfants. À travers leurs yeux, l'avenir semble lumineux et rempli de promesses. 💖 Le projet Peindre Demain est le fruit d’une co-construction entre Indarra, le Fonds de dotation créé par le Crédit Agricole Pyrénées Gascogne et la Biennale Internationale d’Art Urbain de Biarritz.

"DES LIVRES DANS LA BOUCLE SANS RÉVOLUTION" 🧿 ... la végétalisation de la place de la Révolution - si elle était une #nécessité et s'apparente aujourd'hui à une réussite esthétique - entraîne inevitablement quelques #inconvénients. Le premier d'entre eux - et qui fait l'objet de #critiques de la part de certains opposants municipaux - est l'impossibilité d'installer désormais face au Musée des Beaux-arts et d'Archéologie le grand chapiteau de 1 000 m2 qui accueillait chaque année en septembre le festival "Livres dans la Boucle". La municipalité a récemment decidé de déplacer l'événement à #Chamars - un endroit plus excentré de la Boucle - en privatisant par ailleurs une partie de son parking pour y déployer le fameux grand chapiteau. À y réfléchir n'y avait-il pas un autre moyen de faire que de #délocaliser l'événement ? Pourquoi n'avoir pas tout simplement choisi de remplacer le grand #chapiteau par un village d'une dizaine de plus petits qui pourraient être aisément répartis sur les nombreux espaces encore libres de la place et les zones piétonnes adjacentes et qui abriteraient les #auteurs non sous un même toit mais dorénavant par éditeur, par librairie ou pourquoi pas par #thématique ? D'autres villes - comme Narbonne ou Saint-Etienne - le font avec un grand #succès depuis des années. Alors pourquoi pas #Besançon ?