Suite de notre série sur les "a priori" qui ont la vie dure sur l'autoroute.
A priori #4 : "sur l'autoroute, l'électrique c'est galère..."
Olivier GRANIER n'est pas d'accord. Il nous explique pourquoi.
Les points de recharges sont effectivement assez nombreux sur ce réseau. En revanche, reste une belle part d'éducation à réaliser auprès des electromobilistes, trop souvent à plus de 90% sur un superchargeur.. je découvre dans votre communication les agents Vinci Autoroute que je n'ai jamais vu (vraiment jamais) malgré de nombreux trajets sur votre réseau.
Ces derniers permettraient en outre d'éviter aux véhicules thermiques d'occuper les places de recharges... (entre Bordeaux et Narbonne en Aout)
Au plaisir d'en croiser lors du trajet retour 😉
Un essieu est constitué de deux roues formant un ensemble rigide avec un axe et tournant à la même vitesse sur un véhicule ferroviaire. L’essieu, qui constitue une interface entre le train et l’infrastructure ferroviaire, supporte le poids de l’ensemble du matériel roulant à des vitesses qui peuvent atteindre jusqu’à 350 km/h actuellement. Dans un avenir proche, des vitesses de l’ordre de 400 à 450 km/h sont envisagées.
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L’essieu doit donc pouvoir résister à des contraintes mécaniques, des charges thermiques, une usure et des vibrations importantes.
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Les essieux modernes sont fabriqués dans des matériaux légers pour réduire la consommation d’énergie et l’usure des voies, avec des revêtements qui améliorent la résistance à la corrosion. Ils intègrent des capteurs pour surveiller leur état et celui de la voie ou reposent sur de nouveaux concepts de transmission pour un meilleur rendement et une plus grande flexibilité.
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#SKF#Ferroviaire#railvolutionnaire
Une autoroute limitée… à 50 km/h !
Bienvenue aux portes de Lyon (Rhône), sur l'autoroute A7, limitée à 50 km/h. Pourtant, cette nouvelle limitation de vitesse s'applique sur une portion de huit kilomètres. Elle est appliquée le matin, uniquement de 7h à 9h30, du lundi au vendredi. Cette vitesse abaissée va de pair avec une voie réservée au covoiturage. Ici, la voie de gauche, signalée par un losange. Au volant de notre voiture, nous avons respecté la nouvelle limitation. On essaye de rouler à 50km/h, et bien sûr, on se fait doubler par toutes les autres voitures. L'objectif est de limiter les différences de vitesses entre la voie fluide de covoiturage et les autres voies plus embouteillées. Sur ce même axe, entre Ternay (Rhône) et Feyzin (Rhône), la vitesse autorisée pourra donc varier entre 90, 70 et 50 km/h. Avec 100 000 véhicules par jour sur l'autoroute A7, cette mesure vise à fluidifier le trafic aux heures de pointe. Un bilan sera fait après deux ans d'expérimentation. TF1 | Reportage S. Agi, D. Paturel, S. Reine
https://lnkd.in/eDTUiJQh
Pourrions-nous avoir l’ensemble du tableau? Afin de calculer le revenu requis (RR) pour offrir ce « service public », il faut regarder l’évolution des ventes et des coûts afin de juger de la pertinence du RR requis annuellement (il est écrit « confidentiel » mais pourquoi?). Il faudrait un organisme indépendant pour entendre toutes les parties, analyser les coûts et les besoins, et que ce même organisme ait un pouvoir décisionnel sur les gestionnaires sans que le politique soit impliqué. Une genre de « Régie des sociétés de transport », comme en énergie, qui ont le pouvoir de « fixer les grilles tarifaires », après analyses rigoureuses indépendantes. Après, nous pourrions travailler dans l’intérêt public global et intégrer les considérations sociales et environnementales dans ses débats.
Voici les déficits totaux de services de transport en commun de la grande région de Montréal. Données de l’ARTM au 15 mars 2024 :
STM (autobus) : 618 millions $
Métro : 216 M$
RTL (autobus) : 115 M$
STL (autobus) : 115 M$
Ligne train Blainville-Saint-Jérôme : 75 M$
(…)
REM : 21 M$
Avec les revenus généraux, le déficit résiduel de l’an dernier atteignait 1,3 milliard de $ pour l’ensemble des sociétés de transports du Grand Montréal.
Les villes paient une partie de ce trou, mais pas assez pour le combler, d’où l’enjeu avec Québec. Contexte : https://lnkd.in/gugqiYxg?
💣 Coup d'éclat dans la course des acteurs privés à l'entrée sur le marché français de la grande vitesse.
Jusque là plutôt discrète par rapport à ses concurrents Le Train Voyage et Kevin Speed, Rachel Picard et Proxima annoncent, avec un plan de communication parfaitement calibré, être en capacité de réunir tous les composants majeurs permettant de lancer des services à grande vitesse entre Paris et le Grand Ouest à l'horizon 2028 : des rames Alstom, un centre de maintenance LISEA, et une levée de fonds d'un milliard d'euros auprès de Antin Infrastructure Partners.
Peu de communication sur la sécurisation des sillons nécessaires au plan de transport mais on peut supposer que des discussions sont en cours avec SNCF Réseau et que Proxima obtiendra un accord-cadre comme Kevin Speed il y a quelques mois.
Proxima doit maintenant relever de nombreux défis opérationnels pour être prêt à l'arrivée des rames : structuration de la future organisation, certifications et habilitations auprès des autorités de sécurité, recrutement, formation, mise en place de canaux de distribution et de dispositifs de relation client, création d'un système d'information solide.
Groupe SNCFSNCF Voyageurs#transport#ferroviaire#rail#railwayMairie de BordeauxBordeaux MétropoleVille d'AngersRennes Ville et MétropoleNantes Métropole
LES ‘‘GILETS BLEUS’’ À VOTRE SERVICE
Alors que la mobilité électrique prend de plus en plus d'ampleur, de nombreux conducteurs se posent des questions sur la recharge de leurs véhicules sur autoroute. VINCI Autoroutes, soucieux de garantir une expérience optimale à ses usagers, met en place l'opération ‘‘Gilets Bleus’’. Ces voituriers d'un nouveau genre, spécialement formés, seront présents sur différentes aires pour assister les conducteurs lors de la recharge de leur véhicule électrique.
L'électromobilité est une réalité en constante évolution, et avec elle vient son lot de questionnements. Pour de nombreux conducteurs, voyager sur autoroute avec un véhicule électrique peut s'avérer être une source d'interrogations, notamment en ce qui concerne la recharge. VINCI Autoroutes, toujours à l'écoute de ses usagers, a décidé d'apporter une solution concrète à cette problématique.
Ainsi, à l'occasion des vacances , l'entreprise lance l'opération « Gilets Bleus ». Le concept est simple : des voituriers, facilement reconnaissables à leur chasuble bleue, seront déployés sur différentes aires du réseau. Leur rôle ? Accompagner les conducteurs dans toutes les étapes de la recharge, depuis le stationnement jusqu'au paiement
Que ce soit pour trouver une borne disponible, gérer l'affluence en cas de file d'attente ou encore aider en cas de difficultés techniques, ces « Gilets Bleus » seront là pour assurer une expérience de recharge fluide et sans stress. Et pour ceux qui auraient encore des questions, ces voituriers formés pourront fournir toutes les informations nécessaires.
Cette initiative de VINCI Autoroutes montre une fois de plus son engagement en faveur d'une mobilité plus durable et d'une meilleure expérience pour ses usagers. Avec les « Gilets Bleus », l'autoroute se veut être un espace où la transition énergétique est facilitée, permettant à tous de voyager l'esprit tranquille.
Moyen « d'amorcer » la réduction du trafic automobile en complément des transports en commun, le covoiturage bénéficie de plusieurs outils dans l'agglomération lyonnaise : application mobile, lignes de covoiturage, voies dédiées... Et désormais, ce sont trois radars thermiques qui ont été installés le long de l'axe M6/M7 traversant Lyon par le tunnel de Fourvière afin de renforcer les contrôles, là où les résultats peinent encore à se faire ressentir.
https://lnkd.in/ezkd8A9F
Et si pour transporter la quasi-totalité de ce que nous consommons, on ne comptait plus seulement sur la puissance des #moteurs de gigantesques porte-conteneurs, mais aussi sur celle des #courants océaniques ?
#CONFÉRENCEAFFI
👉 Le projet LGV+ Paris-Lyon - vers plus de trains sur l’axe grande vitesse Sud-Est
Hier soir, l'Université de l'Ingénierie a accueilli une conférence organisée par l’#AFFI : l'Association Ferroviaire Française des Ingénieures et Cadres.
🛤️ Une petite remise dans le contexte s'impose :
Décidée en 1974, il y a 50 ans, la LGV-PSE ou LN 1 est entrée en service en 1981, et depuis, elle reste l'axe à grande vitesse le plus parcouru d'Europe, avec pas moins de 240 trains par jour. Cependant, l'usure du temps se fait sentir, notamment sur ses systèmes de signalisation et d’exploitation qui ont été adaptés au fil des ans pour porter la vitesse maximale à 300 km/h, mais qui approchent désormais de leurs limites.
🆕 C'est ici que le projet "LGV+ Paris-Lyon" entre en jeu. Avec pour objectifs de renouveler ces systèmes et de développer le trafic sur cette ligne emblématique. Il s'impose comme un projet majeur pour la grande vitesse ferroviaire française.
🔧 Mais comment mener à bien ce projet tout en maintenant l'exploitation de la ligne pendant la phase chantier en cours ?
C'est là que François-Xavier PICARD, Directeur de Projet MOE LGV+ Paris-Lyon chez SNCF Réseau, a partagé avec nous les principes et les moyens mis en œuvre pour garantir le succès de ce projet.
🖐️Les membres partenaires de l'AFFI : Alstom - Arcadis – CERTIFER - @FIF - FNTP – Framafer - GEISMAR – Ingérop - RATPgroup - Groupe SNCF – SYSTRA – Université de l'Ingénierie#AFFI#IngénierieFerroviaire#SNCFRéseau
Le circuit associé à la sortie : une montée de +D900m au Crêt de l'Oeillon avec un retour à Pelussin (30km) par des passages rapides et exigeant en termes de tenue de route
Plongez au cœur de la révolution ferroviaire avec le Maglev, le train qui redéfinit les limites de la vitesse sur rails. Découvrez comment cette prouesse technologique marque un tournant historique dans le transport ferroviaire.
https://lnkd.in/gPUz7hcX
Responsable d'activités chez Spie CityNetworks
2 moisLes points de recharges sont effectivement assez nombreux sur ce réseau. En revanche, reste une belle part d'éducation à réaliser auprès des electromobilistes, trop souvent à plus de 90% sur un superchargeur.. je découvre dans votre communication les agents Vinci Autoroute que je n'ai jamais vu (vraiment jamais) malgré de nombreux trajets sur votre réseau. Ces derniers permettraient en outre d'éviter aux véhicules thermiques d'occuper les places de recharges... (entre Bordeaux et Narbonne en Aout) Au plaisir d'en croiser lors du trajet retour 😉