Post de Voxafrica TV

https://lnkd.in/ggHWqXpX nous avons apporté notre contribution dans ce décryptage de la DW Akademie sur la situation sécuritaire dans l'est de la RDC.

📰 𝐃𝐞́𝐜𝐥𝐚𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐚𝐮 𝐄𝐮𝐫𝐀𝐜 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐬𝐢𝐭𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐞́𝐜𝐮𝐫𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐚̀ 𝐥’𝐄𝐬𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐑𝐞́𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐜𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐮 𝐂𝐨𝐧𝐠𝐨 En tant que Réseau européen pour l'Afrique Centrale (EurAc), nous représentons des organisations de solidarité internationale dont les sièges sont basés dans différents pays européens, et qui travaillent en partenariat direct avec des organisations de la société civile congolaise en République Démocratique du Congo (RDC). Avec cette déclaration, nous souhaitons interpeller les responsables politiques sur la situation sécuritaire à l’Est de la RDC et proposer des recommandations constructives à l’attention des décideurs européens. Dans le contexte d’une 𝐝𝐞́𝐠𝐫𝐚𝐝𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐢𝐝𝐞́𝐫𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐢𝐭𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐞́𝐜𝐮𝐫𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥’𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐑𝐃𝐂 et d’un regain inquiétant des tensions sous-régionales, le réseau EurAc a rédigé une déclaration en concertation avec ses membres. Cette-dernière met l’accent sur les préoccupations identifiées par nos partenaires locaux. Elle propose des pistes d’action concrètes visant la pacification et la stabilisation de la situation sur place. Face à cette crise, nous espérons que l'Union européenne encouragera la mise en œuvre 𝐝’𝐮𝐧𝐞 𝐚𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐢𝐦𝐦𝐞́𝐝𝐢𝐚𝐭𝐞 𝐞𝐭 𝐜𝐨𝐨𝐫𝐝𝐨𝐧𝐧𝐞́𝐞. 👉 𝗟𝗶𝗿𝗲 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞́ : https://lnkd.in/eAfxbzVg #declaration #crise #securité #RDC #EurAc #forumrefugiés

Kinshasa : Atelier de restitution, évaluation et formulation des recommandations par les jeunes sur la situation sécuritaire et humanitaire à l'Est de la RDC. Extrait de notre intervention sur les travaux de la commission 1: Participation des jeunes pour la promotion de la paix

Il y’a deux voies pour sortir d’une guerre: gagner sur le terrain ou mettre fin à celle-ci par compromis. Tout observateur averti voit bien que l’État congolais en l’état actuel n’a pas les capacités administratives et militaires pour s’imposer. Bien plus, l’erection de groupes rebelles dans cette partie de son territoire n’est-elle pas le résultat de sa faiblesse voire de son absence dans celle-ci? C’est connu, les groupes rebelles s’appuient sur les réseaux sociaux préexistants. S’ils arrivent à se mettre en place facilement et à gagner du terrain, n’est-ce pas parce qu’au-delà de ceux qu’ils recrutent volontairement ou de force, ils ont l’appui d’une bonne partie de la population de la zone en question, population probablement frustrée de la gestion du pouvoir central? Si oui, comment l’armée congolaise compte-t-elle faire la guerre sans le renseignement populaire? Est-ce à dire que le concept de défense populaire ne fait pas partie de sa boîte à outils? Que dire des défections dans ces rangs? Suffit-il de condamner à mort les déserteurs pour re-mobiliser les autres? À titre personnel, je n’en suis pas convaincu. À mon avis, en l’état actuel des choses, la RDC n’a qu’une issue: négocier, mais autrement que les autres fois. Comment? Au même moment qu’elle négocie pour que les insurgés libèrent le territoire (on ne parle pas de sécession jusqu’ici), elle 1) met sur pied une unité d’élite de l’armée mieux formée, mieux équipée, mieux renseignée pour la sécurisation de la zone actuellement en guerre; 2) conçoit et implémente un véritable plan de développement de cette zone pour éloigner les populations des “retombées de leur sympathie voire soutien pour les rebelles’’. Cela aidera aussi à renforcer la capacité de renseignement. Je ne suis pas dupe, je sais que pour ceux qui pensent essentiellement à leur pouvoir, l’idée d’unité de l’armée mieux formée (etc.) leur fait penser directement au coup d’État, et le choix est vite fait (“Quand Kinshasa vit, la RDC respire’’, diraient-ils). L’égo qui transparaît dans cet extrait vidéo de Jeune Afrique alors qu’au même moment, l’Etat congolais en guerre a de profondes limites opérationnelles et est loin de gagner la guerre, ne peut que pousser à conclure que nous sommes dirigés par des fous. Oui, “ces fous qui nous dirigent”!

#RDC 🇨🇩: Quelle position devrait prendre la RDC face à cette position de la Grande Bretagne qui demande à la RDC : 1. Rompre les liens avec les groupes terroristes notamment les FDLR; 2. Mettre fin au genocide en cours des TUTSI Congolais 🤔 ; 3. Éviter l’externalisation des problèmes socio-politiques de la RDC qu’elle a créés. Voici les conditions que Blinken a la RDC pour avoir la paix. Pourquoi seulement maintenant quand le #Burundi 🇧🇮 entre en danse dans la région ?

🗎 𝗡𝗢𝗨𝗩𝗘𝗟𝗟𝗘 𝗣𝗨𝗕𝗟𝗜𝗖𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 par Erik Kennes et Nina Wilén "𝗨𝗻 𝗧𝗼𝘂𝗿𝗯𝗶𝗹𝗹𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗖𝗼𝗻𝗳𝗹𝗶𝘁𝘀 𝗦𝗮𝗻𝘀 𝗙𝗶𝗻" @EGMONT - Royal Institute for International Relations 1️⃣ Pour la RDC, le nœud du problème reste le manque d’une armée capable de défendre efficacement ses frontières et, plus généralement, l’absence de l’État ainsi que le manque de perspectives économiques pour les membres des groupes armés une fois démobilisés. 2️⃣ La présence d’une communauté rwandophone tutsie congolaise fournit à Kigali un prétexte : les motifs de l’ingérence répétée du Rwanda dans l’est de la RDC sont, officiellement, d’ordre sécuritaire, notamment la menace que représenteraient les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) 3️⃣ Si les protagonistes veulent réellement la paix dans la région, la RDC ne pourra faire l’économie d’une totale restructuration de son armée, ni d’une vraie politique de réconciliation à la base avec sa population rwandophone tutsie – au moins celle qui refuse l’alliance avec le régime de Kigali. 𝗥𝗲𝗮𝗱 𝗶𝘁 𝗵𝗲𝗿𝗲 👉 bit.ly/3UIhgwr

Quelques mots sur la RSS en RDC!

La présidence de Kagame a eu un effet déstabilisant sur la RDC Paul Kagame, le président du Rwanda, a eu un impact significatif sur la République démocratique du Congo (RDC) au cours des 30 dernières années. Les implications de sa présidence sur la stabilité de la RDC comprennent : 1. Soutien aux groupes rebelles : Kagame a été accusé de soutenir des groupes rebelles en RDC, notamment le M23 et le RCD, qui ont contribué à l'instabilité et aux conflits dans la région. 2. Incursions transfrontalières : les troupes rwandaises ont mené des incursions en RDC, entraînant des tensions et des affrontements avec les forces congolaises. 3. Exploitation des ressources : le Rwanda a été accusé d'exploiter les ressources naturelles de la RDC, y compris les minerais et le bois, ce qui a contribué au conflit. 4. Abus des droits de l'homme : le gouvernement de Kagame a été accusé de commettre des abus des droits de l'homme en RDC, notamment des massacres et des déplacements forcés. 5. Tensions régionales : les actions de Kagame en RDC ont contribué à des tensions avec les pays voisins, notamment le Burundi et l'Ouganda. 6. Instabilité dans l'est de la RDC : le soutien de Kagame aux groupes rebelles et les incursions transfrontalières ont contribué à l'instabilité dans l'est de la RDC, entraînant le déplacement de millions de personnes et la mort de milliers. 7. Intervention internationale : les actions de Kagame en RDC ont entraîné une intervention internationale, y compris le déploiement de forces de maintien de la paix de l'ONU. 8. Impunité : le gouvernement de Kagame a été accusé de commettre des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité en RDC, mais n'a pas encore été tenu responsable. En somme, la présidence de Kagame a eu un effet déstabilisant sur la RDC, contribuant aux conflits, aux abus des droits de l'homme et aux tensions régionales. - TEXMEDIA -

🚨 Le rôle du Rwanda dans la détérioration de la situation en RDC soulève des questions cruciales sur la sécurité et les enjeux économiques 💔 Il est temps d'agir pour la paix et la justice dans la région 🔥 #RDC #Rwanda #PaixEtJustice #EngagementInternational 🌍